11. L'annonce

{. Mais moi je suis en prière, pour que tu reviennes. Je n'ai plus envie de te dire non. Prière pour que tu m'emmènes voir la nuit étoilé. Depuis que tu ne vie plus sous mon toit, la cuisine est en bien meilleur état. Mais depuis, je m'ennuie, depuis je m'ennuie .}  Véronique . Sanson

3377 mots


- Le 8 mai 1998 - 

Signum était partit. Il lui avait rapidement expliquer, sans trop approfondir, l'enquête mené par les Aurors. 

Évidement, c'était Bellatrix Lestrange qui avait crée ce sort. Seuls quelques Mangemorts fidèle étaient au courant, et seul deux ou trois savaient l'exécuter. Voldemort, lui, n'avait pas voulu se servir de ce sort, il préférait bien plus la mort pur et dur. C'est ce qu'avait confié... Narcissa Malefoy, au Manoir de ceux ci, où se tenait la majorité des réunions de Voldemort. 

Les Aurors faisaient un boulot de dingue. Capturant le reste des Mangemorts, interrogeant tout les partisans, ramassant le plus d'information possible. Une enquête interne du Ministère avait aussi été déclaré dans les journaux. Mené par un certain Kingsley Shaklebolt, chef des Aurors. Beaucoup de combattant du deux mai se joignait aux forces des Aurors, y compris Harry, Ron, Hermione, Ginny et d'autre amis à eux, un certain Neville Londubat aussi. 

Durant la bataille de Poudlard, il y avait eu une dizaine d'élèves touchés par ce sort. Dora par Bellatrix, Remus par Dolohov. Rodolphus Lestrange, qui n'avait malheureusement pas été tué... mais arrêté et enfermé à Azkaban, avait était interrogé par les Aurors, confirmant l'existence de ce sort, Nocturno Ensomelo

Andromeda n'avait pas encore digéré la moitié de ce que lui avait dit Signum.  

Ce soir du huit mai, elle s'était assise sur le bord de sa terrasse. Il faisait encore chaud dehors, ce qui ne l'empêcha tout de même pas d'enfiler un gilet. Un carton était posé juste à côté d'elle. Ce fameux carton d'où était tombé le cadre de Teddy, Dora et Remus. 

Maintenant, Andromeda se souvenait que c'était sa fille qui avait descendu ce carton de sa chambre... "je vais accrocher tout ça dans la chambre de Teddy, le plus vite possible !"... comme si Dora sentait qu'il ne lui restait plus beaucoup de temps... en fin de compte elle n'en avait pas eu la possibilité... 

Dans ce carton, il y avait un tas de photo de Dora, de Remus, d'elle même et de Ted, et une multitude de photo avec un bébé aux couleurs de cheveux changeante. 

Andromeda leva les yeux aux ciels, mélancolique et triste. 

L'espace était semblable à un épais velours noir, parsemé d'étoile plus brillante les unes que les autres. Malgré la beauté de cette voûte étincelante, elle avait l'impression que ce ciel l'écrasait. 

Elle attrapa une photo au hasard dans le carton, et, en la retournant, son coeur commença à battre plus fort. 

... 

Où Dora avait-elle pris cette photo ? Cela faisait une éternité qu'elle ne l'avait pas vu... 

Cette photo avait été pris en début mars 1973. Quelques jours avant qu'elle accouche. A ce moment, elle vivait déjà dans cette maison, Amont d'Eurice. C'était une vieille ferme abandonné... ils avaient pu y habiter pour une raison compliqué, grâce à quelqu'un ou plutôt une organisation, et trop longue à expliquer maintenant. Ce premier mars, jour de la photo, il avait fait particulièrement beau ! De part les aléas climatique de mars... un soleil magnifique avait percé le ciel. Amelia et Gideon étaient avec eux. Ils avaient tous voulu aller dehors pour profiter de cette belle journée, seulement, le sol étaient boueux à cause des longs mois de pluie qui avait martelé le sol au mois de février. Ted avait alors sortit sa baguette et fait apparaître un petit coin d'herbe verdoyante. Gideon y avait ajouté un banc. Ted s'y était assis aussitôt, en rigolant Andromeda s'était assise sur lui, fatigué par le ventre immense qu'elle transportait partout. Il l'avait pris dans ses bras, depuis beaucoup de temps elle avait ressentit un réel bonheur. De leur étreinte était tombé une étincelle argenté dans la boue... par je ne sais quel magie une grande tige avait germé et une fleur brillante en été sorti. Sa meilleur amie n'avait pas hésité deux secondes à prendre une photo. Et la voilà, cette photo. 

La magie de l'amour. 

Ils étaient déjà trois à ce moment : elle, Ted et Nymphadora dans son ventre. Leur petit bonheur... 

Les souvenirs qui lui était revenu tout à l'heure l'emballèrent encore plus... ceux de Dora lui annonçant elle même qu'elle était enceinte, son accouchement, l'arrivé de son merveilleux petit fils.... la boucle qui se refermait... la roue qui tournait... 

Repenser à tout ceci lui fit remonter des souvenirs... ce qui lui arrivait de plus en plus souvent, décidément... 

« - Le 31 juillet 1972 - 

Ce soir là, elle n'avait pas fermé l'œil de la nuit. Elle attendait le moment précis où l'horloge de sa chambre pointerait sur le II. 

Elle avait rendez vous avec lui au village. Maintenant que la plupart des sang pur influant savait qu'elle avait... disons une liaison avec lui... ils ne pouvaient plus se voir en cachette par des prétextes telle que « je vais à la Bibliothèque du village », là où un certain nombre de ces gens passaient leur après midi. Et puis, sa mère lui avait formellement interdit de sortir de l'enceinte du Manoir, hormis les jardin et le parc. 

C'est pour tout cela que la nuit noir était parfaite.

Son coeur battait déjà la chamade et son ventre était serré par l'impatiente de le revoir. Mais également et paradoxalement par la peur de ce qui l'attendait... Cette nuit elle avait quelque chose de très important à lui dire... quelque chose qui changerait peut-être tout.

De plus, ils ne s'étaient pas revu depuis que sa famille avait appris la nouvelle, il y avait maintenant quatre semaines. Quatre semaines qui avait été beaucoup trop longue et dur. Elle n'avait reçu qu'une lettre de lui, dissimulé dans un bon de réabonnement de la Bibliothèque. C'est là qu'ils avaient fixé le rendez vous, dans la petite rue à côté de celle ci.

Elle se répétait le plan qu'elle avait construit depuis un bout de temps dans sa tête, se remémorant les moindres détails, numérotant presque tout les gestes qu'elle devait faire. Pas un seul faux pas n'avait sa place. Tout était millimétré à la seconde près, calé dans sa tête. Exactement tout.

Son corps se tendit tout entier quand la grande aiguille des secondes avançaient plus près du 0, signifiant qu'il était enfin deux heures du matin. Son petit parcours lui parut extrêmement long mais elle ne voulait pas se lever avant que l'aiguille est fini sa révolution. Question de principe...

Quand la grande aiguille réalisa son tour, elle bondit de son lit :

- Lumos, murmura-t-elle la baguette à la main.

Elle la posa sur une commode et entreprit de s'habiller chaudement. Malgré le beau temps de ce mois de juillet, les nuits étaient fraîche. Elle enleva sa longue chemise de nuit en dentelle qui l'horripilait plus que tout, enfila un chemisier blanc, un pantalon qu'elle avait soigneusement caché sous ses nombreuses jupes longues, des chaussures plates au dessus de ses chaussettes volé à la femme de chambre de sa sœur. Elle enfila un grand pull qui provenait également d'autre part, de la penderie de son père (lui ayant offert un nouveau à son précèdent anniversaire, il ne s'était jamais aperçu de la disparition de celui ci).

Tout cela pour une seule et bonne raison : elle se rendait au village en vélo et avec ses robes de comtesse, corset et jupon immense, il lui était impossible d'en pratiquer. Le vélo était son moyen de transport préféré. Ses parents n'avaient absolument pas toléré quand elle était en septième année et qu'elle en avait réclamé un, mais pour fini,r sa mère avait réussi à faire céder son père et elle l'avait eut son beau vélo. Pourquoi donc le vélo ? Tout simplement parce que transplaner lui était impossible, son père en avait coupé la possibilité dans son domaine et aux alentours, du fait qu'il se soit fait beaucoup d'ennemis... Et elle ne pouvait pas non plus y aller en balais, son père le lui avait confisqué dès son retour de Poudlard sous prétexte qu'une femme n'avait pas le droit de jouer au Quidditch ni de se déplacer sur un balais. Pourtant elle était une des meilleurs joueuses... avec l'équipe ridicule de Serpentard heureusement qu'elle avait été là pour attraper le vif d'or en septième année... Et pour finir, le réseau de cheminée était lui aussi coupé. Autant dire qu'elle était coincé selon la pensée de ses parents. Mais Andromeda n'était pas si berné qu'eux, les moyens moldues se révélait parfois bien plus efficace.

Une fois prête, elle saisit sa baguette et sans rien prononcer, elle fit apparaître une corde dans sa main. Elle ouvrit précautionneusement la fenêtre sans aucun bruit et lança la corde par dessus la rambarde de sécurité, accrochant l'autre bout au radiateur (magique bien sûr) aussi solide que du marbre. En effet, descendre par le hall lui était aussi impossible... les portraits de ses ancêtres était de vrai dénonciateur.

- Nox, murmura-t-elle.

Sa baguette s'éteint et elle se laissa guider par la faible lumière de la lune. Elle regarda par dessus la fenêtre, elle était au troisième étage du grand manoir.

Elle passa par dessus la rambarde et se laissa glisser, la corde en dessous des hanches en rappel, la baguette dans la bouche, aussi doucement qu'elle le pouvait pour ne faire aucun bruit. Son père dormait à l'étage d'en dessous et donner un coup de chaussure dans sa fenêtre n'était pas une bonne idée. Elle était assez doué pour ça, ayant eu de l'entraînement lorsqu'elle était à Poudlard... mais ça c'était une autre histoire...

Elle arriva facilement en bas et posa légèrement ses pieds sur le sol parsemé de cailloux. De sa baguette elle fit disparaître la corde. D'un autre coup de baguette elle ferma la fenêtre de sa chambre. Ni vu ni connu.

Son rendez vous avec lui était fixé à deux heures quinze du matin, il fallait qu'elle soit rentré avant quatre heures au moins, au plus tard cinq heures car son père était très matinal et les domestiques, elfes et autres serviteurs se levaient aux aurores.

Elle se mit à courir dans la cour de derrière pour arriver aux garages séparés du reste de la grande maison. Elle ouvrit la porte d'un coup de baguette et sortit son vélo un peu poussiéreux, le guidon étant entouré de toile d'araignée... cela faisait quatre semaines qu'elle n'avait pu l'utiliser.

Elle le sortit du garage et referma la porte derrière elle.

Elle enfourcha son vélo et commença à pédaler le plus vite possible vers la grande porte qui celait l'entré du domaine. Depuis quelques jours, elle avait espionné son père afin de récupérer la technique avec laquelle il ouvrait la porte. Et elle avait réussi. D'une main elle prit sa baguette qu'elle avait placé entre ses lèvres et lança le sortilège qu'elle avait vu son père réaliser. La porte la laissa passer sans s'ouvrir, comme si elle se fondait pour la laisser passer.

Une fois dehors, Andromeda se sentit enfin libre, le coeur plus léger elle se mit à pédaler à toute vitesse sur la longue route qui menait au village. Le vent fouettant son visage et ses long cheveux noir qui voletait dans son dos. Le sourire aux lèvres elle n'avait qu'une envie : revoir son Teddy. La dur nouvelle qu'elle avait à lui annoncer n'était plus rien quand elle pédalait sur son vélo, comme si elle s'envolait, libre et tranquille dans la nuit clair.

C'était son refuge quand tout allait mal.

Au bout d'une dizaine de minute de pur bonheur, Andy entra dans le village. En quelques secondes elle arriva près de la ruelle dite de leur rendez-vous. Elle vit de loin une silhouette debout, patientant dans un coin entre deux poubelles assez grande pour le dissimuler, elle vit ses cheveux court et foisonnant clair à la lumière du réverbère. Il tourna sa tête et elle le reconnut toute de suite. Elle freina brutalement de sa main gauche et son vélo failli faire un vol plané, sans faire attention au fait que son vélo roulait toujours un peu, elle passa sa jambe gauche du côté droit et lâcha son vélo, retombant parfaitement sur ses deux jambes qui se mirent à courir aussi vite qu'elle le pouvait vers cette silhouette qui s'était retourné entièrement vers elle.

- Ted ! S'écria-t-elle en lui sautant dans les bras.

Celui ci la réceptionna, la serrant aussi fort que possible dans ses bras, elle lui avait manqué autant qu'elle... 

- Il va falloir que tu choisisses Dromeda, dit-il après qu'ils aient longuement rattrapé leur absence.

- Tout le monde me dit ça, répondit-elle en fermant les yeux pour calmer son coeur qui se mettait dangereusement à battre plus fort. Je t'aime Ted mais j'aime aussi mes sœurs...

- Moi aussi je t'aime et j'aimerais que tu sois heureuse...

- Mes sœurs aussi veulent que je sois heureuse, ma mère... elle veut mon bien...

- Tu as une drôle de façon de voir les choses Dromeda, seulement, ta famille ne nous acceptera jamais et si tu restes avec eux, moi, je n'existe plus.

- Ted... , murmura-t-elle la gorge serré.

Son coeur battait à toute vitesse et sa gorge se serrait, faisant remonter son appréhension.

Elle se rendait compte de la situation qu'elle lui imposait... quatre semaines qu'ils ne s'étaient pas vu et cette nouvelle qu'elle devait lui annoncer et qui compliquait d'autant plus leur situation. Pourquoi était-ce arrivé aussi vite... ? Andromeda se sentait prise dans un étau, avec l'impossibilité de faire ni un pas en avant, ni un pas en arrière. La situation était déjà si délicate... rajouter ce poids en plus n'était pas aisé. Elle avait mal, trop mal, sa respiration s'accélérait. Il fallait qu'elle lui dise... 

- Ted... je suis enceinte.

Le visage depuis tout à l'heure si chaleureux devant elle s'affaissa d'un coup devant la nouvelle.

- Qu'est ce que tu as dis ? Demanda Ted d'une petite voix, comme s'il n'avait pas bien entendu, que c'était une erreur.

Andromeda mit une main sur sa bouche pour étouffer ses sanglots qui avait éclaté d'un coup. Elle sentit un mal la prendre dans le bas de son ventre, faisant se dérober ses genoux qui tombèrent sur le sol dur. Elle tremblait comme une feuille. 

Ted s'agenouilla avec peur en face d'elle et la prit dans ses bras, ses pleures déchirant le silence de la rue.

- Mon cœur... je ne voulais pas réagir de... ne crois pas que je ne suis pas heureux. Au contraire, tu peux me croire, je suis l'homme le plus heureux du monde, dit-elle en riant légèrement, resserrant ses bras autour d'Andromeda qui pleurait fébrilement. Je suis très content qu'on ait... qu'on ait un enfant mais...

- Je sais ! S'écria Andromeda.

Ted savait qu'elle vivait un moment extrêmement dur et une grossesse ne faisait que mettre du stress par dessus tout le reste. Il détestait la voir dans cette état, ça lui était si difficile à lui aussi... devoir attendre... la voir se détruire peu à peu... Il se souvenait des bons moments qu'ils avaient vécu à Poudlard, tout été léger, ils étaient encore insouciant... elle souriait tout le temps, ses blagues la faisaient rire aux éclats. Ils s'aimaient et tout allait bien... Il aurait tout donné pour qu'un sourire apparaisse sur son visage rempli de larme.

- Si jamais tu mets au monde notre enfant chez tes parents, ils le noieront avant même qu'il ait pleuré, dit-il sur un ton plaisantin. 

- Ne dis pas ça ! S'indigna Dromeda en relevant son visage rempli de larme. Ils en serraient capable !

- Je rigole mon coeur, sourit Ted.

- Mais moi je ne rigole pas ! Cria-t-elle.

Son coeur se serra et elle préféra baisser le regard plutôt que de voir l'impact de ses paroles sur Ted.

Elle se décida alors à se lever sur ses jambes tremblante.

- C'est trop dur Ted...

- Mais tu n'es pas toute seule mon coeur. Je suis là et je ne te laisseras pas tomber. On va trouver une solution, lui dit-il gentillement en l'entourant de ses bras.

- Non ! S'écria-t-elle en le repoussant. Il n'y a pas de solution ! Jamais ma famille n'acceptera ! Jamais !

Ted poussa un soupire désespéré.

- J'ai fais plus de faute qu'il n'en fallait, murmura-t-elle en appuyant son dos contre la poubelle à côtés. Que je t'épouses, ça serait passé très difficilement mais je sais qu'ils m'aiment... et en leur laissant du temps cela se serait arrangé. Mais avoir un enfant... sang-mêlé... hors mariage...

Ted écarquilla les yeux.

- C'est ça qui te dérange le plus ! S'exclama-t-il. On est en mille neuf cent soixante douze ! Pas au dix-neuvième siècles !

- Mais tu ne sais pas comment ça fonctionne dans ces milieux !! cria-t-elle de rage d'être ce qu'elle était, de devoir vivre là dedans.

- Alors explique moi ! S'écria-t-il lui aussi en train de perdre ses moyens.

Andromeda renifla en se prenant la tête dans ses mains.

- Les sang-purs sont resté avec leurs anciennes normes et mes parents en font partit. Les Black sont une des plus grandes familles de sang-purs... La plus grande famille... Tu crois bien que trois jeunes et belles filles de sang-pur à marié ne doivent pas... et surtout pas avant le mariage... même si on se marie avec l'homme ensuite... Enfin, marmonna-t-elle, j'imagine que ça aide si l'homme en question s'appelle Lestrange ou Malefoy.

Cette fois Ted s'appuya à côté d'elle et passa son bras autour de ses épaules secoué de sanglot.

- Mon coeur, on y arrivera. Si je peux faire une remarque, tu es sûrement entrain de vivre une des périodes les plus dur de ta vie...

Andromeda lui donna un coud de coude dans les côtes, plus taquin que méchant.

- Ce que je veux dire, continua Ted avec une voix moins cérémonial, c'est que c'est juste un mauvais moment à passer et qu'on va le surmonter ensemble.

À travers toute sa tristesse, Andromeda esquissa un sourire et tourna ses yeux vers Ted. Il savait toujours lui faire retrouver le sourire. 

- Et au faite, Amelia, Emmeline et Gideon sont tout avec toi, ils m'ont dit de te passer le bonjour dans ta prison de sang-purs, dit-il ironiquement.

Andromeda laissa échapper un petit rire, ce n'était que le vestige du vrai mais c'était déjà ça. 

- Ils me manquent aussi...

La brune leva la tête vers le ciel, semblable à un rideau de velours noir, parsemé d'étoile plus brillante les unes que les autres. Malgré la beauté de ce firmament étincelant, Andromeda avait l'impression d'être oppressé par celui ci. Des larmes perlèrent à ses yeux... ce soir ses nerfs étaient vraiment à vif... sûrement à cause de ces quatre semaines à se retenir de tout... 

- Tout va s'arranger mon coeur, lui dit la voix chaleureuse de Ted. 

Il déposa un baisé sur ses lèvres roses. Celant cette promesse. Des jours meilleurs les attendaient... »


○○○

Bonjour ! 

Vous allez bien vous tous ? Moi ça peut aller...

Ce chapitre vous a-t-il plus ? Vous aimez le sens dans lequel tourne l'histoire ? 

Eh ouais ! Maintenant on va plus tourner autour de "l'histoire d'Andromeda"... hum hum... impatient ? Vous avez raison car plusieurs mystères vont être résolu ! 

... "Nymphadora, les origines"... "Toute une histoire : les trois soeurs Black"... 

Encore merci de me lire et de voter ! On est à 374 vues (précisément) ! C'est fou ! 

Salsa ! 

Bisous les niffleurs !

PaulaTena 

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