A deux mondes opposé

La Dynastie des Aurore.
Famille riche, loyal à la famille royale depuis maintenant 9 générations. Ligné de puissant marchands, importateur de nombreuses ressources sur plusieurs Continents. Se distinguant par leurs exploits en tant que représentant royale des négociations d'importation.

Leurs réputation n'était plus à faire.
Et tous les respectait.

La famille possédait un immense château, situé à quelques lieu de la capitale, sur les plaines.
Un grand bâtiment en pierre blanche et à l'architecture moderne dont la toiture est faite de dalles d'ardoises. Possédant tant de fenêtres qu'il semblait impossible d'en connaître le nombre.
Mais au delà de la bâtisse offerte par l'ancien roi, elle se démarquait par ses jardin tout juste rénové. De son écurie dont ont disait renfermer les étalons les plus beau et les plus rapides du royaume, que le jeune roi jalousait.
Cette famille possédait également un grand terrain de chasse privé. Une immense parcelle de forêt. Il y paraîtrait même que les vampires eux-mêmes évitaient cette zone, craignant les chiens dressé par le maître de maison que l'on disait sans pitié.

Ce matin là était comme tout les autres. Bien que dans l'un des appartements du quatrième étage, situé au Nord, on pouvait entendre en passant dans les couloirs des gémissements étouffé. Et les paroles indigné d'une habilleuse semblant avoir bien du mal à vêtir sa jeune maîtresse.
- Mademoiselle, faites un effort voyons. Il faut que vous soyez en valeur aujourd'hui. Nous recevons votre nouveau prétendant.
Elle tira encore sur le lacet du corset que portait le squelette aux os blanc et aux pupilles orangés. Qui s'aggripait douloureusement aux bout de son lit, qu'il a toujours trouver bien trop grand et bien trop vide à son goût depuis que son frère et lui avaient eu à se séparer pour des raisons bien évidentes pour les adultes, mais que les enfants n'arrivaient pas à accepter.

Dans cette famille, l'enfant premier né de sexe masculin serait désigné seul héritiers légitime aux titres et à la fortune familial. S'il y a d'autres frères, ceux-ci seront livrés à eux-mêmes le jours de leurs quinzième anniversaire. S'il y a des sœurs, celles-ci seront à mariée. Dans le cas où il n'existe que des héritières, se sera au mari de la première mariée de reprendre toutes les affaires.
Seulement, en dépit de tout ses cas possible, un cas n'avait jamais été évoqué au sein de la famille. Le cas où les héritiers sont des jumeaux.
La comtesse avait été folle de joie à cette nouvelle. Tandis que son époux, le conte, y avait vue la un casse-tête infernal. Sa femme ayant refusé de lui annoncé lequel de ses fils avait précédé le second. Il avait bien pensé à interroger la femme de chambre l'ayant accoucher. Mais il n'avait pu anticiper le fait que, pour le salut de ses deux enfants, sa femme avait organisé le départ de la dame juste après les naissances.
Il avait alors décidé que, le fils de développant le plus vite intellectuellement parlant serait désigné héritier. Mais alors qu'il c'était réjouis en voyant l'un de ses enfants marcher jusqu'à lui un beau jour, au même instant, le second avait prononcé ses premiers mots.
Il leurs avait fait passé diverses évaluation. Mais cela n'arrangeait pas la situation à laquelle il était confronté. Lorsque l'un était bon en langue, le second était bon en arithmétique. Quand le premier connaissait les vertus de chaque plante autour du domaine, le second savait citer les capitales de chaque pays du continent.
Et alors qu'il était près à se résoudre de partager les choses en part égale, l'un des deux enfants, souffrant de quelques toux depuis jours, tomba terriblement malade. Rien d'anormal aux premiers abords. N'importe qui tombait malade en hiver. Mais pas sur une durée d'un mois entier.
Le père avait jugé sa santé fragile et avait nommé son second fils héritiers.
Le problème aurait pu s'arrêtait là, si le maître de maison avait gardé pour lui la joie qu'il avait éprouvé. Ayant subit de violente remontrances par sa femme, profondément affligé de la réaction de son mari, alors que l'un de leurs fils avait faillit ne pas passer l'hiver. En ajoutant à cela que, les deux frères ayant grandit côtes à côtes, le futur maître de maison avait refusé de voir son frère. Jurant que si son frère devait être abandonné à leurs quinzième anniversaire, il mettrait fin à ses jours.
Il lui avait fallu prendre une décision. Et se fut le soir où il vue sa femme dormir avec ses fils qu'il eu une idée.
Les squelette n'ont pas réellement de genre prédéfinis. Simplement il existe certaines différences sur leurs os qui font naître cette notion de genre.
Et en les voyant ainsi endormi, il n'aurai su faire la différence.
Alors le lendemain, il fit venir son épouse en lui proposant ceci : Leurs second fils possédait la sensibilité et la fragilité de sa mère. Alors, il pouvait recevoir l'éducation d'une dame. Et être marié au prétendant qui lui plairait.
Mais encore fallait-il que le père y trouve son compte dans ce futur gendre.

- C'est le cinquième que je vais rencontrer. Pourquoi devrais-je me donner tant de mal si à la fin il ne passe pas pl- !
Il avait été réduit au silence par sa dame ayant tiré d'un coup sec le lacet pour terminer de nouet le corset. Faisant lâché un couinement de douleur à sa maîtresse.
- Voilà une bonne chose de faite !
- J'ai du mal à respirer...
- Avoir le souffle coupé vous empêchera de soupirer.
Profitant que sa maîtresse soit calmé, elle lui passa la cage à crinoline avant de la couvrir d'un jupons blanc. Passant ensuite la robe blanc cassé aux reflets satiné décoré de dentelle noire. Ré-ajustant le col chorale noué d'un ruban noir. Avant de lui relever les bras, passant un nouveau ruban en guise de ceinture, le nouant dans le dos. Terminant par ses souliers vernis, fermé d'une lanière passé dans une boucle d'argent.
- Mademoiselle est de toute beauté pour accueillir son invité ! Dommage qu'elle ai fait un caprice et à refuser de porter les couleurs du blason familial.
Un caprice, et encore, le mot était faible. Il c'était violemment disputé avec son père à se propos. Allant même jusqu'à récolter une gifle de sa part qui l'avait fait chanceler, tomber si son frère n'avait pas eu le réflexe de le soutenir. Sa mère les avaient renvoyer à leurs chambres. Tout deux avaient deviné, qu'il allait à nouveau discuter de la situation. Avant qu'elle ne vienne le rejoindre et le rassurer. Venant câliner son enfant en lui murmurant de trouver la force de pardonner à son père. Tout en lui indiquant, que il y avait d'autre façon d'expliquer son point de vue au sujet de sa situation. "Je ne porterait pas l'immonde robe aux couleurs de la famille. Autant m'habituer dès maintenant à ne plus être de votre famille dès maintenant, Père."
La décision de faire de lui une dame, avait était prise il y a 7 ans. Et la jeune demoiselle âgée aujourd'hui de 13 ans, avait déjà un caractère bien affirmer. Non pas à cause de cette décision. Non, il l'en avait remercié nombreuses fois.
Ce qui le rendait si amer vis à vis de son père, était le fait qu'il avait cessé de s'intéresser à lui du jour au lendemain. Il ne lui avait presque plus adresser la parole. Et avait accepté bien vite sa nouvelle condition à son goût. Là où sa mère continuait à lui faire porter des tenues similaires à son frère régulièrement, et à le laisser pratiquer l'escrime et l'équitation couramment. Quand à son frère, il n'avait jamais changé ses habitudes, lui faisant lui même leçon pour lui apprendre tout ce que leurs Père lui enseignait.
Mais évidemment, il fallait que cette dame de chambre soit entièrement dévoué à son Père. Se permettant nombreuses liberté quand à ses paroles. Sachant qu'au moindre écart de sa part, elle s'empresserait d'en informer le conte. Et de démentir tout autres paroles.
Voulant soupirer, la jeune maîtresse se rendit compte que sa dame n'avait pas menti : ne pouvant qu'à peine respirer, il n'avait pas assez de souffle pour réellement soupirer.
- Laissez moi seul désormais. Je vais terminer seule.
Elle s'inclina alors et le laissa seul. Tandis qu'il s'avançait vers la porte-fenêtre menant au balcon et qu'il ouvrit. S'avançant au plus près de la balustrade. Fermant alors ses orbites pour humer les odeurs du jardin. Se mélange fleurie paradisiaque et légèrement humide par la rosée du matin. L'air frais venant doucement caresser ses os tandis qu'il laissait les premiers rayons de l'aube l'enveloppait d'une douce chaleur qu'il lui sied si bien. Clair et timide. Mais signe de renouveau. Annonciateur de nouvelle chance.
Un petit sourire se forma sur son visage.
Puis il se détourna.
Il était encore tôt.
Alors, il pouvait bien lire un peu.

- Debout...
Il y eu un petit rire attendris.
- Je connais quelqu'un qui a beaucoup lu avant de se coucher.
Ouvrant doucement une orbite, la pupille orangé de la jeune demoiselle rencontra une paire de pupilles émeraudes aux reflets saphir et violet, des couleurs semblant danser paisiblement, qui la fit doucement sourire. Et tendre la main à leurs propriétaires qui la saisie en douceur, venant l'embrasser sur la joue. Pour le pur plaisir de voir ses pommettes se coloré légèrement, et entendre se petit gloussement. Prouvant ainsi qu'il était bien réveillé.
- Bonjour, mon frère.
Se dernier ramassa un ouvrage au sol. Sans aucun doute celui que son frère lisait avant de s'assoupir.
- "Les fées, Charles Perrault". Une histoire bien belle, ma fois, qui me fait m'inquiéter de ton état dès lors que je la vois entre tes mains.
Se redressant, l'endormi lui repris le livre qu'il ferma, le gardant sur ses genoux.
- Tu t'inquiètes trop. J'apprécie les morales de ces contes. Et je préfère toujours les garder en mémoire avant de prendre ma décision pour les rencontres comme celle d'aujourd'hui.
- Mon frère est bien compliqué.
Son sourire taquin lui prouvait bien, qu'il n'en pensait pas un mot. Il le savait attentif et minutieux. Comprenant toujours ses refus.
- Je me refuse à prendre pour époux tout homme qui me considère comme une marchandise. Bonne à faire des enfants et à être enfermé. Je veux être libre de mes loisirs et être considéré. Pouvoir vous visiter sans contrepartie.
Le frère, toujours accroupi face à lui, vient chercher sa seconde main. Souriant toujours.
- Raconte moi alors, à nouveau, comment tu souhaiterais qu'il soit ?
- Je voudrais... Qu'il soit élégant. Mais sans qu'il n'en ai vraiment l'impression. Qu'il agit comme une personne banale en sachant qu'il n'a besoin d'apparats pour se démarquer. Qu'il soit doux et romantique. Et juste. Qu'il n'ai pas peur de s'imposer sans pour autant dominer. Je voudrais, qu'il m'aime juste pour moi, pas ce que je représente. Attentif à mes besoin, compréhensif à mes choix, et qui me fasse part de son avis si mes émotions aveugle mon jugement. Je voudrais qu'il me laisse une liberté, mais que je ressente sa présence même en son absence. Je veux qu'il soit doux, aimant, et passionné. Mais je ne veux pas d'un esprit pur et innocent, pour qu'il puisse me conter les histoires de ses péchés. Qu'il me face confiance pour être sa confidente. Une personnalité aussi douce que forte. Qu'il brille par son courage et rayonne par sa prestance. Sans jamais se vanter de tout cela car il saura qu'au premier regard, son interlocuteur le saura. Je souhaite... Qu'il soit comme un rubis.
De sa petite description vague, il s'était entouré de ses bras. Quittant ainsi les mains chaude de son frère.
Son regard c'était perdu dans ses pensées. Et ses couleurs était visible pour quiconque était attentif.
Il savait ce qu'il voulait. Sans tout à fait le savoir.
Deux mains se posant sur ses épaules et glissant pour l'enlacer, perça alors la petite bulle qu'il c'était créé. Et la douce voix qu'il entendit près de son conduit auditif le fit glisser dans une toute nouvelle qu'il connaissait bien.
- Et moi je souhaite que tu trouves ton bonheur, mon petit rayon de soleil.
Il releva la tête et offrit un sourire radieux à la femme se trouvant là. Vêtu d'une élégante robe verte sapin, en accord avec ses pupilles dont a hérité son frère.
- Bonjour, maman.
Familier. Elle avait toujours refusé d'être appelé "mère". Préférant "maman". Qu'elle trouvait plus doux et moins formel.
Il obtenu une caresse de sa part.
- Tu es magnifique, comme une perle.
Elle posa le regard sur son second fils, qui se redressa enfin. La jeune demoiselle se rendant alors compte de la tenue que revêtait son frère.
Il portait une chemise blanche simple couvert par un gilet noir aux boutons d'argents et aux reliefs cousues d'un fin fil noir. Une culotte également foncé et une paires de bas blanc. Des souliers identique à ceux de son frère, bien qu'ayant une coupe plus masculine. Et pour compléter sa tenue, un justaucorps cendré, décoré de motifs argenté et de broderie d'or.
Peu de couleur pour attirer les regard à ses pupilles. Seuls couleur. Il n'aimait pas être dévisagé. Il voulait qu'on le regarde de face.
Ainsi, il n'y avait aucune distraction.
- Tu es très élégant, Boréal.
Il souri, mais n'eu pas le temps de répondre.
Coupé par un valet qui frappa deux coups à la porte, entra, s'inclinant devant ses maîtres avant d'annoncer d'une voix claire :
- Notre invité est arrivé. Monsieur le conte vous demande dans le petit salon dans les délais les plus bref.
Il s'inclina de nouveau, et ressorti.
La comtesse se redressa alors. Laissant sa perle se lever et la rejoindre.
Elle lui sourit doucement.
- Il nous faut nous présenter, mon enfant.
Elle l'embrassa doucement sur le haut du crane. Et l'observa dans les pupilles un instant. Longuement.
En souriant.
Regard émeraude plongé dans celui solaire.
Elle lui caressa la joue.
Sans de mot, juste le silence, leurs regards suffisaient.
Un encouragement et un soutient maternelle et aimant.
A eux trois, ils n'avaient pas besoin de plus.
Se redressant, la comtesse pris alors les devants de la marche, et avança dans les couloir.
Suivit de la jeune demoiselle, qui se sentait à nouveau comme dans une marche à l'échafaud.
Fermé par le futur héritier, qui posait sur son frère, un regard attentif.

Riche marchand ?
Bourgeois ?
Jeune Héritier ?
Vielle aristocrate veuf ?
Favoris du roi ?
Jusqu'à aujourd'hui, son père choisissait les prétendants.
Opportunité commerciale.
Paresseux mais riche.
Orgueilleux mais riche.
Âgé mais très riche.
Lubrique mais haut placé.
Si ce n'était pas la jeune demoiselle qui refusait, sa mère intervenait.
Et, malgré le fait qu'il se sentait las de toute ces rencontre, aujourd'hui, il était curieux.
Car ce nouveaux prétendant, n'avais pas été choisis. Il avait écrit une lettre manuscrite à comte afin de le rencontrer personnellement. Ayant entendu chanter ses louanges par chez lui.
Il n'avait pût obtenir d'autres information. Mais, il ne se donnait pas trop d'espoir. Peut-être un nouveau pervers égocentrique qui ne vois qu'en les femmes que des jouets de luxure tout juste bon pour leurs harem dont on se débarrasse une fois trop usé. Qu'il s'empresserai de rejeter et fuir. Et, même en se préparant mentalement à une déception, il le savait. Qu'il se réfugierai dans la chambre qu'il occupait lorsqu'il était plus jeune. Avant qu'il ne tombe malade. Avant qu'il ne se sente prisonnier de sa vie.
Alors qu'il avançait, son expression c'était attristé. Son regard s'était baissé, toute comme sa tête.
Jusqu'à ce qu'il entende la voix de son père, au bout du couloir. Redressant sa posture, se préparant de nouveau.
Puis, il entendu la seconde voix. Profonde et claire. Le son lui parvenant comme l'eau ruisselant d'un ruisseau. D'un français bien parlé. Mais était-ce un accent anglais qu'il percevait ?
Il eu quelques frissons le long de sa colonne. Sa curiosité gagnant sur l'appréhension.
- Madame la comtesse des Aurores, Polaris.
Avais annoncé le valet à l'instant où la présentée entrée.
- L'héritier des Aurore, Boréal. Accompagné de sa jeune sœur, Aube.
Elle entra alors. Dans ce petit salon qu'elle aimait tant. Aux couleurs claires et azurin. Son regard apercevant sa mère. Puis son père. Et enfin son invité.
Un grand squelette aux os édens, dont le crâne semblait voler en quelques volutes de fumée. Il revêtait une simple chemise rouge carmin, large sur les manches et un simple bas marron. Et une paire de botte noir. Le bout de ses doigts étaient rouges et jaunes, ainsi que des marques bleues sur le contour des orbites rouges, encadrant ses pupilles d'or dont l'une entourant un cercle bleu azure. Des pupilles braqués sur elle, depuis l'instant où elle était rentré.
Elle finit par baisser le regard, sentant un léger feux colorer ses pommettes. Sa contemplation n'avait durée que quelques seconde. Pourtant les battement de sa fragile âme s'étaient accélérer. La poussant à inspirer plus profondément pour la calmer.
Enfin.
C'est ce qu'elle aurait bien aimé faire.
Car elle ne le pouvait pas. Pas inspirer suffisamment pour la soulager.
Portant une main sur l'emplacement de son âme.
Alors qu'elle allait s'avancer pour le saluer, comme à chaque précédentes fois, elle sentit les mains de sa mère se poser sur ses épaules. Se sentant doucement tirer vers elle. Pensant avoir trahi son état par ses gestes. Sans comprendre que l'attention de tous étaient porté sur leurs invité. Sur un détail qu'il n'avait pas observé, puisqu'il c'était dévoilé juste après qu'il ai baissé le regard.
- Père, est-ce un vampire ?
Le regard de la jeune enfant se posa de nouveau sur le visage de son invité. Remarquant désormais ses canines pointu bien visible, par son sourire amusé de la question. S'il était habillé comme un noble, il n'en restait pas moin un enfant manquant encore de discrétion quand à ce genre de remarque. Son attention se reporta sur la jeune fille en appercevant du coin de l'œil un mouvement suivit d'une faible plainte.
S'étant accroché faiblement à la comtesse, qui lui rendait bien l'étreinte pour la garder contre elle, la main porté à son âme. Elle semblait bien en peine et manquer d'air. Et ce au point de s'évanouir après quelques secondes. Faisant soupirer le vampire.
- I have seen enough.
Effrayé au point d'en perdre connaissance. Le vampire n'en vue là qu'une preuve que cette enfant avait été élevé dans un berceaux où les vampires sont à craindre. Alors il tourna des talons et passa de nouveau la porte, mais pour sortir de la pièce. Se dirigeant dans les couloirs, vers la sortie de se château.
Et tandis que le roi s'éloignait, le jeune héritiers avait pris son frère dans ses bras.
- Mère, il respire à peine !
Le reposant dans les bras de sa mère, il ne lui fallut que peu de temps pour ouvrir un tiroir et en tirer une paire de ciseaux. Il connaissait se problème que trop bien. Puisque cela n'était pas la première fois que son jeune frère était dans cet état. Tout deux détestait cette femme de chambre. Très stricte, elle les détestait. Et ils lui rendaient bien. La comtesse également. Nul n'ignorait qu'elle tournait autour du comte. Bien lui, retorquait toujours que ce n'était qu'une impression, et qu'elle faisait du bon travail.
Alors Boréal passa le ciseau dans le dos de son frère, sous le bustier de la robe. Et d'un geste connaisseurs, coupa le lacet du corset. Et il obtenus la réaction attendus. Le jeune inconscient pris une profonde inspiration, en réflexe et ouvrit les orbites. Plaçant sa main devant sa bouche en sentant une toux monter.
Enfin il pouvait respirer de nouveau.
Tandis qu'il reprenait ses esprits, l'héritier releva la jupe. Suffisamment assez pour pouvoir retirer la cage dont il était pourvu. Puis le corset qu'il jeta loin derrière.
- Aube, comment te sens-tu ?
Le regard confus de l'enfant se posa sur son frère. Oui offrant un doux sourire.
- Bien mieux, et de nouveau grâce à toi.
La comtesse l'aida doucement à se remettre sur pied. Le laissant aller contre son frère qui s'empressa de l'aider à se maintenir debout.
- Où est père ?
Avait demandé quelques peu retissant Aube.
- Je l'ai vue s'éloigner pour discuter avec notre invité. Elle émit un faible soupir. Lui et moi auront à discuter de cet événement. Il aurait dû me prévenir de cela. J'espère cette fois lui faire entendre raison que cette dame ne sait pas prendre soin de vous.
S'il y avait une chose à ne pas faire pour la mère, comme pour toute les autres, c'était bien de blesser ses enfants.
- Je dois lui parler moi aussi. Pour m'excuser et lui expliquer ce qui est arrivé. Et l'inviter à séjourner ici. Il me semble, qu'il vient de loin.
Il obtenu à ses mots un baisé sur la pomette de la part de sa mère.
- Tu le veux vraiment mon ange ?
Un hochement de tête accompagné d'une affirmation orale lui répondit.
Il se redressa et s'éloigna un peu de son frère. Et d'un pas assuré, bien qu'un peu fragile qu'il pris le chemin pour rejoindre son père et son invité à l'entrée.

En arrivant, cependant, il ne vie que son père qui se détourna pour aller a son bureau.
- Mon père, elle s'inclina respectueuses face à lui, bien qu'un peu pressé, notre invité, est-il encore ici ?
Le comte regarda sa fille. Ne semblant rien ressentir a son écart. Si ce n'est un agacement profond.
- Il vient de nous quitter. Toute mes félicitations, je ne pensais pas que tu aurais le culot de réagir de la sorte pour illustrer ton désaccord.
- Non Père, ce n'est pas ce que vous pensez. J'ai simplement-
Il lui fallut quelques secondes pour comprendre que ce qui l'avait coupé dans sa tirade, était ni plus ni moins que la gifle que venait de lui donner son père.
- Ça suffit ! J'en ai plus qu'assez de ton comportement et de tes excuses. J'ai été suffisamment patient avec tes exigences. Je m'en vais rédiger une invitation au baron de Lisbonne. Sa femme n'ayant pas survécu à l'hiver, le laisse alors sans héritiers. Je le ferais venir le mois prochain afin de discuter des formalités.
- De grâce, Père-
- Silence !! La voix du maître de maison résonna forte et ferme dans les couloir. Je ne veux plus entendre parler de toi jusqu'au déjeuné.
À ces mots, il reprit son chemin jusqu'à son bureau. Laissant son fils, qu'il ne considérait plus comme tel, là dans le vestibule. Réalisant l'horreur de ses paroles.

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