Chapitre 68 Furieux

Je vous avoue que j'ai eu du mal avec ce chapitre, en plus je suis malade  donc pas très en forme. Alors j'espère qu'il vous plaira quand même. Bonne lecture.

Après l'entraînement, Alec était rentré chez lui avec Julian. Il ouvrit la porte à la voilée en hurlant dans le couloir, Julian sur ses talons.

- Je vais le buté et elle pareil, putain j'en peux plus, hurla le capitaine en balançant sa veste sur le canapé.

Magnus était à sa place sur ce canapé, il regarda son petit ami. Il ne comprenait pas sa colère.

- Putain, elle pouvait pas fermer sa gueule, cria de colère le brun. Il a fallu qu'elle lui parle à lui. Avec le monde qu'il y a dans cette ville, il a fallu qu'elle tombe sur ce connard prétentieux.

- Mon ange, c'est quoi le problème, demanda Magnus en le voyant faire les cent pas dans leur salon. Et surtout il n'avait pas l'habitude de l'entendre parler aussi grossièrement.

Stefan regardait son homme, en lui demandant discrètement ce qu'il s'était passé. Mais il n'eut pas le temps de répondre que Alec expliqua la situation.

- Clary a croisé Jonathan et elle lui a tout balancé concernant Jace et Aiden, s'énerva Alec. Alors il ne sait pas gêné et il a tout balancé devant tous les joueurs. Jace s'est jeté sur lui et lui a bien amoché la figure. Et après il est parti en colère et Aiden l'a suivi.

- Oh bordel, et comment ils ont pu être en contacte tous les deux, demanda Stefan vert de rage qu'elle ait fait du mal à son frère et beau-frère.

- Je ne sais pas, mais elle va me le payer, hurla le capitaine. Elle a voulu se venger et elle a réussi son coups.

- Tu as eu des nouvelles de Jace et d'Aiden, demanda Magnus et Stefan en même temps. Ils étaient tous les deux inquiet pour les deux hommes.

Stefan attendit la réponse du brun.

- Non pas encore, je leur laisse du temps pour digérer tout ça, répondit le brun. Déjà, qu'il a fallu qu'ils en parlent à tout le monde hier à cause d'elle et voilà qu'elle leur a aussi pris le choix de comment le dire à l'équipe en ouvrant sa grande gueule.

Les quatre hommes étaient complètement anéantis par la situation. Stefan était très inquiet pour son frère. Il essaya de l'appeler mais le châtain trop occupé ne décrocha pas. Stefan et Julian partirent peu de temps après en laissant les deux hommes anxieux pour leurs amis et très en colère.

- Je vais aller prendre une douche pour me calmer, annonça le brun à son amoureux. Tu veux venir la prendre avec moi.

- Non, c'est ne serait pas raisonnable, je n'ai pas été très raissonnable depuis vendredi, alors je vais rester sage encore un peu, expliqua l'indonésien.

Alec vint vers lui et lui déposa un baiser sur ses lèvres avant de partir en direction de leur chambre.

Magnus prit son téléphone pour appeler son frère. La fratrie était partie après avoir rencontré le détective que Ragnor avait engagé.

- Salut Raph, dit l'indonésien.

- Salut mon frère, il y a un problème pour que tu m'appelles déjà, demanda l'avocat intriguer d'avoir des nouvelles si tôt de son frère.

- Un peu oui, Clary a rencontré Jonathan et lui a tout balancé pour Jace et Aiden. Et il sait fait un malin plaisir de tout balancé devant l'équipe, expliqua le frère. A première vue, Jace se serait déchaîné sur lui et l'aurait bien amoché. Je te dis pas dans l'état qu'est arrivé Alec ce soir. Il est furieux. Il les aurait eu en face de lui, je n'aurais pas pu parier sur leur peau. Il les aurait massacré, enfin tu vois ce que je veux dire. 

- Oui je vois bien mais, je vais pas pleurer pour l'autre enfoiré. Je pense qu'il l'a bien cherché, ajouta Raph. Mais comment elle a pu tomber sur lui. C'est quand même étrange tu ne trouves pas. Elle se fait humiliée par Jace et tombe sur Jonathan.

- Je n'en sais pas plus, par contre si vous la croisez tu peux savoir ce qu'il en est, ajouta l'indonésien. Je n'ai pas envie d'avoir une autre personne qui fasse du mal à mes amis. J'ai déjà assez de l'autre fou furieux sur le dos d'Alec, je n'en veux pas d'autre. 

- T'inquiète pas, je vais faire mon enquête pour savoir comment ils ont été en contacte, annonça l'avocat. Et comment vont-ils ?

- On ne sait pas, ajouta Magnus, Alec veut les laisser respirer et digérer la nouvelle.

- Il a raison, ils verront bien demain en retrouvant l'équipe, justifia Raph. Bon je vais te laisser, demain j'ai une audience et je dois me lever tôt.

- Oui pardon excuse-moi, ajouta l'indonésien. Bonne soirée mon frère.

- Bonne soirée à toi, dit l'avocat et tu nous tiens au courant pour les deux amoureux.

- Bien sûr, répondit Magnus et il raccrocha.

Alec venait de sortir de la douche et arriva dans le salon en voyant Magnus raccrocher son téléphone. Magnus regarda son amoureux, il ne portait qu'une serviette autour de ses hanches. C'était un délice pour les yeux.

- Si tu restes comme ça, je ne vais pas pouvoir résister, sourit l'indonésien avec un regard plein de désir.

- Et pourquoi résister, ajouta le brun en s'approchant de Magnus avec lenteur pour l'aguicher. Des petites goutellettes d'eau couvrait le haut du corps de son amoureux. 

- Arrête mon ange, je vais être frustré si je ne peux pas te faire l'amour, justifia l'indonésien en passant sa langue sur ses lèvres.

- Mais moi, je peux te donner du plaisir avec ma main et ma bouche, taquina le brun en se rapprochant de plus en plus de l'indonésien.

Mais Alec n'eut pas le temps de se rapprocher plus que son téléphone se mit à sonner. C'était Jace, il le prit en regardant son amoureux avec un sourire d'excuse. Magnus était content de cette interruption car il ne pouvait pas encore faire l'amour à son amoureux et cela le frustre de plus en plus. Même si Valentin leur avait dit qu'il pouvait, il ne voulait pas tenter le diable. Même si son petit ami ne lui facilitait pas la tâche. Il préférait attendre encore deux semaines. La dernière fois avait été pour enlever leur frustration.

Alec décrocha en soupirant de soulagement en entendant son ami.

- Salut Jace comment allez-vous ? demanda le brun.

- On va bien, annonça le blond même plus que bien en souriant à son amoureux qui était installé dans ses bras.

- Je suis content, j'avais peur que cette situation impacte votre histoire, soupira le brun de soulagement.

- On va bien, Alec ne t'inquiète pas. On a pu profiter de la situation, expliqua le blond en regardant son amoureux encore rouge pour leur première fois.

- Je suis triste qu'elle vous ait encore gâché votre moment de le dire à l'équipe. Par contre ne vous inquiétez pas, les joueurs ont été exemplaires. Jonathan a été exclu de l'équipe pour une durée indéterminée, annonça le brun.

- Oh non c'est pas vrai, et comment on va faire pour le piéger s'il n'est plus dans les parages, hurla le blond en faisant sursauter Aiden qui avait peur qu'il se soit passé quelque chose après leur départ.

- Je ne sais pas, mais c'est pas parce qu'il n'est plus avec nous qu'il ne va pas tenter quelque chose, ajouta le capitaine à son ami. Je suis sûr qu'il va s'en prendre à moi. Et puis moins il est là, plus l'équipe est heureuse.

- D'accord mais, tu es encore plus en danger, s'énerva le blond. Tu seras plus exposé dehors que sur le terrain.

- Julian sera avec moi tout le temps, annonça le brun, ne t'inquiète pas.

- Ok, au fait pourquoi Jonathan s'est fait viré, demanda le blond se rappelant ce que son ami avait dit un peu avant.

- Les joueurs ont refusé de jouer avec lui après ce qu'il vous a fait, expliqua le capitaine. Ils ont été voir le coach en lui disant qu'ils ne voulaient plus joueur avec un homophobe. Et ils lui ont dit pour vous deux. Il a été un peu étonné mais n'en a pas fait cas et à virer sur le champ Jonathan pour une durée indéterminer. Et tu te doute bien qu'il a été furieux.

- Je vois bien la scène, donc les joueurs sont de notre côté, demanda le blond surpris.

- Bien sûr qu'ils le sont, ils ne supportaient plus ses paroles d'homophobe, expliqua le brun. Et je pense que nous ne sommes pas les seuls dans l'équipe. Je pense que d'autre vont pouvoir se dévoler car j'y ai vu des sourires de soulagement quand il a été viré .

- Tant mieux, on reviendra plus tranquille demain, soupira de bien être le blond. On était un peu inquiet.

- Non, tout va bien se passer, ajouta le brun. Bon je vais te laisser.

- A demain, ajouta Jace en raccrochant.

Alec rangea son téléphone sur la table et vit son compagnon attendre les nouvelles de leurs amis.

- Ils vont bien, annonça le brun en voyant le visage soulagé de son homme. J'ai même l'impression qu'ils sont passés à l'étape suivante, sourit Alec.

- Tu crois qu'ils ont fait l'amour, demanda Magnus étonner que Jace soit déjà passé à cette étape.

- Il ne me l'a pas dit mais il m'a dit qu'il allait plus que bien, annonça le brun, pour moi ils ont été au-delà des caresses.

- Je suis content pour eux, soupira l'indonésien de soulagement. Et toi comment vas-tu ? J'ai entendu que le coach avait viré Jonathan de l'équipe. Cela implique quoi pour la suite du plan.

- Je ne sais pas pour le moment, ajouta le brun. On va faire au jour le jour. De toutes les façons il est suivi, donc si il bouge le petit doigt on le sera.

- C'est sûr, mais je suis inquiet car sa colère va être décupler comme il sait fait viré même si c'est temporaire, annonça l'indonésien.

- Ne t'inquiète pas mon amour, ajouta le brun, je veux que tu te concentres sur toi. Deux semaines et tu vas pouvoir commencer à te diriger seul avec ton fauteuil et pouvoir bouger un peu plus.

- Je sais que tu as raison, s'énerva Magnus mais ne me demande pas de ne pas m'inquiéter pour toi.

Alec avait vu la détresse dans les yeux de son amoureux. Il le comprenait car lui était pareil. mais il voulait vraiment qu'il se concentre sur sa guérison. Il vint le voir et le prit dans ses bras.

- Je le sais mon amour, excuse-moi, murmura le brun dans l'oreille de son amoureux. Si on allait se coucher.

Magnus hocha la tête et Alec vint le prendre dans ses bras pour le porter dans leur lit. Ils avaient besoin tous les deux d'une bonne nuit de sommeil et surtout d'être dans les bras tous les deux.

Pendant ce temps, Jonathan tournait en rond dans sa chambre. Il hurlait sa colère en balançant tout ce qu'il avait sous la main. Son père étant en déplacement, il pouvait se permettre de hurler dans toute la maison. Il prit son téléphone et composa un numéro.

- Salut c'est moi, dit Jonathan à son interlocuteur. J'en ai encore besoin.

- Salut, attends tu as déjà fini le gramme que je t'ai donné, demanda l'interlocuteur. Elle est pure, tu ne peux pas en prendre autant en si peu de temps. Je ne veux pas qu'on me reproche que tu aies fait une overdose.

- Mais non c'est pas pour moi, c'est pour un ami qui en a besoin, expliqua Jonathan avec un sourire narquois. Et puis, il en voudrait un peu plus, tu peux me fournir ou pas.

- Oui pas de soucis, passe demain, ajouta son interlocuteur. Par contre le prix n'est pas le même.

- Je me doute bien mais t'inquiète pas il a les moyens. A demain, finit de dire Jonathan en raccrochant. Il avait un sourire éclatant. Demain, il aurait ce qu'il faut et il trouvera un moyen d'en donner au pédé.

Il partit manger un morceau avant d'aller se coucher pour être en forme le lendemain pour mettre son plan à exécution.

Il se leva de bonne humeur, s'habilla et sortit de la maison pour se rendre à son starbuck préféré. Il prit sa commande et s'installa à une table près de la vitre. Il regarda par la fenêtre, depuis qu'il était parti ce matin il avait une sensation étrange. Il regarda dans la rue et vit un homme qu'il avait déjà vu ce matin quand il était parti de chez lui. Il se retourna et réfléchit, pourtant réfléchir n'était pas son fort. Il allait faire quelques détours pour voir si ces soupçons étaient fondés. Il finit son café et partit tranquillement dans les rues de Los Angeles. Il fit des petits détours et regarda dans le reflet d'une vitre si son suiveur était toujours là. Il le remarqua dans un coin de la rue en train d'essayer de se faire le plus discret possible. Ce qui était un échec. Il fallait qu'il trouve une astuce pour le semer.

Il rentra dans une boutique ou il savait qu'il y avait une sortie à l'arrière du magasin. Peu de personne le savait. Il connaissait cette boutique et le personnel puisque c'était le magasin où son père venait faire ses costumes sur mesure quand il en avait besoin. Le gérant le vit et vint le voir.

- Mr Morgenstern, votre père ne m'a pas dit que vous deviez passé, dit le gérant. Il vous faut quelque chose de spécial.

- Excusez-moi, je n'ai rien besoin, expliqua Jonathan par contre est ce que je peux utiliser votre sortie de derrière. Je crois qu'un homme me suit.

Le gérant le regarda en panique.

- Oui bien sûr suivez-moi, répondit le gérant en lui demandant de la suivre vers le fond du magasin. Vous ne voulez pas appeler la police pour les tenir au courant.

- Non ce n'est pas nécessaire, je vais le semer mais j'en parlerais à mon père quand il rentrera, expliqua Jonathan.

Ils passèrent dans un couloir où les livraisons étaient effectuées. Le gérant lui montra la porte de sortie au fond du couloir. Jonathan le remercia et sortit. Il regarda discrètement ou était son suiveur. Il le vit toujours appuyé contre le mur. Il partit discrètement par une rue derrière le magasin et se retrouva sur Sunset Boulevard. Son ami enfin plus tôt son dealer habitait dans cette rue, il était riche, c'est pour cela qu'il avait accès à toutes les drogues possible. Il rentra dans la cour qui menait à l'appartement enfin plus tôt à son superbe loft. Il sonna à l'interphone. Quelqu'un décrocha.

- C'est qui, demanda la personne de l'autre côté.

- C'est moi abruti, qui veux tu que ce soit, allez ouvre, cria Jonathan dans l'interphone.

Un bib se fit entendre et Jonathan poussa l'énorme porte menant à un grand ascenseur ou au moins quinze personnes pouvaient tenir dedans. Il appuya sur le quatrième étage. Son loft faisait tout l'étage. Il arriva devant la porte et frappa sur celle-ci. Un jeune homme vint lui ouvrir.

- Salut mec, dit le propriétaire des lieux.

- Salut, tu as ce que je t'ai commandé, demanda Jonathan, pressé de partir d'ici.

- Oh du calme, tu ne veux pas boire un truc, demanda le jeune homme.

- Non c'est bon je suis pressé, mon ami attend chez moi, mentit Jonathan pour faire accélérer la transaction.

- Ok, je t'ai mis cinq grammes, tu as les 500 balles, demanda le dealer en tentant sa main pour attendre les billets.

Jonathan vit le regard suspect du jeune, il pense vraiment qu'il allait se barrer sans lui donner son fric. Il sortit les billets de sa poche.

- Tiens ton fric, s'énerva blond, tu croyais que j'allais me barrer sans te payer.

- Je préfère être prudent, je me suis fait avoir plus d'une fois, alors maintenant tant que je n'ai pas le fric rien ne sort de chez moi, justifia le dealer. Il partit dans une autre pièce et revint avec la marchandise.

- Putain pour le prix, j'espère qu'elle est bonne, ajouta Jonathan.

- Il a dû l'apprécier ton pote pour avoir ingurgité 1 gramme en trois jours, répondit le dealer.

- Je ne sais pas, il m'a simplement demandé de lui en avoir, ajouta Jonathan en commençant à partir après avoir récupéré sa marchandise.

Il salua son pote et partit de cet appartement. Il sortit discrètement en regardant si l'autre n'avait pas fini par le retrouver. Il ne vit rien et sortit tranquillement de la cour. Il rentra chez lui sans problème. Il allait devoir faire attention demain quand il sortirait. Il devrait certainement demander à un de ses rares potes de venir le chercher. Il se cacherait dans sa voiture et il pourrait le déposer à côté du stadium.

L'homme qui le suivait s'était fait passer un savon par son boss quand il avait vu qu'il avait perdu Jonathan de vue. Il avait appelé en suivant son patron qui lui avait demandé de revenir de suite à l'agence.

Les joueurs étaient tous arrivés au stadium. Jace était quand même stresser ce matin en arrivant. Aiden l'avait pourtant rassuré au téléphone mais il n'y avait rien à faire, il stressait. Il avait garé sa voiture et était resté dedans un petit moment. Aiden arriva cinq minutes après lui. Il le vit dans sa voiture et arriva vers celle-ci. Il ouvrit la porte passager et s'y glissa dedans.

- Alors mon beau blond, que fais-tu dans ta voiture ? Tu sais qu'il faut qu'on rentre, expliqua le châtain. Il voyait bien la tête stresser de son amoureux. Tout va bien se passer, Alec t'a bien dit que tout allait bien se passer.

- Je sais mais je sais pas j'ai peur du regard qu'ils vont poser sur nous, ajouta Jace. Je ne veux pas que tu te fasses rejeter à cause de moi.

- Ne te mets pas des peurs ou il n'y en a pas, répondit Aiden. Et puis le regard et le rejet des autres si il y en a je m'en fou, je t'aime toi et je ne veux être qu'avec toi. Et je sais que s'il y a le moindre problème nous avons des personnes qui sont avec nous.

- Je sais que tu as raison, laisse moi encore deux minutes, demanda Jace en respirant encore un peu pour reprendre contenance.

Ils sortirent de la voiture et se dirigea tous les deux mains dans la main vers l'entrée. Ils rentrèrent et se dirigèrent vers le vestiaire. Jace s'arrêta devant la porte, il regarda Aiden se pencha et lui vola un baiser avant de mettre la main sur la poignée et d'ouvrir la porte. Ils rentrèrent dans le vestiaire, les joueurs avaient arrêté de faire ce qu'ils étaient en train de faire et regardèrent les deux hommes. Alec vint en premier les prendre dans les bras suivi de Simon et Andrew. Les autres attendaient d'avoir la place pour venir eux aussi les saluer mais surtout les féliciter pour leur couple. Jace n'en revenait pas, pas un mot sur le faire qu'ils sortaient ensemble, rien. Il avait été très ému de toute la gentillesse de l'équipe. Aiden vint le voir.

- Tu vois je te l'avais dit que tu te tracassais pour rien, murmura Aiden dans l'oreille de Jace en y déposant un baiser.

Il sourit à son amoureux et commença à se changer. Quand tout le monde est sorti, Alec vint les voir tous les deux.

- Je vous l'avais dit qu'ils avaient été super, ils vous soutiennent, dit le brun en faisant un sourire aux deux hommes.

- Jamais je l'aurais cru, Aiden m'avait dit de ne pas paniquer, mais tu me connais quand je stresse rien ne peut me faire changer d'avis, répondit le blond à son meilleur ami.

- Je le sais, je te connais par cœur, c'est pour ça que je t'en ai parlé hier de la réaction des joueurs pour que tu viennes décontracter aujourd'hui, ajouta le brun. Allez on y va sinon le coach va hurler.

- Vas-y on arrive, ajouta Jace en regardant Alec partir. Il retint Aiden par le bras et l'embrassa avec passion.

Aiden se laissa entraîner dans un baiser de réconfort et de soulagement. Ils se séparèrent et Jace caressa la joue de Aiden.

- Je t'aime, dit le blond avec le plus beau sourire, il était heureux d'être avec lui.

- Je t'aime, répondit Aiden en lui attrapant la main pour y déposer un baiser. On y va.

Jace hocha la tête et ils se dirigèrent vers le centre du terrain ou le coach était déjà en train de faire son pitch de début d'entraînement. Quand il vit les deux hommes arriver, il leur sourit et leur demanda si tout allait bien. Aiden lui répondit en hocha la tête positivement. Le coach reprit là où il en était. Jace pensait que cette journée allait être un enfer mais tout avait été le contraire. Il pouvait être lui-même toucher la main de son amoureux sans gêne et sans regard de dégoût des autres. Ils avaient tous passé une merveilleuse journée, Jace n'avait jamais été aussi décontracté que ce jour-là et il espérait que tout serait comme ça dorénavant. 

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