Rédaction Pour Le 19/01/25

Il est 22 heures, l'heure à laquelle nous mangeons toujours dans ma famille.

Nous mîmes la table avec les cousins et nous nous installons : les adultes d'un côté et les enfants de l'autre. Je m'installai près de ma grande sœur qui est elle même assise à côté de son fiancé. C'est d'ailleurs la raison de ce repas, ses fiançailles avec le beau Charles Édouard, connu pour sa richesse gagné lors du loto de l'année dernière. Je me sentis tout de suite enveloppé par l'odeur du curry préparé par ma mère, mélangé au parfum que met toujours ma tante, du feu de cheminé et des boulettes de viandes.

Ma mère installa de magnifiques bougies blanches parfumés à la fraise. Malgré l'hiver glacé cette année, mon père avait insisté pour mettre des glaçons dans la carafe d'eau ; mes tantes avaient posés de très belles serviettes brodés avec nos noms qu'elles avaient cousues sur la table ; un bol était posé au bout de la table, contenant tout nos téléphones car la règle de famille est "pas de téléphone à table" si on veut éviter de se prendre un coup de claquette de ma mère.

Après que ma petite sœur ai remercié le seigneur pour ce repas, nous servîmes les plats principaux. Une fois le repas commencé, ma tante commenca déjà à se disputer avec son mari, comme d'abitude. C'est ce qui rend nos repas de famille si spéciaux.

Mes oncles et tantes qui se disputent pour des bêtises de mon cousin, mon cousin qui les regardes en riant ; mes sœurs qui se battent pour avoir le sel en premier ; mes parents qui se dévorent des yeux toute la journée

-c'est fou ce que l'amour rend étrange-

Je frissonnai lorsque le fiancé de ma sœur sortit de son sac des truffes emballés. J'ouvris la bouche, stupéfaite. Je n'avais jamais goûté ça et la curiosité me devora de l'intérieur.

Lorsqu'il m'en donna un peu, je le remerciai rapidement et me hâta de manger. De millions de mots me vinrent à l'esprit lorsque la truffe se rependit sur ma langue. Le goût de la noisette me vint d'abord à l'esprit mais ensuite, un léger arrière goût de maïs me coupe le souffle. Elle me rappelle la douce odeur de la terre après la pluie. Elle me berce lentement, doucement. À la fin du repas, nous montâmes à l'étage préparer ma sœur pour la demande en mariage.





Fin de cette redac, c'était censé être 20 lignes mais j'ai fais un peu beaucoup plus :-D
J'espère qu'elle vous a plu, vous me direz ce que vous en pensez et n'oubliez pas de mettre la petite étoile, ça me ferais vraiment plaisir ^^
À bientôt pour ma prochaine redac qui va pas tarder à arriver >v<

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