Un chantage de trop
Je m'appelle Ten et je suis victime de chantage.
Pourtant dans ma vie tout allait bien, j'avais des amis géniaux notamment Cory et cette tête à claque de Taemin que j'adore bien sur. J'avais une fiancée Solji, mon dieu que je l'aime cette fille, une vrais perle, elle pourrait même porter mes enfants. Elle ferait une mère parfaite.
Je suis loin d'être riche, j'ai énormément de dettes à rembourser, c'est pour cela qu'on est pas encore marié. Je veux en finir avec mon passer avant d'avoir un futur rayonnant avec ma princesse.
Pour en revenir à ce chantage qui m'a fait perdre celle que j'aimais, tout est parti d'un putain accident sur le chantier où je travaillais...
C'était un jour comme les autres, la chaleur était présente et le boulot à faire ne désemplissait pas, je courais littéralement de tous les cotés. Au bout d'un certain moment où j'empilais les sacs de ciment sous l'échafaudage, un de mes collèges hurle de s'écarter. Je n'ai pas le temps d'effectuer un seul mouvement qu'une planche de bois me tombe. Elle me touche au moment où mes muscles étaient totalement contractés. Je m'effondre sur le coup, une douleur lancinante s'étant de ma nuque à mon bas du dos. Je cris de douleur pendant que mes compagnons de galère m'entourent et que le patron appelle une ambulance. Celui-ci, Kai de son nom, un bon gros enfoiré de première classe, m'insulte et s'en prend également à celui qui se trouvait sur l'échafaud, Jay un jeune débutant.
TU N'ES QU'UN INCAPABLE, AUCUNE INTELLIGENCE, ABRUTI... hurla mon patron sans aucune once de respect pour les autres.
Ce cirque continu jusqu'à l'arrivé des ambulanciers, je suis conduit à l'hôpital le plus proche où l'on me fait passer des examens qui me coûtent bonbons puisque je n'ai pas d'assurance, la facture de tout ces frais me fait littéralement péter un câble intérieurement. Je commence à pleuré intérieurement, mon emprunt arrivait à sa fin, il ne me restait que 500 euros à rembourser.
Après plusieurs heures, un médecin rentre dans la chambre que l'on m'a attribué pour m'informer des suites de ma blessure.
-Bonjour, je suis le docteur Lee Mark, se présente t-il.
-Bonjour, alors docteur LEE quand puis-je rentré chez moi ?
-Dans quelque heures, le temps de faire les papiers nécessaires à votre sortie et votre traitement.
-J'ai rien de grave au moins ? Je n'aurais pas à revenir ?
-Je suis désolé de vous l'informez mais vous devrez venir souvent. Vous êtes atteint d'une dorsalgie du au traumatisme que vos muscles ont subit, vous devrez donc vous rendre a plusieurs séances d'un kinésithérapeute qui pourra calmer votre douleur. Si vous n'y allez pas, votre dorsalgie deviendra chronique et augmentera encore jusqu'au moment où vous ne pourrez plus bouger rajouta t-il avec un peu de peine pour moi
-Mais...Je n'ai pas d'argent, je viens de tout utiliser pour payer les examens d'aujourd'hui, je ne sais comment je vais pouvoir payer les frais de la chambre.
-C'est pour votre santé, vous ne pouvez pas resté avec cette douleur toute votre vie. Vous m'avez l'air sympathique, je vais vous orienter vers un confrère clément où vous pourrez sans doute vous arranger.
Il me donne donc la carte du kinésithérapeute et m'accompagne jusqu'à l'accueil pour expliqué mon cas à la secrétaire Kim Sejung qui est assez petite comparée à moi, au moins dix centimètres au moins. Elle est toute mignonne avec ses cheveux châtains qui nous donne vraiment envie de les touchés. Le doc s'en va en me souhaitant que j'aille mieux très vite.
-Grâce au médecin Lee je vais pouvoir vous arrangez cette histoire de frais pour la chambre, me sourit-elle en accompagnant ses dires.
-Comment ça ?
-Nous n'avons normalement aucune autorisation pour vous annulez la facture d'hospitalisation de jour sauf si vous êtes un membre de la famille proche d'un cadre de l'hôpital. Le docteur Lee est un cadre important de l'hôpital, il m'a donc demandé de vous faire passez pour son cousin à charge. Il a un cœur généreux quand ses patients sont des jeunes qui en veulent, m'explique t-elle.
Je suis un peu choqué comment un médecin peut faire ça alors qu'on se connaît pas du tout.. Je suis d'un coté très content mais également assez honteux, un homme m'enlève une grosse épine du pied et je ne sais pas comment le remercier.
-Je sais que vous vous dites mais ne vous inquiétez pas, il n'attend rien en retour enfin sauf, une petite condition.
-Laquelle ? Dis-je avec une once de peur dans la voix qui l'a fait rire.
-Mais arrêtez de stresser, il demande seulement à ces patients de se soigner, c'est un excellent urgentiste qui aime au plus haut point son travail alors écoutez ses conseils et restez en bonne santé.
J'appelle ma copine en sortant de l'hôpital, pour lui résumer des événements récents. Elle me dit qu'elle va m'attendre devant ma porte et qu'elle va bien s'occuper de moi. J'ai un immense sourire, la journée avait commencé super mal mais va peut-être finir sur une bonne note.
Je prend le bus en fraudant puisque je n'ai plus un rond, je peux prendre mes poches et les sortir comme dans les dessins animés...Ah, la déprime revient, non, je ne dois pas me laisser abattre par ça.
J'arrive enfin devant ma porte et voit ma beauté juste devant qui me souris et se rapproche rapidement. Je l'arrête avant qu'elle me saute dans les bras, elle n'en ai pas très heureuse mais laisse passer. On rentre et je lui explique toute l'affaire, du chantier jusqu'au médecin super sympa. Elle devient un peu bizarre quand je lui fait l'éloge du doc. Elle m'envoie à la douche avec froideur, je suis son ordre et file dans la salle de bain. Sous l'eau, je réfléchi à plus tôt, à sa réaction mais je la comprend très vite quand je me rappelle ce que je lui ai dit lorsqu'elle m'a fait sa déclaration ;« Je suis bi, j'espère que ça ne te gène pas ? ». J'y crois pas, elle est jalouse....
Je sors habillé et la retrouve sur mon téléphone.
-Je peux savoir ce que tu fais là ?
Sur le coup, elle lâche mon téléphone en me regardant, je le récupère à ces pieds. Je commence fortement à m'énerver, elle foutait quoi ? Elle n'a aucune putain de confiance en moi ? C'est sur cette confiance que notre mariage va reposer ?
-Qu'est ce que tu FOUTAIS, hurlais-je.
-Mais...Rien, je ...
-Quoi rien, tu lisais bien mes messages ? Tu n'as pas confiance en moi, c'est ça ?
-Mais c'est pas ça, j'ai confiance en toi, je ne....
-Non, tu n'as pas confiance, tu ne me crois pas au point de fouiller mon portable. Je me suis foutus avec toi et je vais pas voir ailleurs.
-MAIS TU ES BI.
-ET ALORS ? Être bi veut systématiquement dire que je couche à droite et à gauche, que je trompe ma meuf à tout les coins de rues ? Tu me crois vraiment comme ça ? CASSE TOI !!!
Elle prit sa veste, son tel, ses chaussures et prit la porte en la claquant bien comme il faut. La fatigue me pris d'un coup, avec tous les événements qui sont survenus, je n'ai plus de courage ni la force pour réfléchir. Je sais que je me suis un peu emporté mais je déteste qu'on fouille dans mes affaires. Je pars directement dans mon lit où je commence enfin à regretter mes paroles.
Le lendemain je lui envois un message lui disant que je m'excuse de l'avoir mit dehors mais qu'elle me doit également s'excuser sinon elle ne pourra pas revenir. J'appelle également le kinésithérapeute pour prendre Rendez-vous, c'est lui même qui me répond et me donne un rendez-vous dans la journée même.
Lors de mon arrivé chez le kiné , je me présente au cabinet qui est assez chique, j'attends mon tour et suit le professionnel, une fois mon nom appelé. Ce médecin est assez beau, musclé et il fait à peu près ma taille, si je n'étais pas avec Solji, j'en aurais bien fais mon quatre heures. Je me reprends assez vite et oublie mes pensées assez malsaine. Solji et moi ne nous sommes pas séparés, je pense, ce n'était qu'une dispute de rien du tout. Ce n'était pas la première et sûrement pas la dernière.
-Bonjour, je suis Lee Junho. Alors dites moi tout.
-Bonjour, j'ai eu un accident hier sur le chantier où je travaillais, on m'a conduit aux urgences et le docteur Lee m'a diagnostiqué une dorsalgie qui peut se transformer en une chronique si je ne fais rien. Il y a un problème, je n'ai pas d'argent pour vous payer, les frais médicaux plus mon arrêt de travail ne me permet plus de pouvoir vous payez.
Il me pose d'autres questions un peu personnelles mais c'est son métier donc je lui réponds le plus honnêtement.
-Humm, je comprends. Je peux vous aidez, sans soucis. Installez-vous sur la table là-bas en enlevant votre T-shirt et votre pantalon, je vais chercher quelque chose et je reviens.
Je fais donc ce qu'il m'a demandé et enlève mes vêtements même si je trouve bizarre que je doive me défaire de mon jean. Je m'installe sur le ventre vu que c'est mon dos qui est souffrant. Il revient au bout d'une ou deux minutes avec de l'encens, il me demande de me détendre et c'est ce que je fais étrangement.
Il commence alors à me masser les épaules, le dos et descend de plus en plus ses mains et c'est au moment où ses doigts touchent le bord de mon caleçon gris que je tente de me lever pour lui dire stop mais mon corps ne me répond plus. Je commence à paniquer, ma respiration augmente, mon rythme cardiaque augmente, tout mon cœur montre des signes de la peur. Voyant ma réaction, il décide de réellement passer cette dernière barrière, il malaxe mes fesses en me parlant.
-Ne t'inquiète pas, je ne vais pas te faire souffrir, tu ne risques rien, on va bien s'amuser tout les deux, ton dos ira bien tu verras. Oh, et tu ne peux pas bouger c'est l'encens qui fait effet et tu vas voir, elle a même l'effet aphrodisiaque. J'espère que tu vas apprécier.
Ma panique ne fait que croître alors que je sens mon boxer descendre le long de mes cuisses, mes larmes commence également à couler lorsqu'il entame des bisous du haut de ma colonne vertébrale jusqu'à mes fesses tout en les malaxant. Un de ses doigt se dirige vers ma zone la plus intime où il entame des caresses. Je déteste ce qu'il me fait mais une part de moi, l'accepte, je ne me comprends plus, je n'arrive plus à réfléchir, est-ce l'encens ? Je ne sais pas, je n'en suis pas sur.
Je suis paumé dans cette réflexion lorsque quelque chose me pénètre, un léger gémissement d'inconfort m'échappe alors qu'il entame des vas et vient. Il rajoute très vite, un ou deux doigts de plus pour détendre mes parois. Je ne me sentais pas bien au début mais plus il me touche et plus j'ai envie de plus, d'un autre coté, je veux que tout s'arrête. Mes gémissements sortent sans mon accord à tout bout de champs. Je le vois sourire à chaque fois qu'une note est libérée.
-Vas-y continue cette douce musique pour mes oreilles, je vais te faire tellement du bien que tu ne pourras que crier ta jouissance à en perdre ta voix.
Le docteur Lee Junho me soulève de la table, je ne suis qu'une marionnette pour lui. Il s'assoit dessus et m'installe à califourchon sur lui, mon dos contre son torse, il m'empale sur son érection. Je grogne de douleur et d'inconfort.
-Oh ne me dit pas que tu as mal ou que ça te déplaît car vu l'état du mini Ten, on ne peux que dire l'inverse.
Il attend quelques secondes puis entame des mouvements de vas et vient dans mes chaires, la souffrance se dissipe pour ne laisser place qu'à du plaisir. Depuis le début de ses coups, mes yeux sont restés fermés et ce n'est que lorsqu'il touche un point précis en moi qu'ils s'ouvrent. Je vois alors une camera pointée dans notre direction. L'horreur se lit ainsi sur mon visage, mes yeux laissent échapper des torrents de larme. Je me sens salit par cet homme, il me viol mais en plus il en garde une preuve.
-C'est pour mon plaisir personnel, j'adore pouvoir revoir mes partenaires totalement démunis comme toi actuellement. J'aime pouvoir revoir leur visage lorsqu'ils atteignent l'orgasme.
Il touche plusieurs fois le point qui doit être ma prostate jusqu'au moment où il se vide en moi et moi sur moi-même. Il reste encore quelques minutes en moi et me repose ensuite sur la table de massage.
Je suis salis entièrement, je pleure et je suis fatigué, rien ne va plus. Pendant mon « repos », Junho étend la caméra et la range, il me jette mes habits à coté de moi et m'ordonne de m'habiller. J'essaye de bouger et j'y arrive, je prends mes vêtements, les met.
-Revient la semaine prochaine, même jour, même heure sinon... Oh et ne fait pas cette tête, dit toi que tu me paye autrement qu'avec de l'argent. C'est un accord qui nous plait à tous les deux.
Je sors de la pièce en baissant la tête, je fuis le plus vite possible en direction de mon appartement. Une fois arrivé dedans, je file immédiatement à la douche où je me frotte entièrement. Je m'effondre en larmes sous l'eau qui me coule dessus, ma peau est irritée et rouge dans sa totalité. Au bout d'une trentaine de minute, je me reprends et sors de la salle de bain vertu et m'étale sur mon lit sans plus aucune force. Je m'endors ainsi immédiatement.
En me réveillant, j'attrape mon téléphone pour regarder l'heure et aperçois les douze messages de mes amis donc deux de Solji. Je les ouvres rapidement et les lis, dans son premier message, elle me demande de venir à un rendez-vous hier soir et dans son deuxième message de cette nuit elle s'excuse de sa réaction. Je ne lui réponds pas, j'ai envie de voir personne, je veux juste resté dans mon lit en déprimant. Je ne peux même plus me voir dans la glace tellement j'ai honte.
Quelqu'un sonne à ma porte mais je ne veux toujours voir personne, si je ne bouge pas et ne dis rien, ils vont bien finir par partir. Il continue encore et encore de sonner, je me lève enfin en traînant les pieds et ouvre la porte avec un magnifique « quoi » pas du tout sympathique.
-Désolée, je te dérange mais tu ne répondais pas à mes messages et j'avais peur que ce soit finis. Mais je veux pas que ça se finisse comme ça, je t'aime, j'ai été bête de fouiller ton téléphone.... je suis désolée, pardonne moi, je t'aime. J'avais juste peur que tu me trompes alors qu'il n'y avait aucune preuve et que tu n'es pas comme ça... Quand tu m'as m'y dehors j'étais en colère mais j'ai vite réfléchis et tu avais raison, je ne suis qu'une idiote... pleura t-elle devant moi.
-Je ne t'en veux plus. Je t'avais dis par message que si tu t'excusais, l'histoire était classée. Et arrête de pleurer, tu sais bien que je n'aime pas ça, en plus les voisins vont croire que je te fais du mal pour rien. Aller rentre et viens dans mes bras, rigolais-je.
C'est fou comment Solji arrive à me remonter le morale sans qu'elle ne le sache. C'est vraiment ma princesse, elle à réussit à me faire oublier pendant 30 secondes, l'horreur d'hier. Malheureusement cela ne dure pas éternellement et je recommence à y penser la minute qui suit, lorsque Solji n'est plus dans mes bras. À cet instant, mon morale redescend et ma petite amie observe l'état de l'appartement qui est en totalement bordel. Elle me fait une ou deux réflexions qui passent assez bien et se met à ranger les vêtements qui traînent, moi je n'en ai pas le courage donc je retourne sur le lit. Une fois qu'elle a terminé, Solji vient me rejoindre dans le lit où l'on passe alors toute la journée.
Trois semaines plus tard, rien a changé sauf le fait que je commence à me détester. Je suis retourné plusieurs fois vers le docteur Lee Junho, il me menace de balancer la vidéo de la première fois sur les réseaux sociaux si je ne me pointes pas au rendez-vous. Mon corps s'habitue mais pas moi, je n'accepte de moins en moins les contacts physiques. Solji me soupçonne de la tromper et dans un sens elle a raison. Je couche avec ce type après tout, je n'aime pas ça mais je suis infidèle.
Hier, un homme est venu me voir à mon nouveau travail, Kim Taehyung, il m'a posé des questions sur « mon kinésithérapeute », je ne lui ai rien dis... Je ne le connais pas après tout. Il m'a promis de revenir, mais à quoi bon.
J'ai rendez-vous chez le kiné, je m'y rends à reculons comme à chaque fois. Je sais ce qu'il va se passer, je me déshabille, il me viol et je me tire. Une vrais habitude.... enfin c'est ce que je pensais mais aujourd'hui, il était violent, tellement violent qu'il m'a laissé des marques de coup. Je saignais de partout mais je me suis relevé, je me suis habillé et je me suis tiré pour me rendre au boulot. Une fois arrivé ma tête tournait dans tous les sens, je ne tenais plus debout. Je me suis effondré juste devant ce Kim Taehyung, se fut le trou noir.
Lorsque je me suis réveillé, j'étais dans une chambre que je ne connaissais pas, j'ai voulu m'asseoir mais une douleur lancinante n'en a empêché, un gémissement sorti de ma boucle qui alerta un homme qui était dans la chambre sans que je n'ai vu.
-Comment te sens tu ? C'était KIM Taehyung, que fait-il là ?
-Oui...Que s'est il passé ?
-Tu t'es évanouis, les médecins ont fait des examens et ils m'ont dit que tu as été victime de violence et d'abus sexuels, qui t'as fais ça ?
-Ça ne te regarde pas, ne te mêle pas de ma vie.
-Calme toi, je ne vais pas te faire de mal, je suis l'inspecteur Kim, voici ma carte me dit-il en me donnant une carte que je pris. Je suis là pour t'aider, j'ai une idée sur ton agresseur mais il faut que tu me passes des informations si tu veux que je te sorte de là.
-Je...Je peux pas.
Des sanglots me prennent et je ne peux plus empêcher les larmes de couler sur mes joues. Il s'assoie alors à mes cotés sur le lit et me tapote l'épaule pour me remonté le morale.
-Tu n'as plus rien à craindre, je ... nous allons te protéger, tu ne risques rien.
-Mais il a une vidéo... je ne peux rien faire.
-Qui a une vidéo ? Rien ne sortira. Dis moi qui et on l'arrête dans la journée même.
-Je....j'hésite, je ne veux pas qu'il la voit, mais je ne peux pas continuer comme ça, soit il me tue soit il envoie la vidéo donc dans un murmure, je donne enfin son nom LEE Junho.
-Merci, j'appelle ma cheffe, elle va tout de suite demandé un mandat d'arrêt et on va aller l'arrêter.
Il est parti après avoir eu mon témoignage extrêmement gênant. Taehyung m'a expliqué que je devrais aller devant le tribunal pour que ce salaud finisse en taule. Je vais devoir dire ce qu'il m'a fait devant tout le monde, je ne suis pas près mais vraiment pas. J'ai appelé Solji, Taemin et Cory juste après son départ, je leur ai tout raconté, l'accident, le viol, les blessures, l'inspecteur, tout. Solji ne veut plus me voir pour l'instant, le temps de s'en remettre.
Taemin a décidé de venir me chercher à l'hôpital et de rester avec moi jusqu'au procès, il ne veux pas me laisser seul de peur qu'il m'arrive encore un truc. Cory lui n'a rien dit, il m'a traité d'idiot et a raccroché. Je ne sais pas s'il veut encore me parler ou s'il me déteste. Pendant ma réflexion, la porte de la chambre s'ouvre en grand en laissant rentré deux idiots qui me sautent littéralement dessus.
-Mon gros bébé !!!! hurle Cory.
-J'ai.. cru que tu me détestais, pleurais-je.
-Mais jamais je ne pourrais te détesté, tu es trop mignon pour ça. En plus c'est pas de ta faute s'il y a un malade qui s'en ai pris à toi.
J'ai vraiment des amis formidables.
Deux ans plus tard, le procès se termine et nous allons entendre la sentence, je croise les doigts.
-Selon les articles 222-13, 222-24 et 222-18 du code pénal, pour le chef d'inculpation de violence ayant entraîné une incapacité de travail inférieur ou égale à huit jours, nous déclarons l'accusé coupable.
-Pour le chef d'inculpation de menace avec des faits aggravant, nous déclarons l'accusé coupable,
-Pour le chef d'inculpation de viol, nous déclarons l'accusé coupable.
-Nous vous condamnons ainsi à versé 75000 euros de dommage et intérêt au demandeur et vous être condamné à 20 ans de réclusion criminelle.
J'ai....J'ai gagné !!! La joie ultime, je saute dans les bras de mes deux amis. Je suis tellement heureux d'avoir enfermé ce bâtard, j'en pleure de joie.
-Ne pleure pas mon bébé, on va aller fêter ça, aller je plais la bouffe. Let's goooo !!!
Il s'en est passer en deux ans. Solji m'a quittée, elle ne pouvait plus me regarder dans les yeux et je la comprends. J'ai eu énormément de mal à reprendre confiance en moi, en mon corps. Je n'aurais pas peu faire mon rôle de petit-ami, je ne lui en veux pas, je veux juste qu'elle soit heureuse maintenant. J'ai rendu mon appartement, j'ai tout changé dans ma vie, il fallait que je fasse le point et que je redémarre pour oublier mon passé. je vie actuellement avec mes deux meilleurs amis qui me soutiennent même quand je fais des cauchemars la nuit. Sans eux je ne suis plus rien.
Avec le procès finit, je vais pouvoir tourné la page définitivement et les deux idiots m'ont poussé à reprendre mes études donc je vais enfin pouvoir le faire, je vais pouvoir m'en sortir.
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