Chapitre 17
Important, après avoir lu regarde bien après le chapitre pour ne pas être surpris(e) ! Bonne lecture 😘
Et voilà maintenant plus d'un mois que je suis installé à Paris avec comme colocataire mon frère. Et oui, il m'aime trop donc deux semaines après mon installation il avait débarqué et m'avait trouvé comme excuse « tu auras besoin de moi » Oui mais bien sur, c'est plutôt lui qui a besoin de moi mais bon.
Je n'ai pas été accepter dans une fac de médecine, n'ayant pas le dossier pour. Je suis vraiment dégoûté car c'était mon rêve d'y entré. Quand j'ai appris ça je me suis d'abords bourré la gueule, puis le lendemain, ma mère m'as appelé et je lui dis que je n'avais pas le profil pour aller en médecine et c'est là que j'ai commencé à craquer.
J'ai pleuré toute les larmes de mon corps pendant trois jours non stop. Je sais pas comment j'ai fait pour pas me dessécher ou un truc du genre.
Andy lui continue ses études de comptabilité .Enfin ses études, c'est vite dit. Il passe plus de temps sur sa planche de dessin, sur sa tablette afin de perfectionné ses techniques de dessins
A côté de ça, je travaille dans bar et Andrew dans un fast-food, ce qui nous permet de pas finir fauché, même si nos parents nous aides un peu. Mais si je ne peux pas faire ce que je veux, je vais essayé de faire autre chose de ma vie que barmaid. Quoi je sais pas mais je trouverai bien.
Cela fait aussi un mois que ma pendaison de crémaillère et passé, un mois que j'ai avoué à Lucas que j'étais follement amoureuse de lui, un mois que je l'ai embrassé mais aussi un mois ou il ne donne plus signe de vie. Enfin avec moi, sinon il voit toujours les autres. Quand le lendemain j'ai raconté à Julie et Mariana ce qu'il cétait passé, Julie m'avait dit qu'elle mènerai l'enquête mais à chaque fois quelle abordait le sujet, Lucas devenait froid et changeait de sujet ou l'envoyait bouler.
Le fait qu'il m'ignore du jour au lendemain m'avais mal, très mal même, mais après j'ai compris que je lui avait fait exactement le même coup. Mais il me manquait énormément. On ne dirait pas comme ça mais les évènements qui c'était produis avant mon déménagement nous avait énormément rapproché. On était aussi proche que Jigmé et moi, mais maintenant il n'y a plus rien. Je me demande même si je compte encore pour lui.
- Morue ton téléphone sonne, me dit mon frère en me balançant sa gomme.
Je baisse les yeux sur mon téléphone et remarque effectivement il sonne.
*- Allo ?
- Oui mocheté c'est Cyp', ça te dis de venir chez moi ce soir ?
- Ouais... Attend merde je peux pas venir.
- Pourquoi ?
- Je bosse moi monsieur !
- Tu finis à quel heure ?
- 23h30 voir minuit.
- Je viendrai te chercher, aller dis oui !
- Bon si tu insistes je viendrai, sois la à 23h30 précise !*
Puis je raccrochais après dix minutes de conversation. Il était actuellement 17h et je prenait mon service dans une heure, alors je me levai et parti m'habillais. Je pris un jean noir, une chemise blanche, un gilet serveur noir et mes superstar noir. J'attachais mes cheveux en queue de cheval, je me maquillais légèrement, un peu de far rose, un trait d'eye liner, un rouge à lèvre rose pale et le tour était joué.
Je souhaitais à Andy une bonne soirée et lui disant que je ne rentrai peut-être pas ce soir.
[...]
Putain mais c'est pas vrai, elle peut pas bougé son cul elle, c'est moi la nouvelle ça devrait être moi qui devrait galéré pas elle. Je jette un il à la pendule qu'il y a au dessus de la porte en servant une bière à un client : 23H20. Encore dix minutes
- Tu peux aller nettoyais les tables s'il te plaît, demanda Charlène ma collègue qui ne branle rien depuis 18h.
Je luis prends le chiffon et le produit des mains et par nettoyer ces putain de tables. Elle me fait le coup à chaque fois, comme je termine à la même heure qu'elle, dix minutes avant elle me demande de le faire à sa place comme ça elle peut se barrer et moi je dois me taper le nettoyage du bar et assurer le service avant que Marius prenne le relais.
Je termine donc de laver les tables et à ma grande surprise cette conne de Charlène et partie. Je passe derrière le bar en m'excusant auprès des clients qui attendent. Je les sert rapidement et attends Marius.
- Bonsoir je voudrais une bière et la serveuse parce qu'il va être minuit et on t'attend pour se mater un film.
Je relève la tête et voie Cyprien accoudé au bar. Je lève les yeux et effectivement il est minuit moins cinq. Je lui sers sa bière et part débarrasser une table. Je retourne au comptoir et discute avec mon ami en buvant une limonade avec lui.
C'est à minuit dix que Marius montre le bout de son nez en s'excusant. Ne voulant pas m'attardais sur ses explications, je le salue, récupère ma veste et pars avec Cyprien.
- Mon dieu j'ai passé une soirée de merde, entre les clients impatients et l'autre connasse qui bouge pas son cul et qui branle rien de la soirée je peux te dire que j'en ai marre, dis-je en détachant mes cheveux.
Cyprien me jette un regard amusée se concentre sur la route. Le bar n'est qu'à un quart d'heure de chez lui, donc nous y sommes rapidement. Une fois garer, je sors et me dirige vers la porte de son immeuble. Il arrive à ma hauteur puis ce retourne vers moi. Je fronce les sourcils et il s'approche de mon gilet pour le sentir.
- Le prend pas mal mais tu pues, dit-il en ouvrant la porte.
- Merci du compliment, c'est à cause de Charlène ma connasse de collègue. Cette conne elle vois que j'ai un plateau plein de verres tous remplis d'alcool, elle passe et fait exprès de me pousser, ce qui fait que j'ai mon gilet et ma chemise qui pus tout les alcools possible et inimaginable, lui expliquais-je en montant les escaliers.
- Je vois, ça se vois que tu la porte dans ton cœur cette meuf, tu pourra te doucher si tu veux jai des vêtements à toi, dit-il riant alors quil ouvrait la porte.
- Je ne la supporte pas cette fille, j'ai envie de la baffer. Et merci, dis-je en enlevant mes chaussures. Enfin maintenant je vais passé une bonne soirée devant un film avec toi et les autres sans personnes pour me faire chier.
Alors que je lui parlais, j'avançais dans le salon pour saluer tout le monde. J'arrêtais toute action quand mes yeux se posèrent sur les personnes présente.
- En parlant de ça, commença Cyprien.
Je le coupais dans ses explications et allais saluer les gars sur le canapé. Je serra dans mes bras Norman et Jigmé, fit la bise à Jimmy de Jimmyfaitlcon ainsi qu'à Marie et ignora royalement Lucas.
- Désolé Cyp' mais tu as dit que tu en avais pour dix minute max du coup on a commencé le film, intervint Jimmy.
- Et comme il dure une heure et demi, il reste une demi-heure à tout casser, ajouta Jigmé.
- Au pire on se matera Harry Potter, fit Lucas.
Alors que j'allais partir me douché, je revins dans le salon et me plantais devant la télé.
- Que ça sois bien claire, vous attendez que je sois sortie de la salle de bain pour regarder mon film préféré compris ?
- Oui oui maintenant dégage, dit Jigmé en me jetant un coussin.
Je lui balançais et partie dans la salle de bain où Cyprien avait sortit mes affaires ainsi qu'une serviette propre. Je me déshabillais et entra dans sous la douche. Malgré les températures qui étaient au dessus des moyennes de saison, je mis de l'eau limite brûlante. J'en avais besoin pour me détendre et aussi pour pouvoir pensé tranquillement.
Quand je suis entrais dans la pièce et que je l'ai vue assis sur le canapé et Marie allongeait sur lui, la colère cest emparé de moi. Comment pouvait-il m'ignorer durant un mois et me sourire tel un hypocrite ?Et pourquoi Cyprien ne m'a rien dit ? Bon en y repensant, si il me l'avait pas dit je ne serait pas venue. Serte Lucas me manque, mais je n'avais aucune envie de le voir.
Je me savonne, me rince et me sèche. J'enfile mes vêtements qui se trouve être un leggins noir, un t-shirt gris et rouge de Griffondor et un verte noir. Je détache mes cheveux et sort de la salle de bain pour rejoindre tout le monde.
- A toi de choisir lequel tu veux voir, me dit Cyprien.
Je choisi le quatrième volet de la saga : Harry Potter et la coupe de feu et m'installe entre Jigmé et Norman. Alors que je suis à fond dans le film, je sent que quelqu'un me regarde et ça me perturbe. Je tourne la tête et vois Lucas m'observer avant de tourner les yeux vers l'écran.
Pendant le film je me fait engueuler car je dis les répliques du film en même temps que les personnages, ce qui à dont d'énerver plusieurs personnes. J'entends un rire et constate que Lucas me jette un regards amusé pour se concentrer de nouveau sur le film.
Le film ce termine et pendant que les autres se mettent d'accord sur le prochain je me lève pour me servir à boire. Je sors mon paquet de clope et mon briquet et m'éclipse sur le balcon. Parce que oui je fume, et grâce à qui, grâce à mon abruti de cousin nommé Anthony. Ayant passait le week-end qui suivait chez moi, il me proposait des clopes toutes les trente secondes. Au départ je refusais puis j'ai fini par accepté et maintenant je me nique la santé. Intelligence zéro !
Alors que je fume tranquillement, la baie vitré s'ouvre et ma cigarette se retrouve hors de ma bouche. Je relève la tête et vois Lucas portait le poison à ses lèvres pour prendre une bouffé.
- Depuis quand tu fumes, demande t-il en me rendant ma cigarette..
Pas de réponse.
- Je te parle, dit-il alors que je buvais mon verre.
Pas de réponse.
- Tu fais la gueule, demande t-il en se mettant face à moi.
Mais alors celle là c'est la meilleure! Il m'ignore et c'est moi qui fais la gueule. Je me levais, pris une dernière taffe avant de jeter ma clope par dessus le balcon et de rentrer. Mais il m'en empêcha en me retenant par le poignet. Je regardais d'abord sa main sur mon poignet, puis je levais les yeux vers lui.
- Je... Je crois qu'il faut qu'on parle, ajoute t-il en me lâchant le bras.
Comme je ne suis pas de mauvaise fois et que je n'ai pas envie que notre relation reste comme elle l'est actuellement, je fais machine arrière et me rassoie sur la chaise alors que lui se met contre la rambarde face à moi.
Je ne dis rien et sort deux cigarettes. J'en allume une et la donne à Lucas alors que j'allume lautre. Tout en attendant qu'il daignes commencer a parler ( oui parce que je suis quand même un peu de mauvaise fois) je lobserve. Il porte le bâtonnet de tabac (nda : jai voulu varié 😂) à sa bouche et prends une grands aspiration, il retient sa respiration quelques secondes avant de pencher la tête légèrement en arrière et de recracher la fumé lentement.
- Si Marie me voie, je suis un homme mort, dit il pour détendre l'atmosphère .
J'esquisse un petit sourire et regardant à l'intérieur. Aucun signe de Marie ou de qui que ce sois d'ailleurs. Je pose les yeux sur lui et attend. Il veut qu'on parle mais il n'entame pas la conversation. J'ai une question qui me brûle les lèvres mais je n'ose pas lui posé par peur d'être déçu par sa réponse Et puis merde.
- Pourquoi tu ne m'as pas repoussé quand je t'ai embrassé ?
Il me regarde étonner de ma question, puis faut dire que cest première fois depuis que je suis arrivé que je lui adresse la parole. Il soupire et lève les yeux au ciel cherchant sûrement ses mots.
- Ce que tu m'as dit lautre jours, tu le penses toujours, demanda t-il.
- Réponds à ma question.
- Réponds à la mienne et je répondrais à la tienne, dit-il en tirant une chaise pour ce mettre face à moi. Tu es toujours amoureuse de moi ?
En l'entendant prononcé ces mots, je manque de m'étouffer avec la fumer de ma cigarette et pique un fard. Heureusement qu'il fait nuit et que les lampadaires n'émettent pas beaucoup de lumière parce qu'il aurai sûrement vus que mes joue était devenue rouge.
- Alors ?
- Pourquoi tu veux savoir ça ?
- Je veux le savoir c'est tout tu discutes pas.
Moi aussi je me posais également ma question : étais-je encore amoureuse de lui. Après tout quand je l'ai repoussé lors de la fête il est tout de suite retourné auprès de l'autre vierge ( la Vierge Marie tout ça tout ça) pour lui rouler une pelle et danser avec elle comme si il allait la violer. Après cette fête il m'a ignoré pendant un mois jusquà ce jour, alors est-ce que je l'aimais toujours ? La réponse était bien évidement
- Oui.
- Oui quoi, demanda t-il avec un petit sourire en coin.
Je ne répondais pas, je ne voulais pas lui dire comme ça, surtout si c'est pour qu'il m'envoie bouler comme une merde !
- T'en que tu n'aura pas répondu à la question, je ne dirais rien, dit-il en souriant doucement.
- Tu me soules, dis-je en prenant une taffe.
- Alors, demanda t-il impatient.
- Oui je suis toujours amoureuse de toi...
Il rapprocha sa chaise de la mienne et cette proximité fit que nos genoux pouvaient se toucher. Il posa sa main sur la mienne et entrelaçait nos doigts. Se contact me donna un frisson, qu'il remarqua car il me souriait. Puis il encra ses yeux dans les miens.
- Tu veux savoir pourquoi je ne t'ai pas repoussé, commença t-il, et bien l'alcool peut nous faire faire de drôle de chose.
Est ce que cette réponse m'avais déçu ? Oui un peu, même si je m'y attendais.
- Mais je ne pense pas que c'était à cause de l'alcool, reprit-il. Si je ne t'ai pas repoussé, c'est parce que j'en avais envie.
Quoi ? Ais-je bien entendus ? Il en avait envie, il avait envie que je l'embrasse. Je n'y croyait pas. J'avais rêvé durant des jours entiers qu'il me dise ça. Durant des semaines j'ai imaginé une multitudes de scénario ou il me disait qu'il avait envie de m'embrasser, ou il me disait qu'il avait envie de vivre avec moi, qu'il avait de moi... Et aujourd'hui je l'entais prononcer ces mots qui me procurer des frissons. Mais il y avait tout de même une ombre au tableau.
- Alors pourquoi quand je t'ai repoussé tu ne m'as pas retenue ? Et pourquoi après tu t'es empresser daller roulée une pelle Marie et de limite la violée sous mes yeux ?
- Le fait davoir embrassé Marie j'en sais rien, mais je te l'accorde c'était complètement con de ma part, dit-il en se levant pour jeter son mégot.
- Je suis totalement d'accord c'était d'une connerie monumental, je te dis pas la gueule de bois que je me suis taper le lendemain. Et du coup pourquoi tu ne m'as pas retenue, demandais-je en faisant pareil.
- Et si je ne t'avais retenus je n'aurai pas été capable de m'arrêter, dit-il d'une voix suave en se rapprochant de moi.
Sa façon de prononcer sa dernière phrase me fais frissonner une nouvelle fois. Il effleure ma joue de ses doigts et rapproche son visage du mien. Nous sommes qu'à quelques centimètres lun de lautre, son corps se colle au mien et je peux sentir son souffle sur mon visage. Je regarde ses lèvres ayant une envie irrésistible d'y goûter et remarque qu'il fait exactement la même chose que moi. Trouvant l'attente trop longue, il comble l'espace qu'il y avait entre nous et pose ses lèvres sur les miennes.
Une sensation de bien être sempare de moi et je ne peux mempêcher de sourire. Je dépose mes mains dans son cou alors qu'il pose ses mains sur ma taille. Mon cœur bats à mille à l'heure quand je sent sa langue caresser mes lèvres. Nos langues se touchent timidement au départ pour commencé une dance endiablé. Il passe une de ses mains au niveau de mes hanches nous rapprochant encore un peu plus.
- Lucas, Ena quest ce que vous...
A suivre...
Et voilà le chapitre 17 avec cinq jours de retard ( oui il est minuit et des poussières donc on est dimanche).
Excusez pour ce retard monumental mais j'avais beaucoup de devoirs donc j'ai préféré révisé et tout le bordel que poster, j'espère que vous comprendrez 😊
Comme j'ai un emploie du temps de merde donc, très peu de temps pour écrire, je posterai le dimanche et je serai à l'heure promis 😂
Bon revenons à nos moutons !
Qu'en avez vous pensez ?
Le travaille d'Enalya ? La soirée chez Cyprien ?
Le fait que Lucas sois là ? Leur petite discussion ?
L'aveu de Lucas ? Leurs bisou ?
Qui peut être la personne qui les découvre ?
Dites moi tout dans les commentaires 😄.
Sur ceux je vous souhaites une bonne nuit et je vous dis à dans une semaine 😘
Peace ✌💖
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