62. Give Me The Night (Explicit)

DE LA BITE ET DE LA BITE ET ENCORE DE LA BITE PFFF

NDA: Jessica, si tu lis ce chapitre, je t'adresse plus la parole ! S'IL TE PLAIT C'EST TROP GÊNANT POUR MOI, TU ME VERRAS PLUS JAMAIS DE LA MÊME FAÇON !!

NDA2: JESSICA S'IL TE PLAIT

NDA3: CE LEMON EST PAS ENCORE TROP MAL... EN TOUT CAS, IL EST MIEUX QUE CELUI D'ASHTON ET DOLLY JE TROUVE

Lama.Xx
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|The Neighbourhood - W.D.Y.W.F.M ?|

Et il n'a pas fallut que je me fasse prier avant d'entourer le cou de Calum. J'enroulai mes jambes autour de son bassin quand il me souleva avec la force de ses bras tatoués. Ses lèvres s'écrasèrent follement sur les miennes alors que, inconsciemment, il nous fit sortir de la chambre.

À ce moment-là, il n'était plus question du connard et de la grosse.

Il était question de lui et de moi.

Ses mains retenaient toujours le bas de mes cuisses quand il m'amena jusqu'à sa chambre. Sur le chemin, je sentis mon escarpin glisser progressivement de mon pied avant de s'échouer sur le sol avec un bruit important.

« Oh merde.. » Soufflai-je quand il ricana.

« Si tu pouvais perdre ta robe, ce serait cool aussi. »

Il poussa la porte avec son pied, pour nous frayer un chemin dans la pièce et je ne pus m'empêcher d'exhaler un rire.

« Je sais qu'on s'apprête à baiser mais sache que ton rire est horrible, genre vraiment. » Fit remarquer Calum tandis que nous nous aventurâmes dans la chambre aux couleurs dures.

« Je t'emmerde. » Dis-je en riant d'autant plus fort, sous ses plaintes inaudibles. J'eus le temps de lui adresser un mot de plus qu'il nous fit tomber sur le matelas.

Je couinai légèrement quand Calum se retrouva au dessus de moi. Avec un sourire, il tendit le bras pour me déchausser de mon second escarpin avant de lancer ce dernier quelque part dans la pièce. Et étonnement, depuis cet instant, j'étais entrain de l'étudier avec beaucoup d'attention. Quand il le vit, son sourire disparu et il me rendu un de ses regards intenses. On se contempla de cette manière un bon moment, jusqu'à ce qu'il se décide à presser ses lèvres sur les miennes, dans une impulsion de tendresse. Je baladai mes mains dans ses cheveux courts et épais pendant que ses lèvres s'accrochaient aux miennes et que ses bras basanés le retenaient au dessus de moi. Et puis, avec cette même douceur, il mit fin à notre baiser pour enfoncer son visage dans mon cou. Je penchai la tête en arrière pour lui donner plus d'accès quand il prolongea ses baisers de ma clavicule à mon épaule. Et bon sang, c'était bon.

Avides, ses lèvres retrouvèrent les miennes et il en profita pour enrouler son bras autour de mes hanches pour redresser nos corps entrelacés. Quand nous fûmes assis avec nos jambes emmêlées entre elles sur le matelas, je me surpris à passer mes mains sous son t-shirt pour tâter les contours de ses muscles. Je le sentis esquisser un sourire en coin contre mes lèvres quand j'entrepris de saisir le bout de son t-shirt pour le glisser par dessus la tête. Après que sa bouche eut quitté la mienne, Calum m'aida un peu et finit par soustraire son t-shirt en le jetant dans son bac à sale linge.

Je réalisai plus que jamais.
Il était là.
J'étais là.
Et il allait enfoncer son cornichon dans mon Big Mac.

« Tuvasenfoncertoncornichondansmonbigmac ? » Demandai-je rapidement, en espérant qu'il n'ait pas compris ma phrase.

« Attends, quoi ? » Calum fronça les sourcils tandis que je déglutis.

« Rien. » Je ris nerveusement en me dégageant du matelas.

Quand je fus debout sur mes deux jambes, j'inspirai profondément pour évacuer mes inquiétudes avant d'abaisser la fermeture éclaire située dans le dos de ma robe.

« Non, expli- » Calum ne put terminer sa phrase quand ma robe tomba au sol en dévoilant mon ensemble lingerie couleur prune. « Oh.. » Ses yeux m'examinaient de haut en bas avec énormément d'insistance mais j'étais incapable de déterminer si c'était du désir ou de la réflexion.

Je rougis furieusement en amenant mes bras contre ma poitrine. Il m'avait déjà vu en sous-vêtements mais cette fois-ci était différente des autres.

Je me sentais exposée. Cruellement et en dépit de toutes mes valeurs.

« Approche. » Ordonna Calum en s'installant sur le bord du lit.

Et avec la tête éternellement baissée, je m'amenai à lui. Calum garda les yeux levés sur mon visage, ses bras qui vinrent enlacer mes hanches. Je me contentai de m'humidifier nerveusement les lèvres en croisant son regard et il posa sa tête contre mon bassin alors que la seule chose que j'étais capable de faire était de passer une main dans ses cheveux.

J'avais été jugée et maintenant, voilà qu'il me câlinait la taille comme si ses propos n'avaient jamais existé.

Dès qu'il remarqua ma détresse, il eut un sourire narquois puis, avec ses iris sombres plantés dans les miens, il approcha son visage de mes hanches. Et avec une tendresse presque sensuelle, il pressa ses lèvres juste en dessous de mon nombril, tout en retenant mes hanches entre ses doigts tatoués.

« C'est l'ensemble que t'as acheté avec Amy ? » Demanda t-il, son souffle qui fouettait la peau de mon ventre à chaque parole.

« Mh... » J'opinai d'un hochement d'un tête quand il exhala un rire qui eut don de rebondir contre ma chair nue et parsemée de frissons.

Puis, sans prévenir, il baissa la tête vers mon bas de lingerie et ses dents vinrent attraper l'élastique de ma petite culotte.

« Qu'est ce que- » Je fus violemment interrompue quand il tira vers le bas et que ma culotte glissa jusqu'à mes chevilles pour dévoiler ma féminité.

Oh mon dieu.

C'est très gênant.

Mon vagin est devant son visage.

Et si j'urine ? Qu'est ce qui arriverait ?

« Hum.. Ouais.. » Bafouillai-je. Je rougis alors qu'il riait, ses yeux posés sur mon expression honteuse.

« Ça va, Dolly ? » Il massa tendrement le creux de mes reins sans quitter mon visage des yeux.

« Ouais. » Marmonnai-je, en tentant de masquer le fait que mes cheveux étaient de la même couleur que ma tête actuellement.

Calum m'octroya un clin d'œil avant d'abandonner une lignée de baisers trempés le long de ma cuisse.

Doux jésus.

Quand ses lèvres quittèrent ma chair, le froid me gagna à nouveau et il s'empressa de tendre le bras pour saisir l'attache de mon soutien-gorge prune. Et bientôt, j'eus le temps d'entendre un 'clic' que je fus libérée de ma dentelle.

'Nue comme un vers devant Calum Hood', mon histoire sous forme d'autobiographie explicite.

« Pourquoi tu ne te déshabilles pas, toi ? » Je râlai alors que Calum souriait dignement.

« Chaque chose en son temps. » Dit-il en prenant mes seins en coupe. Il les tâta avec convoitise et je commençai à me sentir comme un lapin qu'on caresse dans un refuge à adoption.

Gênant.

« Je peux leur donner des noms ? » Demanda Calum en roulant ses pouces contre mes tétons, ce qui eut comme réaction de ma part, un gémissement étouffé et une grimace rebutante.

« À qui ? »

« Tes seins. » Dit-il avec un sourire grand en se mettant à caresser mon dos avec affection.

Je cru avaler ma propre salive de travers.

C'est une blague ?!

« Non !! » M'écriai-je.

« Pourquoi ? J'ai bien donné des noms à mes abdos moi ! »

« Mais c'est malsain !! »

« Dans l'ordre il y a; » Il réfléchit quelques instants. « Liz, Joshua, Frank, Doug, Ronuald et Wilbert. »

« Attends, tu as donné à ton muscle le nom de la mère de ton meilleur pote ?! »

« Ouais. »

« Je refuse !! »

« Je vais quand même leur donner des noms. » Il étudia ma poitrine avec une moue de réflexion alors que j'avais juste envie de me liquéfier et de disparaître à jamais.

« Cal- »

« Joseph et Marty. »

« Par pitié, Calum.. »

« Mais je préfère Joseph. Il est plus consistant et- »

« Calum !! »

« Quoi ? »

« Arrête ! » Je passai une main dans mes cheveux. « Ouvre ton coeur pour une fois ! »

« Okay.. » Soupira Calum. Il détacha le bouton de son skinny puis saisit la fermeture éclaire de la braguette de son jeans pour la tirer vers le dessous.

« J'ai ouvert mon coeur. » Dit-il une fois que sa braguette fut ouverte.

« Oh mon dieu.. » Sacrai-je.

« J'attends. » Dit-Calum en s'appuyant sur ses mains.

« Tu attends quoi ? »

« Bah, ma fellation. » M'informa Calum, comme si c'était la chose la plus évidente du monde.

Une fellation ?
Mon pire cauchemar.

« Tu es sûr que tu veux de ça ? Y a d'autre manières de se faire du bien. »

« Dolly... » Il rejeta sa moue en avant pour me supplier.

« Jaijamaisfaitdefellation. » Dis-je.

« Quoi ? »

« J'ai jamais fait de fellation. »

« Et une simple branlette ? »

« Jamais. »

« Oh-Euh.. Je suppose que c'est en pratiquant qu'on apprend. » Déclara Calum.

« Je- Bon.. Okay.. » J'inspirai et m'accroupis. Et avec un grain de motivation, j'abaissai le skinny de Calum jusqu'à ses chevilles, dévoilant progressivement son boxer Calvin Klein blanc, lequel était déformé.

« C'est ton nouveau boxer ? » Demandai-je.

« Ouais. Le blanc c'est la pureté et l'authenticité, comme moi. »

« La pureté ? Tu es sûr ? » Je fronçai les sourcils.

« Ma bite n'est plus vierge mais moi je le suis. » Il m'octroya un clin d'œil.

« Oh mon dieu.. Tu n'es pas possible. »

« Ouais. Tu peux m'enlever mon boxer avec les dents en me regardant en même temps, c'est très excitant tu v- »

« Je vais faire comme je le sens. » Coupai-je, réfléchie.

Je fixai son boxer pendant quelques secondes, avant de me décider à saisir le bout du tissu. Et ainsi, je tirai vers le bas pour libérer sa bête.

Et quand je parlais d'une bête, je parlais pas d'une coccinelle ou d'un cloporte mais bien d'un grizzly.

C'est comme ça que je m'étais retrouvée avec la tête en face du pénis debout de Calum Hood.

« Il te dit bonjour. » Sourit Calum pendant que je louchai sur le bout affluant de son engin conséquent.

« Donc-hum... » Je me risquai à le prendre en main, entre mes doigts hésitants. Je resserrai mon étreinte, jusqu'à recevoir une réaction de la part de Calum.

« Lâche ! » S'écria t-il avec une expression de douleur, ce qui m'invita à tout lâcher. « Tu serres trop fort ! »

« Oh, désolée ! » M'exclamai-je en ramenant timidement mes mains près de mon corps.

« Okay.. Juste, prends le doucement. » Souffla Calum quand je pris sa verge dans ma main tremblante.

J'avais lu des tas de magazine qui traitaient là dessus. Mais là maintenant, je me rendais bien compte que j'allais devoir mettre ma théorie en pratique comme à une interrogation de mathématique.

Jane avait sûrement bien étudié, elle.

Et avec une volonté de bien faire, je commençai à faire monter et descendre ma main le long de son membre. À mesure que je variai les vitesses, je vis Calum prendre plaisir de différentes façons.

Mais au fond de moi, ça ne suffisait pas. Je voulais l'avoir à ma merci.

« Le bout.. » Implora Calum en se mordant la lèvre inférieure, luttant contre des gémissements.

« Quel bout ? Le bout du bas ou du haut ? » Je fronçai les sourcils d'incompréhension et tentai de toucher le bout supérieur de son pénis. Quand il échappa un juron, je compris que j'étais sur la bonne voie.

Mais bon dieu, ça restait gênant.

•••

« Et toi ? » Me demanda Calum.

« Quoi ? »

« Tu veux pas que je te- »

« Non merci. » Dis-je, les joues à nouveau cramoisies.

Une fois que Calum eut éjaculé dans un mouchoir, il reprit lentement sa respiration puis recula sur la surface du lit. Il tendit le bras pour ouvrir son tiroir et en dénicher sa boîte de préservatif.

Et comme je m'en doutais, ce n'était pas des King Size mais des Large.

« Tu as mentit. » Dis-je en pointant sa boîte de préservatif.

« Y avait que ça en magasin. Je rentrais pas dans les autres tailles. » Il passa sa langue sur ses lèvres en sortant un carré en plastique doré.

« T'inquiète pas, si ton pénis était trop petit, on pouvait toujours mettre un élastique pour combler le vide. » Dis-je alors qu'il m'envoyait un regard noir.

« Tu te rebelles maintenant que tu sais qu'on va baiser ? »

« J'ai juste toujours rêvé de te l'envoyer, celle-là. » Affirmai-je, songeuse.

« Mh.. Tout s'explique. » Grogna Calum en me balançant le préservatif que je réceptionnai entre mes mains.

Et avec une boule dans l'estomac, j'ouvris précautionneusement le paquet en veillant à ne pas le déchirer avec mes ongles –pourtant courts et presque inexistants–.

Je ne voulais pas d'un nouveau bébé. Et comme la dernière fois, c'était Calum qui s'était chargé de mettre le préservatif, je préférais m'en occuper moi cette fois-ci.

Voilà pourquoi je m'étais retrouvée à dérouler le préservatif sur le membre de Calum, avec le plus grand des calmes et la plus longue des patiences.

« Tu vas au dessus ? » Me demanda Calum.

« Oh... » Je rougis. « Je peux essayer.. Enfin-J'ai jamais.. Bref. Okay. » Annonçai-je en relâchant le plastique sur sa verge dressée.

Il se réinstalla sur le matelas, s'allongeant en prenant appui sur ses coudes. Pour ma part, je déglutis avant de me placer en califourchon sur ses jambes, sa virilité qui frottait dangereusement mon entrée. Avec une voix étonnement douce, Calum souffla:

« T'es sûre que cette position te conv- » Je l'ignorai et me contentai de descendre sur sa longueur. « Oh... Bordel de merde, Dolly... » Il jura puis laissa tomber sa tête sur son oreiller.

J'inspirai grandement quand il me remplit entièrement. Pour être honnête, je n'avais jamais connu une telle sensation de bien être mais de douleur à la fois. C'était bon de l'avoir en moi, ses yeux dans les miens et ses doigts qui s'entremêlèrent aux miens. Je ne m'étais jamais sentie aussi proche de lui.

Et honnêtement, je me retenais de gémir. Juste parce que;
- Il en avait déjà entendu des plus beaux dans sa vie.
- Si il trouve déjà que mon rire est moche, je n'ose imaginer ce qu'il penserait de mes gémissements.

Malgré mon incertitude, mon bien-être m'incita à bouger sur son membre et je me retrouvai à rouler doucement des hanches, encouragée par les soupirs satisfaits de Calum.

« C-Calum.. » Je finis par souffler sans cesser mes mouvements quand il embrassa l'étreinte de nos doigts entrelacés.

« Je suis là, bébé... » Murmura t-il pour me rassurer, sa voix rauque qui flottait joliment pour recouvrir mes gémissements non-contrôlés.

Il se redressa pour enrouler ses bras autour de mes hanches et m'aida à monter et descendre sur sa virilité. Je m'exécutai, mes mains qui prenaient le visage de Calum en coupe. Puis, pour étouffer nos soupirs à l'unisson, je vins planter un baiser sur ses lèvres charnues. Il répondit immédiatement à mon baiser et vint prendre ma lèvre inférieure entre ses dents, en réceptionnant les coups de nos bassins qui s'entrechoquaient. Mais plus rapidement que ce que je pensais, mes mouvements devinrent plus négligés et rapides quand je sentis que mon estomac se nouait. Calum se crispa en dessous de moi et nos lèvres se quittèrent avec un son humide. Il poussa un grognement rauque en saisissant mes hanches pour m'aider à accélérer.

« Continue... » Soupira Calum en venant nicher son visage dans mon cou tandis que je peinais à présent à retenir ma poitrine contre mon bras pendant mes rebonds.

« Oh.. Mon dieu, Cal.. Je... » Je mordis ma lèvre inférieure en gardant un bras autour de sa nuque alors qu'il m'étudiait avec beaucoup d'intensité.

« Dolly.. » Il gémit mon nom, ce qui accentua d'autant plus la sensation de l'immense trou qui se creusait dans mon estomac.

Et à ce moment-là, je descendus une dernière fois à la rencontre de son bassin et ce fut le moment opportun pour que je vienne avec un soupir de détente, Calum qui m'imita quelques secondes après en remplissant le préservatif. Je m'écroulai contre son torse robuste pendant qu'il calmait sa respiration.

Mais dans le plus grand des calmes, alors que ce n'était ni l'instant ni le moment, Calum déclara:

« Sois ma copine. »

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