Ho les Granger-Weasley ! Faut qu'on parle.

Hermione Granger se trouvait dans le salon. Elle avait allumé son ordinateur portable et travaillait à son prochain discours. Ron Weasley, assis sur le canapé, était plongé dans un livre qui semblait passionnant à voir son intérêt. Le rouquin regarda sa montre.

- Hermione, il faut qu'on aille chercher les enfants. Il est cinq heures moins dix.

- Ho, tu as raison. On y va à pieds ?

- Comme tu veux.

Quelques minutes plus tard, ils arrivèrent à l'école. Ils patientèrent un peu, car Ron avait pris soin de partir en avance, ce qui était très rare de sa part. Soudain, la sonnerie retentit. Les élèves sortirent tous de leur classe. Deux enfants âgés du même âge se précipitèrent vers Ron et Hermione. Le garçon était très brun et la fille rousse. Ils paraissaient ravis. 

- Maman ! 

- Oncle Ron ! C'est vous qui venez me chercher aujourd'hui !

- Oui Al, j'ai donné trop de travail à ton papa, enfin ça c'est ce qu'il dit, murmura la Ministre de la magie avec un clin d'oeil.

- Vous savez où est Hugo ?

- Oui, il arrive. On a un truc à vous dire mais on doit attendre Hugo ! C'est trop bien ! 

Ron sourit. Puis, alors qu'il regardait devant lui, il éclata de rire. En effet, son fils essayait désespérément de marcher mais son cartable plus gros que lui l'en empêchait et le faisait basculer en arrière.

- Je crois qu'il vas falloir que j'aille le porter...

Le jeune homme alla chercher son fils et lui pris son cartable. À la seconde près où ils arrivèrent auprès des autres, Albus et Rose commencèrent à parler.

- Eh ben en fait, ben la maîtresse elle à dit que comme c'est une classe unique ben en fait...

- À moi ! Ben on va faire un spectacle où on doit imiter nos parents avec nos frères et soeur si on en a, et les autres ils vont faire une sorte de sketch où ils disent par exemple : il y a plusieurs types de parents comme tatata et là y'a des frères et soeurs ben ils font leurs imitations et...

- Et c'est une impro... impro... improvisation ! 

- C'est génial ! Et vous savez quand c'est ?

- Vendredi prochain ! 

- Parfait, j'essayerai de me libérer. Et de libérer ton père, Albus. James est rentré tout seul ?

- Oui. 

- Et toi Hugo, comment ça s'est passé mon chou ? Tu veux bien nous raconter où ça te dérange trop ?

- C'était plutôt bien. Mais en fait les grands, enfin je veux dire les autres, au début ils croyaient que je m'étais trompé de classe et que j'étais idiot parce qu'ils pensaient que je ne comprenais pas quand il me le disait.

- Ho ! Je vais aller les taper moi ces grands ! 

- Ron ! 

- C'est vrai papa, régler un malentendu par la violence n'est jamais bon. 

- Ah... t'es sûr que tu ne vas pas encore sauter une classe toi, petit bonhomme ?

- Ron ! Veux tu arrêter oui ! 

- Moi aussi je t'aime Hermione.

Il l'embrassa.

- Beurk ! C'est dégoûtant ! Il lui a fait un bisou sur la bouche ! 

- Hermione, dans combien de temps ils auront vingt ans ?

- Longtemps, mon chéri. 

- Maman, j'espère que tu sais que c'est dans seize as-ns que j'aurais vingt ans. 

- Mais oui, Hugo, je le sais. On y va ? 

- Oui, il est déjà et quart.

Les Granger-Weasley, ainsi que le jeune Potter, rentrèrent chez eux. Harry passa chercher Albus, en rallant à cause de son travail, bien entendu. Ce à quoi Hermione répondit qu'elle en avait considérablement plus. Harry fit mine ne ne pas avoir entendu et repartit. 

---------------------------Vendredi-----------------------------

- Ron ?! Tu es déjà debout ? 

- Ouais, je dois aller en avance au ministère pour faire mon travail.

- Pourquoi en avance ?

- Ben...

- Ron ?

- Je dois aider Harry.

- Ce flemmard.

- Hermione ! On dit ce fainéant !

- Oh non ça va, déjà que le dimanche je dois entièrement garder Hugo ! 

- C'est pas sympa, Mione. 

- Pendant ce temps là, tu peux faire ce que tu veux. 

- Je t'aime. 

- Je sais. Moi aus... moi de même. 

Ron eut un sourire en coin. Il mit sa veste et ouvrit la porte.

- Ron... tu veux pas qu'on demande a Ginny d'emmener les enfants ? 

- Pourquoi ?

- On fait le chemin ensemble. Ça fait longtemps que l'on ne s'est pas disputés.

- Ça te manque ? Moi un peu.

- Tu as de la fièvre.

- J'aimais bien quand on se réconciliait. 

Hermione retira la main qu'elle avait sur le front de Ron.

- Ah non, ça va. J'appelle Ginny.

---------------------------------Le soir, moment du spectacle-------------------------------

Un moment était passé. C'était le tour de Rose et d'Hugo. 

- Je te jure qu'ils vont mal nous représenter.

- Forcément. 

Hermione posa sa main sur celle de son mari. 

- Ça commence, murmura-t-elle.

"- Ron ! 

- Quoi...

- Je te promet que si c'est toi qui devait faire le dossier n°238...

- C'est pas moi.

- Et peux-tu me dire qui c'est ?

- Harry. 

- Bien sûr. Harry travaille, au moins.

- Ce n'est pas ce que tu disais la dernière fois.

- Et bien tu sais, il existe une chose appelée "changement", qui signifie le fait d'être modifié. J'ai changé d'avis. 

- C'est pas moi je te dis ! 

- C'est qui alors Ron ?! Harry m'a rendu le dossier n°813, lui ! 

- C'ÉTAIT MON DOSSIER ! J'ai passé deux semaines à le faire, jour et nuit ! 

- Oh... je m'en souviens. Un jour Harry va finir par être viré. Ce n'est pas parce qu'il est "le survivant" que...

- Tu es lunatique, Hermione. "

- Alors, ma chérie ? Ça allait, finalement. 

- Tu le penses vraiment, Ronald ?

- Non. Et en plus de ça, il a fallut qu'Harry soit là. 

- Vous parlez de moi ? 

- Harry...

- C'est pas grave. En attendant vous, vous avez un sérieux problème. 

- On ne se dispute plus depuis longtemps. 

- Ouais ! 

- Maman ! Ça... ça va ? 

- Rose. Tu le pensais sincèrement ?

- Ben avant oui mais maintenant, vous êtes plus méchants entre vous et vous vous insultez plus. Mais tu dis toujours qu'oncle Harry ne fait jamais son travail.

Ron rougit. Hermione sourit. Harry voulu s'enfuir mais son fils le retint. Les enfants éclatèrent de rire.

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