Kagami x Reader
Commande de: Angie15_Jackson
J'espère que ça te plaira !
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Je déteste être malade, mais vraiment, la fièvre n'est pas mon truc. Avoir chaud, puis froid, puis chaud, puis froid, ...etc Pendant une semaine, c'est pour moi, clairement l'enfer. En temps normal je suis le contraire d'une personne frileuse alors quand je fais de la fièvre et que je suis dans la période "j'ai chaud", j'ai l'impression d'être dans un micro-onde à l'intérieur d'un four.
De plus, je ne parle presque jamais car si je le fais, je dis tout ce qui me sors pas la tête et ça, vaut mieux pas car je suis à fleur de peau, je ressens tout version mille fois plus, et ça, Himuro, mon grand-frère l'a bien compris et m'a laissée seule à la maison pour aller en cours.
Son excuse pour ne pas s'occuper de moi était, je cite:
« Désolé ma petite (T/P) mais je n'ai pas envie d'être malade, j'ai un match dans pas longtemps alors appelle Kagami pour qu'il te ramène tes cours vu que tu es à Seirin et ne m'appelle pas, je vais dormir chez Murasakibara jusqu'à ce que tu ailles mieux. J'ai demandé à Kagami de venir te faire à manger, et non à Gladys et Riko, je n'ai pas envie que tu meurs quand même, je t'aime après tout ! Allez salut et ne bouge pas de ton lit. »
Je. Déteste. Etre. Malade.
Bon vous avez sûrement dû déjà le comprendre plus haut.
Il est midi, je crève de faim mais je n'ai même pas envie de me lever, de plus je dois me préparer psychologiquement à ce que Kagami, mon crush de la vie, arrive à la fin de la journée.
Je soupire bruyamment et finis par lâcher un cri très viril, le contraste de ceux que je lâche d'habitude en voyant une araignée, sauf que là, ça me soûle tellement de ne pas pouvoir bouger alors crier m'aide à extérioriser tout ça.
« Désolé Tatsuya Himuro mais je ne peux vraiment pas rester dans mon lit sans bouger toute la journée. »
Je me levais, difficilement, lentement, mais surement, et marchais jusqu'au salon tel un zombie. Tournant à gauche, dans la cuisine, j'attrapais la bouilloire, versais de l'eau à l'intérieur et l'allumais. J'ouvris un placard et en sortis un bol de nouille instantané. Je n'avais vraiment pas envie de faire à manger. Quand l'eau de la bouilloire fut prête, j'enlevais la moitié du sachet du bol de nouille, et versais de l'eau dedans jusqu'à la petite barre du niveau qu'il fallait atteindre. Je refermais le sachet, pris deux baguettes et emmenais le bol jusqu'à la table basse du salon. Saisissant la télécommande, j'allumais la télé et m'asseyais par terre, dos contre le canapé. Je zappais les chaînes et finis par tomber sur un drama tout moisit mais qui m intéressait puisqu'il n'y avait rien d'autre de passable. J'aurais même pu regarder Franky ou Chica Vampiro si ça passait.
Quelques minutes plus tard, je m'emparais des baguettes ainsi que du bol en plastique qui renfermait mes très chères nouilles, et retirais complètement le sachet du dessus. J'humais l'odeur et frissonnais quand mes doigts rencontrèrent la chaleur qu'émanait le bol.
Je le vidais en regardant la télé, tout en commentant les passages d'ultra cliché ou d'idiot, en imitant les rire d'imbéciles que sortaient les deux protagonistes de la série télévisée.
« Je suis vraiment tomber sur une daube », soupirais-je lorsque le générique de fin arriva enfin.
J'allais me lever pour repartir dans ma chambre quand le début d'un autre drama commença.
« Et merde, la boucle infernale des drama m'attire trop, même si il y en a des naze qui passent. », me lamentais-je, incapable de détourner mon regard de l'écran.
Celui-là était tellement ennuyant que je finis par m'endormir, la tête poser sur le canapé. Bon peut-être que c'est aussi parce que je suis bien malade.
Je crus entendre du bruit, mais je n'arrivais pas à me réveiller. Tout en percevant un grognement de mécontentement, je me sentis soulever.
« J'étais sûr que tu allais te lever (T/p). T'es aussi chiante que Gladys des fois. », chuchote une voix de garçon.
Je réussis à ouvrir un tout petit peu un œil et je rencontrais un regard bordeaux, souligné par des sourcils se séparant
en deux vers la fin. (j'ai pas pu m'empêcher de rire... xD)
« Kagami ?, marmonnais-je en posant ma main sur sa joue alors qu'il se dirigeait vers ce que je suppose être ma chambre.
- Dors (T/p), t'as l'air encore plus malade que ce qu'Himura m'a dit au téléphone ce matin. En plus tu dois avoir froid et... »
Ne disant rien, je me blottis dans ses bras, souriant parce qu'il dégageait de la chaleur. Je ne vis pas qu'il rougissait et sentis son odeur.
« Tu sens bon et en plus tu es tout chaud. »
Il me posa dans le lit et rabattit mes couettes sur mon corps. Kagami s'apprêtait à repartir mais je l'interpellais.
« Attends, ne pars pas, je veux pas être toute seule, Himuro est partit chez Mura parce qu'il a un match ce weekend et... »
Je m'arrêtais de parler en sentant ses lèvres sur mon front.
« Tu vas être malade Bakagami, souris-je.
- Tu viendras me soigner, rigole-t-il. Mais je ne te laisserais pas (T/p), je vais rester avec toi jusqu'à ce que tu ailles mieux. Maintenant dors, ça t'aidera à te sentir mieux. »
Je lui souris et il sortit de ma chambre, me laissant m'endormir rapidement.
A mon réveil, je sentis une agréable odeur venant de la cuisine. Je m'étirais puis sortis du lit et me dirigeait vers la source de cette délicieuse odeur. A travers la fenêtre du salon, je vis qu'il faisait nuit, mais bon, nous sommes en hiver après tout.
« Enfin réveillée ? », déclare la voix de Kagami.
Je me retournais et lui souris.
« Oui j'ai enfin réussis à dormir. »
Il rigole et vient ébouriffer mes cheveux.
« Tu as faim ? J'ai finis le repas depuis cinq minutes.
- Tu as fais à manger ?, m'empressais-je de demander.
- Oui pourq...
- Trop bien ! Allons manger alors. »
Je le pressais d'aller à table, là où tout était présent, et nous nous asseyons l'un en face de l'autre. Il ouvrit le couvercle qui renfermait la chaleur de la viande et je découvris une sauce qui l'accompagnait et semblait toute aussi appétissant que l'odeur.
En fourrant ma fourchette dans ma bouche, je fermais les yeux, mes papilles gustatives frétillant de bonheur lorsqu'elles rentrèrent en contact avec le riz mélangé avec la viande et cette sauce exquise.
« Tu es vraiment un bon cuisinier Taiga, je te l'ai toujours dis, même quand on était en Amérique, mais mon dieu, j'ai l'impression que tu t'es amélioré encore. C'est vraiment délicieux, je pourrais manger tes plats toute ma vie. Ta copine et futur femme aura vraiment de la chance... »
J'avalais la nourriture et relevais mes yeux pour les planter dans les siens et je vis qu'il me fixait, depuis le début je suppose, avec un air que je ne lui avais jamais vu avant, les joues légèrement rougies.
« De toute façon je peux te faire la cuisine toute ma vie pour que tu puisses manger mes plats toute ta vie, comme ça je pourrais tout le temps te voir sourire, tu es vraiment magnifique quand tu es heureuse.
- Euh.. Je... »
Il écarquilla ses yeux, se rendant compte de ce qu'il venait de me dire.
« Fais pas attention à ce que je viens de te dire (T/p) ! Pas que je t'aime hein je t'aime pas enfin si mais toi non et... »
Alors qu'il parlait, j'attrapais sa main, lui souriant de toutes mes dents.
« Moi aussi je t'aime Taiga. »
Il s'arrête de parler, puis regarde ma main sur la sienne. Il devient plus serein et retourne sa main, afinq ue sa paume touche la mienne. Il entremêle nos doigts ensemble et ancre son regard dans le miens. Kagami se leva de sa chaise et se pencha vers moi. Sa main libre attrape mon menton et le relève vers le haut, afin que je lui fasse face.
« Tu es vraiment la fille parfaite (T/p).
- Taiga ne fais pas ça, tu vas être mala...! »
Il scelle nos lèvres entre elles, introduisant sa langue dans ma bouche, et il me donne un baiser doux et langoureux.
Une semaine plus tard,
J'ouvre la porte d'entrée et trouve une touffe rouge avachit sur son canapé, torse nu, avec seulement un boxer comme vêtement.
« Taiga ! Habille toi purée !
- En quoi voir ce corps de rêve te dérange ma petite (T/p) ? », dit-il en s'approchant de moi avec une démarche de félin.
Je fixais ses muscles, il fallait avouer qu'il avait raison, mais il est malade alors il faut qu'il se couvre !
« Tu es malade, va... va t'habiller... », marmonnais-je en détournant mon regard du siens quand il me surplomba de sa hauteur.
Il sourit, d'une façon que je ne saurais définir et posa sa main sur ma joue, levant mon visage vers lui, tandis que l'autre attrape le haut de mon manteaux. Il tira dessus afin de me le retirer, son sourire s'agrandissant quand il approche son visage du miens, frôlant ma bouche avec la sienne.
« Tu es un peu trop couverte à mon goût. »
Et il se jette sur mes lèvres, un sourire pervers sur le visage.
Taiga Kagami ne sait pas contrôler sa libido lorsqu'il a de la fièvre, mais bon, c'est un plaisir de lui faire passer cette envie comme il le souhaite.
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