Madara remua mal à l'aise alors que le bébé le frappait de l'intérieur. Il n'était pas sûr de pouvoir supporter encore trois mois de cela. Le bébé de Pain était à la fois grand et excitable. C'était de bon augure pour la santé et la survie du bébé, mais la combinaison était un enfer pour le corps de Madara.

Son dos lui faisait mal tout le temps et ses chevilles étaient enflées. Le pire de tout était la taille de son ventre. Les guérisseurs Uchiwa ont juré haut et fort qu'il devait porter des jumeaux et qu'il devait prendre des précautions supplémentaires pour leur santé. Les guérisseurs Senju ont fait claquer leur langue et ont dit que les grossesses de Madara étaient en moyenne plus grandes et que s'il portait des jumeaux, il ne pourrait pas marcher sans aide. Ils ont tous convenu que Madara devrait se reposer fréquemment et essayer de réduire son stress. C'était exaspérant que la plus grande source de son stress soit les guérisseurs qui se disputaient sur la façon dont il devrait s'occuper du bébé dans son ventre en pleine croissance. Madara ne savait pas ce qu'il aurait fait si Pain n'avait pas été lui-même guérisseur et parfaitement capable de superviser la grossesse de Madara.

« Madara ? » Pain a appelé. "Je suis de retour."

"Bienvenue à nouveau," cria automatiquement Madara.

Il essaya de se lever et de saluer son mari correctement mais son ventre l'empêchait de bouger rapidement. Pain ouvrit la porte intérieure avant que Madara ne réussisse à faire plus que mettre ses mains sous lui.

"Non, ne te lève pas," le pressa Pain en entrant dans la pièce.

"Au moins, aide-moi à m'asseoir," protesta Madara. "J'ai été sur le dos toute la journée."

"J'espère que tu t'es  au moins reposé," Pain fronça les sourcils.

"Comment puis-je me reposer quand votre bébé refuse d'arrêter de bouger?" Madara a porté plainte.

Pain se glissa derrière lui et aida Madara à s'asseoir contre son torse ferme. Ses mains étaient chaudes alors qu'il les glissait sous les vêtements de Madara et caressait le ventre de Madara. Le bébé donna un nouveau coup de pied en réponse au toucher de son père. Pain roucoula par-dessus le flottement contre sa paume.

"Et tu l'encourage, " gémit Madara. Il ne bougea pas les mains de Pain bien qu'il y ait pensé.

"C'est bon signe", a rétorqué Pain. "Notre bébé naîtra en bonne santé et fort." Il se blottit dans les cheveux de Madara et embrassa sa tempe. "Merci pour tout ton travail."

Le visage de Madara était brûlant. Même s'il se plaignait d'être enceinte, il voulait vraiment ce bébé. Il voulait plus de famille. Il n'aimait pas la façon dont être enceinte sapait autant son énergie et sa force, mais tant qu'il donnait naissance à un bébé en bonne santé, il prévoyait de le refaire jusqu'à ce qu'il y ait au moins quatre paires de petits pieds courant dans leur maison. .

Les mains de Pain descendirent sur la peau de Madara. Ses mains étaient chaudes et Madara ressentit une pointe d'excitation. Avec ses hormones partout, il ne faudrait pas longtemps pour devenir complètement dur.

« veux-tu  que je berce le bébé pour qu'il s'endorme ? demanda Pain. Ses mains prenaient le dessous du ventre massif de Madara.

Madara laissa tomber sa tête sur l'épaule de Pain et ferma les yeux. "Merde. Oui ," grogna-t-il.

Pain ouvrit le pantalon de Madara et caressa ses doigts le long de ses cuisses. Madara se tortilla sous son toucher et retourna sur les genoux de Pain. Il était content de sentir la dureté croissante contre son cul. Pain avait une attirance impie pour le corps changeant de Madara. Il n'avait jamais fait en sorte que Madara se sente indésirable ou peu attrayante alors que son ventre grossissait.

Pain a aidé Madara à se déplacer de ses genoux pour s'allonger sur le côté. Son pantalon ouvert glissa jusqu'à ses genoux alors qu'il bougeait et Pain le fit descendre jusqu'à ce que Madara puisse le retirer. Il a laissé sa moitié inférieure complètement nue. Madara n'a pas pris la peine de porter des sous-vêtements ces jours-ci parce que c'était trop d'effort.

Pain glissa ses doigts vers la fissure de Madara et joua avec le bord de son trou du cul. Il céda facilement aux doigts de Pain mais il n'était pas assez humide pour permettre une pénétration profonde. Il gémit à la perte lorsque les doigts de Pain le quittèrent mais cela ne prit qu'un instant jusqu'à ce qu'ils reviennent dégoulinant d'huile. Pain a massé l'huile dans son passage tout en s'assurant que Madara était suffisamment détendue et ouverte pour prendre sa bite.

Le bébé a encore donné des coups de pied. "Dépêches-toi," demanda Madara.

Pain rit doucement dans ses cheveux mais fit ce que Madara demanda. Il souleva la jambe de Madara et se glissa en lui avec un gémissement. Madara tendit la main pour saisir la hanche de Pain alors qu'il commençait à s'enfoncer dans son corps.

C'était bon. Le plaisir dissipa une partie de la raideur dans le bas de son dos et ce fut un soulagement si fort qu'il en eut les larmes aux yeux. Madara se balança sous les poussées de Pain et haleta sous l'assaut.

"Tu es magnifique, Madara," murmura Pain. "Tu brilles de vie."

"Tais-toi," ordonna faiblement Madara. Il enfonça ses doigts dans la peau de Pain et s'appuya de son autre main contre le sol.

"Je sais que c'est difficile mais j'ai hâte de rencontrer notre bébé", a poursuivi Pain. Ses mots chuchotaient intimement à l'oreille de Madara.

Madara tourna la tête alors que ses larmes de soulagement coulaient sur le sol. Pain se hissa plus haut et écarta les cheveux de Madara de son visage.

"Il n'y a pas besoin de pleurer", a assuré Pain. Il pencha le visage de Madara en arrière pour l'embrasser.

Madara lui rendit son baiser avec désespoir alors que son corps se resserrait avec l'orgasme imminent. Pain se pencha pour caresser sa bite et Madara se brisa. Il haleta en venant et se tortilla autour de la bite de Pain jusqu'à ce que son mari le suive.

Madara s'appuya contre la masse de Pain alors que son rythme cardiaque ralentissait. Il était collant et grossier, mais le bébé s'était installé dans son ventre comme Pain l'avait proposé.

Pain sortit et alla chercher un chiffon humide. Il essuya Madara et le replaça dans son lit. Ce n'était que la fin de l'après-midi, mais Madara avait l'impression qu'il pourrait dormir pendant une semaine, même s'il savait qu'il serait debout dans quelques heures pour faire pipi.

"Je t'aime," murmura Pain.

Madara sourit d'un air endormi. "Je t'aime aussi."

Fin.