Chapitre 5
https://youtu.be/pDYlWAf-ekk
-Bon, très bien...tu n'es pas bavard toi...
Il n'aimait pas parler enfait, une voix pouvait tous dire, tous réveler, une voix ment, trompe, fourche, hurle, pleure...non il ne parlait plus, plus du tout, parce qu'il n'en ressentait plus le besoin. Peut-être que s'ils revennaient il se forcerait.
Alors, sous ses cheveux noir comme la nuit, elle le regardait, intriguée, qui c'était celui là, avec des vêtements en lambeaux, juste un tout petit peu de peau sur ses os, des petits yeux bleus comme le ciel et des cheveux chatain quelques peu gras sur le sommet du crâne, mais qui était-elle pour juger ce petit corps faible qui luttait presque pour rester debout.
-Tu veux t'assoir ?... Ou tu veux un bout de pain ?
Ce mot ne fit qu'un tour, immédiatement il haucha la tête avec enthousiasme.
Alors elle glissa sa main dans un petit panier rempli de pinceaux, de boîtes de peintures, et de carnets...Elle sorti le pain enveloppé dans un torchon blanc, elle arracha un gros morceaux de la baguette et lui tendit. Il l'attrapa comme le petit sauvage qu'il était. Il le dévora en un rien de temps. Augustine, elle, sortait petit à petit, tous son matériels, elle ouvrit un carnet rouge et commença à faire quelque chose lui qui semblait être un dessin. Il s'approcha et vit quel talent il avait sous ses yeux.
-C'est la mer...c'est tellement impressionnant à observer, sur ses vagues on dirait...dirait qu'il a des centaines de cheveaux blancs qui galoppent sous des pétales de nuages roses...
Il n'y avait jamais penser mais maintenant qu'elle le disait ça sonnait si juste, comme si le monde avait été crée dans cette attention...c'était incroyable, comme elle avait raison. Comme tous étaient plus complexe et plus beau qu'il ne l'avait cru.
Sûrement que Maman avait aussi découvert cette vérité là. C'est pour ça qu'elle restait des heures assise sur la falaise, les yeux perdus dans l'eau et le ciel. Lui, avant, il n'aimait pas ces moments, car Maman n'arrêtait pas de pleurer. Quand il était petit il croyait que toute l'eau de la mer venait des larmes de sa mère...mais avec le temps cette idée naive disparut de sa tête. Il n'osa jamais lui demander pourquoi, pourquoi ses yeux étaient triste, pourquoi...pourquoi...elle aimait-elle que ses jambes ce balance dans le vide, pourquoi voulait-elle être seule, pourquoi il n'avait pas le droit de la consoler, pourquoi...pourquoi elle faisait ça, pourquoi elle avait fait ça, pourquoi un matin pourquoi ce matin là, elle décida de plonger, de plonger dans le noir, le bleu, le rouge... de l'eau, peut-être qu'elle voulait nager, mais pourquoi n'était-elle jamais revenue après, elle c'était sûrement perdue...
Mais un jour elle retrouvera la maison, un jour elle le retrouvera...Maman elle est forte, elle saura me prendre dans ses bras et sourire, comme avant.
-Hého...ça va, pourquoi t'es dans le lune comme ça ?
Ses petits yeux clignèrent vivement, il revint à la réalité non sans un peu de mélancolie et il lui sourit comme pour la rassurer. Tout à coup son jeune esprit eut une idée. Il prit le carnet qu'il concidèra comme le plus vieux et le plus abimé. Il saisit un crayon à papier et il se mit a écrire quelque chose:
Viens
Puis il rangea cela dans sa poche. Sur ça il se mit à sauter sur les toits, toujours sur les plus loins du port. Augustine laissa toutes ses affaires, de toute façon à pars les mouettes personne ne venait ici. Il avançait vite mais elle ne peinait pas à le suivre. Par contre elle n'avait pas la moindre idée d'où ils pouvaient aller comme ça.
Elle n'était jamais partie aussi loin de sa maison, un maudit couvant, un orphelinat pour fille, un soit disant paradis aux portes de l'enfer. Elle n'avait jamais connut ses parents, comme la pluparts jeunes filles de là-bas. Une bonne soeur, soeur Thérèse, lui repètait sans cesse qu'elle ne pouvait être que la fille d'une putain qui trainnaient dans les rues humides de la ville, et d'un vieux pêcheurs puants le poisson mort. Autrement dit, la vie la bas n'était pas une partie de plaisir. C'était pour ça qu'elle venait sur les toits, comme ça elle était libre de vivre et d'être ce qu'elle voulait être...une artiste.
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