Chapitre 5 :« La clé »
POV Lucy :
Je me levai avec difficulté, je savais l'effet que pouvais avoir cette clé mais je n'imaginais pas ça.
Il se nourrit du désespoir et de la haine, seulement c'est la seule chose présente ne moi.
Je sais que Rei a récupéré la clé, je l'ai sentis durant la nuit.
Ils croient tous qu'il fait exprès de tuer ses maîtres mais c'est faux je le sais.
Il n'a pas souhaité le tuer il y a un siècle.
Les véritables faits ont été déformés par le temps et les personnes présentes.
Seuls nous les descendants de cet homme savons la vérité.
Arthur Heartfillia considérait Kuroko l'esprit comme un membre de sa famille, comme son propre fils.
Le roi des esprits n'a pas supporté qu'il s'unisse avec la fille de son maître et qu'il créer une descendance mi humaine et mi esprit et pour cela il l'a maudit a tuer petit a petit ses maîtres.
Au fur et a mesure du temps Kuroko a vu sa famille se détruire et mourir par sa faute et cela l'a rendu complètement fou de chagrin et avide de vengeance contre le roi des esprits et les bons esprits.
Lorsque j'ai rencontré pour la première fois Kuroko, je savais déjà la vérité sur mes origines et j'ai apprécié rencontrer cet ancêtre.
Il m'a tout de suite reconnu comme étant une Heartfillia.
Au final ce n'est pas sa malédiction en elle-même qui nous tue les un après les autres, nous les Heartfillia mais le fait qu'étant a moitié esprit nous avons besoin d'aller comme tout esprit dans notre monde.
Mais nous ne pouvons pas, nous nous retrouvons donc à mourir car notre énergie ne se régénère pas.
Je vois Rei avancer vers moi, mais quand je vois son regard chocolat je sais que ce n'est pas lui.
« - Kuroko (dis-je).
- Lucy, comment tu as deviné que c'était moi ?
- Tes yeux, les yeux chocolat sont les yeux de notre famille et non de celle de Rei (dis-je).
- Oui c'est vrai vous avez tous prit ses yeux et ses magnifiques cheveux blond (dit-il avec un sourire triste).
- Mais on a prit ton intelligence et ton courage (lui rappelais-je).
- Ton manque d'énergie commence a se faire sentir (me dit-il).
- Je sais, mais bientôt le roi des esprits va payer pour son geste et tu seras libre
- Tu es la seule qui cherche à m'aider.
- Parce que je suis la seule à savoir la vérité sur nous.
- Ton frère ne sait pas encore qui il est ?
- Ne t'en fait pas bientôt la vérité sera révélée.
Bientôt nous récupérerons ce qui nous a été volé (dis-je avec conviction). »
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