L'homme ne savait pas où il se trouvait. Malgré la noirceur des lieux, il arrivait à distinguer des murs de bétons ainsi que des fenêtres hautes, lui signifiant qu'il était probablement dans un sous-sol mais que la présence d'une seule fenêtre  pourrait nuire à toutes tentatives d'évasions ou d'appels à l'aide. En face de lui il pouvait distinguer un corps gisant inerte sur le sol, entouré d'un liquide à l'odeur métallique ainsi que d'étranges formes qu'il ne pouvait distinguer.

Soudain, la lumière repris ses droits sur la pièce et éclaira le corps du malheureux qui gisait, probablement mort et entouré de sang et d'organes. L'homme, sensible à l'immonde odeur qu'il sentait depuis des heures, fut davantage écœurer par les images que son cerveau lui renvoyait. Il entendit soudainement des pas se rapprocher de lui, l'être qu'il arriva à apercevoir portait un masque blanc et ses cheveux mi-longs bruns était attachés. Sa démarche et sa morphologie indiqua à l'homme que son ou plutôt sa kidnappeuse était belle et bien une fille. L'homme, qui n'était pas attachés, tenta de l'attaquer par derrière mais la jeune femme, plus rapide et agile, l'assomma d'un puissant coup.

À son réveil, l'homme remarqua qu'il était attachés, que son chandail lui avait été retiré et qu'il avait un bandeau qui lui couvrait la bouche, empêchant tout bruits qu'il pourrait produire d'être entendu. Il entendit un ricanement et la femme masquée apparut dans son champs de vision. Tout en rigolant, la femme se munit d'une pince et d'un ciseau et s'approcha de l'homme. Elle sourit à travers son masque lorsqu'elle vit le regard apeuré de l'homme à la vue des objets. Avec la pince elle pinça le lobe de l'oreille gauche de l'homme qui gigotait dans tous les sens, dans l'espoir de s'en sortir, et tira dessus pour l'étirer suffisamment avant de couper net la peau. Du sang coula lentement sur le côté de la tête de l'homme qui avait écarquiller les yeux en voyant sa peau tomber à ses côtés. La jeune femme se munit à nouveau de sa pince mais reposa le ciseau pour prendre un paquet d'aiguilles. Elle plaça la pince sur l'ongle du majeur droit de l'homme et tira dessus d'un coup sec. L'ongle s'arracha, amenant avec lui une partie de la peau. La tortionnaire planta ensuite trois aiguilles sur la zone autrefois couverte par l'ongle. Elle fit cela avec tous les doigts des deux mains du malheureux. Elle prit ensuite un marteau avec des clous et cloua les mains de l'homme sur la table. Celui-ci tira sur ses mains mais arrêta dès qu'il réalisa que cela lui causait davantage de douleur. La femme rigola avant de lui chuchoter à l'oreille.
- Au moins maintenant tu ne pourras plus jamais levé la main sur qui que se soit.

La jeune femme, tout en rigolant, ce munie d'un couteau mince et trancha les lèvres de sa victime. Elle jeta les deux morceaux de chairs fraîchement coupés. Elle enleva le bâillon qui empêchait l'homme de hurler de douleur. Elle se munit d'un marteau et violemment, elle donna des coups sur les dents de l'homme qui éclatèrent comme de l'argile sèche. Elle se munit ensuite du même couteau utilisé pour couper les lèvres de l'homme, et s'en servit pour lui couper la langue.
-Au moins tu ne pourras plus jamais trompé la confiance de quelqu'un en promettant grâce à un baiser.
Voyant que l'homme tombait petit à petit dans l'inconscience, la femme se décida enfin a enlever son masque, laissant l'homme admirer ses traits familiers.  Celui-ci observa sa femme, surpris. Celle-ci prit un scalpel et trancha la peau de son torse jusqu'à atteindre l'organe qui lui permettait de vivre ou plutôt, de survivre.
Son cœur.
Elle le prit dans ses mains, plongeant ses yeux dans les siens qui se fermait.
- Au moins maintenant tu ne pourras plus jamais donner ton cœur à qui que se soit.

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Voici un autre petit texte :3 j'espère qu'il vous plaît! D'ailleurs si vous voulez créer des textes pour que je les mette dans ce livre dite moi le!
Bref à plus les sadiques!