Coucou, j'écris moins mais je suis toujours là. Donc tenez-vous près à d'autres parties. J'espère que ça vous plaît. Donnez-moi des idées d'histoire en commentaire. Votez pour mon histoire et bonne lecture 😜

Quelques heures plus tard :
Pdv Rengoku :
Tanjiro, Inosuke et Zenitsu sont parvenus a tué leur première lune démoniaque. Le train à déraillé. J'ai vérifié et il n'y a aucun blessé.
On est tous les quatre descendu du train.
Tanjiro avait 2 côtes cassées, Zenitsu et Inosuke saignaient un peu.

Je me suis avancé vers Inosuke. J'ai posé ma main sur son épaule.

Moi : Je sais que c'est pas le moment mais...

Inosuke : Je suis sur que je peux vous battre au bras de fer.

Moi : Quoi ? Mais non ! Je sais que tu aimes bien Akemi.

Inosuke : Quoi ?! Mais pas du tout !

Il rougit. Je rigole devant son nez.

Moi : Ça se voit. Si tu lui fait du mal, je te bat au bras de fer.

Inosuke : *rigole* Avec plaisir.

Moi : Donc tu l'aimes bien ?

Inosuke : Peut-être. Mais vous lui dites pas hein ?

Moi : Je pense que tu pourrais avoir tes chances. Oses et tu verras.

J'entendis une branche dans la forêt. Je me retourne brusquement. Je sortis mon arme.

Lune démoniaque supérieure : Un pilier. Comme c'est mignon. J'en ai battu plein et j'ai très faim.

J'ai écarté les garçons du passage.
Le démon fonça sur moi. Dans ses yeux il y avait le chiffre 3. Il à l'aire très puissant. Ne pas se déconcentrés, ne pas se déconcentrés. Je viens de penser qu'il ressemble un peu à la chaussette.

Je pouffa de rire. Oh non, pas se déconcentrés. Il sauta et il était près a me cogner avec son poing. Après quelques heures, le soleil commencé à se lever. J'étais blessé. Gravement blessé. Je ne pouvais pas le détruire. Si je meurt, je devais demander de prendre les lettres et mon katana pour mon frère et Akemi.
Et si je ne meurt pas, je donne un nom à ma chaussette. Le démon s'appelait Akaza, donc Akasette.
Il enfonca son bras dans mon ventre. Il était bloqué. Je devais le gardé jusqu'à se que le soleil se lève. J'ai craché du sang. Ça fait mal.
Quelques rayons de soleil apparurent. Akaza souffrait et il réussit à dégager.

Il s'échappa dans la forêt. Sale lâche. Je me suis écroulé.

Tanjiro : Ça vous arrange de Combattre pendant la nuit hein ? Malgré nos blessures qui ne se régénère pas. T'enfuis pas, abruti ! T'es qu'un incapable et un dégonflé ! Rengoku est largement supérieur à toi ! C'est lui le plus fort ! Il n'a pas perdu ! Il n'y a eu aucune victime ! Il a combattu et protégé tout le monde ! C'est toi le perdant ! Rengoku a gagné ce combat !

Il cria et fondit en larmes. Je souriais malgré tout. Mais mon coeur se brisait en voyant mes nouveaux disciples pleuraient devant moi. Merde, j'ai promis à Akemi de rentrer et qu'on parlerait. Tant pis. Ma vue se troublait. Le soleil se levait. Je suis fier d'eux.

Moi : Ne crie pas autant. T'es blessures vont se rouvrir. Et elles sont pas bénignes. Si tu meurs, j'aurai véritablement perdu.

Tanjiro : Rengoku...

Moi : Approche. Je voudrais te parler avant la fin.

Il se leva et s'agenouilla devant moi.

Moi : Quoi qu'il en soit, je suis fier de vous. Je voudrai sque tu me rendes un petit service.

Tanjiro : Oui. Lequel ?

Je sortis deux lettres.

Moi : Donne cette lettre la à mon petit frère et l'autre à Akemi.

Je lui tendis les lettres a Tanjiro. Il pleurait toujours.
Il les prit dans ses mains. J'ai enlevé mon katana.

Moi : Je voudrais que tu l'offre à Akemi. C'est elle qui me succédera dans le rôle de pilier du flamme.  Prennez soin d'elle et de vous. Je te fais confiance.

Tanjiro : Non, Rengoku, s'il vous plaît. Non pas vous. Je vous en supplie.

Je souris.

Moi : J'aimerais bien mais c'est trop tard.

Il pleura encore plus fort. Je commençais à voire une lumière forte devant moi.
Je devais dire un truc important à Tanjiro.

Moi : Tu as vu...

Tanjiro : Quoi ?

Moi : Il ressemblait fortement à ma chaussette à rayures.

J'ai enlevé ma chaussure. Je lui ai montré ma chaussette. Il rigola un peu. J'ai remit ma chaussure.
J'ai levé ma tête et je vis ma mère.
J'ai souris et j'ai fermé les yeux. Je suis fier de toi, Akemi.

Pdv externe :
Tanjiro s'effondra. Il pleurait tellement fort. Que Akaza, qui n'était pas loin, l'entendit hurlait.

Inosuke : On a beau se sentir pas à la hauteur et se dire qu'on a été minable il faut quand même qu'on continue à vivre malgré tout.

Inosuke pleurait très fort. On pensait que c'était une grosse brute plein de muscles mais il a un grand coeur.

Tanjiro, Inosuke, Zenitsu et Nezuko sont parties en direction de la maison des piliers.

Pdv Akemi :
Je me suis levée un peu tard aujourd'hui. Vers 9h. Je n'avais pas eu de mission depuis longtemps.
Je me suis habillée et je suis partie dehors faire un petit tour en courant. Ensuite, je suis rentrée dans ma chambre et j'ai pris mon katana pour le mettre à ma ceinture.

Corbeau : Croar, Croar, un démon dans la ville d'Asakusa.

Moi : Enfin, mon katana me démange.

Je suis sortie du domaine. Je suis passé à côté de la cour où se réunissaient les piliers. Encore aucune nouvelle de Rengoku. Je commence à m'inquiéter. Je me suis avancée un peu pour écouter.

Maître : Comme vous le savez, un pilier est mort.

Non, non, non, pourvue que ce ne soit pas Rengoku.
Je vis Tanjiro, Inosuke et Zenitsu entraient par la cour. Ils n'étaient pas avec Rengoku.
Ils s'approchèrent vers moi. Ils me mirent à l'écart.

Moi : Alors votre mission c'est bien passé ?

Personne ne me répondit. Ils n'osèrent pas me regarder dans les yeux. Avaient-ils peur de moi ?
Inosuke me prit le bras et me fait asseoir dans une pièce. Ils s'assirent aussi.
Tanjiro avait une mine triste.

Moi : Qu'est-ce qu'il se passe ?

Tanjiro : Écoute, euh.

J'ai jeté un regard à Inosuke. Il tremblait.

Moi : Inosuke, tu pleurs?

Inosuke : Non !

Je me suis rapprochée de lui et j'ai soulevé son masque. Des larmes coulaient sur ses joues. Quoi ? Mais c'est impossible.
Je me suis remise à ma place.
Tanjiro me tendit une lettre.
J'ai déroulé la lettre et j'ai commencé à lire:
Cher Akemi,
Si tu lis ça, c'est que je suis mort. Avant de mourir, j'ai écrit deux lettres. Une pour toi et une pour ma famille. Je suis désolé que tu l'apprenne comme ça. Mon katana est à toi. Un grand sage m'a dit un jour, tu peux pleurer et même t'enfuir si tu veux, mais n'abandonne jamais, ai confiance en toi. Même si je ne suis plus de ce monde, je veille sur toi de la haut. Tu es comme ma sœur et tu me rappelles fortement ma mère. C'est elle qui m'a tout appris. Tu me rappelles sa beauté et son intelligence. Maintenant, je suis avec elle et je suis avec toi. Je te protége.
Rengoku Kiôjurô

J'ai fondu en larmes. Tanjiro me tendit le katana de Rengoku.

Inosuke : Akemi, je...

Moi : Je suis désolée. Pardonnez-moi.

Je me suis levée et j'ai mis le katana à ma ceinture. Maintenant, je partirais et je m'améliorerais. Pour devenir le nouveau pilier de la flamme. Mais je ne suis pas encore prête.
Inosuke s'est levé.

Inosuke : Akemi, je t'aime.

Je me suis tournée et je me suis avancée vers lui.
J'ai retiré son masque et j'ai posé mes lèvres sur les siennes.

Moi : Je suis désolée mais je ne peux pas. Adieu.

Je suis partie en courant.