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Hello hello, nouveau chapitre un peu plus long que d'habitude, qui je l'espère vous plaira.
J'en profite pour vous remercier, on a dépassé le 4k, c'est génial, mais j'avoue que ça fait bizarre car ça monte super vite. Merci du fond du cœur.
Bonne lecture.
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Bien que ma peine me rongeât de l'intérieur, je tentais d'y faire abstraction, ne voulant pas entacher cette matinée qui avait si bien débuté.
C'est pourquoi, je le serrais encore un peu plus fort contre moi pour le rassurer et lui faire comprendre que j'étais là, bel et bien là et ne comptais pas partir, alors que mes jambes titubaient de gauche à droite, l'emportant dans mes mouvements grâce à mes prises autour de sa taille.
- Alors dans ce cas-là, mon choix se portera sur le pull blanc à col roulé.
Réceptif et visiblement calmé, son dos se cala plus confortablement contre mon torse, alors qu'une de ses mains se mit à jouer avec mes phalanges sur son ventre.
- Tu es sûr ? Murmura-t-il.
- Oui, tu seras magnifique ma Darling.
Un petit soupir soulagé quitta ses demi-lunes rosées, avant qu'il ne pivotât afin de m'offrir un tendre bisou sur ma bouche qui se régalait de ce genre de contact, surtout lorsqu'il en était l'initiateur.
- Merci mon Kookie.
- Mais de rien, à votre service votre majesté.
Son gloussement amusé me prouva que cet épisode malheureux était passé, avant qu'il ne ré-initiât un baiser plus long, puis se sépara définitivement pour enfiler les tenus convenues, alors que la sonnette de la chambre résonna dans la foulée.
- Juste à temps.
- On a évité la catastrophe. Me taquina-t-il.
- Encore heureux car moi vivant, il ne serait jamais rentré, soit en sûr. Lui rétorquais-je en lui donna une petite fessée au passage.
C'était trop tentant, non mais oh, quel toupet, je vais l'apprendre à plaisanter là-dessus.
J'avoue ne pas être très crédible avec mon air niais sur le visage, mais comment ne pas succomber face à son adorable petit rictus qu'il essayait de cacher derrière sa main.
J'étais faible, tellement faible, ce garçon me transformait en guimauve et pourtant j'adorais ça.
À contre cœur, avec des grandes enjambées, je décidais finalement d'aller ouvrir la porte à ce pauvre employé qui patientait déjà depuis quelques minutes, ou il installât le plateau bien garni sur la table et nous salua en sortant de la pièce.
Bien évidemment, j'eus à peine le temps de me retourner, que mon bébé morfal était déjà attablé, se jetant limite sur la nourriture en croquant dans l'une des viennoiseries, attendrissant encore un peu plus mon cœur d'artichaut.
Avec enthousiasme, je m'approchai de lui, mais à l'inverse des fois précédentes, je bougeais la seconde chaise pour la juxtaposer contre la sienne, avant de le tirer par le bras, le faisant basculer sur mes genoux, tout en le laissant stupéfier par la rapidité de l'enchaînement.
- Qu'est-ce que tu fais Jungkook ? S'était-il risqué à demander, malgré l'évidence de la situation, alors que sa frimousse était pivoine et son regard tourné vers ses pieds.
- Je t'avais prévenu, je suis au petit soin avec toi. Je vais même être tellement collant que tu vas finir par en avoir marre. Expliquais-je fièrement.
Ne s'attendant sûrement pas à une telle réplique, une expression de merlan frit le défigura, le rendant cependant toujours aussi splendide, alors que je récupérai la gourmandise dans laquelle il était en train de mâcher, afin de la placer juste devant sa bouche, tel un enfant qu'on nourrissait.
Ses orbes s'orientèrent sur l'aliment entre mes doigts, avant que ses paupières ne se mirent à papillonner pour ensuite rejoindre les miennes, alternant entre les deux points, jusqu'à saisir mon intention.
- Je p-peux manger tout seul...
- C'est non négociable. Affirmais-je.
Au bout de quelques secondes, résigné, il apporta timidement sa cavité à la douceur sucrée et croqua à l'intérieur avec une petite bouchée, bien loin de sa première. Puis, lorsqu'elle fut engloutie, j'amenai cette fois sa grosse tasse de chocolat chaud, sur laquelle il disposa ses muscles humides, avec toujours autant de délicatesse, avalant le liquide fumant tout en ancrant fermement son regard au mien.
- Encore. Murmura-t-il lorsque je l'éloignais, m'arrachant un rictus satisfait.
- Petit gourmand.
Je ne pus résister à l'envie de lui offrir un petit smack sur ses lèvres maquillées d'un fin trait de cacao, parfum qui aromatisa d'ailleurs notre échange, avant de l'abreuver de nouveau avec sa boisson favorite.
Après quoi, je lui préparai une tartine et chacun notre tour, nous sustentions l'autre, tout en parlant de tout et de rien, rigolant, débordant de gestes tendres, sous nos yeux amoureux qui ne se détachèrent à aucun moment, comme de peur que tout ça ne soit qu'un mirage, une illusion, comme si chaque seconde était précieuse, ce qui à vrai dire était le cas.
Néanmoins, malgré notre envie de retarder l'échéance le plus possible, je dus me rendre à l'évidence en m'informant de l'heure sur mon téléphone, soupirant à m'en fendre l'âme, car le temps était maintenant compté, et que nous devions abandonner cette bulle dorée que nous procurait les quatre murs de cette chambre, afin d'affronter l'inévitable retour à la réalité.
En interceptant mon expression, il comprit car la sienne s'éteignit instantanément, laissant un instant de flottement baigner la pièce, avant que nos deux corps ne l'enlaçassent.
- On va devoir y aller.
C'était douloureux et lorsqu'il ne me retourna qu'un acquiescement en murmurant, je devinais que ce l'était autant pour lui, alors que nous profitions encore un peu de l'autre, jusqu'à nous séparer avec difficulté.
On se dirigea mécaniquement à notre valise pour la préparer, ou nous étions chacun d'un côté du lit, dans une ambiance qui changeait de minute en minute, remplaçant ce moment amoureux par quelque chose de plus morose, nostalgique, dont les seuls bruits étaient ceux des froissements de vêtements.
Tout comme l'atmosphère, mon organe vital devenait de plus en plus lourd, terriblement lourd, et ce à chaque tour d'aiguille sur mon cadran, remarquant qu'il était dans le même état que moi en le lisant sans problème sur son visage lors de mes lancées d'œillères.
En bouclant définitivement mes bagages, je soupirais avec force, car j'étais conscient que c'était maintenant, je le sentais, je devais agir afin de ne pas le regretter. C'est pourquoi, peu confiant, je me rapprochais de lui avec des petits pas lents, jusqu'à me placer à sa gauche, patientant sans un mot.
De son côté, sa valise venait elle aussi d'être fermée, cependant, il resta immobile face à elle, ayant pourtant connaissance de ma position, ce qui augmenta un peu plus mon malaise.
On resta ainsi de longues minutes, appréhendant ce qui allait suivre car nous savions pertinemment que nous ne pouvions plus y couper, nous l'avions trop repoussé et le temps jouait maintenant contre nous.
Il fut le premier à bouger en orientant sa tête vers le sol, alors que ses phalanges commencèrent à se tripoter encore elles, preuve de son stress, me serrant un peu plus la poitrine.
Bon mec, tu as déjà fait la connerie de te barrer comme un lâche et tu l'as regretté toute ta vie, alors tu vas me faire le plaisir de porter tes putains de couilles et te battre pour l'homme de ta vie putain de merde, sinon c'est moi qui te botte le cul.
L'un de mes soupirs fendit de nouveau l'air, avant que je pivotasse finalement dans sa direction, malgré la boule qui s'était formée dans mon estomac, enveloppant ses mains nerveuses avec les miennes, cherchant à attirer son attention, car le moment l'obligeait, de par sa solennité.
- Taehyung. L'appelais-je dans un murmure.
Ses gestes se calmèrent, sans pour autant m'offrir de réponse, alors que je caressais le dos de sa main avec l'un de mes pouces.
- S'il te plaît, regarde-moi ma Darling. Soufflais-je avec encore plus de tendresse.
Cela sembla marcher car il redressa enfin sa tête et ancra au passage ses prunelles larmoyantes aux miennes, alors que je tentais un sourire rassurant, lucide de ne pas pourvoir le tromper car moi aussi je sentais mes larmes monter.
Bon, quand faut y aller, faut y aller, même si je ne savais pas par où commencer.
- Je sais que je t'ai blessé à l'époque et j'en suis sincèrement désolé. Il n'est pas passé une journée ou je ne l'ai pas regretté. Je marquai une pause pour ralentir mon souffle qui s'affolait, essayant de ne pas me laisser envahir par mes émotions et ainsi structurer mes pensées, car je me devais de lui dire tout ce que j'avais sur le cœur, il devait le savoir. On était jeune, con, et on a commis des erreurs tous les deux, mais je suis celui qui est le plus à blâmer, car c'est moi qui suis parti le premier, c'est moi qui aie tout gâché. Je t'avais promis de t'aimer, de jamais te faire de mal et pourtant, j'ai échoué lamentablement. Je suis tellement désolé, si tu savais. Même avec le temps, je ne t'ai jamais oublié Taehyung. Quoi que je fasse, tu étais toujours dans un coin de ma tête. Je me rapprochai de lui et cajolai sa joue. Malgré toutes ces années, tu as encore mon cœur en otage et tu l'auras toujours, je ne peux tout simplement pas vivre sans toi. Si tu savais comme j'étais vide loin de toi, comme si la vie avait perdu de son sens. Mais maintenant que nos chemins se sont recroisés, j'ai l'impression d'enfin respirer à plein poumon, de revivre. Je sais que mes mots ne suffiront jamais à effacer tout le mal que je t'ai fait, mais je ferais tout ce qu'il faut pour espérer un jour avoir ton pardon et avoir une nouvelle chance. Je te promets de ne pas la gâcher cette fois, plus jamais, tu m'es trop précieux et ton absence me l'a prouvé. Je ne te demande pas de me donner une réponse maintenant mais juste d'y réfléchir de ton côté. Mais sache que pour moi les choses sont claires, je te veux dans ma vie et pour toujours. Je t'aime Taehyung, je t'aime tellement, je t'ai toujours aimé et je sais que je t'aimerais jusqu'à ma mort, car je ne pourrais jamais faire autrement.
Une fois ma tirade terminée, le temps se figea, bien que vos regards étaient toujours mariés l'un à l'autre, alors que mon cœur se compressait au fur et à mesure que son silence se prolongeait.
Il semblait perdu mais aussi ému, réveillant sûrement plein de mauvais souvenirs en lui, tout en réfléchissant sans doute à sa réponse. Au fond, j'étais encore plus désolé de lui rappeler tout ça, de les lui faire revivre après ces quelques jours magiques, mais je devais m'excuser sincèrement, honnêtement, je devais lui demander pardon, l'implorer, car comme je l'avais dit, certes nous avions tous deux notre part de responsabilité, mais j'étais le lâche dans l'histoire car c'est moi qui l'avais abandonné en premier.
J'aimerais tellement pouvoir revenir en arrière, me donner des claques cette nuit-là, me hurler de ne pas faire ça, que j'allais commettre l'erreur de ma vie, mais malheureusement, c'était impossible. Ainsi pour l'heure, la seule option qui me restait, était de rattraper mes conneries, serrant un peu plus ses mains.
Instantanément, je vis une larme dévaler le long de sa pommette, puis tomber au sol, alors que ses paupières se fermèrent, rompant ce lien visuel qui m'assena un coup en plein ventre.
- Je te pardonne Jungkook.
Ma respiration se stoppa net, ayant du mal à réaliser ses mots, qui une fois assimilés, me soulagèrent et me libèrent de ce poids que je traînais sur mon dos depuis huit ans.
- Mais laisse-moi juste un peu de temps.
Ok, l'ascenseur émotionnel que je venais de me prendre était proche d'un ko, même si au fond, sa requête était prévisible. J'aurais dû le comprendre et ne pas me réjouir trop vite, car tout ne pouvait pas s'effacer en un claquement de doigts, ça aurait été beaucoup trop facile. D'ailleurs, il me laissa à peine le temps de m'en remettre car il débuta son discours, visiblement prêt à me livrer à son tour tout ce qu'il avait sur le cœur, sans pour autant me regarder.
- Même si les jours qu'on a passé ensemble était proche d'un rêve, j'ai besoin de prendre un peu de recul. J'ai tellement souffert quand tu es parti ce soir-là Jungkook. J'étais dévasté, j'avais passé la nuit à pleurer, à attendre un appel de ta part, un signe, mais rien. Je me suis senti trahi, abandonné.
L'imaginer de la sorte me déchira encore plus la poitrine et je n'avais qu'une envie, c'était de le serrer dans mes bras afin de le réconforter, de lui dire que tout irait bien maintenant, que j'étais là.
Toutefois, je me fis violence pour résister car je devais le laisser terminer comme lui l'avait fait, je devais écouter ce qu'il avait à me confier, même si c'était affreux à entendre.
- Je n'avais pas mangé pendant deux jours et n'étais pas allé en cours car je t'attendais naïvement, mais tu n'es jamais revenu, avant de finalement décider de partir à mon tour car je n'en pouvais plus de rester là, j'avais l'impression de devenir fou.
Je ne savais même pas qu'il m'avait attendu, alors que moi comme un con, je n'avais rien fait, préférant me cacher chez un pote. D'ailleurs, on aurait pu se croiser si j'étais revenu juste un peu plutôt, comme je l'avais espéré en venant récupérer mes affaires le deuxième jour.
Minable, tout simplement minable, Jeon Jungkook.
- Je t'ai détesté tellement fort ce jour-là quand j'ai fermé la porte pour la dernière fois. Je m'étais promis de te haïr jusqu'à ma mort.
Comme pour moi précédemment, il marqua un temps d'arrêt pour reprendre le contrôle, alors que j'étais paralysé, car sa dernière phrase était dure à encaisser.
- Quand je t'ai vu dans la salle d'attente, c'était comme si je me reprenais tout ça en pleine figure et je n'avais qu'une envie, c'était que ça passe le plus vite possible. Pourtant, une fois dans l'avion, lorsque qu'on était en pleine chute libre, j'ai repensé à toi, à tous ces bons moments qu'on avait partagés et je t'ai regardé, comme si c'était la chose qui comptait le plus, comme si mourir n'avait pas d'importance parce que j'avais eu la chance de te revoir une dernière fois. Moi qui pensais te détester toutes ses années, j'avais réalisé qu'au final je me mentais à moi-même. Je t'aime Jungkook, je n'ai jamais cessé de t'aimer non plus, mais j'ai tellement peur qu'une fois de retour à la vie normale tout ça ne s'évapore comme un mirage, que tout redevienne comme avant ton départ.
Pendant son monologue, il avait laissé sa tristesse exploser, ses gouttes d'eau coulaient, inondant son splendide visage, perçant d'autant plus mon organe vital déjà bien affecté.
Je me sentais tellement coupable, monstrueusement coupable de l'avoir brisé autant, alors que lui n'avait demandé qu'une seule et unique chose, être aimé.
Cependant, malgré mes remords, je ne pouvais pas envisager qu'on me le vole de nouveau, ce qui en soit été égoïste car je ne le méritais clairement pas, mais j'avais saisi pendant ces quelques jours à quel point il m'était indispensable, et que sans lui, je finirais par mourir à petit feu.
Ainsi, dans une tentative désespérée, je le tirai rapidement à moi, plaçant sa tête contre mon torse à l'aide d'une main à l'arrière de son crâne, alors que la seconde le serrait avec force, libérant à mon tour mes larmes que j'avais tenté de contenir.
- J'aimerais tellement revenir en arrière, tout effacer, mais ce n'est pas possible. En revanche, si tu me donne cette chance, une toute dernière, je te promis que jamais tu ne le regretteras. J'ai changé Taehyung, et je changerais encore si c'est nécessaire, mais pitié, ne me laisse pas, pas cette fois, pas à ton tour. Maintenant que je t'ai retrouvé, je sais que je ne pourrais plus vivre sans toi.
- Je voulais y croire, je te le jure, mais je n'y arrive pas maintenant que je sais qu'on va se séparer, c'est tellement difficile, je suis tellement désolé Jungkook. J'ai peur que tu m'abandonnes de nouveau et cette fois je n'y survivrais pas.
J'avais mal, tellement mal.
- Laisse-moi juste du temps s'il te plaît. Termina-t-il dans un dernier souffle.
Après ça, le calme nous enveloppa, ou seul quelques petits reniflements se faisaient entendre, l'entraînant toujours plus contre moi, comme un besoin de le sentir et lui communiquer que tout irait bien.
Ses bras avaient eux aussi enlacés mon corps, inondant mon haut de ses sanglots, mais je m'en foutais, car plus jamais je ne lâcherais, j'étais maintenant là pour lui et ceux quoiqu'il m'en coûte.
On resta ainsi plusieurs minutes, entourés par cette chaleur à la fois apaisante, mais aussi déchirante, contraste représentant l'impasse dans laquelle il se trouvait, à l'inverse de moi qui n'avais aucun doute, avant de me détacher délicatement de lui, lorsque que ses pleurs s'étaient tus.
Sans le brusquer, je relevais son visage avec ma main sur son menton, afin de capter ses pupilles, tout en lui offrant un sourire franc, avant de balader mes doigts sur sa peau immaculée pour gommer les vestiges de ses larmes et finalement embrasser son front dans une geste long, appuyé.
- Je t'aime et je t'attendrais. Murmurais-je.
J'avais beau essayer de faire le fort, de le réconforter, mais au fond de moi j'étais mort de trouille, mort de trouille qu'in fine il ne me revienne jamais.
Même si cette escapade avait été idyllique, même si j'avais été confiant, la conversation qu'on venait d'échanger m'avait logé un goût amer dans la gorge. J'aurais tellement voulu qu'il me dise que tout ça était du passé, et qu'on pouvait de nouveau être en couple comme je le souhaitais.
Mais malheureusement, rien ne s'était déroulé comme je l'avais imaginé dans mon esprit, et malgré moi, je ne pouvais pas m'empêcher de lui en vouloir d'avoir besoin de temps, retombant dans mes vieux travers, étant néanmoins lucide que c'était normal, et c'était bien ça le pire, ça ne pouvait pas être aussi simple.
Et ouais pauvre type, tu avais tout gâché et maintenant, tu devais en payer les frais...
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Je sais que ce chapitre tranche avec les autres pleins d'amour et j'imagine que certaines vont me tirer les cheveux, mais ça devait arriver tôt ou tard. Il ne pouvait pas rester dans le déni éternellement.
Qu'en avez-vous pensé ? Et comment va se dérouler la suite selon vous ?
De mon côté, je crois que ça a été le plus dur à écrire pour cette ff, je ne sais même plus le nombre de fois que j'ai dû le réécrire, c'est pour ça qu'il a prit plus de temps à arriver que les autres.
Enfin voilà, j'espère que ma ff vous plaît quand même, je vous remercie pour tout. Je vous aime. <3
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