Thomas POV

Ça fait 3 semaines...Je n'y crois plus.

Je suis assis à côté de James en le regardant.

Il m'en dit qu'il se réveillerait bientôt!!!

Pourquoi, il ne se réveille pas???!!!

James...

Est-ce qu'il est trop tard?

Je me lève et sort de la chambre.

James POV

J'ouvre les yeux.

Tout est blanc .

Où suis-je???

J'essaie de me calmer quand je vois une machine qui est censé montrer ma fréquence cardiaque.

J'entends le bruit d'une porte qui s'ouvre.

«Bonjour, monsieur.» Dit un homme avec une blouse blanche. Je le regarde.

«Vous sentez vous bien?» Demande-t-il. Je hoche la tête.

«Vous avez mal quelque part?» Demande-t-il.

«Un peu à la tête.» Dis-je. Il hoche la tête et écrit ça sur un carnet.

«Vous vous rappelez de votre prénom?» Demande-t-il. Je hoche la tête.

«James.» Dis-je.

«Votre nom de famille?»

«Madison.»

«Je dois partir, monsieur, j'ai un rendez-vous.» Dis-je. Il grimace.

«Je crois bien que c'est trop tard, monsieur.» Dit-il. Je le regarde confus.

«Vous êtes la depuis 3 semaines.» Dit-il. J'élargis mes yeux.

«Qu...quoi??? Mais ce n'est pas possible.» Dis-je abasourdi..

«Et pourtant, c'est vrai. Vous rappelez-vous de ce qui c'est passé?» Me demande-t-il.

«Euh...j'étais sortis de chez moi avec un ami...pour aller...quelque part....ah! Oui! C'était au restaurent!» Dis-je.

«Et...on a pris le bus et...» Je m'arrête.

Tous les souvenirs me viennent.

Tout.

«On a fait un accident.» Dis-je choqué. Il hoche la tête

«Et Aaron? Il va bien??» Je demande.

«Le nom de famille, s'il vous plaît.» Dit-il.

«Burr, Aaron Burr.» Dis-je. Il regarde un liste.

«Il ne s'est pas encore réveillé, mais il va bien.» Dit-il.

Je force pour ne pas pleurer et hoche la tête.

«Il faut quand vous fasse quelque test.»

Je grimace, mais hoche la tête.

*Saut de temps*

«Nous avons fini, vous pourrez sortir dans 3 ou 4 jours.» Dit-il. Je hoche la tête.

«Je reviens.» Dit-il.

Il sort et revient quelque minutes plus tard.

«Voici vos habits que je vais mettre sur cette table.» Dit-il en les posant. Je hoche la tête.

Il me donne quelque chose.

Je lui souris et le remercie.

«Bonne chance, monsieur.» Dit-il.

«Merci.» Dis-je.

Je souris à moi-même et cache ce qu'il m'a donné sous les couvertures.

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