Votre rencontre #Espagne

Attention : injures de Romano.

Tu étais dans le couloir en direction des jardins aménagés de l'école, en compagnie de tes trois frères : Sébastian, Lovino et Feliciano.

Oui, tu étais la "sorella" des "frères macaronis". Tu étais la personnification de la Sicile, une petite île au large de l'Italie. Tout les quatre étiez inséparables, même si parfois tu voudrais bien t'en passer. Non pas que vous ne vous entendiez pas, bien au contraire. Mais la protection familiale pouvait être envahissante, Lovino était la cause première.

(T/P) : Franchement Lovino, tu n'étais pas obligé de le frapper et encore moins de l'insulter de "stupide bouffeur de pomme de terre".

Sebastian : Sorella a raison, tu y es allé fort...

Lovino : C'est normal, ce bâtard la regardait de travers !

Feliciano : V ... Vee, je vais devoir présenter mes excuses auprès de Ludwig tout à l'heure...

Actuellement, vous alliez dans les jardins pour aérer l'esprit de Lovino qui venait de se battre avec Ludwig, un grand ami de Feliciano, car il t'aurait soit disant "regardé de travers". Pour le moment, tu étais plus inquiète au sujet de l'état de ton tsundere de grand frère. En effet, Ludwig s'était avéré être un très bon lutteur et l'avait bien amoché... Ce qui était compréhensible d'ailleurs.

Arrivé aux jardins qui étaient devenus orangé à cause de l'automne, vous vous assoyiez sous le chêne qui avait une quarantaine d'année. Alors que Sebastian et Feliciano calmaient Lovino qui proférait des insultes, tu sortais de ta besace en cuire une petite trousse de secours, chose qui était nécessaire en présence de tes frères. Par la suite, tu commenças à soigner ses blessures, bien que parfois il s'agitait.

Lovino : Aïe ! ...

(T/P) : Ne bouges pas, sinon ça va te faire encore plus mal...

Sebastian : N'empêche, il ne t'a pas raté.

Lovino : La ferme, Cretino de fratello !

(T/P) : Lovino ! Tu n'es pas obligé d'être désagréable. Et puis, pourquoi es - tu si surprotecteur envers moi ?! C'est étouffant à la longue...

Lovino : Parce que je n'ai pas envi qu'un crétin te...

??? : Lovinoooo~~ !

Lovino : E merda...

En entendant la voix qui appelait ton frère, tu te retournas pour savoir à qui elle pouvait appartenir. Un garçon marchait vers eux avec un sourire jusqu'aux oreilles. Il avait les cheveux brun caramel, le teint bronzé comme si il revenait de vacances sous le soleil et de grands yeux verts. Ils étaient aussi étincelant que des Péridots et d'une couleur aussi éclatante que celle d'un citron vert. Il n'avait pas une carrure imposante, mais son uniforme devait cacher un corps incroyablement tonique. Enfin, autour de son cou était attaché un collier avec un pendentif en forme de croix noire. C'était un très beau jeune homme. Une fois arrivé jusqu'à vous, il mangea un morceau de la tomate qu'il tenait dans sa main.

Feliciano : Veee~ Antonio !

Antonio : Hola, Feli ! Bah alors Lovi, il t'est arrivé quoi à ton visage ?

Lovino : Ca ne te regarde pas !

Sebastian : Il s'est battu avec Ludwig et disons qu'il a perdu.

Lovino : Mais t'es bouché, putain ! J'ai dis que ça ne le regardait pas !

Feliciano : F ... Fratello, c ... Calmes-toi...

Lovino : Vas bouffer des pâtes ailleurs si j'y suis !

Feliciano : Vee~ Pastaaa~

Antonio : Moh, tu es trop mignon quand tu rougis, on dirait une petite tomate~

Lovino : N'en rajoute pas, crétin des zappes !

(T/P) : Lovi !

A ta réprimande, Lovino cessa de proférer des insultes à tout va, bien qu'il continua de ronchonner entre ses dents. Tu poursuivis alors tes soins sur ton frère. Pendant ta tâche, tu pouvais sentir que l'on te fixait intensément, ce qui te perturbait. Tu levas ton regard et croisas celui verdoyant de l'espagnol qui était absorbé par ta présence. Il ne t'avait jamais vu auparavant et cela l'intriguait. Sa première pensée était : qui était cette séniorita qui venait de calmer les ardeurs de l'italien colérique ? Il s'approcha un peu plus près de toi et s'accroupit. A cela, tu levas un sourcil.

(T/P) : Euh... Oui ?

Antonio : Je vois que mon cher Lovino est en bonne compagnie. Pourrais-je connaître le nom de cette très belle séniorita qui arrive à dompter le caractère enflammé de Lovi, tel un tauréador qui dompte un taureau~? Mon nom est Anthonio Fernandez Carriedo ou plus communément appelé Espagne~

Après avoir entendu la question soupoudré de louanges, tes joues s'enflammèrent très vite, notamment en remarquant son accent espagnol très prononcé qui donnait d'agréables frissons. Tu lui fit un doux sourire et lui répondit.

(T/P) : E ... Enchanté, je m'appelle...

Lovino : C'est (T/P) Vargas, Sicile, ma Sorella ! Et je te conseille, non mieux, je t'ordonne de t'en éloigner et de dégager avant de subir ma colère !

Antonio : (T/P)... Très beau prénom pour une belle fille ~

Lovino : Oï ! T'as entendu ce que j'ai dis ou tu es aussi bouché que la grande perche qui me sert de deuxième frère !

Antonio : D'accord, d'accord je m'en vais~

Le brun se releva, mais ne partit pas tout de suite. En effet, il avait prit ta main pour y déposer un doux baiser sur tes phalanges, provoquant ainsi un rougissement de ta part une fois de plus.

Anthonio : En espérant que l'on puisse se revoir, hermosa séniorita~ fusososo

Tu n'eus pas le temps de répondre qu'il s'en alla joyeusement. Pendant que tu étais troublée par le bel espagnol, tu pouvais entendre Sebastian et Feliciano se battre pour retenir Lovino qui voulait assassiner Antonio qui avait eu le malheur de t'avoir fait un baise-main.

Lovino : Lâchez- moi ! Je dois faire comprendre à ce bouffeur de tomate et passionné de taureaux en rute que personne n'a le droit de toucher à ma Sorella tant que je serai vivant !

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