Avant de commencer le chapitre, je voulais vous souhaitez à tous un GRAND MERCI ! En particulier à ceux qui sont là depuis le début, Springtrap_Girl , @JaneCupcake4, @Lucanoptek , bonbon_blue_bonnie , @poney7 et tous les autres, ceux qui restent dans le silence ! Ça me fait chaud au cœur de voir tant de gens qui lisent ce livre. On a presque atteint les 2K vues et nous ne sommes qu'à la moitié du livre... Merci à tous. Et voici un dessin fait par mes soins, représentant notre très chère Elliot. Et maintenant... Voilà le CHAPITRE 50 ! __________________________________________________________________________________
Madness : vous êtes prêt ? Moi oui ! C'est l'heure ! Alors mes amis... EXPLOSEZ MOI LE LOBE FRONTAL DE CET ENFANT ! ET À COUP DE DENTS !
Les Nightmares : OUI MADNESS !
J'ai repris connaissance dans mon corps. Ma mâchoire était grande ouverte, prête à tuer le fils de Jimy. J'ai eut un réflexe. Je l'ai poussé du côté où il aurait le moins mal en tombant, les autres enfants. Malheureusement, dans la précipitation, j'ai utilisé ma main gauche... La main avec le crochet. Et, toujours dans la précipitation, il s'est pris mon crochet dans l'œil. Je savais que je ne m'en tirerais pas cette fois. Puis, au delà des cris et des pleurs, j'ai entendu un cliquetis. Et puis le bruit de métal broyé. J'ai regardé mon bras. Ma mâchoire, en particulier les dents, l'avait bien abîmé. À tel point point que mes dents étaient coincés. J'ai regardé autour de moi, sans bouger la moindre partie de mon corps. Billy et une femme, sûrement la petite amie de Billy, tenaient l'enfant dans leurs bras. Le présentateur, dont j'ignorais toujours le nom, était en train d'appeler les secours. Les autres ont dû être attirés par le bruit et quant ils ont vu ma position et l'enfant, ils ont dû comprendre. Sauf Andy, je pense que Goldie lui a expliqué. Enfin, je n'en sais rien, je n'étais pas dans leurs têtes.
Contrairement à Madness qui s'était installé dans la vôtre. De plus, il avait amené tous ses copains.
Je sais... Au final, l'enfant avait juste un œil fichu. Il s'en tirait bien. Ça n'aurait pas été le cas si Madness avait réussi son coup. J'entendais sa voix...
Nightmare Foxy : je suis désolé Madness, il a repris le contrôle et...
Madness : chut... Ce n'est pas grave... L'important, c'est que ce crétin d'Elliot va pourrir dans une salle sombre et humide jusqu'au jour où un idiot l'en sortira pour je ne sais quoi. Et à ce moment-là... La machine à tuer que j'aurais fabriqué entre temps sera libre ! AHHHHHH AHHHHHHH AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH !
Nightmare : Madness, tu devrais prendre tes médocs.
Madness : oui... Merci Nightmare. J'en étais où ? Ah oui. MOUAH AHHHHHHH AHHHHHHH AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH !
J'entendais les sirènes des ambulances... J'ai vu les ambulanciers... Puis vint la fin de la journée... Évidemment, le restaurant était fermé et les autres n'osaient pas venir... C'est à 20h que plusieurs hommes sont arrivés.
Homme 1 : le patron a dit de faire attention.
Homme 2 : tu me connais... Je traite toujours nos chers amis avec soin et délicatesse... Tellement de délicatesse qu'au moment où ils m'ont installé dans l'office, derrière le siège du garde, je ne pouvais ni bouger ni parler. Je ne pouvais qu'entendre et observer, sans pouvoir intervenir...
Vous n'étiez plus qu'une décoration.
Pour eux. Si Kevin m'avait gardé dans le bâtiment, c'est qu'il me faisait toujours confiance. Quand je me suis regardé après le départ des hommes, je me suis rendu compte que j'étais dans un piteux état. Il me manquait beaucoup de morceaux. Je savais que tout allait changer. Et puis... J'ai regardé un bout de papier qui dépassait de mon corps. C'était un dessin. Une petite fille me l'avait donné et je lui avais dit que je le garderais toujours prêt de mon cœur. Et c'est toujours le cas aujourd'hui ! Regardez, toujours là, entre quelques circuits. Et ce dessin... Ce n'était que le dessin d'un enfant, et pourtant, il m'a remonté le moral à de nombreuses reprises. Bref. Je savais que tout allait changer, que j'allais devoir faire face à des horreurs, mais j'étais prêt. C'était à ce moment-là que ma vie d'animatronic débutait réellement, une vie remplie de mort, de haine, de peur et de folie.