Voici ma nouvelle fanfic sur le JiKook qui, je dois vous l'avouer, me plait beaucoup, je tiens par contre à vous prévenir que je ne pourrais pas poster les chapitres aussi rapidement que les autres, car je passe le bac cette année (et cela passe bien évidemment en premier). Je voulais poster ce premier chapitre plus tard car d'habitude j'attends d'avoir au moins un ou deux chapitres d'avance, mais je voulais vraiment le poster pour que vous me donniez votre avis et pour savoir si l'histoire vous intéresse et vous donne envie de connaitre la suite. Bref, je ne vous embête pas plus longtemps, bonne lecture!!

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Freedom

« Rire, c'est risquer d'être ridicule. Pleurer, c'est risquer d'avoir l'air sentimental. Tendre la main vers l'autre, c'est risquer l'engagement. Exprimer ses sentiments, c'est révéler sa véritable nature. Exposer ses rêves et ses idéaux, c'est risquer de les perdre. Aimer, c'est risquer de ne pas être aimé en retour. Vivre c'est risquer de mourir. Espérer, c'est risquer l'échec. Alors, il faut tout risquer pour exister ! »

Chapitre 1 :

« Ne perds jamais espoir. Lorsque le soleil se couche, les étoiles apparaissent. »

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P.O.V Jimin :

Je me présente, je m'appelle Jimin et je dois avoir 16-17 ans je pense,(seulement l'âge de Jimin a été modifié dans cette histoire) vous vous demandez surement comme se fait-il que je ne connaisse pas mon âge et bien c'est parce que je suis victime d'esclavage, eh oui, cela est encore possible de nos jours, c'est ce que l'on appelle l'esclavage moderne. Bref je ne pense pas que vous raconter ma vie soit amusant. En gros, je suis dans ce merdier, je pense, depuis que je suis né et aujourd'hui mon « propriétaire » va me vendre sur un marché contre du fric bien évidement. Je suis le genre d'esclave que l'on pourrait qualifier de bonne, je m'occupe de la maison et de la cuisine pour mes « maitres », par chance, j'étais pour l'instant trop jeune pour être abusé mais je pense que cela ne saurait tarder. Pour ce qui est de mon corps, j'étais marqué de coups de fouets ou de ceintures, et je ne vous parle même pas de l'état de mon cou, mes poignets et mes chevilles à cause de ces grosses menottes en fer et de toutes ces chaînes, mais bon à force j'avais fini par avoir l'habitude.

Nous étions arrivé sur le « marché » et mon propriétaire me fit rentrer dans une cage ou il attacha mes poignets à un barreau du plafond, puis il referma la cage à clé bien évidemment et accrocha une pancarte sur le devant où devait surement être noté « mon prix ». Ces moments était ceux que je détestais le plus, être comme cela dans une cage à la vue de tout le monde sans qu'aucun d'eux ne vous prêtent attention, seulement pour savoir si vous êtes une bonne affaire ou si vous valez la peine. Le pire dans tout ça, c'est que je pense que mon corps n'allait plus tenir très longtemps, j'avais faim, très faim, j'étais fatigué et depuis quelques temps, je commençais à me sentir mal, j'étais surement en train de tomber malade mais absolument tout le monde s'en fiché, après tout je n'étais qu'un esclave.

Pendant que j'étais en train de broyer du noir et de réfléchir à ma misérable vie, quelque chose ou plutôt quelqu'un attira mon attention. Un jeune garçon était en train de me regarder, pendant qu'un autre plus âgé était en train de discuter avec mon propriétaire. C'était très rare de voir des personnes d'à peux près mon âge dans ce genre d'endroit, mais ce qui me troublait le plus, c'était la façon dont-il me regardait, ce n'était pas du mépris loin de là, ni de la pitié, mais de la compassion et de la tendresse, j'avais enfin l'impression d'être vu comme un humain plutôt qu'un animal. Si cette personne allait faire partie de la nouvelle famille à qui j'allais servir, je me sentais un peu rassuré, mais je ne me réjouissais pas trop vite non plus, on dit souvent que les apparences sont trompeuses.

Effectivement, j'avais bien étais acheté, car mon maître, enfin plutôt ancien maître maintenant, me fit sortir de la cage pour venir m'enchaîner de telle façon à ce que je ne puisse plus bouger ne serait-ce qu'une partie de mon corps, il me banda ensuite les yeux sans oublier de me mettre un bâillon puis il me jeta dans une autre cage, maintenant je devais attendre le lendemain dans cet endroit, moment où les nouveaux propriétaires venaient chercher leurs nouveaux esclaves. Je sentais que la nuit commençait à tomber car j'avais froid, mes vêtements troués ne m'étaient absolument d'aucune utilité. Tout à coup, des bruits de pas se firent entendre.

- T'es sûr que c'est lui ?

-Mais oui je l'ai vu cette aprem', je suis sûr je te dis.

Un fracas se fit entendre et je compris que la porte de ma cage avait été forcé quand un grincement se fit entendre. J'avais vraiment peur, qu'est-ce qu'il se passait ? Qui était ces gens ? Et surtout que me voulait-il ?

-Dit, rappel moi pourquoi on est obligé de faire ça ?

-Parce qu'une certaine personne n'a pas réussi à l'avoir normalement

-Yah tu veux que je te rappel le prix que l'autre donné, jamais on aurait été capable de donner plus

-Il a pas tord

-Bon maintenant ça suffit, vous vous insulterez plus tard, on a pas que ça à foutre

-Mais c'est bon zen

-Non c'est pas bon, si on se fait chopper rien à foutre vous vous démerdez

J'entendis un soupir collectif et je me fis tirer hors de la cage. Leur conversation ne m'avait pas du tout inspirait confiance. Je me fis porter et ils commencèrent à courir. Je ne bougeais pas, totalement paralysé par la peur. Je les entendis monter dans ce qui semblait être une voiture et la personne qui me portait, m'assit sur un siège.

-C'est pas trop tôt, vous en avez mis du temps.

-Ces sales mômes ont eu la bonne idée de se disputer.

Je n'écoutais pas la suite car je sentis une main se poser sur mon bras.

-Dit, tu t'appelles bien Park Jimin n'est-ce pas ?

Je hochais légèrement la tête préférant me montrer obéissant.

-C'est bon les gars, j'ai confirmation que c'est bien lui.

-Je suis soulagé, on l'a enfin trouvé.

-Depuis le temps qu'on le cherchait.

Euh...je devais avoir peur ou être soulagé là, parce que sérieux, je ne comprends absolument rien à ce qu'il se passe et ça me fait peur. La peur fini par totalement m'envahir et avec la fatigue et la faim, je manquais légèrement de bon sens, totalement pris de panique, mon corps se mit à trembler tellement que j'en avais mal partout et je me mis à pleurer.

-Eh calme toi, on te veut aucun mal d'accord, on est là pour t'aider, tu n'as rien à craindre de nous.

Il est marrant lui comment voulait-il que je me calme dans la situation où j'étais.

- Kook' fait quelque chose, t'as le même âge que lui tu devrais réussir à le calmer non ?

-Je fais ce que je peux d'accord, c'est normal qu'il ait peur, n'importe quelle personne normalement constitué aurait peur dans une situation comme celle-ci.

-Sales gosses vous êtes en train de le traumatiser.

-On fait ce qu'on peut eomma.

-Non justement depuis tout à l'heure tu fais rien à par râler.

-Toi aussi je te ferais dire.

-Bon l'alien et le sucre ils vont se calmer ou sinon je vous jette sur le trottoir.

-Yah Nam t'es pas sympas sérieux.

Je sentis la personne à coté de moi soupirer. Là j'étais encore plus perdu, où est-ce que j'avais atterrit sérieux.

-Nam, je peux lui enlever son bandeau et son bâillon.

-Oui si ça peux t'aider à le calmer.

J'allais enfin pouvoir voir à quoi ressemblaient mes kidnappeurs. Je sentis le garçon à coté de moi me retirer le bandeau qui se trouvait sur mes yeux. Je voulu ouvrir les yeux mais la lumière était trop forte, je mis donc quelques secondes avant de mit habituer, pendant ces quelques secondes, le garçon avait eu le temps de m'enlever mon bâillon.

J'ouvris finalement les yeux et tombais sur un groupe de 4 garçons, puis, je vis 2 autres garçons, un qui conduisait et un autre à coté sur le siège passager, nous étions dans un van. 3 garçons étaient assis sur la banquette en face de moi, ayant peur, je ne les regardais pas plus que ça, je tournais ensuite la tête pour voir à quoi ressemblait le garçon à coté de moi et là se fut le choque.

-Je...je t'ai déjà vu,... tu étais là cette après midi.

C'était lui, c'était le garçon qui me regardait au marché.

-Tu te rappels de moi, ça me fait plaisir.

-C'était la première fois que quelqu'un me regardait gentiment, je ne risquais pas de l'oublier.

Il me fit un regard triste et je baissais la tête gêné, pourquoi est-ce que je me confiais à lui, ils venaient de m'enlever, je ne pouvais pas leurs faire confiance. Quoi que, je ne pense pas que ce soit pire que ce que je vivais jusque maintenant.

-Qu'est-ce...qu'est-ce que vous me voulez ?

Je le regardais tout tremblant, même si j'étais un peu plus rassuré, j'avais toujours aussi peur.

-On est là pour t'aider, on sait ce que tu vis et on va te sortir de là

-Pourquoi...pourquoi vous faites ça ?

-Ton père nous l'a demandé avant de mourir.

-Yah Nam t'aurais pu le dire autrement sérieux.

-Mon...mon père... ?

-Oui... de ce qu'il nous a dit, tu as était enlevé à la maternité, et depuis ce jour ton père a passé sa vie à te chercher. Malheureusement, il était malade et il n'a pas pu aller jusqu'au bout de ses recherches. C'est pour cela, qu'avant de mourir il nous a demandé de continuer ses recherches et de te retrouver.

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Voilà, j'espère que ce chapitre vous a plu autant que moi j'ai aimé l'écrire, cette fanfic me plait beaucoup, et j'espère qu'elle vous plaira autant qu'à moi. Je vais essayer de poster le prochain chapitre le moi prochain, mais je ne vous promet malheureusement rien désolé!!!!