Douce et Violente,


Douce et violente, comme la rose et ses épines,

Cette rage que mon estomac misérable,

Matin et soir, en secret, rumine

Devient, à elle seule, une blessure intolérable.


Pourtant, le destin se préparait inouï.

Quand un sourire qui aurait charmé le soleil,

A illuminé mon cœur et troublé mes nuits.

Quel crime aurait été ! De ne pas aimer ce visage vermeil.


Ah ! Aussi ai-je haï cette simple amitié

Qui semble insipide et sans goût à tes côtés.

Un instant, oui ! mes esprits s'étaient abrutis


J'ai pensé : « Le bonheur est là, la chance me sourit. »

Seulement, quiconque est sous tes yeux

Tombe et chute, comme une feuille, le cœur en feu.

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top