Le lendemain, Sidjil se réveilla dans son lit, torse nu, avec une migraine de 12 sur l'échelle de Richter.

Il se leva difficilement avant d'attraper la boîte de Doliprane placée exprès pour les gueules de bois du brun.

Il avait passé la soirée de la veille à se bourrer la gueule à coup de vodka pomme, et il le regrettait maintenant.

Il repensa à la rencontre qu'il avait faite hier, le nez dans ses Chocapic. Il s'étonnait lui même de la confiance qu'il avait placé en lui dès le moment où il avait commencé à lui parler. Il n'était pas du genre à baisser sa garde lorsque que quelqu'un se retrouvait à coté de lui, pourtant il y avait ce je ne sais quoi chez le petit qui lui donnait envie d'apprendre à le connaître plus.

La journée passa très vite, entre les épisodes de one piece matés sur Netflix et le grec que Sidjil s'était fait à midi.

18h arrivait, donc le grand décida d'aller se balader en ville. Il sortit de chez lui en prenant ses clés, ses écouteurs et son portable.

Il commença à marcher sans but, et ses pas se dirigèrent commes attirés par le parc dans lequel Sid avait trainé hier.

Il s'installa sur un banc, du
Lomepal dans les oreilles et regarda un point fixe au loin. Il ne pensait à rien, il profitait juste de la musique dans ces oreilles. Une heure passa sans que le moindre événement n'arrive.

Le brun n'avait pas spécialement faim, c'est pourquoi il décida de rester là où il était.

En réalité, il espérait intérieurement recroiser le petit de la veille.

Il voulait connaître son nom, ses goûts, ses passions, son travail...

Malheureusement pour lui, deux heures passèrent sans qu'il n'aperçoive la chevelure de sa nouvelle rencontre. Il décida donc de repartir en direction de son bar, dans lequel il commença à picoler.

Le lendemain, il se réveilla encore et toujours avec sa gueule de bois habituelle, et fis la même chose que la veille. Il commençait à en avoir marre de cette routine permanente qui s'était installée dans sa vie depuis sa rupture avec sa copine, mais pour rien au monde il n'arrêterait de boire. C'était son moyen d'échappatoire, son issu de secours quand les gens le saoulait, ça lui permettait d'oublier que le monde continuerait d'avancer même sans lui à bord.

À 18h, il décida de retenter sa chance et reparti en direction du parc, dans un espoir vain de recroiser le petit.

À son grand étonnement, une silhouette se détachait du banc sur lequel il avait l'habitude d'être assis. Il trotina donc dans cette direction, et reconnu le sourire de la personne qu'il avait rencontré.

-Tiens tiens, comme on se retrouve! Lui dit-il, pas si surpris que ça.

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J'ai décidé de vous spammer de notifs (trois chapitres en tout, on peut l'applaudir quand même !)

Promis le prochain sera plus long, je voulais juste couper ici par pur sadisme (gnark gnark gnark)

Sinon ça va vous?

500mots,

Peace👋