Chapitre 12
Ladybug et Chat Noir étaient dans leur bulle, en haut de cette Tour Eiffel, lové l'un contre l'autre. Lorsque qu'une voix s'éleva dans les airs.
- Je suis le Papillon. Et je détient un jeune garçon en otage. S'exclama la voix de l'homme. Si vous ne me donnez pas vos Miraculous, je peux vous jurer que plus aucun parisien ne fera de beau rêve. Mes merveilleux akumas se nourrissent des cauchemar des personnes endormi. Ce qui me permet de créer les vilains contre lesquels vous vous battez.
Ladybug se leva d'un bond, essayant de voire dans quel direction pourrait être leur adversaire mais évidemment, c'était un haut parleur qui diffusait le message de leur ennemi.
L'héroïne s'écria alors:
- Papillon, nous ne vous donnerons pas nos Miraculous ! Mais nous nous battrons pour libérer l'otage que vous détenez.
Chat Noir quant à lui, était toujours assis au sol, les yeux haggard. Le papillon avait osé s'en prendre à Félix.
Oui Félix, il était prisonnier de cet homme, il en était certain. Le Chat se rappelait de la fois où sa Lady l'avait croisé. Et puis tout correspondait...
Les larmes venaient d'elle même, révélant la douleur du héros.
Il se leva tout de même, sentant que la chaleur de son âme sœur ne se faisait plus ressentir.
Le blond se plaça devant la rambarde et hurla:
- C'est toi qui nous donnera ton Miraculous Papillon ! De gré ou de force peu importe. Le bien triomphe toujours !
La bleutée posa son regard azur sur le visage en larme de son compagnon.
Le Ying et le Yang se donnaient la main affrontant fièrement le regard de la cité.
Ils s'embrasserent.
Hélas, le monde réel les appelaient. Les ramenant dans leur vie respectives.
Mais ils reviendraient plus fort, pour vaincre cet horrible personnage.
Adrien se réveilla en sursaut, les joues baigner de larmes. Il s'habilla à toute vitesse, sortit discrètement de la pièce pour rejoindre le monde extérieur.
Là le blond prit un taxi demandant à être emmener à l'hôpital.
Le blond avait le cœur battant la chamade, les mains moites et un air angoissé sur le visage.
Arriver devant l'hôpital, Adrien resta bloquer. Il ne savait pas si c'était une bonne idée d'y aller.
Plagg sortit de la poche de sa chemise et il se mit à regarder son porteur.
Le visage angoissé d'Adrien lui faisait penser au jour où Leodagan avait avouer ses sentiments à la Coccinelle.
- Bon, gamin. Tu entres ou tu comptes admiré encore longtemps se bâtiments. Lança Plagg.
Adrien se reconecta enfin à la réalité. Le jeune garçon prit son courage à deux mains et entra dans le bâtiment.
Il se dirigea vers l'accueil. Une femme d'une cinquantaine d'années était en train de classer toute sorte de document.
- Bonjour, je viens voir Félix Agreste. Déclara le blond.
La femme leva les yeux vers lui. Elle lui indiqua que Félix n'avait pas bouger de chambre.
- Il est toujours dans la chambre 12. Lui dit-elle.
Adrien la remercia et s'empressa de rejoindre la chambre de son jumeaux.
Arrivé devant la pièce, l'alter ego de Chat Noir tremblait.
Cela faisait 2 mois que son frère était admis ici. C'est avec un pincement au cœur qu'il ouvrit doucement la porte.
Félix était allongé sur un lit blanc ses bras poser sur les couvertures. Les draps étaient impeccablement tiré.
Son visage était paisible. Un léger bandage entourait sa tête.
Adrien s'approcha de son jumeau. Il prit une chaise et s'assit devant lui.
Plagg sortit de la chemise du garçon pour se poser sur son épaule.
“Alors le voilà donc le jumeau du gamin.” pensai Plagg.
- Que lui est-il arrivé ? Demanda le demi-dieu d'une voix douce.
Adrien soupira.
- Félix et moi on a toujours été proche. Être jumeaux facilitait les choses. On pouvait rester des après midi entière sans rien se dire car nos paroles passaient dans nos geste.
Tu sais Plagg, Félix est mon aîné, par conséquence il me protégeais. Mais Félix tient beaucoup de mon père pour le caractère. Si tu ne le connais pas il peut te paraître froid, distant sans cœur. Mais ce n'est qu'une façade en réalité mon frère a un cœur tellement grand qu'il est obligé de le cacher pour ne pas se faire avoir.
C'est Félix qui m'a soutenu dans toute les épreuves importantes de ma vie. C'est lui encore qui séchait mes larmes quand notre père m'évitait. C'est mon jumeau qui m'a convaincu que ce n'était pas de ma faute si notre mère avait disparu.
À 4 ans, on est allé à la maternelle, on avait des amis. Tout allait bien jusqu'au jour où l'un de nos amis sans n'est pris à nous car nous avions beaucoup d'argent. Hors nous l'avions dit à personne car on voulaient être comme nos camarades. Cet amis me tapait quand Félix n'était pas là. Félix s'en aie rendu compte bien vite et il m'a toujours protégé. Nos parents s'en sont aperçue et ils ont pris la décision de nous faire venir un professeur pour nous faire cour à domicile. Depuis se jour on avait plus mis les pieds dans une école.
Enfin, jusqu'à il y a deux mois. Avec Félix, on s'était rendu compte qu'on était prêt à affronter le monde extérieur. Qu'ensemble on vaincraient toute les épreuves. Après tout, il m'avait bien sauvé d'une dépression après la mort de notre mère.
Alors nous sommes allés voire notre père. On lui a exposé notre souhait. Le grand Gabriel Agreste était sceptique. Ils nous a fallut user d'une argumentation et d'une patience à toute épreuve.
Notre père a finalement accepté. Je dois dire qu'on a été fourbe car on a mis Nathalie de notre côté.
Alors une semaine avant la rentrée, avec Félix, on est allé visiter l'établissement.
C'était une de ces journées normale, où on était de bonne humeur. Félix était calme alors que moi je ne tenais pas en place.
On a exceptionnellement demandé à ce déplacé à pieds et ça nous a été accordé.
Nous les jumeaux Agreste, nous déplaçions dans Paris, libre comme l'air. Comme c'était agréable.
Mais. Il y a toujours un mais. A croire que ma famille est maudite que toute les horreurs nous arrivent.
Nous étions à trois cent mètres du collège. Ils nous fallaient juste traverser deux passages piéton.
J'étais heureux et pas concentré, je me suis avancé sur le deuxième passage piéton ayant hâte de rencontrer le directeur du collège.
Je ne sais pas ce qu'il s'est exactement passé, mais ce que je sais c'est que tout est encore de ma faute.
Donc j'ai traverser, une voiture arrivait à fond à l'heure. Une voiture folle. J'allais me faire écraser.
Mais c'était sans compter Félix et son grand cœur, Félix et son altruisme à toute épreuve.
Mon frère à couru vers moi, est arrivé à ma hauteur et il m'a poussé de toute ses forces vers le trottoir le plus proche.
Il a été renverser par la voiture.
Le bilan était lourd. 2 cote cassé, 1 bras et une jambe cassé et un traumatisme crânien.
Comme tu peut le voir, Félix est dans le coma, ces blessures sont néanmoins soigner. Mais Papillon le retiens dans la cité miraculeuse !
Plagg, ma vie est un enfer. Si il n'y avait pas Ladybug je ne sais pas se que je ferai. Elle est ma bouée de sauvetage. Elle est ma vie, mon oxygène.
Adrien se mit à pleurer. Il prit la main de son jumeaux et lui dit.
- Félix, je te promet que je vaincrais le Papillon. Tu l'a retrouveras ta liberté et alors je te présenterai ma Lady car j'aurais découvert son identité.
Plagg avait confiance en son porteur il espérait qu'il y arriverai car il savait qu'un nouvel échec pourrait les achever.
Voilà ce chapitre se termine. J'espère qu'il vous aura plus.
Alors les révélation sur Félix ?
Sur ce Stalastite bye bye les miraculers.
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