Conte 4


            Dans une contré oubliée de tous, un royaume naquis sur une montagne. Le roi arriva au sommet à dos d'éléphant et bâtit sa demeure. Sa majesté passionné par l'autolâtrie et souffrant d'arachibutyrophobie, voulu irradier de son royaume la population occupant ses lieux, les nains. Ces petits hommes pour avoir la vie sauf, ne put que calter vers les profondeurs des grottes.

Les années passèrent et une statue à son effigie fut construite. Beaucoup de fidèle se sont brûlés le poil au côté du soleil pour leur grand seigneur.

Depuis cinq jours la chaleur était insupportable. Le roi emmouscaillé par cette température, soufrait d'un mal de tête abominable. Ses sujets inquiets allèrent chercher les anciens habitants, les sages.

Une fois le groupe de volontaire rassemblé, ils descendirent dans les profondeurs des montagnes pour chercher leurs sauveurs. De nombreuses personnes étaient réunis autour d'une table où une assiette grandiose était remplis de friandise. L'un d'entre eux en apportant une à ses lèvres, et se lécha les doigts goulûment.

-Et bien,que faite vous chez nous ? demanda ce dernier.

Les fidèles ne quittèrent des yeux l'être à la pupille malice.

- Je m'appelle Jallel, et nous sommes venus vous demander de l'aide. Notre peuple souffre de cette chaleur, et notre roi d'un horrible mal de tête.

-Jallel, en quoi nous aiderons votre peuple ? Vous nous avez chassez de nos terres, vous avez tuez nos amis parce qu'ils étaient xyloglotte.

- Notre prince sera près à vous rendre vos terres si vous nous aider.

-Je n'y ai pas le cœur, et de nos terres nous n'en avons plus besoin.

-Que puis-je faire, pour que vous changiez d'avis ? demanda Jallel à genoux.

- Embrasser une personne du même sexe est un délie chez vous, embrasse moi et j'accepterais ta demande.

Le jeune homme déglutit, et s'approcha doucement du petit être, s'agenouilla, déposa un baiser langoureux. Le nain satisfait, s'essuya la bouche et sourit.

- Je n'aurais jamais pensé que tu serais aussi gourmand Jallel ! Tu m'a prouvé que tu étais dévoué et déterminé à sauver ton peuple. Que tes amis parlent et ton peuple te tuera. le visage de Jallel resta impassible. le nain se tourna vers ses amis. On retourne au bercail les copains ! dit-il joyeusement.

De l'autre côté, le roi balaya d'une foucade l'assiette de fromage qu'apportait le serviteur. Impatient, il trépignait sur son trône, et se frotta le visage vigoureusement.

- Que cette chaleur et ce mal de tête soit châtié ! Aboya-t-il.

Les portes du royaume s'ouvrir. Les courageux serviteur arrivèrent avec des petits hommes. Jallel s'avança et salua d'une révérence son roi.

- Votre majesté, voici les sages.

- Et que peuvent-il faire pour ce mal atroce qui s'abat sur moi ? Et pour cet air suffocante ?

- notre aspirine pour votre tête, et votre bonté pour que le vent se lève. Vous l'avez vexé avec votre grande tour. Il avait l'habitude de nous dire bonjour, mais depuis votre venue, il ne se montre point.

Le roi le regarda méduser par son audace. Le nain sortit de son sac un sachet de comprimé blanc et s'avança devant sa suprématie. Déposé dans un verre d'eau, le seigneur but le breuvage pétillant.

- Ce remède n'est pas folichon. Le goût est amer, voir écœurant. Si ma douleur passe, le monument trépassera, nain.

La nuit tombé, la douleur envolé, le festin avalé, le royaume était en fête. Au petit matin, le monument chuta. En un jour le vent se leva.

Rien ne sert de montrer à quel point nous sommes bon par des artifices, seul les actes reflet l'âme.

De 1NuageDansLaTete.

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