Avril 2020 - Top 5
Bonjour !
Tout comme le mois précédent, je vous propose un petit retour sur mes cinq films les plus marquants d'avril 2020, dans l'ordre de visionnage.
Ce mois-ci, donc, j'ai vu beaucoup moins de films qu'en mars étant donné un certain nombre de travaux à rendre. Et je me rends compte que j'ai surtout revu pas mal de films...
Persona (Ingmar Bergman, 1966)
Classique du cinéma suédois, dont Ingmar Bergman est le représentant le plus reconnu, Persona est une œuvre unique en son genre. Esthétiquement très épurée, elle offre peu d'action et des dialogues assez confus. L'histoire en elle-même est celle d'une infirmière qui s'occupe d'une actrice ayant brusquement arrêté de parler pour une raison qui n'est pas précisée. C'est un film très obscur et qui ne peut pas plaire à tous les publics, mais l'expérience en vaut la peine, rien que pour les très belles images et la fin ambiguë.
Indiana Jones et la Dernière Croisade (Steven Spielberg, 1989)
Peut-être, avec l'indétrônable Star Wars, ma saga cinématographique préférée (sans compter le 4, évidemment). Férue d'archéologie et d'aventure, j'aime énormément Indiana Jones et particulièrement le premier. Cela dit, j'ai revu ce troisième opus après des années, et il s'avère tout aussi haletant ! Le duo principal est vraiment excellent. Habituée à Sean Connery dans le rôle de James Bond, je l'ai redécouvert ici en vieux professeur bizarre mais charmant à sa manière. Une valeur sûre et même incontournable du cinéma d'aventure !
Pirates des Caraïbes : La Malédiction du Black Pearl (Gore Verbinski, 2003)
Encore une saga culte ! Jusqu'à récemment, je dois admettre n'avoir vu que le premier opus de Pirates des Caraïbes. Et puisque je suis en ce moment particulièrement intéressée par l'histoire de la piraterie, à défaut de pouvoir mettre tout de suite la main sur des bouquins, j'ai décidé d'enfin voir toute la saga. Si les trois premiers épisodes sont tous merveilleux, je garde une préférence pour La Malédiction du Black Pearl, qui n'a pas pris une ride en presque vingt ans. Les personnages sont attachants, la reconstitution des décors et des costumes convaincantes, et bien sûr, la musique épique fait toujours son effet !
Blade Runner (Ridley Scott, 1982)
De nouveau un film déjà vu, et encore un avec le génial Harrison Ford. J'en gardais un souvenir très flou, et la lecture du roman d'origine n'a pas arrangé les choses... En prévision d'un visionnage futur de sa suite, j'ai dû me rafraîchir la mémoire, et je ne regrette pas du tout. C'est un chef d'œuvre de science-fiction où tout sonne juste. L'esthétique est sublime et la bande originale composée par Vangelis complète admirablement le tableau. Le revoir m'a aussi permis de mesurer l'impact de ce film culte sur les films de science-fiction qui sont venus après. J'ai beaucoup pensé à un segment de Cloud Atlas par exemple !
Le Prestige (Christopher Nolan, 2006)
Enfin, l'un des derniers films vus ce mois-ci (hier en fait), également une adaptation littéraire. J'avais adoré le roman de Christopher Priest, et par crainte d'être déçue, j'ai pas mal repoussé le visionnage du film. Mais bien que le twist final me soit déjà connu, ça ne m'a pas empêchée de me laisser happer dans cette version. Je trouve parfois Nolan surestimé, mais c'est à coup sûr une de ses plus belles réussites. L'aspect du Londres de la toute fin du XIXe est bien rendu à l'écran, et les acteurs, surtout Michael Caine et Hugh Jackman, sont excellents. Et voir le génial David Bowie dans un film est toujours un bonus sympathique !
Ce sera donc tout pour aujourd'hui. Portez-vous bien, et à la prochaine !
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top