En route vers l'avenir !

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Le mois d'août est passé à une vitesse folle et celui de septembre est bien entamé. Pendant que Léon et Hortense s'occupent de toute la paperasse qui incombe à l'ouverture d'un tel établissement, avec Lola nous avons obtenu notre diplôme pour être animateur dans un premier temps. Car nous ne comptons pas nous arrêter là avec ma puce, mais pour commencer et faire partie de la structure, ça sera suffisant et ça nous laissera toute l'année, pour valider notre diplôme de petite enfance, que nous passerons en candidat libre. Cette association étant gérée par les trois communes, chacune d'elles va employer deux autres animateurs, du coup, nous sommes une équipe de six, plus Léon qui est notre directeur, en attendant que nous obtenions nos autres diplômes.

La visite de Léon et Hortense avait fini de rassurer ma sœur. Ils lui avaient expliqué qu'au contraire de ce qu'elle pensait, il n'était pas question que nous ne passions pas de diplômes, ils étaient seulement différents de ceux auxquels on se destinait au départ. Pauline avait dû admettre, qu'elle avait eu tort de s'emballer comme elle l'avait fait. Cependant, nous étions tous d'accord pour cette question d'héritage, et pour le moment Léon et Hortense n'en parlait plus et c'était tant mieux.

L'école, elle aussi était prête à rouvrir ses portes et elle s'était faite toute belle. Toutes les peintures avaient été refaites, l'électricité et la plomberie avaient été vérifiées et remise aux normes, nous avions pour l'instant six salles à notre disposition, afin d'y accueillir les différentes tranches d'âge allant de 3 ans à 10 ans. La halte-garderie avait pris un peu de retard, parce qu'il fallait créer la structure et respecter bien plus de normes de sécurité encore. Mais comme l'avait souhaité Lola, cette passerelle accueillera bien les plus petits et notamment Loïs, qui a été le premier inscrit sur la liste. Violette ne parle plus que de ça, et de son tonton et de sa tatie qui vont « faire l'école », comme elle dit.

À dix-huit heures, nous devons tous les six, nous rendre à l'école pour la réouverture officielle de celle-ci. Léon et Hortense seront là bien sûr, ainsi que les maires et adjoints des trois communes, les autres animateurs, les deux assistantes maternelles, ainsi que l'éducatrice pour jeunes enfants et notre couple d'ami, Phil et Charly. Cette structure école va permettre aux enfants des trois communes d'être encadrés, suivis et accompagnés jusqu'à leur entrée au collège.

C'est ambitieux, novateur et terriblement excitant.

— Mon cœur tu es bientôt prête ?

— Je finis de me coiffer et de me maquiller.

— Waouh ! Tu es... Magnifique !

— Ce n'est pas trop ?

— Trop quoi ? Tu es tellement...

— Sérieux ? Allez Cam' soit honnête !

— C'est sûr, que ce n'est pas ce que tu portes d'habitude, mais cet ensemble te va très bien mon cœur, tu fais très femme... Hum... l'attiré-je à moi en la capturant au niveau de la taille. Je t'interdis de te déshabiller quand on sera rentrés, la seule chose que tu enlèveras, c'est ta petite culotte. Je te veux nue sous cette jupe...

— Hum... Il me tarde de rentrer alors, par contre la jupe crayon, ce n'est pas ce qu'il y a de plus pratique pour baiser mon amour, me souffle-t-elle avec sa voix rocailleuse et excitée, en anticipant ce moment, que nous passerons après la cérémonie.

Je la soulève par-dessous les fesses, pour l'asseoir sur le meuble de la vasque et en effet, il lui est impossible d'ouvrir les jambes, comme il le faudrait, pour que je me cale entre elles.

— On trouvera une solution, ne t'inquiète pas pour ça, lui annoncé-je avec un petit sourire, tout en la fixant du regard.

— Tant que tu ne la déchires pas, tout me va.

— Mince je lui aurai bien fait une fente sur le côté, partant de ton genou jusqu'à ta hanche... Hum, j'ai plus trop envie d'aller à cette cérémonie.

— C'est sûr que notre absence passerait inaperçue ! Hein ? Ce n'est pas comme si nous ne devions pas être présentés, comme tout le reste de l'équipe d'ailleurs, aux parents et enfants participants à l'association.

— Merde ! Fais chier !

— On a bossé comme des fous furieux pour fonder notre avenir, et il n'est pas question qu'on rate cette soirée. Alors va t'habiller et range-moi cette queue bandée qui me tente trop...

J'éclate de rire.

Lola n'arrive pas à rester sérieuse plus de cinq secondes, et elle a beau faire genre, elle est tout aussi flippée que moi par cette inauguration et présentation.

— Alors comme ça, tu es tentée ? me moqué-je tout en me branlant face à elle.

— Putain Cam' arrête, dit-elle le regard rivé sur mes va-et-vient, tout en mordant sa lèvre inférieure.

— Putain Lola ta lèvre ! grogné-je.

— Putain Camille ta queue ! ajoute-t-elle sur le même ton de voix.

Lola se laisse glisser le long du meuble, pour en descendre sans risquer d'abîmer sa jupe. Tous ses mouvements sont d'un érotisme fou avec cette jupe et le fameux chemisier blanc que je lui ai acheté en Italie. Oui, oui, celui-là même. Lola a juste placé une broche pour éviter que le plongeant de son décolleté soit trop important. Lola s'approche de moi et fait semblant de m'embrasser le torse, elle approche ses lèvres, mime un baiser qui claque, et souffle sur ma peau chauffée par son petit manège.

— Tu vas me rendre fou...

— Et toi ? Tu penses à ma santé mentale en te donnant du plaisir face à moi ?

— Mon cœur rien ne t'empêche de prendre le relais ! Tiens, elle est toute à toi !

Alors que j'accompagne ma déclaration, d'un grand sourire, tout en levant les bras en signe de reddition.

— Je ne voudrais pas détériorer mon maquillage, voyons, s'amuse-t-elle en mettant sa bouche en avant. Par contre, je peux faire ça !

Lola se tourne et descend la fermeture éclair de sa jupe, elle fait chalouper ses hanches, afin de la faire glisser jusqu'à ce qu'elle tombe sur ses chevilles. Lola avec des gestes lents, mais précis, retire un pied puis l'autre, et se penche entièrement, jambes tendues et entrouvertes, pour ramasser sa jupe qu'elle lisse, avant de l'accrocher sur son portemanteau muni de pinces.

Je n'ai plus de salive, tant ma gorge est sèche face au spectacle qu'elle m'offre.

Lola a fait fort, elle porte un ensemble de lingerie noire avec un string en dentelle et strass, dont un se trouve juste au centre, assorti au porte-jarretelles, auquel sont accrochés des bas très fins, pour terminer l'ensemble par des talons hauts qui allongent ses jambes, elle ne porte plus que le chemisier que je lui ai offert.

— Putain Lola tu es tellement bandante...

— Tu attends quoi alors, me charme-t-elle de sa voix rauque.

La tête de Lola légèrement tournée vers moi, elle me décroche un sourire séducteur par-dessus son épaule, tandis que ses mains se cramponnent au meuble de la vasque, son dos se cambre, ses fesses se tendent en arrière, avant que Lola écarte lentement ses jambes.

— La vue te plaît ?

— Je n'ose même pas te toucher, tant le tableau que tu m'offres, est d'un érotisme fou.

Je m'approche d'elle et murmure à son oreille, - je t'aime ma Lola -, j'embrasse son cou dénudé par ses cheveux relevés en une queue-de-cheval haute, dont je me saisis délicatement avant de lui souffler sur sa peau tendue :

— Je peux ?

— Oui, si tu ne tires pas trop dessus, je n'aurais pas le temps de la refaire si tu fais ta brute.

Je me baisse après l'avoir embrassé, fais glisser mes doigts sur ses bas fins avant d'attraper sa cheville et de soulever sa jambe tout en lui précisant :

— Ton pied sur le meuble.

Lola s'exécute sans rien ajouter, mais me regarde avec envie par-dessus son épaule et l'accompagne de son sourire coquin.

— Ta fente est trempée...

— Cam' je sais que tu aimes prendre ton temps, me détailler, faire monter le désir, mais...

Je n'attends pas la fin de sa phrase et m'enfonce en elle lentement, contrairement à ce que m'a demandé Lola, mais après un tel effeuillage si je n'y vais pas doucement, je ne vais pas tenir, et puis quel bonheur de la sentir s'ouvrir au fur et à mesure pour m'accueillir, je la bloque au niveau des hanches, pour éviter qu'elle ne bouge. Je ferme les yeux et pose mon front sur son épaule, je suis tellement bien là, à ma place...

— Regarde-moi mon amour, vois comme on est beaux !

J'ouvre les yeux comme Lola me le suggère, relève la tête, et nous découvre dans le miroir. Ses yeux brillent du plaisir que Lola ressent, ses lèvres rouges entrouvertes me soufflent un — je t'aime — , avant de les humidifier du bout de sa langue.

— Je t'aime mon cœur, m'émeus-je en même temps que je lui donne un nouveau coup de reins.

Je ne la lâche pas du regard, et ne lui cache pas, cette larme qui roule sur ma joue. Lola tend sa main vers moi, et la capture du bout de son index, avant de le placer dans sa bouche et de le sucer. Mes va-et-vient nous emmènent droit vers la jouissance que nous accueillons sans un cri, sans un gémissement, mais les yeux dans les yeux. Je me retire, Lola descend sa jambe avant de se retourner et de me prendre dans ses bras. Sa main caresse ma tête qui est posée sur sa poitrine. Lola de son index relève mon menton et m'oblige à la regarder.

— Je t'aime mon amour.

— Je t'aime tant mon cœur.

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Un bon dans l'avenir avec enfin l'ouverture de l'école 👨‍🏫👩‍🏫👩👩‍🦰👨‍🦱🧑👨‍🦰👱‍♀️👨‍🦱👱‍♂️

Forcément, c'est stressant ce genre de présentation !😲😲😕😟

Alors quoi de mieux pour déstresser que de "baiser" comme dirait Cam' 🔥💥🚨

Dans ces cas-là, Lola n'est jamais en reste et l'aide même !🤩🔥🚿

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On se retrouve sur la planète #wattpad pour répondre à vos commentaires ou pour vous lire à mon tour 📚.

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Bonne soirée et gros bisous mes Cam'Love 😘😍

Kty. Auteure 🌸💖