Tu ploies sous la chaleur, tu sues abondamment. Le désespoir gangrène de nouveau ta poitrine. Non, tu n'as pas échappé à ce cauchemar – tu t'y es d'autant plus enfoncée. La sortie peut se trouver autant à cinq minutes à pied qu'au bout d'heures et d'heures d'exploration laborieuse.

Mais tu as passé cinq heures dans un dédale sans fin de bureaux déshumanisés. Tu ne peux pas t'arrêter ici, ça sonnerait ta fin.

Quand tu te relèves, ta tête tourne et tes tympans sifflent. Tu commences une seconde marche plus traînante encore.

Combien de temps va-t-elle durer ?

Tu laisses ta paume glisser le long du béton. Tes membres s'alourdissent un peu plus à chaque pas. Tu tombes parfois sur des portes, toutes scellées.

Cette fois-ci, ce sont le ruissellement de l'eau, l'humidité qui étouffe tes poumons et le sifflement de la tuyauterie qui te violentent. Soudain, une voix humaine brise ce méli-mélo insupportable :

— Quelqu'un ? Au secours ! Quelqu'un ?!

Au loin se dessine une silhouette pliée en deux. Un homme, qui lève la tête vers toi. Tu te raidis aussitôt.

Allié ou ennemi ?

Tu...

1– l'observes. Tu dois t'assurer qu'il est humain. (partie 1.1)

2– y vas. Il y avait des notes, elles ont prouvé que tu n'es pas seule ici. (partie 1.2)

3– fuis. C'est soit un traître, soit un monstre. (partie 1.3)

(Si tu as regardé les notes) 4– cites une note en anglais. (partie 1.4)