𝙿𝙴𝚁𝚂𝙾𝙽𝙽𝙰𝙶𝙴 𝙿𝚁𝙸𝙽𝙲𝙸𝙿𝙰𝙻
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(L'art ne m'appartient pas, mais a son auteur. D'ailleurs, dites moi d'où il vient ! Le dessin est magnifique~!)

NOM : Dojima Mitsuru / Yomamuki
SURNOM : JiJi
GENRE : Mâle
ÂGE : 18 ans
ANNIVERSAIRE : 9 mars
TAILLE : 1,94 m
GROUPE SANGUIN : O
COULEUR DES CHEVEUX : Noir
COULEUR DES YEUX : Orange

AFFILIATION : Projet Blue Lock
PROFESSION : Mannequin

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PROFIL GÉNÉRAL

Dojima Mitsuru, connu désormais sous le nom de Yomamuki, est un paradoxe vivant. Silencieux mais captivant, il dégage une aura énigmatique qui attire et intimide à la fois. Toujours vêtu d'un sourire aussi chaleureux qu'intrigant, il incarne une dualité fascinante : calme et posé en apparence, mais brûlant d'un feu intérieur qu'il ne réserve qu'aux moments d'intensité extrême. Ce feu se manifeste pleinement sur le terrain, où son excitation face aux défis le pousse à des états d'adrénaline quasi-maniaques.

Son comportement mystérieux et son aptitude naturelle pour observer les moindres détails de son environnement en font un individu difficile à cerner. Il est un joueur unique, oscillant constamment entre la lumière et l'ombre, un équilibre qui le rend aussi redouté qu'admiré.

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APPARENCE

Dojima possède une beauté atypique qui le distingue immédiatement, que ce soit sur un podium ou sur le terrain de football. Son apparence est marquée par un contraste entre une élégance naturelle et une aura brute, presque sauvage.

• Cheveux : Ses cheveux noirs, légèrement longs et souvent en bataille, encadrent son visage et tombent parfois devant ses yeux, renforçant son image 'canon' et décontractée.

• Yeux : Ses pupilles oranges sont captivantes, brillantes d'une intensité qui reflète autant son calme que ses éclats de passion.

• Piercings : Avec quatre piercings à l'oreille gauche, quatre dans l'oreille droite, un piercing sur la langue, et deux autres sur ses tétons, il affiche une rébellion silencieuse contre les attentes de son père. Une longue boucle d'oreille pend à son oreille gauche, symbole de sa liberté.

[ IMAGE ]

Oreilles Gauche
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Oreille Droite
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(Mesdames, et peut-être Messieurs, besoin d'une photo pour ses piercings au tétons ? Non. Je ne crois pas ☺️)

Tatouages
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• Tatouages : Ses bras, son torse, et son dos sont couverts de tatouages complexes, vestiges de son passage dans le monde des yakuzas sous la tutelle de son oncle. Chaque motif raconte une histoire, une épreuve ou une leçon tirée de cette période marquante de sa vie.

• Corps : Élancé mais musclé, sa silhouette est le fruit d'années d'entraînement rigoureux. Cette combinaison de finesse et de puissance lui donne une élégance naturelle qui en fait un mannequin recherché et un athlète redoutable.

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PERSONNALITÉ

Dojima est un mélange complexe de calme apparent et d'intensité latente, une personnalité fascinante et déroutante pour ceux qui croisent sa route. Il possède une dualité intrinsèque qui fait de lui un individu difficile à cerner, oscillant constamment entre mystère et éclat.

Son aspect le plus marquant est son calme imperturbable. Peu importe la situation, il reste serein, analysant tout avec une précision presque mécanique. Ce calme n'est pas feint ; il est le fruit de son expérience et de son passé, où il a appris à maîtriser ses émotions pour survivre. Cependant, ce sang-froid a aussi un effet déstabilisant sur les autres. Son sourire constant, parfois perçu comme moqueur ou provocant, ajoute une dimension énigmatique à sa personnalité.

Pour lui, le silence est une arme. Il observe plus qu'il ne parle, absorbant chaque détail, qu'il soit tactique ou émotionnel. Ses remarques, bien qu'occasionnelles, sont souvent acérées et d'une vérité brutale. Il peut réduire quelqu'un au silence par une simple phrase, non par cruauté, mais par une honnêteté crue qui ne laisse pas de place à l'interprétation.

Sous cette façade de tranquillité se cache un prédateur avide de défis. Dojima vit pour l'adrénaline, pour ces moments où le monde semble s'effondrer et où il doit puiser dans ses instincts les plus profonds. Ces situations extrêmes réveillent en lui une euphorie presque effrayante.

Son sourire, habituellement doux et énigmatique, devient plus large et plus sauvage face à l'adversité. Ses yeux orange, habituellement calmes et captivants, s'illuminent d'une intensité presque électrique, trahissant une soif insatiable de dépassement. Il compare souvent ces instants à une chasse, où chaque action devient une stratégie, chaque mouvement une décision cruciale.

Ce besoin d'adrénaline n'est pas qu'un simple plaisir : c'est une nécessité. Pour Dojima, la monotonie est synonyme de mort mentale. Il cherche des adversaires et des situations capables de le pousser à ses limites, non pas pour prouver sa supériorité, mais pour ressentir la vie dans sa forme la plus brute.

Dojima sait qu'il est exceptionnel, et il ne s'en cache pas. Mais son arrogance est subtile, rarement exprimée de manière ostentatoire. Il préfère montrer qu'il est meilleur par ses actions plutôt que par ses mots. Cette confiance en lui est si naturelle qu'elle en devient intimidante pour ceux qui l'entourent.

Cependant, son arrogance n'est pas dénuée de fondement. Il est conscient de ses capacités et de son intelligence, mais aussi de ses limites. Il n'a pas peur d'admettre qu'il peut échouer, mais ce qui le différencie, c'est sa capacité à tirer des leçons de chaque échec. Pour lui, chaque défaite est une opportunité de grandir et de revenir encore plus fort.

Dojima est un esprit libre. Il refuse les chaînes de la conformité ou des attentes sociétales, préférant tracer sa propre route, même si cela signifie marcher seul. Cette indépendance, bien qu'admirable, le rend parfois difficile à approcher. Il a du mal à se lier profondément avec les autres, car il préfère garder une certaine distance émotionnelle.

Son détachement émotionnel est à la fois une force et une faiblesse. Il peut prendre des décisions rationnelles sans être influencé par ses sentiments, mais cela le rend parfois insensible aux besoins émotionnels de ceux qui l'entourent. Malgré tout, il a un petit cercle de proches – comme sa sœur jumelle, sa petite sœur, et son oncle – pour lesquels il est prêt à tout sacrifier.

Sous ses airs de joueur détaché et de compétiteur féroce, Dojima cache une profondeur émotionnelle qu'il ne montre que rarement. Son passé, marqué par des conflits familiaux et des choix difficiles, a forgé une carapace qui le protège des blessures émotionnelles. Pourtant, il est profondément loyal envers ceux qu'il considère comme sa famille ou ses alliés.

Sa relation avec sa mère, notamment, est un moteur silencieux dans sa vie. Bien qu'il prétende jouer pour l'adrénaline, une partie de lui cherche à honorer les sacrifices qu'elle a faits pour lui. Ce besoin de donner un sens à son talent, même s'il ne l'avoue pas, guide nombre de ses choix.

Bien que Dojima soit perçu comme une figure presque inébranlable –avec son calme désarmant, sa précision chirurgicale dans les mots et les actions, et son aura magnétique– il existe une dimension de lui que très peu connaissent : sa vulnérabilité face à l'intimité.

Sur le terrain ou dans les interactions sociales quotidiennes, Dojima est une véritable énigme maîtrisée. Cependant, dès que les choses prennent un tournant intime, qu'elles soient émotionnelles ou romantiques, il devient presque méconnaissable.

Le simple fait de recevoir un compliment sincère, de sentir un regard prolongé ou de se retrouver face à des sentiments explicites le fait basculer dans une maladresse qu'il ne contrôle pas. Dans ces moments, son légendaire sourire confiant disparaît pour laisser place à un visage rougissant et déconcerté. Il bégaye parfois, détourne les yeux, ou tente de changer de sujet avec une précipitation inhabituelle.

Ce côté de lui, bien qu'en total contraste avec sa personnalité habituelle, n'est pas dû à un manque d'expérience, mais à une hyperconscience de ses propres émotions. Dojima, qui passe une grande partie de son temps à analyser les autres, se sent submergé lorsqu'il devient lui-même l'objet d'attention ou d'affection.

Face à des situations où l'on exige de lui une ouverture émotionnelle sincère, il se met dans une position défensive maladroite. Il perd toute sa contenance et devient soudainement hésitant, comme s'il ne savait pas quoi faire de lui-même. Cette facette presque enfantine contraste avec l'image du joueur imperturbable qu'il projette, rendant ces moments aussi adorables qu'inattendus.

Dojima possède naturellement un charme magnétique : son allure, son intelligence, et son charisme attirent facilement les regards. Cependant, lorsqu'il est confronté à quelqu'un qui l'intéresse véritablement, il devient un véritable "gâchis émotionnel". Il manque totalement de subtilité et peut s'embrouiller dans des tentatives maladroites pour impressionner ou exprimer son intérêt.

Là où il excelle dans l'art de manipuler les dynamiques sociales pour déstabiliser ses adversaires ou ses rivaux, il est absolument incapable d'appliquer cette même maîtrise à sa propre vie romantique. Au lieu de s'imposer comme le confident mature et mystérieux qu'il semble être, il laisse échapper une timidité désarmante, ajoutant une dimension attendrissante à sa personnalité.

Cette maladresse face à l'intimité trouve sa racine dans une peur profondément ancrée : celle de se montrer vulnérable et de perdre son contrôle. Dojima a construit une grande partie de son identité sur sa capacité à garder une longueur d'avance sur les autres. Ouvrir son cœur signifie abandonner cette supériorité qu'il chérit tant.

Ainsi, dans ces moments d'intimité, il est comme un joueur qui, pour la première fois, ne connaît pas les règles du jeu. Cette peur d'être blessé, ou pire, d'être rejeté, le rend incroyablement humain et rappelle que sous son armure de perfection, il est avant tout un jeune homme cherchant sa place et sa connexion dans le monde.

Malgré tout, ceux qui persévèrent pour briser sa carapace sont récompensés par une version encore plus authentique de Dojima. Une fois qu'il commence à se sentir en sécurité, il révèle une tendresse insoupçonnée et une sincérité brute. Il devient un partenaire loyal, attentionné et incroyablement investi, bien qu'un peu maladroit.

Pour Dojima, aimer ou être aimé n'est pas une transaction ou une simple mécanique sociale : c'est un saut dans l'inconnu, un territoire qu'il explore à pas hésitants mais avec une profondeur émotionnelle qui, bien qu'imparfaite, est entièrement honnête.

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FAMILLE

HIMEJIMA MITSURU / YUMAMUKI (Sœur jumelle)

(Oui ? 😃)

Himejima est son pilier émotionnel, la seule personne qui comprend véritablement Dojima. Écrivaine à succès et mannequin renommée, elle est toujours présente pour le soutenir, notamment face à leur père.

KOJIMA MITSURU (Petite-soeur)

Elle est la dernière de la famille, à peine âgée de 2 ans. C'est un amour baveux, elle aime fortement ses deux aînés. Surtout Dojima. Elle pleure beaucoup lorsqu'elle ne le voit pas pendant longtemps. Elle est sa petite 'Reine'.

JUNKO MITSURU/ YOMAMUKI (Mère)

Ancienne mannequin mondialement célèbre, Junko est une femme aimante mais souvent absente. Gravement blessée dans un accident de voiture, elle est aujourd'hui plongée dans un coma. Sa passion pour le football a cependant toujours été une source d'inspiration pour Dojima, qui joue désormais pour honorer sa mémoire.

TAKAYUKI MITSURU (Père)

Homme d'affaires strict et autoritaire, Takayuki est obsédé par l'idée de voir Dojima reprendre l'empire familial. Cette pression constante a creusé un fossé entre eux, alimentant le désir de Dojima de suivre sa propre voie.

BABAN YOMAMUKI (Oncle maternel)

Yakuza influent, il est la figure paternelle que Dojima n'a jamais eue. Il lui a enseigné la loyauté, le respect, et l'importance de se construire une identité forte.

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PASSÉ ET CONTEXTE

Dojima a grandi dans un environnement marqué par des attentes démesurées. Dès son plus jeune âge, son père a tenté d'imposer sa vision, rêvant de faire de lui un successeur idéal pour l'entreprise familiale. Mais Dojima, allergique à l'idée de vivre une vie tracée d'avance, a rejeté cette ambition.

Son talent pour le football s'est révélé très tôt. À 12 ans, il faisait partie de l'équipe U16 du Japon, le plus jeune joueur de l'histoire. Mais son génie naturel l'a rapidement conduit à l'ennui. Aucun adversaire ne semblait à la hauteur, et il a fini par se détourner de ce sport, cherchant des défis plus stimulants.

C'est alors qu'il décide de s'éloigner de sa famille pour vivre avec son oncle, un yakuza respecté. Cette période, bien que dangereuse, a forgé son caractère. Dojima y a appris à survivre dans un monde impitoyable, développant une mentalité qui mélange résilience et détachement.

Il n'avait plus aucun intérêt pour le football. Malgré son talent indéniable, il voyait ce sport comme une routine sans saveur, dépourvue de défis dignes de son niveau. Jinpachi Ego, connu pour son obsession de révéler le potentiel brut des attaquants, décidé d'user d'un tel talent sombrer dans l'oubli. Ayant croisé Dojima à travers des contacts communs et fasciné par son potentiel inexploité, Ego décide de prendre les choses en main.

Il ne se contente pas de l'inviter ; il le force presque à intégrer Blue Lock. Pour Ego, Dojima représente un défi fascinant : comment motiver un joueur prodige qui ne se bat pas pour la gloire ou les rêves de grandeur, mais pour satisfaire une quête personnelle d'adrénaline ?

Dojima, de son côté, accepte par pur ennui et curiosité. Il ne partage ni l'ambition dévorante des autres participants, ni leur rêve de devenir le meilleur attaquant du monde. Pour lui, Blue Lock est avant tout une nouvelle arène, un terrain expérimental où il espère retrouver l'excitation qui lui manque.

À son arrivée, Dojima se distingue immédiatement des autres joueurs. Non seulement par son talent et son style de jeu imprévisible, mais aussi par sa position d'observateur. Jinpachi Ego, conscient de ses qualités analytiques et de son regard affûté, le nomme "entraîneur officieux".

Dojima passe donc une partie de son temps à étudier les autres participants, à analyser leurs forces, leurs faiblesses, et leurs styles de jeu. Il offre des conseils, non pas par altruisme, mais pour stimuler leur progression. Son but ? Voir si ces joueurs peuvent dépasser ses attentes et, peut-être, le surpasser lui-même.

Cependant, ses interventions sont loin d'être bienveillantes. Il peut être brutalement honnête, voire cruel, dans ses remarques. Mais ces mots, aussi acérés soient-ils, poussent ceux qui l'écoutent à s'améliorer. Il ne les aide que dans un but égoïste : nourrir son propre amusement et voir jusqu'où ils iront.

Contrairement aux autres participants qui rêvent de devenir les meilleurs attaquants du monde, Dojima n'a que faire de la gloire ou du succès. Ce qu'il recherche, c'est l'excitation pure. Chaque match est pour lui une expérience, un moyen de retrouver ce frisson qui lui échappait depuis trop longtemps.

Lorsqu'il rencontre des adversaires capables de le mettre en difficulté, son sourire s'élargit, ses yeux s'illuminent, et il plonge dans une euphorie quasi-maniaque. Ces moments, où il sent son sang bouillir, sont la seule raison pour laquelle il continue de jouer.

Dojima est autant admiré que redouté par les autres participants de Blue Lock.

Certains le voient comme un mentor, un génie mystérieux capable de les guider vers leur potentiel ultime. D'autres le perçoivent comme un obstacle, un joueur imprévisible qui joue avec leurs nerfs autant qu'avec le ballon.

Sa relation avec Jinpachi Ego est également unique. Ego voit en lui un pari risqué mais prometteur : un joueur capable de défier ses propres méthodes tout en les validant. Dojima, quant à lui, respecte l'audace et la vision d'Ego, mais ne se laisse pas manipuler aussi facilement.

Mais tout bascule un soir où un accident de voiture, sa mère plonge dans un coma profond et par la même occasion, perds l'enfant dont elle était enceinte. Ce drame, aussi brutal qu'inattendu, ébranle l'univers de Dojima et l'oblige à confronter des vérités qu'il n'aurait jamais imaginées.

Peu après l'accident, en arrangeant les affaires de sa mère, il tombe sur une série de choses. Ce qu'il croyait être des journaux retraçant la vie fascinante d'une icône de mode s'avère être un portail vers les tourments intérieurs de Junko. Les pages, écrites avec une franchise brutale, dévoilent une facette d'elle qu'il n'avait jamais soupçonnée.

Une auto-dépréciation douloureuse
Les carnets sont remplis de remarques dégradantes qu'elle écrit à son propre sujet, des mots cruels sur son apparence, son rôle de mère, et sa carrière. Junko s'y accuse de ne jamais avoir été assez bonne pour ses enfants, et de leur avoir imposé une existence rigide, marquée par l'exigence et la discipline. Ces mots, empreints de douleur, révèlent une femme rongée par le doute, qui, derrière son sourire parfait, portait un poids insupportable.
Une lutte silencieuse contre ses démons
Entre ces pages sombres, il trouve des lettres d'adieux inachevées, évoquant des pensées suicidaires. Junko y parle d'un désespoir profond et d'une incapacité à continuer à porter le masque d'une vie parfaite. Elle écrit qu'elle voulait mettre fin à ses jours, mais que l'amour qu'elle portait à Dojima et à ses sœurs l'en avait empêchée. Cependant, ses mots trahissent une lutte constante, une bataille qu'elle semblait sur le point de perdre avant que l'accident ne la fauche.

Ces découvertes bouleversent complètement la vision qu'il avait de sa mère et de lui-même. Cette femme qu'il avait toujours considérée comme infaillible était en réalité profondément humaine, fragile, et marquée par des cicatrices invisibles.

Pour la première fois, il se confronte à la culpabilité. Était-il trop absorbé par ses propres ambitions pour remarquer les signes de détresse chez Junko ? Avait-il involontairement contribué à sa souffrance en cherchant à répondre à ses attentes, sans jamais se demander ce qu'elle ressentait vraiment ? Ces questions le hantent.

Mais ces révélations n'avaient pas pour seul effet de le briser. Elles rallument une flamme en lui, une détermination nouvelle : celle de jouer, non pas pour lui-même ou pour prouver sa supériorité, mais pour honorer la femme qui, malgré ses propres luttes, avait toujours soutenu ses rêves.

Dans un acte symbolique fort, il décide de renoncer à son nom de famille, "Mitsuru", qu'il associe à son père autoritaire et à une enfance pleine de contraintes. Il choisit désormais de porter le nom de sa mère, "Yomamuki", comme un hommage à sa mémoire et à tout ce qu'elle représentait.

Ce changement n'est pas seulement administratif : il reflète une renaissance. En devenant Yomamuki Dojima, il affirme qu'il ne se contentera plus d'être un spectateur passif des sacrifices de sa mère. Il jouera pour elle, pour la femme qu'elle était, et pour la femme qu'elle aurait dû être si elle avait pu se libérer de ses chaînes intérieures.

Désormais, chaque match devient pour lui une lettre adressée à sa mère, une preuve qu'il est digne des sacrifices qu'elle a faits. Sa précision chirurgicale, son calme imperturbable et son sourire presque provocateur cachent une vérité que seuls les plus proches de lui comprennent : chaque but marqué, chaque passe décisive, et chaque effort acharné est une manière de dire :

"Je ne t'ai pas oubliée. Chaque pas que je fais sur ce terrain, je le fais pour toi."

STYLE DE JEU

Dojima est un joueur aux capacités hors normes, mais son style de jeu est aussi unique que sa personnalité. Il ne suit pas les règles conventionnelles, jouant avec une créativité imprévisible qui le rend difficile à lire pour ses adversaires comme pour ses coéquipiers.

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SPÉCIALITÉS TECHNIQUES

1. L'Art de la Discrétion

Surnommé "le Fantôme", Dojima excelle dans l'art de se fondre dans le jeu. Il peut sembler absent, effacé, presque invisible sur le terrain, mais il observe et analyse constamment. Son timing est impeccable : il surgit dans les moments décisifs pour déséquilibrer l'équipe adverse.

Sa capacité à disparaître des radars lui permet de contourner les marquages serrés et d'exploiter les espaces laissés vacants.

2. Précision Chirurgicale

Dojima est un joueur d'une précision redoutable. Que ce soit un tir, une passe, ou une interception, ses actions sont calculées au millimètre près.

3. Lecture de Jeu Avancée

Il lit le jeu comme un livre ouvert. Sa compréhension tactique lui permet d'anticiper les mouvements adverses et de réagir avant même qu'ils n'aient lieu.

Il peut désamorcer des attaques en interceptant des passes ou en se positionnant stratégiquement pour couper les lignes adverses.

Il sait exploiter les failles dans la structure adverse pour déclencher des contre-attaques.

Il tend parfois à prendre des risques inutiles, misant sur sa propre analyse, ce qui peut le mettre en difficulté face à des adversaires aussi intelligents que lui.

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