La solitude.
Drôle de tourment,
Drôle d'habitude.
Oh si seulement,

Je pouvais m'évader,
Oh très loin de cette cage,
Dans le ciel m'envoler.
Changer de paysage.

Marre de cet endroit.
Je ne veux qu'une trêve,
Aller vivre moi,
Dans mes propres rêves.

Ceux qui me connaissaient ne me calculent plus,
Lorsque je passe des fois à leurs côtés.
Et tous mes amis rencontrés à mon bahut,
Préfèrent rester seuls, que de me rencontrer.

Je n'en peux plus de cette ville,
Qui me pompe toute mon aire,
Dans mes beaux rêves, si fragiles,
J'aimerais bien aller vivre.

J'y rencontrerai des gens,
Qui vivent dans mon univers,
Et dans ce rêve très lent,
Je vivrai la tête en l'air.

J'aurai de vrais amis,
Toujours là, toujours là,
Éveillés jusqu'à minuit,
Dans mon rêve, on y sera.

J'irai au Far West avec eux,
Tout en passant par la mer.
À "Fantasy" je fais un vœu,
Que mon futur soit celui que j'espère.

J'ai déjà ce genre d'ami,
J'en ai une, je le sais,
Même si nous ne nous sommes pas rencontrés,
On se retrouvera mon amie.

Je partirais de cette horrible et ville et je réaliserais, rien ne pourra m'en empêcher, à réaliser mon rêve. Ces amis de poussière ne seront plus là, et tu seras à mes côtés. J'espère que tu te reconnaîtras.