𝔼𝕝𝕠𝕦𝕒𝕟𝕟 𝕃𝕦𝕥𝕙𝕖𝕣
Ça, c'est une BD que j'ai créé que j'ai essayé d'adapter en roman. C'est l'histoire d'un élève qui se voit offrir un appareil chelou par son prof d'histoire.
Bon, je ne sais pas quand j'ai écrit ça, mais ça devait être en 2018 ou 2019, donc je devais être en CM1, dans tous les cas c'était après avoir lu Le Manoir.
Let's go.
C'était le vendredi 19 octobre (super ma cocotte). Ce jour-là, Elouann Luther (c'était une période ou j'adorait les prénoms bretons (j'adore toujours au cas où) chaque fois que je créait une histoire, c'était soit Elouann, soit Erwan) termina d'écrire sa leçon avant tout le monde dans sa classe (génial, ça nous intéresse tellement). Mais, si vous voulez connaître l'intéressant dans cette histoire, nous n'allons point nous attarder plus sur ce sujet (OK, ben dépêche-toi, alors). Déjà, nous allons nous intéresser au personnage principal, Elouann Luther. Il a douze ans (tiens, on est passé au présent), il est né le 14 mai (à seize heures précises (je me sens nettement mieux maintenant que je sais ça)) en 2006. S'il fallait le décrire (bah non, il faut pas, tout le monde s'en fiche en fait), il a les cheveux mi-longs, fins et blonds, les yeux bleu foncé, le visage couvert de tâches de rousseur et il est plutôt svelte. Étrange, car ses parents sont bruns, aux yeux également bruns, plutôt trapus et la peau hâlée (vous verriez la BD, ils sont aussi trapus et hâlés qu p'tit Voldy) tandis qu'Elouann est blême.
*
Une heure plus tard (ils sont longs vos cours, bon sang), le cours se termina (oh, du passé simple). Le prof (c'est du vocabulaire très littéraire ça, bravo) retint Elouann. Lorsqu'Elouann lui demande (du présent ! C'est magique !) pourquoi, le professeur dit :
- Je voulais te donner... cela. (Hey, moi aussi, j'en veux, des profs qui font des cadeaux à leurs élèves !)
- C'est un... portable ? (Ah mais en plus il offre des portables ! Génial ! J'espère que c'est pas un vieux Wiko tout pourri !)
- Oh, non, c'est bien plus qu'un téléphone portable.
M. Bertrand alluma (oh, on est encore repassé au passé simple) l'instrument et dit :
- Napoléon, le coup d'État.
En disant ces mots, le professeur observa l'écran (bah j'espère bien qu'il allait pas regarder les traces de chewing-gum sur le sol). Beaucoup de choses apparurent :
・un titre (tout en haut)
・(en-dessous) un sous-titre,
・un texte (encore en-dessous),
・(toujours en-dessous) des images,
・(et enfin) une vidéo.
(Bon, je devais avoir la flemme de faire des phrases, OK.)
- Alors... ce truc sert à parcourir l'Histoire ? demanda Elouann.
- Effectivement. Dépêche-toi de t'en aller ou tu vas avoir des ennuis !
(Ah bah d'accord. Le gars, il offre vite fait des trucs à ses élèves, et après il les dégage de là à grands coups de pied quelque part ?)
Aussitôt, le jeune homme tourna les talons et se dirigea vers la sortie. Il mit sa main sur la poignée de la porte et retourna l'objet dans sa main gauche. Je vis (ben pourquoi "je" ?) le mot "APPUYEZ" écrit de la main de M. Bertrand. Il suivit (ah, c'est repassé à "il") des yeux une flèche et aperçut...
- Un bouton. À quoi sert ce bouton ? dit-il.
- File ! répliqua M. Bertrand, ferme. (Waw ! Comment il esquive trop bien les conversations, ce gars !).
*
Après s'être excusé rapidement auprès de Tristan, le professeur de sport (attends, toi, tu appelles tes profs par leurs prénoms ?), voilà qu'Elouann court (oh du préseeent) sur le terrain des élèves préparent le cross (mdr je comprends même pas le sens de ma propre phrase). Devant Elouann, il y a Parfait Lenchanteur, et, comme l'indique son nom, il est parfait. C'est un grand (un grand quoi ? grande section ?) bien bâti, aux épaules carrées, des cheveux ondulés blonds, des yeux bleus, des lèvres roses (j'étais super attachée à mes petits clichés d'amour). Et derrière, Charmaine Cartier, la peste. Cheveux blonds, avec quelques mèches roses, yeux bruns, faux cils et maquillée comme un pot de peinture (ouais vraiment j'avais un problème avec les blonds moi mdr).
*
Elouann pensa (du passé simple c'est magique) à l'objet toute la journée, au cours d'anglais (où Charmaine disait n'importe quoi), au cours de maths, de français, de biologie (on dit SVT, nigaude). Il ne pensait à rien d'autre et resta bloqué quand il dut réciter une longue poésie en anglais.
Et voilààààà ! Vous en pensez quoi, vous ?
En vrai, je pourrais peut-être réécrire tout ça, garder mes personnages clichés parce que c'est drôle, les clichés, et en arrêtant de jongler entre les temps, ça me fait mal aux yeux.
Bref bref bref... je sais même pas ce que je voulais dire. Donc, au revoooir !
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top