UNTILL
Comme toujours mettez la musique en média en marche pour être dans l'histoire !
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— Dans les anciennes dynastie Chinoise le dragon est absolument différentes de ce que les mythes westerns racontent, ils ne crachent pas du feu, par ailleurs Chine, La couleur des dragons est importante et détermine à la fois leur habitat, leurs pouvoirs et leur rang.
Ainsi la couleur jaune est dévolue à l'Empereur de Chine, ici Taï Tsung de la dynastie des Tang de 626à 649. Elle indique le summum de la puissance et la divinité. Seul l'empereur peut régénérer l'ordre cosmique et social, et le dragon est son intermédiaire avec le ciel, les immortels. Cette qualité quasi-divine donnée à la couleur jaune vient peut-être de la légende qui relate qu'un dragon jaune est sorti de l'eau pour s'incliner devant Fu Hsi, l'empereur légendaire, et qu'il lui a remis la connaissance de l'écriture. commenta notre professeur d'histoire, en pointant la photo du dragon chinois au tableau.
Je notai avec difficulté toutes les informations qu'il déclarerait car il allait bien trop vite dans ses explications à mon goût c'était un tel gâchis car j'aimais beaucoup ce cours, on apprenait beaucoup de choses que je ne sais pas jusqu'à ce jours, il n'y avait qu'une poignet de cours dans lesquelles j'étais sage et prêtais ouïe, il devrait m'en être reconnaissant.
—La couleur verte du dragon indique l'est, la montée du yang, le renouveau de la végétation. Chez les song il est le foie. Le roi des dragons des eaux de l'est, du nord, du sud et de l'ouest se nomme Chien tang, sa couleur est rouge-sang et il mesure 900 pieds de long. Le sang des dragons a les couleurs primordiales du ciel et de la terre: jaune et noir.
On agrippa l'ourlet de mon uniforme, j'allais apprêter à insulter la personne lorsque je remarquai que ce n'est que Taehyung. Il se décidait enfin à me parler?
—Quoi? fis-je, en colère.
Bah oui que l'étais, il a passé des jours à agir comme si je n'existais pas et le voilà qui revenait dans mes pattes comme une fleur en mode que j'allais le pardonner? Cela ne marchait pas comme ça avec moi et j'avais bien l'intention de le lui faire comprendre.
Il soupira en me voyant agir ainsi.
Il se fou de ma gueule on est d'accord ?
—Les dragons sont liés à l'élément liquide. En asie, de nombreux temples dans lesquels ils sont representés sont situés en bordure de lacs, de rivières et cours d'eau. Chaque point d'eau, étang ou bras de mer possède son dragon, l'esprit du lieu, qu'il convient de se concilier par des offrandes. continua le professeur.
— Tu as quelque chose à me dire? Grouilles j'ai le cours à noter.
— J'aimerais qu'on parle après les cours.
—Ok.
Je retournai à mes occupations après sans lui donner des secondes de plus. Si il voulait me parler je voulais bien lui donner cette chance à la condition qu'il ne me raconte pas des bêtises.
— Leur pouvoir conjure la secheresse en amenant la pluie grace à l'éclat de la perle sacrée dont il est le gardien ou en faisant naître des sources. Ainsi le rite du Qiu consiste pour les paysans à fabriquer un dragon de papier sur une armature en bois et à le disposer dans un lit de rivière asséché. Des prêtres récitent des invocations et imitent le grondement du tonnerre grace à des tambours afin que le roi-dragon libère l'eau des cieux. Ce roi-dragon, maître du ciel, est représenté crachant le feu, il peut faire tomber foudre, éclairs et orages. C'est là un symbole de fécondité, pour la terre comme pour les femmes. A l'inverse, il peut atténuer les inondations-
Il ne pu aller plus loin car la sonnerie retentit.
— Oh bordel de merde tu peux la fermer ! criai-je à son encontre.
J'avais crier un peu trop fort car tout le monde avait cesser de bouger ni de parler et me regardait avec leur grands yeux grand ouverts.
— Que vous arrive-t-il Mr. JEON? me demanda le professeur, inquiet.
Je me raclai la gorge.
— Je parlai à la sonnerie, le cours était très intéressant c'est donc chiant que ça sonne maintenant.
— Je vous remercie, mais je n'accepte toujours pas ce genre de comportement Mr.JEON.
— Je suis désolé.
— Bien. Je ne vous retiens pas plus longtemps. Par contre il y aura peut-être une sortie de organiser pour visiter le Musée National dans deux !
Un brouhaha se créa rapidement alors que certains quittaient déjà la salle.
Une sortie scolaire hein? On allait visiter des dragons légendaires j'espère et pas ces écrivains ennuyeux comme la dernière fois sinon je n'allais plus faire d'efforts pour ce cours.
Je rangeai rapidement mes affaires dans mon sac à dos et quittai la salle.
Je sursautai lorsque je vis un Park Jimin tout souriant m'attendre devant la porte de la pièce, il était seul cette fois-ci. Je ne l'avais pas du tout remarquer.
— Salut princesse je t'ai manqué ? fit-il.
Je sentai mon cœur tambouriner fort contre ma poitrine. Je sécouai ma tête et le dépassai.
— Vas mourir. crachai-je.
— Je te signale que t'ai censé t'occuper de moi là ! cria-t-il, dans mon dos.
Je m'arrêtai soudainement et serrai fort la lanière de mon sac en fermant fort mes yeux. Je les réouvris, tous le monde nous regardait surtout moi. Je détestai ça ! Je le détestai tout simplement !
Je me retournai vers lui.
Il sourit. Encore une fois.
— T'es pas censé avoir cours? Pourquoi tu me colles au basques? grinçai-je entre mes dents, baissant la tête légèrement sur le côté.
— Je suis dispensé du cours de sport. articula-t-il.
— Ça ne veut pas dire que tu dois le sécher non plus. Hm? répondis-je, d'un ton qui se voulait être menaçant.
— Je sais. Mais je fais ce que je veux. conclua-t-il.
Je roulai des yeux au ciel, sidéré.
— Je ne peux pas vraiment bien marcher on m'a lancé une balle de basket-ball sur la jambe la douleur à traverser le plâtre. Tu viens m'aider ? lâcha-t-il.
Quel gros menteur !
Et je savais que si je le faisai pas il allait encore plus me ridiculiser devant tout le monde.
Je soupirai alors que les autres se moquaient de moi. Ce n'est pas le genre de vie de lycéen que je voulais mener, mais alors absolument et je donnerais tout pour qu'un certain Park Jimin disparaisse de ma vie à tout jamais.
J'allais vers lui et passai mon bras autours de sa taille puis son autre bras autours de mon cou.
— Pourquoi tu rougis?
— La ferme !
— Oui chef.
Il avait de la chance que les cours venaient de prendre fin sinon j'allais vraiment l'abandonner là.
Je m'en foutai de de quelles genres de rumeurs les autres allaient encore répandre dans mon dos.
C'était devenu un quotidien dès que je mettai les pieds dans l'enceinte du lycée.
En quelques semaines à peine tout le monde me connaissait de la pire façon.
— Tes potes ne sont pas avec toi? lui demandai-je.
— Je leurs ai dis de rentrer sans moi, et puis je n'habite plus chez-moi ce n'est donc pas la peine qu'ils perdent leur temps à m'attendre comme à leur habitude sachant qu'on a que à 5% les mêmes cours, comme avec toi.
— Je ne t'ai pas non plus demander de me faire une disserte Park.
— T'aurais pas dû me le demander alors.
— T'es chiant quand tu t'y mets.
— Et tu aimes ça pas vrai.
Je ne répondis rien.
Il parlait beaucoup trop et mon crâne surchauffait rien qu'à entendre sa voix !
On marchait vraiment lentement à cause de lui, le lycée était déjà vide depuis des minutes ( déjà qu'on se trouvait de l'autre côté de l'entrée du lycée ), le ciel se faisait déjà noir.
— Tu aimes ça?
Il s'arrêta soudainement me forçant à faire de même. Je tournai ma tête vers lui et le questionnai du regard.
— Quoi? fis-je.
— Tu as le privilège de voir un Jimin bavard dis-toi. se vanta-t-il, amusé.
— Y a vraiment pas un jour où tu l'as mets en veilleuse ?
— Pas quand je discute avec toi. Je donnerais toute mon énergie rien que pour ça !
Je grimaçai en entendant sa niaise confession et remis notre marche. Lorsque nous arrivâmes au portail du lycée, Taehyung se décollait du mur d'à côté en fronçant les sourcils. Je regardai Jimin, puis la position dans laquelle nous étions avant de repousser ce dernier. Il se plaignit dans mon dos, mais j'en avais que faire.
— Qu'est-ce que tu voulais me dire? commençai-je en croisant les bras.
Il tourna la tête vers Jimin sans rien dire.
— Faîtes comme si je n'étais pas là, je ne peux pas aller bien loin avec des béquilles. s'exclama ce dernier.
Je lui lançai un regard sombre, lui intimant de se taire. Il baissa la tête. Je tournai ma tête vers Taehyung.
— On ne peut pas redevenir amis. Surtout si tu te trimballes avec la personne que t'as essayé de tuer y a quelques semaines de cela Jimin, c'est te foutre de la gueule du monde là. trancha-t-il.
— Pardon? fis-je.
Non mais je rêve ? C'était quoi ce monde dans lequel je vivais exactement ? Il se payait littéralement ma tête là !
— J'allais te pardonner et entendre ce que tu avais à me dire pour défendre ta cause mais maintenant j'ai même plus envie de t'écouter Jungkook, je te souhaite une bonne continuation par contre. conclua-t-il, avant de quitter les lieux sans dire un mot de plus.
Je restai planté là, les yeux écarquillés.
Il venait vraiment de mettre une croix sur notre amitié sans même me donner le temps de m'expliquer ?
— Jungkook ? entendis-je.
Mes oreilles commençaient à siffler alors que je revoyai tout ce que nous avions vécu ensemble lui et moi depuis ces nombreuses années et qu'il venait de les balayer d'un coup du dos de la main à cause d'une rumeur qui en plus de cela était totalement fausse !
Je le crois pas.
— Jungkook tu m'entends? insista Jimin.
Il me secoua l'épaule mais je ne l'entendai pas, je regardai le mur où mon meilleur ami était adossé il y a à peine quelques minutes de cela avant m'avoir dit ces choses blessantes.
Je suis vraiment le dernier des cons.
J'avais espéré que tout ne redevienne comme d'habitude, qu'il allait me croire et que notre amitié braverait toutes les difficultés possibles. Je ne m'attendai cependant pas à un coup de pute comme celle-ci.
Un sanglot franchit la barrière de mes lèvres.
Je m'empressai de poser mes mains sur mon visage.
Une douleur insupportable compressa mon cœur, n'empêchant de respirer convenablement.
Je ne pouvai retenir mes sanglots, c'était plus fort que moi et je m'en fou si quelqu'un passait par là et venait se moquer de moi.
Je sentis cependant des bras robustes entourés ma taille et des lèvres se poser dans ma nuque.
— Ça va aller.
— Qu'est-ce que j'ai fais?
Je répétai cette phrase comme pour chercher à noter l'erreur dans toit ce que j'ai pu faire jusqu'à maintenant.
J'étais toujours un élève exemplaire même si il m'arrivait de faire des coups bas, je tenais à mon amitié avec Taehyung si bien que je le considérait comme mon frère, je me battais sans cesse pour protéger ma sœur et être un fils exemplaire aux yeux de mon père alors où il l'erreur ?
— Qu'est-ce que j'ai fais de mauvais?
— Tu n'as rien fais de mal Jungkook.
Je sanglotai bruyamment avant de retirer mes mains de mon visage et de le repousser. Je me tournai vers lui alors qu'il fonçait ses sourcils d'incompréhension.
— Tout ça c'est de ta faute ! Si je ne t'avais pas rencontré tout ça ne serait jamais arrivé Park ! Je te hais du plus profond de mon être si seulement tu savais à quel point je souhaite que tu disparaisses de ma vie une bonne fois pour toute ! Je ne veux plus jamais te voir ! Hors de ma vue !
Il était ébahie par mon acte, et triste à cause de ce que je venais de dire mais ce n'était là que la vérité et le fond de ma pensée depuis que je l'ai dans les pattes il ne m'apporte que de la malchance ! Tout le monde me fouit ! Mon père a perdu confiance en moi ! et mon meilleur ami n'est même plus mon meilleur tout ça à cause de lui !
Il était un chat noir qui ne voulait pas me laisser tranquille et me trimballait avec sa poisse !
Je me retournai précipitamment. Un peu trop précipitamment car je ne fis pas attention à qui pouvait bien-être derrière moi.
La gifle résonna dans l'avenue, tout le monde qui nous regardait était ébahie alors que le garçon qui a été victime de mon acte tomba les fesses au sol.
Je papollonnai des yeux et m'accroupissai à ses côtés.
— Je suis sincèrement désolé ! Est-ce que ça va? lui demandai-je inquiet.
Il geignit de douleur lorsque j'appuyai sans le vouloir sur sa lèvre blessée par ma gifle.
Il devait avoir mon âge, il avait des cheveux violets et un visage rond, enfantin, mais drôlement sexy.
— Désolé, je... C'est... Mon dieu...
— Ça va, ce n'est rien je ne suis pas mort haha.
Comment il pouvait rigoler alors que le regret me broyait les boyaux ?
— Ce n'est vraiment rien. me rassura-t-il, remarquant mon air inquiet.
Je l'aidai à se relever, je sentai le regard insistant de Jimin dans mon dos mais je n'en avais que faire de lui à présent.
— Je suis encore désolé. percistai-je, plein de regret.
— Combien de fois allez-vous le dire? s'exclama ma victime.
— Je- bafouillai-je, confus.
— Je ne voyai pas où je mettais les pieds non plus donc ce n'est pas à 100% de votre faute. admit-il.
Je hochai la tête en soupirant alors qu'il dépoussiérai ses vêtements, je remarquai alors qu'il portait le même uniforme que nous, lui aussi le remarqua.
— Oh ! Tu es du même lycée? Je ne t'ai jamais vu avant. fis-je en pointant l'établissement en question du doigt.
— Oui. Je suis plutôt discret comme élève donc ma présence est vite oubliée par les autres. expliqua-t-il, se grattant timidement la nuque.
— Oh. Demain si ça ne te dérange pas tu peux venir manger avec moi au réfectoire à midi. T'es en quelle classe?
— En terminale.
— Comme moi c'est super alors !
— Et lui?
Je ne donnai la peine à cela.
— Je ne le connais pas, c'est un inconnu, on a rien a avoir ensemble. fis-je.
— Depuis quand? questionna Jimin.
— Depuis maintenant parce que je l'ai décidé. je lui répondis sans me tourner vers lui.
— Demain on se retrouve devant le réfectoire à midi? fis-je.
— D'accord ça me convient. Il répondit, souriant.
— À demain alors. Au revoir.
— Au revoir.
Il partit en me faisant un signe de la main. Je souris en faisant de même jusqu'à ce que mes yeux ne tombent sur un Jimin mécontent prêt à m'enterrer sur place. Je le regardai avec la même expression — parce que j'étais toujours en colère contre lui et que je n'avais pas l'intention de lui pardonner.
— Penses même pas à revenir dormir chez-moi ce soir sinon tu peux toujours rêver si je te reparle un jour. beuglai-je.
Je virvoltai les talons.
— Quoi?
— Tu m'as bien entendu. fis-je simplement.
Je le discernai glapir mon nom derrière moi, mais je fis genre que je l'entendais pas. Je n'avais pas l'intention de le revoir et j'espèrai qu'il ne se montrerait pas devant moi jusqu'à ce que ma haine envers lui ne se volatilise, c'est-à-dire, jamais.
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