NO MORE

À lire en écoutant la musique en média.

4451 mots svp mdr !



Bonne lecture et désolé pour les fautes je vais les corriger quand j'aurais le time là j'ai la flemme et je voulais trop publier ce chapitre !




Le soleil s'était lentement levé derrière l'océan bleu, le léger vent faisant danser les rideaux immaculés- tout comme l'était le reste de la pièce- dans les airs.

J'étais allongé dans mon lit, le corps enfoncé sous les couvertures blancs, observant avec une attention particulière les poissons dans l'aquarium contre le mur d'en face, le soleil s'était engouffré dans la pièce.

Je me suis alors retourné sur le dos fermant les yeux, au même moment je sentis une goutte d'eau tombée sur ma joue, alors jai ré-ouvert mes yeux, alors que je m'apprêtai à chasser la goutte, je sentis des doigts, aussi doux que du Lotus, aussi soyeux que de la soie, touchées la zone attaquée par la goutte la chassant. Je su qui c'était, un léger sourire fendit mes lèvres charnues alors que je tournai de dos à cette personne, les battements de mon cœur accélérant leur cadence effrénées contre ma cage thoracique, c'était le sentiment qu'un volcan faisait éruption en moi et que bientôt il allait exploser. Mon corps tout entier était en feu vibrant de toute part, mon ventre un marathon de papillons.

Je ramenai mes mains contre ma poitrine que j'ensserrais désespérément en refermant les yeux, la lèvre inférieure emprisonnée entre mes dents légèrement pointues. Je sentis la place à mes côtés s'ébouler, et les draps se froisser entre eux. Les battements se sont accélérés de vive allure lorsque sa chaude main lisse s'est posée sur mon épaule dénudé.

Intimidé par ce brûlant touché insupportable à encaisser, je m'étais précipitamment levé quittant le lit pour rejoindre le mur en baie vitre face à nous qui donnait vu à une plage paradisiaques contournée par une forêt dense et verdoyante.

Je l'aimais du plus profond de mon âme, je le sentai, c'était une évidente plus qu'apparente que je ne me sentais plus capable de refuser. Ces sentiments étaient bien plus puissants pour les faire taire ou les ignorer, et je savais que lui aussi donnerait sa vie pour moi si on la lui demande.

Je l'entendis me rejoindre, ses pas glissaient sur le sol carrelé à la lenteur d'un caméléon. Alors la bouche entrouverte je tentai de faire abstraction de sa présence pour contempler avec émerveillement ce beau paysage face à mes yeux, mais ce n'était aucunement une tâche facile surtout lorsque je sentis ses lèvres se poser au centre de ma nuque aussi soudainement, ses mains s'étaient ensuite entrelacées aux miens avec tendresse avant qu'il ne me plaque contre la baie vitrée, ses baisers se glissèrent dans mon cou qu'il mordilla, suçota puis réitérant l'acte me faisant implaccablement perdre la tête dans la lancée. L'intérieur de ma bouche se fit chaud, je happai désespérément l'air frais. Il abaissa le col de mon T-shirt baisant mon épaule à l'aide d'une de ses mains, je serrais fort mes poings contre la surface face à moi le laissant me torturer de par ses touchés, la douceur de ses lèvres, la tendresse dans ses actes, et la chaleur de son souffle qui me rendait vertigineux.

je pouvais en plus de cela sentir sa bosse contre la raie de mon derrière encore recouvert de mes bas, cette sensation m'enivra me poussant à me frotter contre lui, c'était divinement bon, tellement que je ne voulais aucunement que cela cesse.

Ma bosse c'était aussi mise aux gardes à vous, le frottement contre les tissus me rendaient fou au point de presque en perdre la tête tout comme l'odeur d'eau de Cologne de sa personne.

Il comprit que j'en voulais plus.

De ce fait, il me retourna sans ménagement, mon dos avait cogné la surface derrière moi alors qu'il compressa son corps contre le mien. Ses yeux sombres me baignaient dans toute mon entièreté, il était dans le même état que moi; les cheveux en bataille, la bouche entrouverte, la respiration erratique, les joues rouges, le désir plus que ardent se lisaient à travers ses pupilles ténébreuses.

Sans dire un mot ni rompre notre contacte visuelle, il me saisit par les hanches, j'encerclai son cou de mes bras, et nos bas ventre se sont rencontrés avec puissance nous poussant tout les deux à sortir des sons obscènes contre le visage de l'autre.

Nos front se sont lentement rencontrés, avant que nos lèvres ne fassent de même, dansant harmonieusement avec les ondulations de nos hanches. Il n'y avait rien de plus érotique que cet échange et j'aimais ça, énormément, j'en voulais plus, je le voulais plus profondément dans mes entrailles quitte à me les briser, ce désir fort qui brûlait en moi me poussait à songer plus loin que mon imagination me le permettait. Alors dans la précipitation la plus totale j'ai saisi sa main l'engouffrant sous mon bas de pyjama ( j'étais nu ) j'en perdais mes moyens, le corps tout tremblant j'ai retiré mes lèvres des siennes pour gémir à gorge déployée mais il trouva un moyen de les occuper, s'attaquant à ma pomme d'Adam si bien qu'à mon pénis dont il s'amusait à masturber montant puis descendant avec une lenteur déconcertante. Ses cheveux gris firent pris en otage par mes mains, je les tirais avec violence sans m'en rendre compte.

J'avais l'impression qu'il aimait cela, raison pour laquelle il gémissait à l'unisson avec moi contre mon cou. De sa main libre, il s'était débrouillé pour baisser son bas de pyjama réservant difficilement le même sort au mien.

- Comment me veux-tu en toi dis-moi? fit-il.

- Au plus profond de mon être. répondis-je, faiblement.

- Je ressens aussi le besoin de te sentir autours de moi Jungkook. susurra-t-il.

Je saisi difficilement son visage entre mes mains, puis souris.

- Alors te retiens pas Jimin et fais-moi tiens.

Je m'étais relevé d'un bon, mais je me rassis tout aussi rapidement dans ma chaise lorsque ma tête a cognée avec violence le toit du... bus?

Je regardai autours de moi et effectivement j'étais dans le bus qui était bandé de monde au point qu'il était impossible de respirer convenablement, j'étais assis au fond d'ailleurs, le paysage nous rapprochant fortement du lycée défilait de vive allure à travers la vitre.

Mais plus important encore je vous pris.

Je venais de faire un rêve érotique ( car oui comme un idiot je m'étais assoupie ), un rêve érotique sur mon plus grand ennemi autours d'un paysage paradisiaque et ce en publique?

Seigneur mais qu'est-ce qu'il m'arrive bon sang !?

Jimin s'est barré de chez moi depuis la soirée, je ne l'ai plus revu mais ses affaires sont encore chez-moi et depuis je ne fais des rêves comme ceux-ci, dans des lieux les plus improbables qui puissent exister.

J'entends son nom de partout ! Je le vois partout ! Quand je pense à lui j'ai le cœur qui bat extrêmement vite ! Une chaleur très agréable m'accapare et je ressens le besoin constant de le revoir, de savoir que lui aussi il pense à moi comme je le fais depuis ces deux derniers jours et cela s'est déclenché depuis que j'ai quitté cette fête ! Et d'une manière ou d'une autre ça ne m'enchante pas vraiment tout ça!

Bon sang c'est quelle genre de sorcellerie ça ?

Je soupirai et regardais autours de moi et forte heureusement personne ne prêtait attention à moi ( e toutes les façons j'étais devenu un sans amis ) sinon je me serais fait non seulement humilié par les autres en plus de cela j'aurais risqué de retrouver ma tête sur tous les réseaux sociaux avec pour titre " un lycéen gemis dans le bus le nom de son pire ennemi ", la honte franchement !

Le bus arriva enfin à notre arrêt, je me dépêchai d'essuyer mon visage plein de sueur avec la manche de mon uniforme, alors que j'allais me lever lorsque le bus s'est arrêté, je remarquai un problème. Un très grand problème même qui se faisait nommé mon entrejambe, une magnifique montagne déformait mon pantalon dans toute sa splendeur.






- Hey mec ça va? entendis-je Hier tu t'es barré de la fête sans rien me dire je me suis inquiété même si je me suis retrouvé tout seul comme un idiot haha.

Je sursautai, mais repris mon calme en voyant que c'était Yo Han. Je repositionnai bien comme il le fallait mon sac à dos devant moi pour bien cacher la bosse entre mon entrejambe

Je me dirigeai vers ma classe lorsqu'il est venu me saluer, la sonnerie n'allait pas tarder à sonner.

- O-Ouais super... Je pète la forme... Ça va absolument bien... Pourquoi ? balbutai-je, difficilement.

- J'ai vraiment du mal à te croire vu la tête que tu fais en ce moment. ajouta-t-il.

- Je fais quelle tête ? paniquai-je.

- La tête d'un mec qui a peur de se prendre la main dans le sac, en plus ( il passa sa main sur mon front, je reculai aussitôt ma tête en le voyant faire, il me sourit tout de même) t'es tout chaud, t'as de la fièvre ?

- Non, j'ai juste chaud. Très chaud. mentis-je.

- Bizarre, fit-il, la météo annonce qu'il va pleuvoir aujourd'hui pourtant.

- Tu sais c'est mon système immunitaire, il fonctionne bizarrement quand j'ai chaud les autres ont froid et quand j'ai froid les autres ont chaud et ne penses surtout pas que c'est dû aux super pouvoirs car je n'en possède absolument aucun et je n'ai pas été victime d'une expérience dans un laboratoire ils m'auraient transplanter une substance étrange pour métamorphoser mon système. Je suis normal, absolument normal comme tu le vois. répliquai-je.

Il fit prit d'un rire fou, alors que je me rendais compte de ce que je venais de dire, encore une fois je venais de me ridiculiser moi-même sans le savoir. Cette journée s'annonce mal.

- Si tu voyais la tête que tu fais Jungkook c'est hilarant mec ! rit-il.

- Je ne vois pas ce qu'il y a de drôle. boudai-je.

- Non tu es juste mignon seigneur. me contredit-il.

Je roulai des yeux accélérant ma marche alors qu'il me courait après en me criant à quel point il était désolé, je ne l'écoutais que d'une oreille. Bien trop pressé dans ma course je ne vis pas où je mettais les pieds et rentrai dans quelqu'un. Je reculai aussitôt sur mes pas en présentant mes excuses la tête basse.

- Imbécile fait un peu attention où tu mets les pieds. fit ma victime. Et étrangement que cela pourrait-il paraître, je connaissais parmis mille cette voix, je levais ma tête pour en être sûr et regrettai aussitôt de l'avoir fait lorsque mes yeux ont rencontres les siens qui se sont rapidement illuminés.

- Je suis désolé. murmurai-je dans mes songes.

- Oh mais c'est toi bébé. s'exclame mon trouble.

Les battements de mon cœur se sont accélérés, vous voyez ?

Hoseok, Yoongi et Namjoon étaient à sescotes comme toujours et étaient entrain de se foutre de ma gueule. Je ne prêtais pas attention à eux mais plus à la création divanesque qui se présentait devant mes yeux, il portait des lentilles bleutées aujours soulignant encore plus sa beauté, il avait dégagé ses cheveux sur le côté dévoilant son magnifique front, ses paupières étaient peintes d'une teinte sombres.
Incroyablement séduisant.

- Dieu du ciel est-ce un rêve ? murmurai-je, inconsciemment.

- Pardon? fit-il, les sourcils froncés toujours avec ce sourire charmeur collé aux lèvres.

- Que tu es séduisant. souris-je.

Ma petite bulle s'est soudainement éclaté après cette phrase, je venais de revenir dans le monde réel et quand on revient dans le monde réel après une aventure interminable aux enfers où au paradis, la gifle qu'on se prend après est monumental ce qui est mon cas actuellement.

- Répètes un peu ce que tu viens de dire? dit-il.

Nous étions dans les couloirs du lycée en plein matin où les cours allaient bientôt commencés, ils étaient bandés de monde et presque tous avaient les yeux sur nous ou plutôt sur le prince de ce lycée qui attiraient non seulement des admirateurs mais aussi de jaloux qui ne rêvaient que de lui refaire son portrait.

- J'ai rien dis. tentai-je.

- pourtant je l'ai entendu, c'est sortit de ta bouche. insista-t-il.

- C'était une erreur, un disfonctionnement de ma part. fis-je.

Je faisais des pas en arrières alors que lui en faisais vers moi.

- Ce n'est pas tous les jours que tu me complimentes bébé allez redis-le pour voir s'il te plaît ! bouda-t-il.

Seigneur il est tellement mignon ce petit diable !

Euh non.

- Je ne suis pas ton-

- Bébé ? Oui tu me l'as dis plus d'une fois et je te le répète encore une fois que je m'en fou complètement.

Oui, il vint un moment où je ne pouvais plus reculer parce que mon dos avait cogné le mur derrière moi.

La honte, javais les joues rouge de honte. Il savait comment m'humilier et à chaque fois je perdais toujours comme un idiot.

- Récules sinon je ne vais pas hésiter à te foutre mon point dans la gueule et crois-moi cette fois-ci je ne vais pas hésiter à le faire comme vendredi à cette foutue fête.

- Oh ! Tu me portes bien plus d'intérêt que tu ne le laisses paraître pour te souvenir de ce qu'il s'est passé hier.

- Je regrette juste de ne pas lavoir fais cesses donc de croire que je te porte dans mon cœur.

- Tu en dis plus que d'habitude aujourd'hui c'est excitant. Je veux en savoir plus dis-moi.

Ma gorge se fit sèche, il était bien trop proche de moi et lorsque c'était le cas, je me sentai intimidé, contrôler par lui, par son odeur, sa présence, sa prestance, mes mains se faisaient moites, j'avais bizarrement chaud et l'impression d'avoir été foutu dans un four pour rôtir un poulet, n'en parlant même pas de ces tourbillons incessants dans mon ventre. Je ne comprenais absolument, je ne comprenais vraiment pas ce qu'il arrêtait et ces sensations ne se montraient qu'en sa présence. Et il peut bien rêver pour que je lui fasse ce plaisir !

- Encore dans tes pensées où tu me complimentes à l'infinie ? pouffa-t-il.

Mais je le supporte pas ce type !

- Récules on est pas chez toi ici. fis-je d'un ton froid.

-t'entendre on dirait que je te manque, ria-t-il, Faut me dire si tu veux que je revienne tu sais, je fairais tout pour toi ?

Je lui lançai mon regard le plus sombre, mais il me sourit à la place.

- De plus ( il posa ses mains à plat de part et d'autre de mon visage.) Jusqu'à preuve du contraire c'est toi qui me retiens.

- Pardon? s'exclamai-je.

Il rit. Il en a pas marre de se moquer de moi en fait?

Il baissa ses mains sur son buste, je fis de même.

La honte ! La honte ! Quel humiliation !

Je tenais le tissu de son uniforme dans mes deux mains !

Mon dieu ! Seigneur ! Marie ! Bouddha ! Allah !
Shiva-Ganesh-Durga je suis cuit jusqu'à cramer !

- Hé les amoureux c'est pas pour casser l'ambiance mais ça va bientôt sonner ! s'écria Yoongi.

- Et puis vous barrez le passage. ajouta Hoseok.

- Taisez-vous putain ! Vous avez la chance de vivre une comédie romantique en live et tout ça gratuitement au lieu de vous plaindre profitez-en ! Et d'ailleurs depuis quand vous aimez les cours vous deux? pouffa Namjoon.

- Ça devient trop niais leur bail j'ai envie de vomir. fit Yoongi.

- Et moi je ne veux pas que mon père soit encore convoqué parce que j'ai raté un cours de plus. se défendit Hoseok.

- Alors? fit Jimin, Tu as l'intention de me retenir plus longtemps ? C'est pas que c'est déplaisant bien au contraire et j'aimerais même que tu m'embra-

Il avança sa tête du mien.
Je m'empressai de le lâcher, de le repousser aussi fortement que ma porce pouvait me le permettre et ce fût à ce moment-là que la cloche sonna sans plus attendre je m'enfuis vers ma classe.

Mais j'oubliais !

Nous sommes dans la même classe en fait !?

Par la barbe du Pap sérieux !

- N'est-il pas mignon sérieusement ? dit-il.

- Ta gueule et avance un peu, les cours vont commencés. le sermonna Yoongi.



Ignorer Jimin, ou plutôt tenter de l'ignorer ( Oui parce que ce mec est un vrai renard ) n'est pas une tâche facile quand premièrement il se fait une place dans ta tête sans demander ton accord et en plus de cela quand il apparaît devant toi et cela sans demander ton accord aussi, la seule chose que tu puisses faire est de fuir. Ce que je fais de puis ce matin. À chaque fois que je l'aperçois je change de chemin, que ce soit en allant aux toilettes, acheter des trucs à grignoter pendant la récrée, en cours de sport, en cours ou actuellement au réfectoire. Je fais tout mon possible pour ne pas croiser son regard parce que je sais qu'il va tenter de me contrôler avec sa magie. Je ne comprend pas les riches, au lieu de faire des dons à des organismes dans le besoin, ils préfèrent rentrer dans des sectes des illuminaties pour acquérir des pouvoirs qui va leur permettre de faire ce qu'ils veulent, c'est dommage parce que ce mec est jeune, mais bon c'est sa vie quoi je ne suis personne pour lui, tant qu'il ne m'approche pas tout ne peut que bien aller, il ne va jamais me contrôler j'en fais le serment.

Et je le répète c'est pas facile quand tu sens le lourd regard de ce dernier sur ta personne.

- Il arrête pas de te regarder c'est flagrant. ria Yo Han.

Je roulai des yeux. Il était assis face à moi donc il pouvait voir tout ce qu'il se tramait derrière moi.

- Ignores-le. lui conseillai-je.

- On dirait qu'il veut te bouffer. ajouta-t-il.

- J'ai pas envie de savoir ce qu'il fait Yo Han. dis-je.

Je me sers un vers d'eau.

- Tu crois qu'il est amoureux de toi? fit-il soudain, brandissant ses baguettes vers moi, le sourire aux lèvres.

J'avalai difficilement l'eau après cette phrase.

- YO HAN ! criai-je, m'attirant les regards des autres élèves.

- Ça va... ça va... je ne vais plus t'embêter avec ça. se moqua-t-il.

Le silence redevint maître sur notre table où nous étions que deux.

- Vous vous connaissez depuis longtemps ? questionna.

Je levais les yeux vers lui sans comprendre ni de quoi ou de qui il pouvait bien me parler, il le comprit.

- Toi et ce Jimin. reforumula-t-il.

- Comment tu connais son nom? cinglai-je, le sourcil levé.

- Même les rats des égouts le connaissent ce type, une vraie célébrité auprès des jeunes. Et d'ailleurs est-ce que tu savais que son père était le propriétaire de l'hôpital au centre ville? fit-il.

- Ah bon? Tout s'explique.

- De quoi?

- La réceptionniste qui travail là-bas l'a appelé jeune maître tout s'explique pourquoi.

- Hmm... Tu y es déjà aller?

- Tout le monde y est déjà allé Yo Han.

Je ne voulais pas m'attarder sur le sujet ni surtout pas lui expliquer tout ce qu'il passé là-bas non plus, javais assez honte de m'être fais berné aussi facilement.

De plus, àcroire que ce qu'il disait n'était pas faux, même mon père le connaît alors combien de fois les élèves de ce lycée, rien qu'à son odeur ou au ton de sa voix on peut savoir qui c'est.

- Du coup, tu n'as pas répondu à ma question vous êtes amis? insista-t-il.

- On est pas amis c'est tout ce qu'il faut savoir. susurrai-je.

- À vous voir on dirait deux amoureux qui se tournent autours sans jamais oser avouer leur sentiments.

- Ce n'est pas mon cas je te répète et arrêtons de parler de ces sujets-nà là s'il te plaît.

- Pardon de t'importuner avec toutes ces questions, c'est juste que je vous trouve tous les deux trop drôles, on dirait ces comédies romantiques Indiennes à l'eau de rose.

Je roulai des yeux avant de me lever saisissant mon plateau.

- Tu t'en vas déjà? T'as même pas touché ton assiette. fit-il, la bouche encore pleine.

- J'ai pas faim, et tu me saoules un peu à parler de lui a croire que c'est toi qui en est amoureux. vauciférai-je, emportant mon plateau avec moi. Je l'entendis me crier de l'attendre alors que l'objet de mes tourment ne me quittait pas des yeux, j'avais même pressé le pas pour ne pas qu'il me suive allant déposer mon plateau avant de quitter les lieux presque en courant.



- La vie est courte je sais, mais tu te précipites un peu trop ralentis !

- Yo Han je m'en fou un peu qu'elle soit courte ou longue, elle ne m'apporte que problèmes sur problèmes sans solutions moi j'appelle pas ça une vie.

- T'as encore 18 ans et tu te retrouves déjà dans un labyrinthe? C'est inquiétant ça alors.

Je haussai simplement les épaules face à cette phrase.

Il vint me rejoindre près du muret. Nous étions derrière le bâtiment où allait se dérouler mon prochain cours, ma classe suivait la sienne, il avait plu lorsque nous étions dans le réfectoire, le sol était mouillé, mais nous étions à l'abri, le sol a été protégé de l'humidité il était donc possible pour nous s'y poser nos fesses.

- Tu sais ce que tu vas faire toi après le lycée? me questionna-t-il.

Je regardai le ciel précédemment gris reprendre son bleu laissant le soleil revenir doucement sur son trône.

- J'en ai complètement aucune idée. avouai-je.

- Sérieux ? T'as pas la vie facile toi. s'exclama-t-il, surpris.

- Ça je ne te le fais pas dire.

- Tout de même c'est très sérieux. T'as pas de rêves ou un truc tu aimes faire?

- J'aime les Arts.

- Quels genres d'arts ? La danse? La musique? Le cinéma? Les arts plastiques ?

- La peinture. L'histoire, ce genre de bail, je trouve fascinant les mythologies que regorgent ce monde et j'aimerais en apprendre plus.

- Bah tu peux être archéologue ou historien tout cours ou les deux.

- On verra bien si je ne décide pas de changer d'un coup.

Ça veut dire quoi?

- J'ai voulu devenir Mangaka, footballeur, chanteur, cuisiner, prof de sport et j'en passe.

- T'as pas les choix faciles je comprends mieux pourquoi tu te faufiles toujours mdr.

Je hochai ma tête avant de la pivoter vers lui.

- Et toi tu veux faire quoi plus tard? questionnai-je.

- Je voulais reprendre l'entreprise de mes parents mais là il n'en reste plus rien. fit-il, le ton de sa voix se fit plus triste me faisant comprendre que c'était un sujet sensible mais ma curiosité me faisait souvent défaut.

- Il s'est passé quoi?

- On a fait faillite, mes parents travaillent durement pour revenir dans le Game mais ce genre de monde ce n'est pas facile du tout alors ils font vraiment de leur mieux pour ne pas être complètement rayée de la liste.

Ils devraient réellement travailler dur pour ça si ils ont envoyés leur fils dans un lycée aussi riche que le nôtre, cela voudrait-il qu'il devait être dans un lycée très prodigieux, et c'était appréciable les efforts que ses parents ont fait pour le laisser continuer sa scolarité et tout de même triste comme réalité, je me rend encore compte que nombreux ici portent des masques et cachent des secrets qu'ils ne que nul ne puissent connaître, ils font semblant pour être acceptés, pour ne pas être jugés.

- Mais je ne veux absolument qu'on me prenne en pitié, me prevint-il, me remarquant perdu dans mes pensées, t'es le seul qui le sait d'ailleurs.

- Ça va s'arranger.

Je n'avais aucun tacte lorsqu'il s'agissait de consoler les autres enfin la seule personne avec qui j'y arrivais était Taehyung qui m'a zappé.

- Je sais.

- Tant mieux.

J'avais les yeux lourds de sommeil, je n'avais pas dormis ces derniers temps parce qu'une certaine personne occupait mes pensées.

- Tu peux dormir si tu veux, nous avons encore une heure devant nous après tout. sourit-il.

Je ne fis que hocher la tête laissant mes yeux se fermer tout seul.















Je fis réveiller par la sonnerie de la cloche qui annonçait les début des cours de l'après-midi, mais je remarquai que j'avais ma tête poser sur l'épaule de... Jimin?

Je reculai rapidement comme si je venais de voir le diable et me mis debout sur mes deux jambes.

- Putain ce que tu ronfles fort ! Tu serais capable de réveiller mon feignant de chien !

Je lui lançai un regard noir tout en essuyant les coins de ma bouche ( qui au passage était pâteuse ).

- Étrange  qu'il ne se soit pas enfuie le matou, j'aurais fais ça depuis longtemps si j'étais à sa place.

- Je suis son maître, il ne peux pas me quitter.

- T'en parles comme si c'était un objet. Qu'est-ce que je dis, tout ressembles a des objets pour toi. pouffai-je amèrement avant de constater que mon ami n'était plus là, Où est Yo Han?

- Je l'ai dégagé.

J'ouvris grand mes yeux alors qu'il se mettait debout, se débarbouillant.

- Tu as fais quoi?

- J'aime pas quand les gens se ramènent lorsque je veux être seul avec toi.

- Il était là avant toi, tu dois savoir attendre ton tours Jimin.

Il me regarda un sourcil levé cessant tout mouvement.

- J'ai le droit de dégager qui je veux. sourit-il.

- Je ne suis à personne Jimin, quand est-ce que ça va rentrer dans ta tête? JE.NE.SUIS.À.PERSONNE !

- C'est vrai. Tu es à personne d'autre sauf à Park Jimin que tu le veuilles ou non tu as signé un contrat pour ça.

Pour une raison inconnu je ressentis un pincement dans mon cœur lorsqu'il parla du contrat.

Ce n'était donc que cela. À quoi je pouvais bien m'attendre en plus, c'est Park Jimin. Il avait les droits sur qui et personne ne pouvait jamais rien lui refuser pas même moi.

- Ouais. Ce n'est qu'un contrat merci de me le rappeler.

Je soufflai.

- Les cours vont commencés j'y vais.

- Attends! Jungkook !

J'ai l'impression de ne faire que ça.

Le fuir constamment à chaque fois qu'il se montrait devant.

- Jungkook attends ! Aïe !

Je me retournai rapidement vers lui, il était accroupi et se tenait la cheville, je me suis précipité vers lui pour une raison inconnu touchant ses mains.

- Fais attention où tu mets les pieds bordel ! Oui tu n'as plus tes béquilles mais ça ne veut pas dire que tu es complètement guéri non plus, t'es plus un enfant pour qu'on prenne soins de toi ! criai-je.

- Je n'ai besoi  de personne d'autre. fit-il.

- Ah ouais vraiment?

- Tu t'occupes déjà bien de moi et ça me suffit.

Il avait dit ça d'un ton tellement sérieux que cela me déstabiliserait fortement et je n'aimais pas ça. Je détestais ça alors que tout ceci n'était qu'un jeu pur et simple pour lui, je n'étais qu'un contrat qui allait prendre fin bientôt, il oublierait que j'existe, il oublierais ma présence, mon nom et tout ce qui me constitue.

Je me mordis ma lèvre inférieure le cœur serrer tenant de retenir tant bien que mal mes larmes qui menaçaient de couler.

- Qu'est-ce qu'il y a ? me demanda-t-il.

Je ne su que répondre tant les mots restaient coincés dans le fond de mon gosier.

Je le vis lever sa main arrêtant son chemin sur ma joue qu'il caressa délicatement.

Ça me faisait extrêmement mal dans le fond de ma point, cette douleur était insupportable.

- Pourquoi tu fais ça ? soufflai-je d'un ton presque inaudible.

- Qu'est-ce que je fais? fit-il sous le même ton.

- Tu essaies de me contrôler, et ça fait mal. fis-je.

Je vis dans son regard qu'il était paniqué, la situation se dérobait de ses mains. Et comme une douche froide je me rendis compte de ce que je venais de dire et de ce que nous étions entrain de faire, son visage était si proche du mien que je pouvais sentir son souffle taper contre mon visage, alors je m'étais soudainement relevé après l'avoir violemment repoussé.

J'ai quitté les lieux presque en courant comme à mon habitude.

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top