MOMENT OF

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Il me regarda profondément dans les yeux, je fis de même alors que nos têtes se rapprochaient considérablement avant que nos lèvres ne se rencontre naturellement. Ainsi débuta un langoureux baiser où le bal était mené uniquement par lui, je savais qu'il avait besoin de plus d'affection maintenant que jamais. Il venait de perdre son seulement tout ce qu'il possédait auparavant, mais aussi ses parents qui vont passer un long séjour en prison vu le paquet de crimes énumérés dans ces fichiers comme preuves les incriminant sans canular.

J'entourais son cou de mes bras alors qu'il caressait mon dos, on s'enfichait de qui pouvait bien nous voir, sans rompre l'échange, je glissai ma main dans la poche de mon pantalon y ressortant la clef de la maison, je déverrouillais la porte avant de le tirer à ma suite à travers l'appartement veillant à fermer la porte derrière nous. Il a échangé nos positions me claquant dos contre la porte déviant ses baisers dans mon cou, c'était la partie la plus sensible de mon corps, je tremblais sous l'extase que le toucher de ses lèvres procuraient contre ma peau que ma tête partis en arrière et mes mains s'enfonçant dans sa cheveux incroyablement doux lorsque mes doigts les tiraient légèrement. Je sentis sa main se faufiler entre nos deux corps avant qu'elle ne se mette à déboutonner la chemise de mon uniforme. Je tapais l'air en quête de reprendre une respiration rythmique, mais cela m'était tout bonnement impossible tant son aura sensuelle me dévastant complètement, afin de languir mon supplice, il vint résceller ses lèvres aux miennes approfondissant sans plus attendre le baiser, je ne pu que le suivre dans cette marge lui transmettant tout les sentiments que je ressentais pour lui depuis ces derniers temps.

Je l'aimais tellement. Je l'aimais car il m'avait rendu plus intelligent et mature, plus apte à voir plus loin que ce que mes yeux me disaient de voir. Je me sentais plus vivre en cet instant avec lui à côté, le monde que je m'était créé depuis ma naissance prenait tout une autre envergure avec lui, il était plus spectaculaire, spécial et doté d'un surplus de beauté que je ne parvenais pas avant à lui accorder, il a fallu que nos chemins se croisent pour que cela arrive. Je me sentais plus ouvert et moi-même.

Ce que je cherchais tant depuis des années avait toujours été sous mon nez, mais j'étais comme le premier train créé dans ce monde, ma manœuvre était languissante et mon évolution très long a venir.

Je connais ce que l'amour veut dire grâce à lui, jamais je n'aurais crû aimer autant quelqu'un que je ne connais que depuis quelques mois et pourtant j'y étais, et très profondément, j'étais entièrement à sa merci à l'heure actuelle et je ne pouvais qu'apprécier remplissant le vase de mon bonheur.

Alors je m'abonne à lui lorsque ses doigts se mirent à circuler sur mes débuts d'abdos, lentement, soigneusement à m'en faire perdre la tête.

Il alla humer l'odeur de mon cou alors que je respirais vite, ma main descendit de sa chevelure à sa nuque que je caressais lentement.

Tu me fais succomber dans une ivresse qui dérègle tous mes sens Jungkook. Comment comptes-tu te faire pardonner de m'avoir rendu ainsi ?

Les battements de mon cœur devinrent plus en plus indomptables. Je l'obligeait alors à me regarder dans les yeux.

Je suis à toi, simplement et rien qu'à toi. dis-je en contrôlant ma respiration.

Il me regarda dans les yeux avec sérieux avant que ses traits fermes ne d'adoucissent et qu'un sourire heureux n'étire les coins de ses lèvres.

Mon dieu qu'est-ce tu as fais?

J'ai une autre idée concernant ça.

A-Ah bon?

Il hocha de la tête avant de se venir fermement mon arrière train entre ses mains me poussant à entre coller complètement à lui, je posais mes mains à plat contre son torse encore habillé. Je rougie avant de légèrement baisser la tête après que mon cerveau ait compris le sens de cette phrase accompagnée de son action.

Tu as mon tout mon consentement pour ça.

Zut, fut-il soudainement, j'ai pas de capotes.

M-Moi non plus. avouai-je en balbutiant.

Il soupira tout de même déçu.

On va devoir reporter ça à une autre fois bébé.

Non!

J'avais presque hurler en le voyant reculer. Ils regarda avec de grands yeux.

J-Je te veux maintenant.

T'as pas peur de choper le SIDA?

Je levais mes yeux dans les siens en me mordant légèrement ma lèvre inférieure. Un volcan s'est mise en éruption dans mon bas ventre, sa chaleur était infernale pour moi de le supporter avec autant d'entrain.

Ma réponse était simple.

Je te fais confiance.

Il me gratifiant d'un baiser auquel je répondu effectivement.

Ça tombe bien parce que je ne l'ai pas. susurra-t-il d'un ton suave dans mon oreille, avant même que j'eus le temps de dire quoique ce soit, mon corps a été emporté en princesse dans ses bras, je me suis accroché à lui en passant mes bras autours de son cou avant de venir poser ma tête contre son torse.

Les battements de son cœur faisaient écho dans mes oreilles, cela me surpris car ils étaient vraiment fort, comme si on donnaient des coups contre un tambour. Il a emprunté le chemin vers ma chambre qu'il connaissait maintenant, une fois à l'intérieur, c'est naturellement qu'il me déposa sur le lit sans me laisser le temps de me préparer il s'est precipitement jeté sur moi comme un être qu'on a laissé affamé depuis des longues journées entières, me poussant à m'allonger de tout mon être contre le lit, il désserra ensuite la cravate de mon uniforme avant de la retirer. Sa bouche se fraya un parcours sur mon torse, il prit mon téton en otage; le suçotant, le mordillant, j'entourais son corps de mes jambes  en tirant sur ses cheveux. Il a ensuite posé sa main sur mon entrejambe avant de se mettre à la caresser, la compresser. Mon corps ne me répondait plus, jamais je n'ai vécu une telle chose avant et jamais personne ne m'a touché à cette endroit sauf moi-même lorsque je me soulageait devant des films pornographiques quelques-unes de ces nuits où je ne savais pas quoi faire de ma vie. Ma chemise m'a aussi été retirée par lui d'une main alors que l'autre s'affairait sans relâche contre mes bijoux de familles, je me m'étais jamais cambrer ainsi auparavant, et pourtant aujourd'hui on aurait eût l'impression que j'étais possédé. Possédé par Park Jimin.

Il a ensuite retiré la boucle de ma ceinture avant de baisser mes bas jusqu'à mes chevilles, un coup de vent effleura ma peau, ce qui me fit frissonner.

J'étais complètement nu devant quelqu'un d'autre que mes proches qui m'ont déjà vu ainsi. Mais cette fois-ci c'était different puisqu'il s'agissait de mon petit ami, de Jimin. À cette pensée je dis pris d'une lucidité soudaine avant de redresser le haut de mon corps grâce à mes avant bras plaqués contre le lit.

Il regardait mon membre qui se tenait droit tel un poteau d'électricité. Le souffle court, je me suis empressé à le recouvrir de ma main non sans grand mal. Il a ensuite levé ses yeux bleutés sur moi orné d'une lueur sombre dans ceux-ci.

Tu as honte?

J'ai simplement baissé la tête face à cette question, les secondes se sont écroulés où je pensais avoir tout gâché bien que mon consentement lui a été accordé, j'avais peur de mal réagir si on le faisait, c'était ma première fois avec un homme qui plus est. Je suis déjà sortit avec que des filles avant mais jamais je n'ai dépassé le cape avec aucune d'elles.

C'est aussi ma première fois. avoua-t-il. Je le regardais sans comprendre, il se redressa rapprochant son visage auprès du mien, Parce que je n'ai jamais fais l'amour à quelqu'un avant, je ne suis pas plus expérimenté que toi tu vois ?

Et les autres avec qui tu-

Eux je les baisais, trancha-t-il d'une voix grave, Toi je veux te montrer à quel point je veux prendre soin de toi.

Il vint embrasser mon cou.

Te montrer à quel point tu es spécial à mes yeux que tous les autres.

Un autre baiser.

Te montrer que toi seul es en possession de mon corps.

Sa main se glisse sur ma main avant de venir saisir la mienne qui cachait mon entrejambe.

Te montrer l'ivresse dans laquelle je suis constamment à cause de toi.

Je fermais mes yeux en penchant légèrement ma tête sur le côté lui laissant libre accès à ma partie sensible.

Je veux que tu vois combien mon amour pour toi est incomparable à celui des autres.

Je le laissais naturellement retirer ma main sans posséder la force de lui tenir tête puisqu'il me faisait totalement perdre tous mes moyens rien qu'avec un baiser ou un simple toucher de sa part.

Tu veux voir?

Je deglutis mais hochais tout de même la tête.

Je voulais l'appartenir corps et âme sans le regretter.

Je v-veux vivre sans regrets.

Allrs laisses-moi prendre soin de toi le restant des jours qui nous restent à vivre.

Il s'est retiré de moi, je le regardais faire alors qu'il ôtait une à une ses vêtements devant mes yeux ahurissants de découvrir le trésor qu'il se trimballe avec lui. Je le connaissais déjà assez musclé mais là je le voyais de mes propres yeux à quel point son corps était divinement bien bâti, mes yeux ne pouvaient se détacher à la vue d'une telle sculpture. Mes yeux sont descendus en bas où se trouve ses bijoux de familles et dieu est-ce que ça allait entrer?

Sa plaie sur son épaule droit avait guéri, la cicatrice avait même disparue.

La vie te plaît ? j'entendis sa voix.

Ça ne va jamais rentrer. affirmai-je sans quitter son entrejambe des yeux.

Content de constater que tu te montres déjà impatien alors que les choses sérieux ne font que commencer.

Je ne voulais pas le laisser se laisser de moi et le laisser continuer de croire que j'étais un coincé du cul incapable de prendre les choses en main alors je me suis brusquement levé lui faisant face, il semblait toujours amusé.

J'suis pas un coincé du cul. fis-je d'un ton froid.

Je n'ai jamais pensé ça. il continuait à me charrier.

Mais ça te fait rire.

Je te trouve simplement mignon et incroyablement irrésistible mon lapin.

J'ai fronce des sourcils avant de me décider à l'agripper par sa chevelure, s'est ensuite sceller mes lèvres contre les siennes, alors que le baiser devait de plus en plus carnassier et brutal, j'allais poser ma main sur son pénis

Tu connais l'expression faire l'amour comme des lapins chaud n'est-ce pas? Laisses-moi te montrer à quoi cela ressemble. murmurai-je contre ses lèvres.

Je débute alors de légers va-et-vient le long de son membre, il aggripa fermement mes fesses entre ses mains en soupirant d'aise en respirant contre mes lèvres, nous nous regardons droit dans les yeux durant tout le long, je sentis son corps trembler contre le mien, un sourire victorieux se forma en coin de mes lèvres lorsque je sentis son attribut s'agiter dans ma main, avant je ne sente mon corps partir en arrière. On ne se quittait toujours pas des yeux, il se tenait face à moi et j'en profitais pour retirer mes vêtements suspendus à mes chevilles ainsi que mes chaussures, j'ai reculé mon corps jusqu'à ce que ma tête ne touche la tête du lit, doucement, j'écartais mes jambes en serrant fermement les draps entre mes mains l'invitant à commencer les choses sérieuses. Je brûlais aussi intérieurement qu'à l'extérieur avide de son toucher, mon antre se tendait puis se détendait tout seul. Il grimpa sur le lit tel un félin, un prédateur prêt à sauter sur sa proie, ses lèvres se sont posés sur ma peau, ses baisers me rendaient fous et tout potelants alors qu'il baisait ma jambe remontant dangereusement jusqu'à mon entrejambe. Il embrassa mes testicules, je clôt les yeux resserrant mon emprise sur les draps, l'un après l'autre il les léchait, les suçait comme si c'était une sucrerie, mon dos se décrocha du lit lorsque la chaleur de sa langue engloba l'entièreté de mon membre jusqu'à sa base.

Aah ! C'est tellement chaud.

Il lécha bâton de chair, ma main est allé se réfugier dans sa chevelure brillante l'aidant dans sa quête, sa tête montait puis remontait dans des rythmes accorder c'était tellement bon au point je ne su qui j'étais vraiment.

Toutes ces sensations étaient nouvelles pour moi et seule possédait la capacité de me les procurer.

Sa langue léchait docilement mon gland, s'en était trop, j'allais finir par jouir si il continuait alors je le lui dis savoir en tirais durement sur ses cheveux, je crû mourir face à ce regard qu'il me lançait, j'avais l'impression que c'était une bête affamée et moi aussi j'étais dans le même état, je le voulais en moi.

As-tu du lubrifiant ?

Je destinais la table de chevet avec mon monton, il se releva contournant à demi la chambre se rendant à ma table de chevet, il se redressa une fois l'objet rechercher en main, ses lèvres se sont étirés en un sourire.

Tu n'es décidément pas un coincé du cul, il vint s'asseoir à mes côtés en renversant le liquide dans sa main après avoir ouvert son bouchon, C'était comment?

Je rougie violemment venant cacher mon visage derrière mes mains, son rire moqueur se fit entendre.

Est-ce que tu t'es déjà masturbé en pensant à moi? rajouta-t-il.

Tais-toi, fis-je en couinant ce qui fit augmenter son rire.

Je vais prendre ça pour un oui. C'était comment de m'imaginer entrain de te prendre? Tu prenais du plaisir? C'était de la manière douce ou la manière forte?

Je retirais lentement mes mains de mon visage puis baissais les yeux, son visage apparu entre mes jambes, il saisit alors mon pénis de sa main remplis de lubrifiant, sa froideur me fit frissonner. Voyant que je ne le répondait pas, il le serrant fort dans sa main et introduit lentement son index dans mon antre au même moment, j'étais sur le point de hurler de bien. J'étais tellement détendu et excité que ça a glisser plus loin que je ne l'aurais crû, il fit des mouvements coordonnés. Je transpirais de tout mon être ne sachant où donner de la tête, mon sexe se trouvait prisonnier de ses masturbations alors que mon trou de son intrusion.

Je ne t'entends pas bébé.

Mais je voulais plus qu'un simple doigt ou deux, je voulais le sentir entièrement à travers chaque paroles de mon corps, je voulais qu'il me prenne comme si nous allions mourir aujourd'hui. Je le voulais purement et durement.

Aah, durement !

Mon anneau de chair aspirait son doigt sans que je ne puisse le contrôler.

Ils surplomba de tout son corps afin de pouvoir gober mon téton entre ses dents, le pauvre se retrouva martyrisé entre ses dents acérées comme des minis-crocs, j'en profitais pour aller attraper son pendouillait au-dessus de moi, ça le poussa à retirer sa main autours de mon pénis, il attrapa mes deux bras dans sa main les emprisonnant au-dessus de ma tête, je le suppliais du regard de me relâcher mais il me répondit par un regard froid.

Restes tranquille sinon je n'hésiterais pas à te briser sous mes coups de reins.

Mon corps répondit à cet appel, je me mis à onduler du bassin le poussant à enfoncer plus loin son doigt, je gémis en le regardant dans les yeux sans m'arrêter. Il me regardait faire silencieusement, mais je sentais que ça le destabilisait tout autant de me voir agir ainsi, alors espérant me faire taire, son deuxième doit suivit mais ça ne fit qu'empirer mon envie de l'avoir en moi. J'anticipais déjà la taille de son membre en moi et cette imagination me remplissait d'une bravoure que je ne me connaissais pas alors je continuais à onduler du bassin en écartant un peu plus mes jambes, gigoter sous lui, des fois, je sentais le bout de son gland se frotter contre la peau de mon ventre. Il clôt les yeux avant de les ouvrir. Je respirais la bouche ouverte.

Voyant qu'il se battait dur comme fer afin de ne pas céder je décidais d'employer la manière forte. Jentourais sa taille de mes jambes avant de le pousser à plaquer son corps contre le mien, durant ce procéder, j'ai sentis ses doigts toucher à un endroit sensible à l'intérieur de moi, nos érections étaient à présent coller l'une contre l'autre. Il grogna, ce qui me fit sourire.

Dans le bus allant au lycée je t'ai déjà imaginé me déshabiller complètement avant de venir sucer mon pénis, tu le faisais tellement bien que je ne voulais pas que tu t'arrêtes, mais impatient tu m'as allongé sur le lit, tu t'es masturbé devant moi avant de venir glisser ta bite dans mon trou, tu n'y allait pas doucement plus tu y allait fort plus je voulais mourir sous cet extase car tu étais gros chacun de tes frémissements dans mes entrailles me procurait un bien fou mais je voulais que tu me baises comme si un alpha baisera son oméga durant leur période de chaleur.

Je le vis déglutir à chacun de mes mots, ce que me fit sourire en coin, il baissait lentement sa garde. J'étais tellement humide qu'on entendit le clapotis lorsque ses doigts se faufilent et ressortaient de mon trou.

Ses yeux me paraissaient d'une lueur dilatées, mais il ne restait pas moins magnifique, Jimin était incroyablement beau, à première vu on aurait dit le fils de la déesse de la beauté, il me paraissait irréel des fois. Il était le seul ticket de loto que nombreux n'auront pas, j'avais encore du mal à me dire qu'il était mon petit ami. Peu importe ce que les gens diront sur nous, je ne pouvais pas laisser mon amour m'échapper juste parce que la société demeure dans l'ombre de sa propre bêtise.

C'était rapide, tellement rapide, tu as ensuite écarté mes jambes afin de parfaitement te plonger dans ta cible et moi je te recevais à chaque coups de reins que tu me-

Il me fit taire en remplissant ma bouche de la tienne, je souriais encore me sentent victorieux de mon audace, il a retiré ses doigts en moi, ça a fait un bruit étrange. Sa main alla à la recherche de son anaconda avant qu'il n'entre d'une seule poussée visant directement mon impasse, l'entrée ne fût point douloureuse vu comment j'étais excité et détendu. J'ai mordu sa lèvre inférieur car la taille n'était mas évidente et légèrement plus imposante que deux petits doigts. Il relâcha enfin mes poignets après mes nombreuses supplications, je me suis empressé de le serrer fort contre moi en passant mes jambes autours de sa taille, ses couilles se sont écrasées contre mes fesses les chatouillant ma peau, il a alors commencé sa cadence. Dans la pièce planait notre odeur de transpiration mélangée à celui du sexe, il faisait chaud puisque l'été pointait déjà le bout de son nez, mais cette chaleur rendait les choses plus intéressantes encore.

Nos lèvres se sont séparés, reliés par un filet de salive, nous respirons la bouche ouverte en nous regardons dans les yeux. Ses assauts étaient de plus en plus rapide car nos deux corps ressentait le besoin que ce rythme ne change, nous voulions être secouer tout les deux.

Plus fort. accordai-je.

Il entoura mon corps fermement contre le sien ne laissant aucun espace entre nos deux corps, les frottements entre nos triques me rendis fou, elles glissaient entres avec facilité humide de nos liquide pré-séminal. Il accéda alors à ma demande accélérant ses rythmes, il écartait mon trou un peu plus à chaque poussées alors que je le noyais dans mes abysses avec facilité. Cette sensation de ces frôlement contre mes paroles, ses lèvres qui martyrise mon cou, son pénis qui se frotte au mien, je ne pu retenir mon plaisir plus longtemps.

Aahh ça vient.

Il resserra son emprise augmentant encore sa cadence, je ne crû pas cela comme étant possible, mais il était imprévisible. Ses assauts me clouaient contre le matelas, il posa de justesse sa main libre contre la tête du lit pour ne pas que je ne me fasse mal. J'allais cacher ma tête dans son, mais mes gémissements étaient incront, c'est naturellement que je les laisser sortir du fond de mon gosier, je ne pu me retenir plus longtemps avant de me déverser entre nos deux torses dans un long soupire.

Aaah je t'aime Jimin !

Il embrassa mon front.

Pas plus que moi je t'aime. sourit-il en caressant mes joues.

Je le sentis faufiler sa main entre nos deux torse saisissant son membre, mais avant qu'il ne le retire en moi, je l'en empêchai.

Elle est parfaitement bien où elle est. murmurai-je dans on oreille, il retira sa main avant que je ne sente son liquide se déverser en moi.

Il se retira avant de s'écrouler en étoile de mer à côté de mon corps, nous n'étions que respirations saccadés, nos corps humides de transpiration.

Il vint me serrer contre lui, nos peaux collaientais je m'en fichais. Il déposa un baiser contre ma tempe, je viens poser ma tête contre son torse qui montait et descendait au rythme de sa respiration. Nos jambes s'entremêlèrent et ma queue se frotta à la peau de sa cuisse.

Mon corps ne répondit plus, naturellement je me suis mise à genoux, il a tourné la tête vers moi me questionnant du regard. Je le voulais encore, cette première fois ne m'a pas suffit, je vis que lui aussi puisque son pénis s'est relevé en un léger sursaut.

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