ENLIGHTENING
Comme je ne le dis bien souvent, je suis peut-être idiot, ignorant, aveugle ou peu importe, mais tout cela a engendré une series de conneries de ma part, jamais je prend en compte l'importance des choses autours de moi avec plus de considération que ce que mes yeux veulent me faire sens cesse croire, j'ai tendance à aller voir plus loin que ce que mon cerveau me demande de voir sans même réfléchir que en 18 ans j'ai sans m'en rendre compte blessé celui que je considère comme mon meilleur ami, mon frère de sang, mon âme-soeur peu importe les défauts que je pouvais bien lui trouver.
Pourtant, les détails, les erreurs, les signes ont plusieurs apparu devant mes yeux durant toutes ces années, je les ai vus apparaître pui dispatre devant mes yeux sans les déceler, comprendre leur signification. Était-ce parce que j'étais trop jeune? Ou parce que je ne connaissais qu'une relation autre que celle d'un homme et d'une femme que ça a malheureusement conduit au silence de mon seul ami.
À quel point a-t-il souffert lorsqu'il a découvert avoir des sentiments pour une personne comme quoi?
J'étais different il y a encore un mois de cela, les homosexuels pour moi c'étaient des erreurs que la nature ne parvenait pas à indemniser peu importe les normes solutions qu'elle peinait à trouver.
Il a dû se sentir rejeté mais il n'est jamais parti, il a dû espérer que ça allait changer et qu'il me fallait juste du temps pour grandir et de voir plus grand que mon cerveau de moineau alors que lui était déjà un adulte à côté qui attendait patiemment mon évolution, une évolution qui est venu soudainement avec l'arrivée d'une autre personne.
Ça a dû le mettre en colère, le faire se haïr de ne pas avoir été trop courageux ni trop directe pour me demander, pour faire le premier pas, pour me secouer doucement mais sûrement afin que je marche sur le même trottoir que lui d'où le fait qu'il a prit la décision de briser les liens de notre amitié sans regarder en arrière en s'inventant des raisons qui ne tenaient non plus la route au file du tout, ses coups disaient toujours autre chose même si il se trouvait au fond du réfectoire entourés des personnes peu recommandables.
Je n'ai pas fais attention à cette déception qui se lisait dans son regard lorsqu'il m'a vu être trop proche de cet élève que tout le monde aimait et détestait en même temps. Je n'ai pas non plus vu la tristesse englobait ses iris autrefois remplis de joie, d'innocence, de malice. Sa douleur devrait être mienne, sa joie devrait être mienne, ses larmes devraient être miennes. Mais je les ai refusés sans y voir plus clair. Je ne le ressentais que maintenant, cette solitude, cette haine qui compresse ton cœur à t'en faire souffrir de martyre. Même si je tente de l'atténuer en serrant mon t-shirt dans ma main, je réussirais jamais à la faire partir, elle prenait tout de moi, l'air devenait irrespirable, le poids de mon corps bien trop lourd à supporter pour moi seul, les martèlements dans ma tête bien trop aiguës et puissant pour que je tienne tête.
— Jungkook ? Hé Jungkook qu'est-ce qui t'arrive?
— Je suis d-désolé Taehyung, tellement désolé pour tout ça.
Je le sentis me rattraper de justesse avant que mon corps n'ait pu rencontrer le sol.
Même mes larmes coulaient sans que je ne les contrôle.
— Je... suis...
— Chut calmes-toi, ce n'est rien.
— Non je-
Il pose sa main sur mon front avant de doucement balancer ma tête légèrement en arrière. Je me mis à prendre de grosse goulée d'air.
— Je ne t'ai pas demander de quitter ton mec, tout ce que j'ai c'est pour faire comprendre à ton cerveau de moineau ce que tu n'arrivais pas à comprendre. Respires et ne penses pas à des choses débiles c'est vraiment pas le moment... Je vais leur dire quoi à ton père ou à ta sœur? Ou encore à cet imbecile de Park hein? Allez respires !
Je ferme mes yeux en respirant doucement. Il fallait bien que je calme ce stresse, je lui avais fait assez du mal ainsi.
— Allez. Encore un peu. Restes comme ça.
Il relâche ma tête, la seconde d'après je l'entend alors ouvrir son sac, il me tend une bouteille d'eau fraîche, je le remercie avant d'hydrater mon corps qui commençait à manquer d'hydratation. Suite à quoi je lui rendis sa bouteille en m'essuyant les lèvres, j'avais la tête qui tournait un peu mais ça allait beaucoup mieux à présent.
— Faut pas me faire des frayeurs pareils. T'es tombé sur la tête ou quoi?
— Pardon.
— Ça m'énerve encore plus quand tu t'excuses alors que je suis le seul coupable.
— C'est moi qui n'a rien vu depuis le-
— Ça va je ne t'en veux pas d'être débile, je suis content au moins que ton petit monde ait secoué.
— Alors ne parle plus de ça comme si c'est une mauvaise chose. Tae, tu as connu ton premier amour et je suis très heureux pour toi mais si je suis incapable de te rendre tes sentiments.
— Je dois avouer que je m'attendais à un rejet cache si jamais je venais à te dire ce que je ressentais pour toi avant que ton chemin ait croisé celui de Tracassin.
— Vous vous donnez des noms maintenant ?
— Il n'avait qu'à pas naître court avec une bite large.
— Quoi? Tu-
— Je t'arrêtes tout de suite, tout les zinzins qu'il à sauté en parle comme si il s'agissait de celle de Hercule.
— Hm.
Je savais à quel point Jimin était populaire et que même certains garçons voulaient de lui. Au fond ça ne me plaisait pas qui soit autant entouré.
— À ce propos, vous avez l'intention de le dire à tout le monde? À ton père par exemple, y a pas de doute que Junnie le sais depuis bien avant toi puisqu'elle a toujours été la plus intelligente de vous deux.
— J'ai compris que j'étais débile maintenant n'en parles plus s'il te plaît ohlala, et oui je parlerais à mon père dès que Jimin aura décider de se montrer.
Il se se leva du muret contre lequel nous étions adossé avant de débrouisser son uniforme avant de faire partir la poussière, je dis de même avant de sortir mon téléphone de mon de la poche de mon pantalon, j'ai faillis tomber des nues en voyant l'heure.
— NOM D'UN CHIEN ON A LOUPÉ PRESQUE TOUTE LA MATINÉE !!!
— Si ton cerveau réfléchissait plus vite que ça, ça n'aurait pas arriver.
— Le vieux Jeon va me tuer.
— Paix à ton âme, je penserais à toi même après ta mort t'en fais pas.
— Taehyung ! C'est pas drôle du tour !
Il se mit à se moquer de moi, je me mis à ses trousses alors qu'il tentais de me fuir.
Il était tout pour moi, il était plus important comme ami. Le seul que je ne pourrais jamais remplacer et j'espérais qu'un jour il rentre quelqu'un qui saura lui donner l'amour que j'ai pas pu lui donner dans cette vie.
Nous avons dû attendre que midi sonne pour pouvoir entrer dans l'enceinte de l'établissement, Taehyung et moi étions essoufflés dû à notre course poursuite acharnée ou il ne cessait de se moquer de moi. J'ai pas pu me venger, depuis quand est-il devenu si rapide d'ailleurs ? Je ne le connaissais pas aussi sportif avant, notre petite séparation a dû lui servir de renforcer ses muscles pendant que moi je me laissais fendre par les disquettes d'un certain Park.
C'était la pause déjeuner, je cherchais tant bien que mal de trouver la tignasse de Jimin parmis la masse d'élèves qui sortaient de l'établissement en vain, c'est comme si il avait soudainement disparu, ça me faisait peur de penser toujours au pire à cause de lui.
— Je suis sûr qu'il va bien te fais pas trop de soucis. fis Taehyung en croisant les bras alors qu'on se dirigeait vers la cantine.
Je baissais la tête ayant peur d'avoir une fois de plus commis une bêtise.
— Je suis désolé. m'excusai-je en baissant la tête.
— Écoutes, J'accepte de ne pas plus te lâcher à condition que t'arrêtes de me prendre en pitié à chaque fois que ça le concerne.
— D'accord, promis !
— T'es devenu vachement soumis Jungkook c'est flippant.
— Oh ta gueule l'alien de mes deux. grommellai-je d'un ton qui se voulait menaçant.
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