ARE HIDDEN

Je refermais doucement la porte de ma chambre derrière moi afin de ne pas réveiller ma sœur Jumelle qui setait endormis dans mon lit.

Je mis ensuite ma casquette sur ma tête, saisi mon sac noir et quittais la maison pour rejoindre mon lycée où tout le monde devait attendre.

En descendant du bus, un bon gros vent frais vint fouetter mon visage, je soufflais rejetant la buée qui setait formée dans ma bouche. Je marchais silencieusement vers le lycée et en arrivant je vis qu'il y avait pas mal de gens qui étaient déjà là Yo Han y compris, en m'apercevant, il sourit et vint à ma rencontre. C'était étrange puis que nous étions pas dans la même classe.

- Qu'est-ce que tu fais là? lui demandai-je.

- Vu que celui qui était censé être le second bras droit du professeur dans cette sortit est tombé malade, il m'a désigné pour vous suivre parce qu'on l'a aussi comme professeur d'histoire. rétorqua-t-il.

Je lui répondis par un hochement de tête.

- Mais dis, t'en fais une de ces têtes. Que s'est-il passé ? me demanda-t-il.

Mais j'étais bien préoccupé à chercher la tignasse de l'objet de mes troubles, il était n'était pas là. Cela ne m'étonnait pas puisqu'il était toujours en retard.

- T'inquiètes pas il va bientôt arriver.

- Hein?

- C'est Jimin que tu cherche non?

Mes joues se sont instantanément empourprées de gêne.

- Il t'a fallu vingt second pour me répondre, j'en déduis donc que c'est un oui.

- Oh mais tais-toi un peu.

Il rigola et au même moment, une voiture remarquable s'arrêta devant nous, Jimin en sortit; il portait une veste épaisse verte sombre, un jean bleu de nuit, une casquette noir ainsi que des bottes noires. Mon cœur devenait incontrôlable.

- Le voilà ton prince, tu t'es inquiété pour rien. me chuchota Yo Han a l'oreille.

Je ne répondis pas à sa moquerie bien trop épris de l'homme que j'étais tombé amoureux. Il se tourna vers, lorsque son regard rencontra le mien, il sourit. Je regardais autours de moi à la recherche d'un endroit impénétrable où me cacher pour le restant de ma vie.

Ses amis le suivèrent, sortant eux aussi de la même bagnole, ils avaient l'air des princes je vous jure c'était incroyable d'être riche et influant comme eux. Nombreux personnes gloussaient à mes côtés. Je ne quittais pas Jimin des yeux et lui non plus alors qu'ils avançaient vers nous, j'avais envie de faire des pas en arrière et de rentrer chez-moi en courant. Je n'allais pas survivre durant ce voyage je le sentais.

- T'as de la chance qu'il soit 5 heures du mat sinon je ne te dis pas le nombre de mouches qui auraient pénétrées dans ta bouche. rit Yo Han, amusé.

Je restais statufié sur place sans rien dis.

Une fois à notre niveau, Jimin passa à côté de moi, sa main effleura le mien et étrangement je sentis quelque chose de mou et chaud se poser dans mon cou. Il m'avait en plus de cela embrasser ce con. Heureusement que personne ne pouvait le voir dans cette nuit infranchissable.

- Pour une fois que vous êtes à l'heure Mr. Park. fit le professeur.

Je me tournais lentement vers eux gardant la tête baissée bie trop intimidé par son aura qui écrasait littéralement ma personne.

- Je peux toujours retourner chez-moi vous savez. rétorqua Jimin.

- Rien ne vous en empêche, c'est pas un zéro sur vingt qui serait le cadet de vos soucis.

- Exactement. Mais quelque chose d'autre m'empêche de retourner chez-moi.

Je sentais son regard sur moi. Il n'était définitivement pas discret Seigneur. Dîtes-moi d'arrêter ça.

- J'ai trop hâte ! Mes amis qui vivent à JeJu disent souvent que cette île est incroyablement magnifique ! s'écria une jeune fille, elle était blande et petite de taille.

- Ouais ouais. Tâchez juste de ne pas vous perdre les enfants.

Je relevais ma tête sans pour autant le regarder, mais je sentais que lui, il le faisait et pas de manière la plus discrète qui soit. Une jeune dont le nom m'échappait, mais qui je voyais souvent coller à Jimin alla vers ce dernier entourant son coude de ses bras. Je voulais soupirer.

- Nous ne sommes pas des enfants. grommella Namjoon.

- À vous de me prouvez que vous êtes responsables de chacun, et je ne vous appellerais plus comme ça. En attendant vous êtes des enfants à mes yeux. dit le professeur.

- C'est barbant. brailla l'élève.

- Ainsi va la vie. ( Il s'arma d'une feuille.) Je vais faire l'appel, tâchez de répondre présent lorsque votre nom sera appelé !

Lorsqu'il disait qu'il nous prenait réellement pour des enfants il ne plaisantait effectivement pas.

Mais moi c'était pas ça le cadet de mes soucis. Par tous les saints qui a mit cette fille dans notre classe déjà ? Parce que j'ai bien peur qu'elle ne termine pas le voyage avec nous.

- La jalousie est un vilain défaut.

Yo Han croisa les bras sur son buste.

- Elle est soudainement remplacée par la curiosité? Comme c'est prodigieux de ta part. rétorquai-je.

- Je trouve que les gens oublient souvent que la jalousie peut pousser aux esprits fous de faire des choses vraiment... Irréfutables. s'enquit-il.

- T'inquiètes pas... Ils ne vont pas la retrouver si elle disparaît soudainement.

- Tu m'obliges à avoir peur pour toi là.

- Je ne leur dirais pas que tu avais connaissance de mon plan magistral sir je me fais arrêter par la police, sur ce coup-là tu peux être tranquille.

Il pouffa en secouant sa tête de gauche à droite.

- Jeon Jungkook ! m'appela le professeur.

- Oui présent ! répondis-je.

- Kim Taehyung !

J'eus un frisson en entendant son nom.

- C'est pas vrai me dîtes pas qu'il n'est pas là? grommella le professeur.

Aucun de nous ne su lui répondre car nous ne savions point la raison pour laquelle il était absent ce qui n'était pas de son genre, car à nos jours heureux il était souvent celui qui venait me sortir de mon lit lorsque le début des cours approchaient lentement mais sûrement et le savoir en retard en un jour aussi important m'inquiétait quelque peu, bien que je ne figurais déjà plus sur sa liste d'amis, lui au fond avait toujours cette place dans mon cœur.

- Kim Taehyung bon sang où êtes-vous donc? réitère le professeur, au bord de l'irritation.

- Juste derrière vous Monsieur, fit le concerné, apparaissant soudainementderrière le professeur qui sursauta d'un pas en-avant... Je ne suis pas mort pourquoi faire autant de bruit?

Il était encore une fois accompagné de ses étranges nouveaux amis, en me voyant, son sourire rectangulaire disparu, il revêtit son masque d'impassibilité.

- Vous vous connaissez ? chuchota Yo Han.

- Ça remonte d'il y a longtemps apparemment. fis-je.

- Il n'a vraiment pas l'air de te porter dans son cœur.

- Je le sais.

- Bien pour la peine Kim Taehyung vous allez vous placez aux côtés de Jeon Jungkook.

- Par la foudre de Zeus que non !

- Je ne vous demande pas votre avis vous savez? dit le prof. Je donne des ordres ici et vous les exécutez simplement sans rechigner.

- Je ne veux pas m'assoir à côté de ce boulet. couina mon ancien meilleur ami.

- C'est que tu appelles de boulet?

Je décroisais mes bras déposant mon sac au sol. Je commençais par être irriter par ses provocations, si au début je voulais ne jamais lui adresser la parole comme il le souhaitait, il prenait trop mon silence pour de la faiblesse et devait penser que au nom de notre ancienne amitié il avait le droit de me faire subir ses coups bas, mais c'était mal connaître le vrai Jeon Jungkook.

- Je ne connais personne d'autre qui s'appelle Jeon Jungkook ici. En plus d'être une tarlouse t'es devenu sourd.

- Oh toi je vais te refaire le portrait tu vas voir.

Je m'approchais dangereusement de lui, il ne scilla point. Ses amis rigolaient en lancer des piques s'attendant sûrement à une bagarre entre.

Je sentis quelqu'un m'attraper par le bras, mais je me dégageais de l'emprise de cette personne et m'approchai dangereusement de mon ancien ami. J'avais le cœur qui battait vite, mon corps pesant plus que la normal et mes yeux injectaient sûrement déjà du sang.

Si tout le monde dans ce bahu pensait réellement que mon silence signifiait que tous pouvait me marcher dessus, il valait mieux qu'il découvre que je n'étais pas le Jeon Jungkook qu'ils croyaient que j'étais et qu'il valait mieux pour tous même pour Taehyung de ne pas tenter de pousser le bouchon trop loi car il y avait une limite à tout et lorsque ça allait trop loin ce devenait intolérable pour moi de me laisser me faire insulter ou humilier sans brancher.

- Je veux que tu répètes un peu ce que tu viens de dire Kim Taehyung.

Ma voix avaient baisser de quelques octaves devenant plus grave que la normal. Je le vis faire un pas en arrière, les yeux écarquillés sûrement surpris de me voir dans cet état car jamais je n'avais montré ce visage à qui que ce soit. Je pouvais aussi aller loin, plus loin qu'ils ne le pensent.

- Je veux t'entendre le répéter avec tes couilles sur tes mains bordel de merde.

- Reculez Monsieur Jeon, ce n'est pas un ring pour la bagarre ici et je vous rappelle que vous n'êtes pas chez vous. Un pas de plus et je vous renvoie de mon cours pour le reste de l'année. s'interposa le prof.

Lui aussi il se foutait incroyablement de ma gueule.
Je le regardais dans les yeux tentant de déceler une once d'humour dans son regard, mais je ne perçu que son sérieux.

- Oh bien vous les profs aviez toujours cette habitude de punir les mauvaises personnes c'est commun ça.

Je pivotais ma tête vers Taehyung et rien que de voir son visage augmenta ma colère.

- Ce n'est pas ça qui va m'empêcher de lui foutre mon poings dans la gueule !

Je levais le poing et au moment où j'allais mélanger vers Taehyung, quelque d'autres se reçu le coup dans la face et je regrettais aussitôt mon acte lorsque je vis le visage de Jimin partir sur le côté.

Je dis des pas en arrière, les yeux sur le point de quitter mes orbites tant le choque était grand. Il s'était interposé comme un con et maintenant une belle trace violacée s'était dessinée sur le coin de sa bouche, il y avait même du sang. J'étais plus choqué que les autres.

Qu'est-ce que tu viens de faire Jungkook ?

Il releva la tête, alors que je le pensais en colère prêt à créer une éruption volcanique, à la place il avait un énorme sourire collé aux lèvres.

- C'est bon? t'es calmé ?

Je ne su que répondre, la blonde qui la suivait partout poussa un cris bien trop aigüe pour le bien de mon audition et alla le voir pour s'assurer qu'il allait.

Ma colère était tombée pour laisser place à la culpabilité. Je ne supportais pas de voir cette tâche violette causée par moi. Ça compressait mon cœur dans ma cage thoracique.

J'entendis le prof soupirer.

- Je laisse passer pour cette fois-ci et j'espère que ça serait la dernière fois ou je serais obliger de vous renvoyez de mon cour pour la peine vous serez assis aux côtés de Monsieur Park et allez profiter pour vous faire pardonner de vos actes imprudents.

N'est-ce pas ce que je voulais?

Alors pourquoi j'étais sur le point de pleurer?

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top