Le Renard et le Roi Dragon pt.1

Les fleurs de pêche fleurissante tombaient avec abondance dans la cours se mélangeant gracieusement avec l'herbe, les feuilles mortes des arbres qui ont étés balayés par les vents jusque-là.

L'endroit était parfumée par la forte odeur des fleurs printanières.

Le crépuscule recouvrait le ciel tel un rideau avant de ne devenir quun trou noir éclairé que par l'éclat perçante de la lune. Au fond du centre de la cours se dressait un gigantesque temple ancestrale relié par un chemin pavé, il y avait deux statues de lions à cornes ainsi que deux piliers à quelques pas devant la bâtisse sur laquelle était accrochée deux cloches résonnant au souffle de vent.

L'endroit était érigé sur la pointe d'une montagne dissimulé à travers les nuages et la brume, si on se tenait droit au bord de la clôture qui entourait l'article, on serait capable d'observer la perte vue donnant sur une grande ville animé par des vois, ainsi va différents lumières. Des feux d'artifices étaient lacées dans le ciel par dizaines loin de cet ambiance festive, le temple lui était sombre sans aucune luminosité, il y faisait aussi froid.

Soudain, un morceau de nuage fût coupé en deux par l'apparition d'une ombre, elle tombait sans se débattre, sans l'envie d'échapper à un destin aussi funeste. L'odeur de la mort ne l'effrayait pas ce fût pour cette raison qu'elle la défiait aux gardes à vous.

L'ombre, semblant très fortement à une silhouette humain s'échoua dans le paquet de fleurs dans un bruit sourd. Une poignet d'oiseaux se sont éclipsés des lieux dès son atterrissage catastrophique.

Puis l'ombre poussa un couinement aigüe en recrachent les pétales de fleurs. La personne s'est difficilement assise à même le sol en croisant les jambes tentant de retirer avec précipitation la saleté qui encombrait ses beaux vêtements blanc. La personne s'est levé sur ses deux jambes, une jarre de vin en métal était accrochée à sa taille avec des motifs étranges dessiné dessus, son visage était si pâle que la blancheur de la lune ne le vaincu point, il avait un visage légèrement ovale, des lèvres charnues garnies d'un rose plutôt pâle et au centre de son front, entre ses sourcils, scintillait une marque dorée en forme de fourche. Sa beauté était soulignée par l'apparition d'un grain de beauté en coin de sa bouche, c'était un jeune homme avec une silhouette généreuse. Il tourna sur lui-même durant un court instant le regard perdu puis d'un geste de la main levé précipitamment le ciel, de la lumière surgit, les lampes du temple ont étés allumés puis un énorme bourrasque est apparu en plein centre du lieu. Lorsqu'il se dissipa, une autre personne apparu, c'était aussi un homme, il portait une robe de différent couleur qui traînait gracieusement derrière lui dans les fleurs de pêche, il semblait plus mûr que le premier venu, il avait des grands yeux verts et perçants. Le premier homme a décroché sa jarre de sa taille et a ingurgité les premières gouttes de son vin.

J'ai fait un rêve bien étrange, commença le garçon.

— Qu'était-ce donc ? demanda l'adulte, il s'amusa avec un pigeon blanc avant que ce dernier ne daigne s'envoler au loin.

— Croyez-vous en l'amour Maître ?

Le plus âgé a baissé la tête du côté du plus jeune qui était partit s'asseoir sur les pierres de la clôture. La lune semblait l'engloutir alors qu'il se tenait assis face à elle.

L'amour ? fit l'aîné après un laps de temps de silence, Cela vient des fables pour duper les âmes les plus faibles. Ne laissez pas de semblant mots doux vous faire oublier votre qui vous êtes.

— Qui a écris ces fables ? Nous ! Les hommes ! Des deux mondes tous sont coupables et aucune dettes n'est encore payé !

— Votre majesté-

— Je ne me souviens pas de qui je suis ni d'où je viens ! Je ne suis qu'un Renanrd errants son but précis. Et ce rêve, c'est comme un rappel. J'ai dû oublier quelque chose d'important d'où le fait que les mêmes événements se reproduisent dans ma tête lorsque j'ai les yeux fermés, se sont les mêmes mots, les mêmes promesses, je ne connais que trop bien cette sensation d'égarement, de colère ! Ça se répète! Suis-je entrain de véritablement fou !?

— Vous ne devriez pas vous soucier d'un tel remue-ménage votre majesté.

Mais le plus jeune n'était pas convaincu que ce n'était que de pensées perverses façonnées par son esprit. Il avait cultivé durant toute une vie entière pour éviter que ce genre de désirs ne sommeille au plus profond de lui. Ces pensées ressemblaient plus à un souvenir et il n'avait pas idée d'où cela pouvait bien provenir ayant vécu toute sa vie à réclusion afin de cultiver son Qi, il n'a le souvenir d'avoir quitté la montagne sacrée jusqu'à ce jour. Ces pensées étaient incrustées dans sa mémoire comme la peinture une fois séché sur du papier. Nul doute était de se dire que cet homme qui était aussi son maître lui cachait bien des choses mais ne lui en tiendrait sûrement aucun mots, alors il souffrait le martyr secouer dans une tempête d'émotions émergeant en lui.

Peu importe la promesse que je vous ai faite juré, ne le pensez pas, déclara le disciple. Mais en voyant le regard impassible de son maître, le disciple se tourna vers la lune, Oubliez donc. prenant une autre gorgée de son vin. La substance transparente coula sur la peau de son cou.

— Le destin a choisit que les choses se déroulent ainsi.

— Et bien moi j'y suis contre, fit le disciple sur un ton énervé, la mâchoire crispé, Il me nargue dans mon ignorance, des questions sans réponses surgissent de nul part comme si j'avais existé dans un autre univers. Maître, dans ma folie la plus pur jamais je ne serais capable de faire une chose que de dérober le corps d'une autre personne.

— Mo XuanYu, le maître s'est déplacé de quelques pas dans la cours admirant à son tours la lune avant de poser son regard sur la silhouette de son disciple, Je te connais mieux que personnes dans ce Domaine, même dans le plus grand des désespoirs. Il est temps de laisser le Yin et le Yang garder l'équilibre qu'ils doivent maintenir depuis longtemps.

Alors que Mo XuanYu allait répliqué, ils entendirent des cris d'effroi provenir aux pieds de la colline au loin, ce qui ressemblaient à des lumières de lanternes à viré à un véritable incendie, ravant tout sur son passage, les gens courraient courraient partout en criant à l'aide ou encore tentant de fuir un tel avènement.

Mo XuanYu voyait tout grâce à la marque sur son front qui fonctionnait aussi comme un instrument d'optique à miroir dont la capacité était d'observer tout événements se déroulant hors de sa portée, son corps trembla en voyant les terribles dégâts causés par le feu.

Qu'est-ce que c'est ? demanda-t-il sous le choque.

— À mon avis un phénix incontrôlable s'est déchaîné sur la ville, répondit le maître pas surpris du tout.

— Quoi? Il faut il y aller!

Le maître n'eut guère le temps de l'arrêter dans son action que le disciple avait déjà disparu de sa portée dans une fumée violette.

Oh et puis ce n'est pas comme si il allait m'écouter si je lui disais de rester sagement méditer aux pieds de Bouddha !

Le destin était quelque chose que nombreux ne saurait discerner. Jamais elle ne fonctionnait au sens que nombreux voudrait. Ce qui faisait le bonheur de certains, faisaient le malheur des autres. Et lorsqu'on le confrontait, c'était comme ajouter de l'huile sur le feu. Même les dieux y était contraint avec l'interdiction d'interférer dans tout ce qui se passait au Domaine des humains. Mais Mo XuanYu défiait le destin, quitte à perdre ses années de Cultivation et de devenir un simple mortel comme parmis tant d'autres.

Il apparut en plein cœur du désastre. Le cœur serré il voyait des gens mourir esclave des flammes, les yeux larmoyants, le cœur serré, les Dieux silencieux.

Il leva les yeux au ciel, défiant le Paradis. Il agit en conséquence, utilisait ses pouvoirs afin d'éteindre le feu. Il vola dans le ciel, une fois qu'il eût la vue de tout le royaume sous ses yeux, il procéda à faire des signes avec ses mains, au bout d'un moment, un gigantesque talisman de lumière doré apparu sous ses yeux, il sourit fièrement de lui mais son cœur a été attaqué par une sensation de douleur qui le fit cambrer et tousser du sang. Il peinait à garder le sort intacte alors dans un élan de désespoir, il laissa le sort tomber. La boule a ensuite éclaté en une forme lumière aveuglant tout le monde puis le feu a été doucement absorbé par la boule lumineuse qui éclata ensuite après que l'incendie est disparu laissant derrière elle une pluie de millier de pétales de pêchers recouvrir le sol. Les quelques survivants ont observés la scène ébahis avant que les traits de leur visages déformés par la crainte et la tristesse se teintèrent d'une tendresse agréable, leurs blessures disparaissaient au contacte de la plante.

Le maître assistait à la scène depuis le temple sur le pique de la montagne. Il était sidéré mais aussi inquiet pour ce disciple désobéissant qui ne respectait jamais les règles instaurer par le destin. Il tapa la pomme de sa main sur la pierre de la clôture visiblement à bout de ses émotions.

Aiya ! Que vais-je donc faire de ce disciple désobéissant ? Ayez pitié de nous les Dieux ! Accordez-nous la miséricorde !

De la foudre surgit dans le ciel à ces mots puis une lumière à sa suite, quelque chose tomba des nuages. Ce drôle d'événements inattendus interloqua le Maître.

Qu'est-ce que c'est ça encore ?

De son côté, Mo XuanYu ne pouvait plus l'éviter dans le ciel, alors il a amorti sa chute sur le sol. Heureusement pour lui aucun mortels ne pouvaient le voir à l'heure actuelle s'étant jeté le sort de l'invisibilité avec succès. À peine tentait-il de récupérer ses forces dépensées lors de son acte qu'une silhouette apparu subitement, lui faisant dos. Elle était grande, dans de vêtements immaculés avec des motifs d'une dragon survolant les nuages sur les épaules ainsi qu'aux ourlets des manches volantes de la robe blanche. Mo XuanYu fronça les sourcils ne comprenant guère ce qu'il se passait. Les longs cheveux noirs attaches dans un ruban blanc voltigeaient dans le vent. Mo XuanYu fût surpris de constater l'aura écrasante presque surpuissante venir de l'homme. Puis une voix grave transcendit l'air:

— Tu m'as l'air jeune et de ne savoir ce que tu fais. Ta vie sera épargnée fais-en bon usage désormais.

La personne s'est ensuite transformée en un énorme dragon à quatre patte, son ventre était d'un bleu ciel agréable tandis que la fourrure de son dos qui allait jusqu'à son crâne était argentée, ses yeux étaient aussi clairs quun diamant exposé au soleil, il avait aussi une longue moustache argenté. À ce moment-là Mo XuanYu crû avoir rêvé, sa curiosité pris le dessus. Il trouva cela malpoli de la part de la créature de s'envoler dans le ciel sans le regarder alors il procéda à le poursuivre sans savoir où ce périple allait le mener mais il a persévéré alors que le vent fouettait son visage comme des gifles balançant ses cheveux contre son crâne. Cependant, il a été aveuglé par une forte lumière blanche ce qui le poussa à cacher son visage dans ses bras. Il est resté dans les nuages entrain de léviter mais lorsqu'il a constaté qu'aucune menace ne venait à sa rencontre pour le punir d'un tel affront, il a ôté ses bras et s'est surpris face au décors se présentant à ses yeux. Il se tenait devant un gigantesque portail en grille doré, de l'autre côté il pouvait apercevoir un chemin de marches s'étendant à des kilomètres inimaginables malgré la présence d'un autre portail de plusieurs piliers de pierres immaculées qui se situait juste derrière le premier accès au lieu. De nombreux temples représentant des dieux —dont il ne connaissaient que trop bien— étaient dissimulés dans les nuages s'étendant là en une queue distincte. 

Wow. Ne me dîtes pas que j'ai atterri dans le fameux paradis dont tout le monde parle ? s'exclama-t-il se croyant en plein rêve.

C'est alors qu'il aperçu la silhouette de l'homme de tout à l'heure revenir celui d'un humain ordinaire, mais la seule dif étant que sur sa tête trônait désormais deux cornes dont les bouts légèrement bleutés, ainsi qu'une épée dans la main, le fourneau dégageait cependant une froideur glaciale capable de faire frissonner quiconque d'effroi, son fourneau était d'un gris presque argent et lançait des reflets, l'arme avait tout ce qui est de sinistre bien que provenant du domaine des dieux, sans nul doute.

Un groupe de personnes apparu aux côtés de l'homme, ils portaient des armures de guerres.

Votre majesté. Soyez le bienvenu, le saluèrent-ils a l'unisson en courbant léger leur échine.

Un autre homme est ensuite apparu parmis eux en un clignement d'yeux. Grand et élancé, bien que de dos, Mo XuanYu lui trouva une forte ressemblance avec celui qui lui faisait face dont la différence était que l'autre possédait des traits plus doux et apaisant en plus d'un sourire radieux qui mettait quiconque à l'aise. Les deux ressemblaient à deux miroir de jades.

WangJi, que s'est-il donc passé dans le Domaine des humains, demanda-t-il.

Un incendie a été éteint par un cultivateur défiant la volonté des dieux, répondit l'homme dragon.

As-tu réussi a trouvé ce dénommé cultivateur ?

Ledit WangJi demeura cependant silencieux en dépit d'avoir connaissance de la réponse, mais il était incapable de mentir ni de révéler la vérité puis que lui-même avait défié les lois du paradis, sur le coup, son cœur avait agit seul, pour une première fois depuis une déferlante d'années incomparable. Il se contenta de baisser honteusement la tête à cette pensée. De son côté, l'aîné le sourit bien que surpris de le voir dans un tel état malgré la gravité de son acte, mais dans un coin de sa tête il se dit qu'il avait sûrement une raison. Mais l'Empereur de Jade ne serait sûrement pas ravis d'entendre cette nouvelle.

Que nous as-tu ramené de l'autre monde ?

— Rien de particulier.

— Est-il vrai ? fit l'aîné sur un ton légèrement moqueur avant de regarder derrière son cadet, ses yeux se braquèrent sur Mo XuanYu qui se figea sur place électrocuté par le choque, Dans ce cas, qu'est-ce qui se cache donc derrière toi ?

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