Chapitre 7~ SEUL

Je mouve légèrement un de mes doigts, j'ouvre ensuite doucement mes yeux mais je les referme à cause de la lumière qui m'agresse sévèrement les yeux, quelques secondes après je les réouvre me rendant compte dans l'endroit où je me trouve.

"Pourquoi?"

J'ai mal, j'ai très mal à la poitrine c'est comme si on m'avait enlevé mon coeur et cette odeur " répugnante" qui chatouille mes narines, sérieusement comment j'ai fais pour en arriver là?
Ah oui, la glace au coco.

Je me redresse un peu mais fût stopper par une main,un de nos profs sûrement.

— Répose encore tu en a vraiment besoin jeune homme.

J'ai un goût horrible dans la bouche, j'inspecte la salle des yeux, le nain n'est pas là, étrange,. Par ailleurs y avait juste deux personnes. Le docteur et l'infirmier qui vérifiaient mon état.

Après ma soudaine crise je ne me souviens de rien ni de comment je me suis retrouvé ici.

J'arrive pas à parler, merde !

— Nous avions appelé tes géniteurs,ils seront là dans pas très longtemps. Heureusement l'intervention s'est bien déroulé.

Pourquoi ça n'arrive qu'à moi?

Jimin. Où il est?






J'étais enfin arrivé devant ce grand bâtiment essoufflé, sans plus attendre je pénètre dans l'hôpital cherchant à l'oeil la réception"trouvé".

— Bonjour Monsieur, puis-je vous aidez?

— Oui je suis venu voir un ami qui a été admis ici il y a quelque heures...

Quel est son nom je vous pris?

— Ah euh... Jeon Ju-Jungkook.

D'accord, et le vôtre je vous pris?

Park Jimin je suis son ami.

"Ami"? Je suis presque sûr qu'à ses yeux je ne suis rien d'autre qu'un inconnue déjà que quand nous sommes ensemble il m'ignore royalement.
Si il savait que si j'ai redoublé c'était juste pour le retrouver et me réconcilier avec lui mais ça fait deux ans maintenant, ça ne sert à rien.

La Dame me donna ensuite le numéro de la salle, sans plus attendre je me dirigeai vers celle-ci, mais au moment ou j'allais entré quelque chose ou des gens m'en ont empêchés, qui sont-ils?





Après m'être calmé, c'est à ce moment-là que les personnes qui me servent de "parents" entraient dans la salle, mon coeur s'arrêta, je veux voir tout le monde mais pas eux,surtout pas, je ne peux même pas parler.

— T'es vraiment qu'un boulet toi je le savais qu'un jour tu ne nous apporterais que des problèmes !!

Ma gorge me brûlait affreusement, mais motive par la haine envers eux que je portais je puisai une grande force dans mes cordes vocal afin de reprendre à ma génitrice au cœur de pierre.

— Ok d'accord si c'était pour me dire ça fallait pas te déranger à venir, maintenant part.

— Tu sais très bien que t'es allergique au coco gamin, qu'est-ce qui t'as pris? Si tu voulais te suicider t'avais qu'à le faire en silence. Maintenant je vais devoir dépenser de l'argent pour ta sale gueule.

— Ce n'est vraiment pas le moment Monsieur étant ses parents vous devrez le soutenir et pas l'insulter !

Merci Monsieur le docteur, mais vous parlez à des personnes nes plus diaboliques que je connaisse.

— C'est entre notre fils et nous personne a sonnée votre cloche à ce que je sache..

Comme je le disais.

Elle lança un regard hyper noire au Docteur qui se tue sur place, mais quel con celui-là aussi.
Ma mère reprit:

— Si c'est pour ces choses fallait pas nous déranger,bj'ai dû annulé mon rendez-vous avec Mme la première Ministre pour venir voir un échec cuisson comme toi.

Alors là. Je ne sais pas quoi dire ni faire à par fondre en larmes, comment peut-on détester autant son propre fils parce qu'il est gay? comment peut-on lui dire ces choses en le regardant dans les yeux sans détourner les pupilles de ces yeux qu'il nous dégoûte? J'ai jamais rien demandé,je suis ce que je suis. J'ai comme l'impression que le monde est contre moi en ce moment.

— On aurait dû te laisser à l'orphelinat tant qu'on le pouvait, c'est une honte de te savoir dans les parages, tu es juste une erreur de la nature.

— Arrêtez monsieur,vous dîtes celà alors que c'est votre propre fils. Vous voyez pas dans quel état il est? ce n'est pas le moment de lui sortir ce genre de paroles.

Encore ces paroles. Faîtes que ça s'arrête, je veux disparaître. J'ai une affreuse douleur dans la poitrine.Pas mes parents,pas eux. Comme si me faire persécuté par mes camarades de classe au collège me suffisais pas, je ne suis pas un robot car même ce genre de machine a des sentiments juste une grande différence physique, elle ressent aussi les mêmes chose que moi, non?
Il n'y a pas meilleur monde. Il n'existe pas de meilleur monde einfin de compte, l'enfer est partout, c'est comme un cauchemar qu'on fait sans cesse, toutes les nuits-même si tu en as peur tout les jours-même si tu souris. Je suis un con d'avoir essayer d'y croire, un vrai con.
Même si tout le monde l'apprend un jour ils partiront tous. Aucun d'entre eux n'acceptera jamais mon orientation sexuelle.

Je me levais me levais tremblant de la tête aux pieds, tout ce que je voulais c'est de sortir d'ici, je ne peux  rester une minute de plus ici.
Je voyais flou à cause de mes larmes, je tenais à peine sur mes deux jambes quand je partais en direction de la porte que j'ouvre enfin pour croisé le regard son regard, Jimin, même avec ces larmes je peux très clairement voir son magnifique visage indescriptible.

Hyung non.

Il a tout entendu, il va partir lui aussi. Qu'est-ce que je raconte? venant de lui ça m'étonne pas qu'il partira sans plus attendre, comme la dernière fois, je n'espère rien, je préfère partir avant lui, pour ne pas regretter, passer mes nuits en sanglots, penser à lui chaque secondes. Jungkook il ne t'a jamais considéré ni hier ni aujourd'hui ni jamais sort toi cette pensée en tête.
J'ai sprinté comme si je ne venais pas d'être opéré, ma vie en dépend, ils couraient après moi mais je les devance.

Je me mis à courir comme je le peux, pour cette force retissante qui me reste dans les muscles. Je veux quitter cette endroit, je veux quitter ce monde. Personne ne m'accepterai comme je suis, personne.Tu es seul maintenant Jungkook, seul au monde. Je sentais mes forces m'abandonner, non, pas maintenant ce n'est pas le moment de me lâcher, encore un peu, j'y suis presque arrivé, c'est bientôt la frontière, la dernière. J'avançais à pas lente sur la route où roulait plusieurs voiture par minute. C'est là ma frontière, je ne serais une perte pour personne. Je ne sert à rien. Je ne suis rien. Même si je pris fortement que quelqu'un vienne m'arrêter il n'y aura personne,c omme toujours. J'ignorais les insultes des conducteurs et avançai encore, le "feu"passait maintenant au vert. Ça y est. Lorsque je levai le pied pour continuer je fus ramener en arrière par une main pour retrouver contre le torse de mon-ou peut-être- sauveur, son coeur battait,plus vite que le mien, je lève la tête vers lui sentant plus jambes et tout le reste

C'était lui.

— Idiot ! J'ai eu très peur...me...me fais plus jamais ça Jungkook putain !!!

Je saigne du nez, ah ! Le vêtement est tâche de sang à présent.
Il était inquiet? pourquoi?

Ensuite le trou noire.

       

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