8. La question de la muerte !

@Endou_Mamoru

                                                                    Ma tête quand je mange XD

Aimé par @Gouenji_Shuuya et 460 autres personnes.

@Lily_Siabk Waow trop beau o.0

@Kidou_Yuuto Pas mal :)

@Gouenji_Shuuya Bg frérot ;)

                                                                                     *****

PDV Lily.

— Vous êtes tous réunis, déclara l'asiatique. Nous allons voir un enregistrement d'un match de la sélection australienne, notre prochain adversaire.

Il éteignit la lumière et lança l'enregistrement. Mais à la place, une vidéo d'une femme en maillot de bain se lança.

— Ah, c'est un enregistrement du moment où j'étais au centre hawaïen avec Natasha, dit-il rouge de gêne.

— Ne vous trompez pas ! protesta Goujin.

Le coach rigola.

— En vérité je n'ai pas réussi à avoir un enregistrement de la sélection australienne. C'est pourquoi vous êtes libres pour l'après-midi ! Sauf Haizaki et Lily, rendez vous au terrain, j'arrive.

Il veut vraiment que joue avec eux ?

Kira me retint par le bras.

— Pas de baisers égarés, chuchota-t-il sournoisement à mon oreille.

Il partit avant que je n'ai pu dire un mot. Il nous a vu nous embrasser ? OMG. Une fois sur le terrain, nous attendions le coach.

— Oï, tu sais pourquoi on est là ? demanda Ryohei, tandis qu'il jonglait d'un pied.

— J'en ai bien peur, soupirai-je.

— Je t'ai fait venir Haizaki car je voudrais que tu aides Lily à reprendre le football.

— Mais ça ne va pas faire bizarre qu'une représentante du FFI joue avec une équipe ? insistai-je. On pourrait vous accuser de tricherie.

— L'avis des autres équipes importent peu, ce qui importe c'est Orion.

— Très bien, mais je vous aurais prévenue.

— Aujourd'hui nous allons travailler sur les passes, annonça l'asiatique. Je veux que tu envoies une passe précise et direct à Haizaki qui se placera à différents endroits du terrain.

J'allai prendre une balle et me plaçai sur le plot rouge qu'il avait installé au centre du terrain. Ryohei était à ma gauche et je lui envoyai le ballon sans difficulté.

Puis après, il corsait un peu les choses en l'éloignant de plus en plus, je devais mettre beaucoup plus de force dans mes frappes pour lui envoyer correctement la balle.

— C'est bien, maintenant on va passer sur un autre exercice, je veux que tu traverses tout le terrain, tandis que Haizaki va essayer de te prendre la balle.

Je m'exécutai et m'avançai en courant avec le ballon, Ryohei se mit face à moi, j'envoyai la balle au dessus de lui et courus la récupérer derrière lui.

Maintenant ça va se jouer à la vitesse, soudain, au lieu de taper dans le ballon, mon pied se posa dessus et je glissais.

Ryohei en profita pour se moquer allègrement de moi.

— C'est déjà un bon début, ce sera tout pour aujourd'hui, conclut le coach. Vous pouvez aller rejoindre les autres.

Je quittai le terrain, le gris sur mes talons. Nous arrivâmes dans le salon, où tout le monde était réunis.

— Qu'est-ce qu'on fait ? demandai-je en m'affalant sur Kira.

— Je sais pas, me répond ce dernier. Demain on affronte l'Australie, autant se reposer un peu.

— Et si on faisait un cache-cache dans tout le bâtiment ? proposai-je.

— Tu sais que t'as toujours des bonnes idées, me complimenta Endou, excité comme un enfant.

— C'est pas moi qui compte ! hurlai-je.

Le dernier à le dire fut Shirou.

— Tu comptes jusqu'à 50, comme ça on a le temps de trouver une bonne cachette.

Il posa sa tête sur le mur et nous partions en courant. Où est-ce que je pourrais me cacher ? Je me dirigeai vers les cuisine et me cachai dans le garde-manger.

J'entendis des bruits de pas et la porte s'ouvrit. Il m'a déjà trouvé ? Des cheveux gris entrèrent dans mon champ de vision.

— Haizaki ? Qu'est-ce que tu fais là ? demandai-je tout bas.

— Bah je me cache, ironisa-t-il.

Je levai les yeux au ciel.

— Sans blague j'aurais pas deviné toute seule. Nan je veux dire, t'as pas une meilleure cachette ?

— Nan, répliqua-t-il sèchement.

Un silence s'installa.

— Pourquoi tu m'as embrassé ? demanda-t-il soudainement.

— Parce que j'en avais envie, répondis-je en haussant les épaules.

— Donc toi tu embrasses les gens quand t'en as envie ? gronda-t-il.

— Tu ne m'as pas repoussé à ce que je sache.

Sur le coup, mon coeur se serra devant son ton si froid.

Il resta muet.

— C'est bon, dis-je en roulant les yeux. C'est rien, t'as jamais embrassé quelqu'un ou quoi ? On dirait un puceau !

— Tu n'es pas pucelle, toi ? grogna-t-il mécontent.

— Qui sait, pouffai-je.

                                                                                         *****

— C'est le deuxième match des éliminatoires asiatiques, le Japon contre l'Australie !

La foule hurla sa joie, tapant des mains et des pieds.

Je m'asseyais sur le banc des remplaçants, à vrai dire, le coach avait dit qu'il allait me faire entrer en seconde partie, mais je priai pour qu'il oublie.

Endou fit un petit speech pour motiver notre équipe. Le coup d'envoi fut lancé, Haizaki passa la balle à Kidou, et ils montèrent. Asuto se fit prendre la balle, et les jaunes descendèrent vers les buts de Mamoru.

Shirou utilisa sa technique de glace, mais les australiens firent un simple geste de bras, et la glace disparut, sous les regards ébahis des japonais. Ils sont cons, ma parole ! C'est de l'hypnose, il ne faut pas être très intelligent pour le savoir.

Le capitaine jaune fit sa technique spéciale "Time Transe" et Endou n'arriva pas à arrêter le ballon.

— 1 à 0 pour l'Australie qui ouvre le score !

Les garçons repartirent en attaque, quand soudain, un voile de brume se déposa sur le terrain. Les australiens devinrent "invisibles" et Haizaki se fit prendre la balle. Et le Japon se reprit un autre but.

— Le Japon est totalement surpassé par le jeu des australiens ! commenta le commentateur tandis que les japonais se refont prendre la balle.

J'étais tranquillement assise sur Tatsuya quand une jeune fille se présenta face à nous. Ses cheveux bruns descendaient en ondulant sur son dos, ses grands yeux marrons pétillaient de malice, et sa peau était blanche comme de la porcelaine.

— Je m'appelle Raimon Natsumi, se présenta-t-elle. En tant que membre du comité de renforcement, j'ai enquêté sur les différentes équipes. Voici un souvenir, finit-elle en nous donnant un paquet blanc.

J'ouvrai la boite, et tombai sur des Dango.

— Trop bien, j'ai faim en plus ! souris-je en prenant une brochette.

— Du coup Natsumi, dis-le nous. Quelle est leur habilité ? demanda le rouge.

— Qui es-tu ?

— Je suis Kiyama Tatsuya.

— Coach, demandez à Kidou et aux autres de fermez les yeux ! demanda la brune.

— Donc j'ai raison, il utilise bien l'hypnose ! m'exclamai-je.

— Et toi qui es-tu ?

— Je suis Lily-Rose Shirabuki.

— Fermer leurs yeux ? s'étonna le coach.

— Mais ils ne pourront plus jouer si ils ne voient rien, s'étonna Anna.

— Ils pourront, si c'est eux.

— C'est Natsumi ! s'exclama aussitôt Endou, heureux de revoir sa bien-aimée.

— Kidou a enfin comprit, souris-je en voyant le leader du terrain parler à Haizaki.


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