27. Le date de la muerte !

                                                                  @Hiura_Kirina

Aimé par @Gouenji_Shuuya et 11 795 autres personnes.

@Lily_Siabk passe un peu de ta beauté nan ?

@Inamori_Asuto coéquipier !

@Nosaka_Yuuma on se demande où tu vas habiller comme ça ;)

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PDV Lily.

— Attends, j'ai déjà plus de souffle ! haleté-je en escaladant ce putain de rocher de merde.

— Allez Lily, on brûle la petite graisse du bidon ! rit Haizaki devant moi.

— Mes bourrelets ils t'emmerdent !

Vous vous souvenez quand j'ai proposé à Ryohei de sortir pour un rendez-vous. Il m'a demandé de le laisser faire, je pensais qu'on aller en ville, au ciné, à la patinoire...

Mais non, monsieur c'est dit que pour un rencard on irait faire une petite rando, je ne sais même pas où on va, "c'est une surprise".

— On peut faire une pause, supplié-je.

— On en a fait une il y a deux heures !

— J'en peux plus, protesté-je.

Je croise les bras sur ma poitrine et boude. Je n'ai plus de jambes et mon dos me fait souffrir à cause de ce sac qui pèse 2 tonnes.

— On est presque arrivé Lily, ne t'en fais pas ! sourit-il.

Je soupire, je n'arrive pas à résister à son sourire alors je le suis. Derrière un gros rocher, je découvre une magnifique cascade.

Le décore est tellement paradisiaque, et malgré la fraicheur de l'été russe, il fait quand même bon.

— Tu es contente ? s'enquiert-il.

— Bien sûr, souris-je. Je comprends mieux pourquoi tu m'as demandé de prendre mon maillot de bain, et moi qui pensais qu'on allait se baigner dans la neige !

— Il fait 19°, l'eau doit être un peu froide, mais je te réchaufferai, ajoute-t-il en me faisant un clin d'œil.

Putain de joues qui deviennent rouges, reprenez vous, bon sang !

— J'ai une solution pour réchauffer l'eau, souris-je.

— Je t'écoute.

— Il faut pisser dans l'eau.

Facepalm.

— Quoi ? C'est vrai ! T'as jamais fait ça ?

— Non, il ne me semble pas.

— Ou alors faut péter !

— T'as aucune manière !

— Roh, fais pas ta chochotte !

Je me mets en maillot et plonge dans l'eau. Elle est froide, mais une fois habitué elle parait tiède.

Haizaki se colle à moi et ses mains se posent sur mes hanches.

— Faut se calmer sur les petits fours, glousse-t-il.

— Je te permets pas ! grogné-je.

Il rit. J'aime entendre son rire. J'aime entendre sa voix.

— Pourquoi tu me fixes comme ça ?

— T'as l'air heureux, souris-je. Quand je t'ai connu, tu étais très renfermé sur toi et je suis contente que tu te sois ouvert à moi.

— C'est juste que j'ai un peu de mal avec les inconnus, après ça va, dit-il en se grattant la nuque. 

Je pose ma tête sur son épaule et profite du calme reposant. Je suis contente d'avoir enfin un moment à deux. Sans personne pour nous déranger.

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— Quoi ?! Mais t'es complètement malade !

— N'importe quoi, c'est toi qui est taré !

— Ça tourne pas rond dans ton petit cerveau !

— Dit celui qui a deux neurones qui se battent en duel !

— Les aubergines c'est trop bon !

— Mais t'es pas bien ! C'est dégueu, c'est tout visqueux et amère.

— T'as aucun goût ! proteste Haizaki.

— T'aime pas le chocolat ! m'insurgé-je. Ne parle pas !

— Mais si j'aime bien, j'aime juste pas le noir !

— T'es raciste ?

Ma tentative d'humour tombe à l'eau puisqu'il me regarde avec l'air de dire "elle est conne celle-là".

Nous prenons le bus et retournons dans le centre de Kazan. Une fois arrivé à l'hôtel, nous posons nos gros sacs et partons explorer la ville.

— Regarde ce nounours, il est mignon, souris-je en lui montrant. 

Nous passons dans diverses boutiques souvenirs, le reste de l'après-midi se passe calmement, nous déambulons tranquillement dans Kazan puis nous nous posons dans un café pour boire et manger.

— A part le foot, tu as d'autres passions ? demandé-je en entamant ma crêpe.

— J'aime bien écouter de la musique, ça me relaxe.

— Comme Kira ! 

Je l'entends grogner.

— Et toi ?

— J'aime beaucoup le patinage artistique, j'aime aussi les manges et les animés.

— Quel animé t'as marqué.

— Kuzu No Honkai, dis-je sans hésitation.

— Je crois que j'ai regardé le début, dit-il.

— J'ai tellement aimé, c'est pas pour les enfants mais ça a changé ma vision sur la sexualité. La fin est tellement triste !

— Me spoil pas, on le regardera ensemble si tu veux !

— Avec plaisir, mais je te préviens, je vais faire que commenter !

— Je t'embrasserais et tu te tairas !

Il m'énerve, j'en ai marre qu'il soit toujours aussi beau, même après deux heures de marche. Moi je dois ressembler à un palmier. 

Nous rentrons à l'hôtel alors que la nuit commence doucement à tomber. Nous nous allongeons sur mon lit et commençons à regarder un film quand Anna rentre dans la pièce.

— Oh pardon, je vous laisse, je vais chez Nosaka, bafouille-t-elle. 

Ryohei et moi pouffons de rire quand elle claque la porte.

— Elle est vite gênée, rigole-t-il.

— Elle ne devrait, après tout, elle sort avec Yuuma.

— Quoi ?!

— Tu ne le savais pas ?

— Non, mais maintenant je vais pouvoir embêter Nosaka !

— Ah oui, c'est vrai qu'il te fait chier parce qu'il connait quelque chose de compromettant sur toi, c'est quoi cette chose, d'ailleurs ?

— J'ai pas envie d'en parler, dit-il gêné.

— J'espère que vous êtes pas à poil parce que je rentre ! hurle Kira en ouvrant la porte.

— Putain, le relou est de retour, souffle Haizaki.

— Le relou t'entend, tête de vache !

— Qu'est-ce que tu voulais ? demandé-je.

— On va manger !

— Et tu pouvais pas nous le dire de l'autre côté de la porte ? grogne le gris.

— Nan, vous faire chier c'est ma passion, rit-il en sortant.

— Et dire que je me coltine ça tous les soires...

— On devrait aller manger, suggéré-je.

Je me lève mais il me rattrape par le poignet.

— Je dois te donner quelque chose, dit-il, les joues rosées.

Pincez moi, Ryohei est en train de rougir devant moi !! 

Il sort un petit paquet de sa poche et me le tend.

— J'ai pensé à toi en l'achetant et je me suis dit qu'il t'irait bien, marmonne-t-il mal à l'aise.

J'ouvre le cadeau et en sors un petit collier en argent avec un pendentif en forme de rond. Dessus est gravé un joli R majuscule.

— C'est magnifique, merci beaucoup, souris-je. Tu marques ton territoire !

— Non c'est au cas où je te perds, on saura à qui te ramener !

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coucou !

bon chap un peu humoristique ! j'ai fait une grande découverte, les faux ongles c'est très beau mais alors qu'est-ce que c'est galère pour écrire ! du coup je serais beaucoup plus lente puis après je rentre au lycée et faut que je révise !

nougat80

1230 mots.

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