@Kira_Hiroto

Aimé par @Kidou_Yuto et 12 375 autres personnes.

J'ai prise cette magnifique photo quand il est allé au parc d'attraction, scrennez avant qu'il ne l'a supprime !

signé : @Lily_Siabk

@Lily_Siabk Mais Hiroto, t'es grave frais wesh !

@Haizaki_Ryohei grave moche.

@Afuro_Terumi cette après midi est à refaire ;)

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PDV Lily.

Je ricane machiavéliquement quand je vois la tête de Kira se décomposer en voyant cette photo sur son fil d'actualité.

— Qui t'a permis de poster cette photo sur mon putain de compte ! hurle-t-il en me courant après.

— Personne ! ris-je. Je me suis permise toute seule !

— J'vais t'assassiner !

Je me réfugie derrière Endou.

— Mamoru, Kira veut me tuer, pleurniché-je. Défends moi !

— Elle a posté une photo de moi en train de canner dans le grand 8 ! proteste Kira.

— C'est vrai, Lily ?

— Oui.

— C'est trop bien ! rit Endou en me tapant dans les mains. On peut pas t'en vouloir !

— Quoi ?! Mais-

— Chut, Kira. Tu as perdu ce round ! 

Je tire la langue à Hiroto et me moque de lui en imitant sa tête.

— Tu perds rien pour attendre !

J'éclate de rire et nous sommes interrompus par Haizaki qui arrive vers nous en grognant.

— Je peux te parler Lily ?

Je croise les bras sur ma poitrine.

— On a pourtant parlé hier, tu t'en souviens pas ?

Il soupire. Encore. Je le saoule tant que ça ?

— Je veux te parler en privé, s'il te plait.

— Ne fais pas la gamine, Lily, chuchote Kira.

— D'accord t'as deux minutes.

— Je vais vous laisser, sourit le gris en partant.

— Je voulais m'excuser pour mon comportement d'hier, j'ai été irrespectueux envers toi, dit-il en me regardant droit dans les yeux.

Arrête de me regarder comme ça, j'ai envie de te sauter dessus et de te déshab-

— Je voulais aussi te dire que entre Akane et moi il n'y aura jamais rien. C'est juste une amie pour moi.

— Ok.

Je sais pas quoi dire d'autre. J'ai juste envie qu'il me dise qu'il veut être avec moi.

— C'est bon je peux y aller ? demandé-je sarcastiquement.

— Je te fais perdre ton temps ?

— Oui, tu sais très bien ce que je veux entendre. Je n'ai pas besoin de tes paroles en l'air, moi je veux des actes.

Il prend une grande inspiration.

— Estcequetuveuxsortiravecmoi ?

— J'ai pas compris, tu peux répéter ?

— T'as très bien compris Lily, râle-t-il.

Je m'approche de lui et il ouvre ses bras. Je m'y blottis en souriant. Je suis devenue accro à ce gars.

— Redis le moi, chuchoté-je.

— Tu veux bien être ma petite amie ? susurre-t-il.

— Avec plaisir !

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— Cours plus vite Lily ! hurle l'entraineur.

— J'y arrive pas ! protesté-je en haletant. Le seul sport que je fais c'est le sport du lit !

Nous sommes tous en train de faire 20 tours de terrains de foot, au début je me disais "ouais tranquille ça va" mais quand tu fais les tours c'est autre chose.

Après 15 minutes d'effort intense pour finir ces maudits tours, je m'écroule sur l'herbe. Je transpire comme un boeuf, j'ai les cheveux décoiffés, je suis rouge de sueur, j'ai tout pour pécho Haizaki.

D'ailleurs, c'est injuste parce que celui-ci ne transpire pas une seule goutte alors qu'il a les cheveux plus longs que moi ! Il reste charismatique en toutes circonstances, ça m'énerve.

— Apporte moi une bouteille d'eau, supplié-je.

Il me lance la sienne dans la face. Si j'avais la force, je lui aurais balancé sa bouteille dans le cul mais je suis trop fatiguée.

— Aide moi à boire !

— Et puis quoi encore, mamie ? raille-t-il.

Devant mon regard fatiguée, il pose la bouteille sur mes lèvres ouvertes et je penche la tête en arrière. L'eau me fait tellement de bien, je me sens tout de suite mieux.

— Merci bébé, souris-je.

Il s'empourpre et part en grommelant.

— Lily, tu vas travailler avec Nosaka, annonce l'entraineur? Comme vous avez le même poste.

— Aucun souci, frérot, souris-je en tchequant Yuuma.

— Ne t'inquiète pas, mon sang de génie coule dans tes veines !

Nous commençons les exercices et j'ai vraiment beaucoup de mal. J'ai toujours ce blocage en , je n'arrive pas à dépasser la ligne du milieu.

— Que se passe-t-il ? demande Kira en me voyant fixer la ligne blanche.

Je veux la dépasser, je dois la dépasser. Mais mon corps ne bouge pas, mon esprit est en train de se rappeler tous les souvenirs de Orion.

Je tremble.

— Elle fait une crise de panique, appelle l'entraineur ! hurle Ryohei.

Il pose ces deux mains sur mes épaules et me forcent à le regarder dans les yeux.

— Lily, calme toi, écoute ma voix, dit-il doucement. Tout va bien.

— J'y arrive pas, articulé-je entre deux sanglots.

— Calme toi, je suis là, ne t'en fais pas.

Je n'avais jamais vu Haizaki aussi doux et ça me réchauffe le cœur.

— Respire, respire, cale toi sur ma respiration, chuchote-t-il en me prenant dans ses bras.

— J'essaie.

Ma panique commence peu à peu à diminuer. Mais il suffit que je ferme les yeux pour me rappeler toutes les horreurs de Orion.

Mon rythme cardiaque s'accélère brutalement et chaque respiration est douloureuse.

— Je suis là. Calme toi.

— J'y arrive pas, hurlé-je.

Et sans que je m'y attende, il pose ses lèvres sur les miennes. C'en est trop pour mon petit cœur, je m'évanouis.

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— Mais t'es trop con ! pouffe Kira à côté de moi. A quel moment tu te dis que l'embrasser réussira à calmer son cœur !

— Je sais pas, je me suis dit que ça pouvait peut-être la calmer ! grogne le gris.

Je me réveille dans mon lit avec les deux abrutis à mes côtés en train de se chamailler.

— J'ai dormi pendant combien de temps ?

— Une demi-heure.

Mon ventre gargouille et les deux garçons éclatent de rire.

— C'est pas un estomac que tu as ! C'est un tracteur ! pouffe Ryohei.

— Hé te moque pas ! Moi je ressemble pas à Raiponce !

— Non tu ressembles à une guimauve dégueu !

— Pardon ? Va te laver, espèce de serpillère !

— Et toi alors ! Va te teindre les cheveux ailleurs !

Je me lève, prends mon coussin et le frappe avec.

— Ah tu veux jouer à ça ? Pas de souci ! sourit-il narquoisement.

Il réussit à retourner mon arme contre moi et me tombe dessus.

Mon regard se perd dans le sien, nos souffles se mélangent et nos bouches se rapprochent de plus en plus.

— Tu vas pas tomber dans les pommes, chuchote-t-il avec son rictus dont seul lui à la secret.

— Ce serait dommage si je m'évanouissais, je ne pourrais pas profiter du bisou, susurré-je.

— Alors calme ton petit cœur, rit-il.

— Je ne contrôle pas mon cœur, mais si tu veux qu'il arrête d'en faire qu'à sa tête, arrête d'être beau.

— Désolé, ça non plus ça se contrôle pas...

— Tu comptes me faire languir pendant combien de temps, chuchoté-je. 

Il sourit et pose ses lèvres sur les miennes.