22. Les sentiments de la muerte !

@Kidou_Yuuto

Aimé par @Asuto_Inamori et 1853 autres personnes.

@Lily_Siabk tu manques p'tit bg <3

@Gouenji_Shuuya t'es tout beau !

@Haizaki_Ryohei pas mal.

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PDV Lily.

— J'en peux plus, haleté-je en m'asseyant par terre. Je vais canner ! 

J'ai beaucoup de mal à reprendre ma respiration. J'ai enfin fini mes 200 abdos et mes vingt kilomètres de course mais je suis K.O pour le reste de la journée.

— T'es très moche vu d'en haut ! pouffe Haizaki en me regardant debout.

— Toi t'es moche même vu d'en bas, grogné-je.

— Avec les données que j'ai récoltées, nous allons maintenant commencer les entrainements individuels.

Je passe donc le reste de la matinée à travailler mes appuis et mes passes. Puis nous partons (enfin!) manger. J'ai vraiment attendu ce moment toute la matinée.

Et je découvre qu'on mange quoi ? Des légumes.

La vie de ma mère que je connais pas, j'ai eu envie de pleurer, vraiment. Les larmes elles ont faillit venir.

Je m'imaginais un bon truc bien gras... L'ascenseur émotionnel est descendu plus vite que la lumière.

L'après midi, nous travaillons sur notre jeu d'équipe. Vers la fin de l'après-midi, nous recevons un nouveau membre, le frère de Shirou, Atsuya Fubuki.

Contrairement à son frère qui est plutôt calme, Atsuya ressemble beaucoup à Kira et Haizaki.

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— Aujourd'hui nous avons le premier match de la poule A, l'Espagne contre le Japon ! crie le commentateur russe.

Les deux équipes avancent sur le terrain.

La victoire va être très dur mais on croit en nos joueurs.

— Au fait Anna, est-ce que ton père va mieux ?

— Oui beaucoup, je ne serai peut-être plus obligé de partir ! sourit-elle.

— J'espère, sinon à qui je vais raconter mes petits potins ! ris-je.

— D'ailleurs, j'ai vu que ça avançait bien avec Haizaki, chuchote-t-elle.

— Ouais carrément ! Je suis très contente parce qu'il commence à s'ouvrir à moi !

— J'ai vu aussi vos petits regards en coin, glisse-t-elle.

— Pour ma part, c'est fait exprès, pour lui, je sais pas ! pouffé-je.

L'arbitre siffle le début du match et nous encourageons tous Inazuma Japan.

Les actions s'enchainent et malheureusement pour nous, Clario marque un but avec sa technique spéciale. Endou a faillit l'arrêter.

Les espagnoles nous reprennent le ballon et dribblent toute notre défense.

— Le niveau mondial est impressionnant, souffle Anna.

— Tu l'as dit, surtout Clario.

Ce dernier refait sa technique spéciale, mais Endou l'arrête. Les japonais hurlent de joie.

— Magnifique arrêt du gardien japonais !

Nosaka court et passe la balle à Haizaki. Le gris se fait entourer par deux défenseurs espagnoles.

Haizaki ne fait pas le poids, il parait tout maigre par rapport à ses adversaires qui sont des armoires à glace.

Ryohei fait une passe à Asuto, qui refait une passe à Atsuya, qui ne marque pas.

— Atsuya, t'es nul !

— La ferme !

Je plisse les yeux et remarque la marque de Orion sur la cheville d'un joueur espagnol. Clario et le traître parle et je voudrais bien savoir ce qu'il se dise. 

Clario déteste les traîtres, je me demande ce qu'il va faire. Comme je pouvais m'y attendre, mon ami fait sortir le disciple avec sa technique.

— Pourquoi a-t-il fait ça ? demande Anna.

— C'était un disciple de Orion.

Le match reprend comme si de rien n'était, ça me fait un petit pincement au coeur pour le joueur espagnole, je suppose que comme presque la majorité des disciples de Orion, il n'a pas eu d'autre choix que de les rejoindre.

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— Mais non t'as bien jouer ! dis-je à Ryohei.

Ce dernier fait la tête parce qu'ils ont fait égalité avec l'Espagne.

— Tu sais, c'est déjà bien d'avoir fait match nul, Clario a des années de compétition de plus que vous derrière lui, il était vice-champion du monde l'année dernière.

— Tu me réconfortes super bien, ironise-je le gris en croisant les bras sur son torse.

— Tu veux peut-être que je te prenne dans mes bras ?

Il ne répond pas mais ses yeux sondent les miens, mon coeur accélère et mes joues doivent chauffer.

— Pourquoi tu me regar-

Il me prend soudainement dans les bras et j'étouffe une exclamation de surprise. Je resserre mes bras autour de son dos en posant ma tête sur son épaule.

— Je voudrais pas vous interrompre les amoureux mais on est arrivés, dit Kira, un sourire goguenard collé à sa face de poulpe.

— Ouvre ta gueule et je te fume, grogne Haizaki.

Il a honte de m'avoir fait un câlin ou quoi ? Pourquoi il ne veut pas qu'on en parle ?

— Si tu regrettes de m'avoir prise dans tes bras, il fallait y penser avant, sifflé-je en partant du car.

Je remonte dans ma chambre et commence à me déshabiller. J'ai besoin d'une douche. D'une douche bien chaude.

J'entre dans la cabine et souris quand l'eau brûlante me détend enfin.

— Tout va bien Lily ? demande Anna alors que ça fait maintenant trente minutes que je suis dans la salle de bain.

— Oui, oui, t'inquiète !

Je finis de sécher mes cheveux et sors de la pièce.

— Haizaki te chercher partout, annonce-t-elle. Tu devrais aller le voir, il est sur les nerfs.

— Monsieur est en colère et je dois rappliquer comme un petit chien ? Et puis quoi encore, grogné-je.

— Allez, mets ta fierté de côté, peut-être qu'il veut se déclarer ?

— J'en doute, soupiré-je.

J'enfile un grand sweat Nike vert d'eau qui me sert de robe, enfile mes tongs et sors de la chambre.

Je me dirige vers la salle de repos et tombe sur Kira.

— Ryohei est devant la porte d'entrée, dit-il en me faisant un clin d'œil.

— Monsieur me cherche et je dois sortir alors qu'il est 19 heures, il fait nuit dehors et on est en Russie ? Il est relou votre pote.

— C'est pas mon pote.

J'hausse un sourcil. Je sais que Hiroto et Ryohei se lancent sans cesse des piques, mais je pensais qu'ils étaient passés au dessus du stade de coéquipiers.

— C'est mon esclave, pouffe le gris en partant.

— T'es con, souris-je.

Je pousse la porte et vois Haizaki assit devant les marches. Je m'assois à côté de lui et il tourne la tête vers moi.

— Tu voulais me voir ?

— Pourquoi ?

— Pourquoi quoi ?

— Pourquoi tu tiens tant à être ami avec moi ? Pourquoi tu restes bloquée dans mes pensées ?

Mon coeur se réchauffe et un sourire fends mon visage.

— Je sais pas, ris-je. Dès le début tu m'as attiré, et pas seulement par ton apparence physique.

— Est-ce que tu m'aimes ?

Je suis prise de court.

— Je... je ne sais pas, balbutié-je. Je ressens quelque chose de fort pour toi, mais de là à dire que je t'aime...

— Moi j'ai des sentiments pour toi.

— Je ne te connaissais pas aussi franc, rigolé-je. 

— J'avais besoin de le dire.

Nous passons un quart d'heure, l'un contre l'autre, nos soufflés glacés se mélangeant, les mains entrelacés et le regard tourné vers les étoiles.

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Coucou !

Non je ne suis pas morte !

mais je sais pas pourquoi mais en ce moment j'ai un gros coup de mou, genre j'ai trop la flemme d'écrire lol.

j'espère que vous avez aimés ce chap, moi j'ai kiffé l'écrire mdrr

bon, les deux ont avoués qu'ils ont des sentiments l'un envers l'autre, mais ils ne sont pas encore couple.

que va-t-il se passer ?

mouhahaha

nougat80

1300 mots.

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