the new enemies ¹¹
Il profita du fait que l'inconnu inconscient soit immobile pour aller prendre une douche bien chaude, il s'exaltait au moindres gouttes d'eau circulant le long de son corps jusqu'à ses orteils, il avait bien oublié à quelle point cette sensation était agréable. Chez lui, il pouvait passer des heures interminables dans sa baignoire jusqu'à ce que l'eau ne devienne tiède. Ae Ra avait pour habitude de toujours venir l'y sortir en lui tirant les oreilles jusqu'à sa chambre une serviette sur la tête alors que le reste de la famille ricanant en silence dans un coin.
Ses souvenirs apparaissent que lorsqu'on a plus rien pour nous rappeler notre état pitoyable, à quel point on est faible face à un destin plus colossal que nous.
Personne n'est venu à leur secours, ils ont juste laissé la ville brûlée en état de cendres pour enfin se décider de venir en aide aux seuls survivants de tout cela.
Tout ceci n'est que le fruit de ces ombres, et il espère les trouver afin de venger la vie de toutes celles qui ont étées prises.
Il sortit de sa torpeur lorsqu'il entendit du grabuge venir de la pièce adgassante, il se recouvre le corps d'un peignoir, à peine a-t-il mit un pied hors de la salle de bain que son dos rencontra avec violence la surface dur du mur à côté de lui, un couteau sous la gorge, les poignets maintenus en évidence au-dessus de sa tête.
Il est très rapide.
— Qui es-tu ?
Qui je suis? Drôle de question, ton sauveur enfoiré. En tournant enfin la tête vers ce dernier, il se souvint de ce visage. Un visage qu'il aurait mieux fait d'oublier mais cette trait de celui-ci est resté coincé dans sa mémoire.
— Oh, j'aurais jamais pensé qu'on se reverrait dans ce genres de circonstances.
Bien sûr qu'il s'en souvenait.
— D'où me connais-tu ?
Lui à l'opposé l'avait éradiqué de sa mémoire. Ils n'étaient pas quittent, Jimin déteste être redevable envers qui que ce soit. De plus son nouveau visage allait être un atout pour lui dans toute cette histoire, le silence est le meilleur moyen d'obtenir ce que l'on veut.
— Drôle de manière de remercier ton sauveur. fit-il enjoué, Tu jonchais devant ma porte dans un état de souffrance totale, l'hôpital n'est pas censé être de l'autre côté de ce lieu?
Le noiraud-bleuté fronça vulgairement les sourcils sur ses gardes, ce qui fit soupirer son vis-à-vis.
— Je ne te demande pas de me croire mais, qu'est-ce que tu fichais devant mas porte à moitié conscient ?
Le noiraud-bleuté s'est simplement retiré en douceur permettant à son vis-à-vis de reprendre une respiration correcte.
— Quels bénéfices aurais-je de ta part si je parle?
Il est direct. pensa l'orange.
Mais la réponse demeure qu'il ne sait pas lui-même ce qui lui est arrivé durant ce court instant, il ne se souvient de rien, juste d'être allé au camp de ravitaillement des survivants de Téméris et après le trou noir. De plus, cet étrange garçon lui donnait d'étranges sensations. Déjà vu.
— Je ne t'ai jamais vu ici.
Il a contourné le sujet.
— Je suis nouveau, j'ai été recruté aujourd'hui.
— D'où est-ce que tu viens ?
— Pourquoi je dois reprendre à tes questions ?
L'orangé croisa les bras contre son buste.
— Parce que je te le demande.
Il le dit d'un ton tellement sec que l'orangé crû que ses forces allaient le quitter. Mais il lui tint tête.
— Nous sommes tout les deux des Alphas, et saches que je ne me soumet jamais aux ordres de qui que ce soit.
— Je t'aurais décroché la tête de ton corps dès l'instant où tu as commencé à me tutoyer.
— Oh, et en quel honneur je devrais te laisser faire?
L'orangé amusé s'est approché de lui, il ne bougea pas se contentant de l'observer.
— Non en fait je ne veux rien savoir, je n'ai pas l'intention de faire ami-ami avec qui que ce soit ici. avoua finalement l'orangé, Mais je mérite bien un merci de ta part jusqu'à preuve du contraire c'est aussi toi qui m'a tutoyé en premier et pour couronner le tout tu es chez-moi là. Un simple merci ne va pas te tuer.
Seul les pupilles rouges de l'alpha l'analysant, leur propriétaires visiblement mas enclin à le remercier.
Bien digne d'un suprême. Une arrogance surdimensionné.
Lors de leur dernière rencontre, il n'a pu le reluquer plus que maintenant; son vis-à-vis possédait un physique de forgeron souligné par ses vêtements moulants qu'il portant tout en dégageant cette aura surpuissante autours de lui, il ne doutait pas de la force de ses muscles. Même ses épaules pourraient être capables de briser un mur, son visage pourtant enfantin était marqué d'un sérieux déconcertant.
— Tu comptes me reluquer encore longtemps ?
Jimin sursaute légèrement au son de sa voix en relevant la tête.
— Je me demandais à quel point tu dois être fort pour savoir si je peux gagner un combat contre toi ou pas, simple question de précaution.
Le noiraud ne dit rien mais fit simplement des pas vers la porte.
— Hé !
Grâce à sa vitesse Jimin l'intersecte de justesse en se postant face à celle-ci.
— Je ne compte pas te laisser partir sans mon merci.
Il commençait à lui sortir par les trous du nez, le noiraud a soudainement pressé le pas vers lui. Mauvaise idée puisque leurs corps se retrouva séparés que de quelques centimètres au point que la respiration de l'un tapait contre le visage de l'autre. Et Jimin crû se perdre dans l'océan de cruor qui dansait dans ces pupilles.
Ainsi, son côté oméga se sentit se fendre dans cette contemplation. Son odeur sucré titilla les narines de l'autre qui fronça soudainement les yeux, voyant que la situation prenait une tournure dangereuse, il se retira de la porte en soupirant avant de l'ouvrir.
— Je laisse passer pour cette fois-ci. Tu peux partir.
Après un dernier coup d'œil sur lui, le noiraud se souvint enfin de ses obligations, les autres devaient sûrement attendre sa venue alors il disparu dans un bourrasque de vent et Jimin s'empressa de refermer la porte derrière lui avant de courir vers son sac poser sur la table, il renversa le contenu sur celle-ci à la recherche de ses inhibiteurs, il se jeta dessus en les avalant directement. Il en aurait fallu de peu pour que sa nature soit mise en évidence surtout face à une personne aussi haut placé. Cette fois-ci, il y a échappé belle, resterait plus qu'à être sur ses gardes la prochaine fois.
Le jeune homme avachi contre le canapé, la bouche grande ouverte attendit que ses phéromones s'évaporent complètement avant de redresser son dos, la respiration saccadé, des perles de sueurs froides roulaient sur ses tempes. Il attrape ensuite le grimoire sur la table en feuilletant les pages, il lui fallait en apprendre plus sur sa vrai nature que sur celle qu'il optait actuellement. Comme la dernière fois, il se mordit le doigt et retraça l'arbre aux neuf racines dugrimoire qui s'ouvrit en émettant une lumière claire. Il fit défiler les pages à la recherche de celle qui l'intéressaient.
" Contraint à la soumission dès la naissance, les omégas représentent le quart de la population de n'importe quelles cités au vu de leur importance au sein même de la société car leur existence suscite la pérennité de descendance au sein des clans qu'ils soient hommes ou femmes, il leur est interdit de voir plus grand que ce qu'ils ont déjà en leur possession et ceux depuis des générations. Majoritairement doux et frêles, et efféminés, ils jouent le rôle de dominé durant les actes sexuels au sein d'un couple. La race des Omégas ont un cycle hormonal durant lequel ils entrent en chaleur pendant sept jours."
— Bienvenu en enfers Jimin. Génial.
L'adolescent soupira en se massant les tempes, plus il avançait dans sa lecture moins il affectionnait ce système dans lequel le monde sombrait.
" Ces chaleurs dégagent des phéromones sexuelles.
En dehors des chaleurs, il leur est difficile de tomber enceinte. Étant les seuls à dégager des phénomènes sexuels produits par eux par une partie de leur corps; que ce soit le cou, la nuque, le dos, les joues, ou organes vitaux, pendant un mois les omégas accumulent une quantité assez conséquente de phéromones qu'ils libèrent indéfiniment lors des périodes des chaleurs généralement chez un individu adolescent et pré-adulte, cette période constitue celle où les omégas sont fertiles, donc aptes à tomber enceinte."
Jimin s'étouffa presque avec sa salive en lisant la dernière phrase du paragraphe. Un homme qui tombe enceinte? Et puis quoi encore ! Pourquoi c'est aux omégas de subir tous les malheurs de ce monde.
" Un moyen efficace d'attirer les Alphas a eux après réaction à ces phéromones entre indélibérément en rut, durant laquelle ils deviennent très violents, période pendant laquelle ils sont capables de se lubrifier eux-mêmes. Durant l'hiver, les chaleurs sont moins récurrents et durent moins longtemps. Il faut donc compter jusqu'à soixante ans pour qu'ils ne cessent complètement.
Si un Alpha mord un oméga durant l'acte, ils seront liés pour l'éternité. De ce fait, il leur sera impossible de de briser leur liens à l'opposé de la cérémonie lunaire où si une paire ne consent pas à leur lien, peuvent le briser cependant, l'oméga sera puni d'une marque maudite qu'il ou elle gardera à vie sans la moindre possibilité de se réunir à nouveau avec qui que ce soit.
Dans une meute, l'oméga est celui qui mange en dernier. De nature peureux et faible, ceux-ci ont tendances à se cacher ou à fuir face une menace qui les dépassent sous le coup de la panique. Ils ont des liens très solides avec leur entourage, ils sont les premiers à sentir le mal-être de l'autre, leur présence apaisent les cœurs lourds, ils sont toujours bienveillants mais ont toujours besoin d'amour et d'affection. Leur petites tailles assurent leur rapidité. Ils expriment facilement la dépression causé par un sentiment d'inutilité, d'anxiété de perdre le loup avec ils sont liés, ces êtres sont aussi aptes à absorber la colère des autres s'attirant des ennuies faisant d'eux le souffre-douleur d'une meute. "
— Tout ce baratinage pour nous dire à quelle point ce ne sont que des objets c'est ça ? Hé merde !
Il allait fermer le grimoire lorsqu'une phrase attira son attention.
" Un alpha peut aussi souffrir d'un rejet de la part de son iné causé par un sentiment de haine négative tellement profond que sa puissance s'expulse du corps de l'oméga, l'aura que rejette ce dernier sera alors marqué à une vie de solitude éternelle ou la mort."
À côté du paragraphe, un étrange dessin était dessiné dessus; un symbole pittoresque et difforme de la réalité. Une vraie malédiction à des fins destructrices.
Il jeta un coup d'œil sur sa pipe d'inscription.
Les choses prenaient enfin une tournure qui avait l'avantagé. Ce grimoire plein de ressource allaient finalement beaucoup l'aider.
Il repensa alors aux dernières paroles de son père concernant cet objet qu'il voulait à tout prit qu'il retrouve et garde en lieu sûr, mais le grimoire ne fit apparaître aucunes pages sur ledit Hérit dont ce dernier faisait allusion. Désormais qu'il se trouve ici peut-être un passage du côté interdit à la bibliothèque royale allait l'aider, fallait donc devenir plus malin et rapide que les gardes, mais aussi très fort.
○○○
L'homme marcha dans l'étendue d'un couloir sombre éclairé que de quelques lampes. Il avança dans la pénombre à une durée indéterminée dans ce passage jusqu'à ce qu'il arrive enfin face à une porte blindée gardée par deux gardes assaillants, à sa vue, ils ont courbés l'échine, l'homme ne tard pas plus sur les formalités et pénétra dans les lieux vide de tout immobilier, seul un autel était disposé au centre de la grande pièce éclairé par des lampes accrochées au mur.
Sur l'autel, jonchant un corps, une femme dans une robe blanche, sa langue chevelure grisé sur ses épaules. L'homme lâcha un soupire aussi pâle que la peau de cette dernière.
Un autre homme apparu soudainement, vêtu de vêtements sombres.
— Malheureusement toute la famille a été décimée à notre arrivée, elle est là seule survivante. C'est assez incroyable.
— Ce n'est pas incroyable, les immortels ne meurent jamais.
— Cependant, elle a sombrée dans un sommeil profond depuis, à mon avis avant même que les Valkyrs soient arrivées elle n'était déjà plus de ce monde.
— Les Valkyrs dis tu?
— Oui, l'un des éclaireurs a bien affirmé que ces personnes étaient bien des Valkyrs.
— Cette visite me semble pas anodin, si les Valkyrs se trouvaient dans ce village c'est qu'ils étaient probablement à la recherche de quelque chose de précieux, de très précieux et tu vas te débrouiller pour savoir ce que c'est.
— Bien Majesté. Mais la Cour des Sages-
— Nous sommes obligés d'en parler, sinon ruser comme ils sont ils finiront tôt au tard par le découvrir et je ne veux pas leur donner une mauvaise image de moi à ce tas d'os.
L'autre homme ne rajouta rien et disparut aussi rapidement qu'il est arrivé. L'autre vint caresser la peau de la femme endormie.
— Bi Yao, tu aurais mieux fais de me choisir mais tu as préféré ce magicien de pacotille. Regardes dans quel état tu es maintenant. Ce n'est pas digne d'une reine telque toi.
Il se redressa ensuite le cœur battant sans ôter ses yeux de la jeune femme.
— Ta beauté m'impressionnera toujours tout de même. Je reviendrais te voir bientôt tâche de bien te porter, je trouverais ce que tu caches.
Le roi quitta ensuite la pièce en rejoignant un autre. Une salle plus grande à deux étages, au milieu il n'y avait rien, il s'y tenait alors plusieurs yeux de différents couleurs de regards étaient sur lui.
Une voix rauque et puissante fit trembler les murs.
— Les Valkyrs sont déjà passés aux assauts. Et c'est Téméris qui en a payé les frais.
Bien sûr qu'ils ont finit par le savoir.
— Je trouve que les Suprêmes que vous adulez tant sommeil bien trop sur leurs oreillers.
— C'est parce qu'ils n'ont pas connaissance du danger qui nous entoure.
— Jamais ils se seraient pris la peine de se déplacer eux-mêmes pour faire le sale boulot, ça devrait être d'une importance capitale, tout de même je pensais que leur existence n'était qu'un mythe les voilà qui sortent de leur terrier. intervint ce dernier par obligation.
— Certes, mais cela doit être quelque chose de la plus haute importance. À ce que je sache, ils ont toujours besoin d'un leader pour les guider à la Lumière et sans leader ils ne sont plus que des êtres ténébreux ayant perdus toute leur humanité. Ils fairont des nous autres leurs ennemis.
— Les soldats n'ont pu trouver un indice sur la nature de ce qu'ils cherchaient à Téméris.
— Tout ce grabuge pour la destruction d'une cité entière à la recherche de quelque chose que nous n'avions pas en notre possession non plus, ils pensent que c'est leurs territoires ou quoi ici ?
— Ils doivent sacrément avoir besoin d'un leader au point de retourner une cité entière. Mais une question me chiffonne, comment ont-ils su que quelque chose clochait là-bas alors que nous autres n'en n'avions aucune idée ?
— L'histoire parle cependant des êtres qui ont étés créés pour s'immobiliser auprès du dieu de la foudre lors du Ragnarok.
— Il était lui-même puissant pourquoi avait-il besoin d'eux ?
— Dompter le danger avant que ce dernier ne devienne une nuisance. C'est bien la raison pour laquelle ils ont étés créés et sans lui, ces êtres sont perdus. Durant chaque génération ils se voient attribuer un chef qui les guide.
— C'est une situation très pénible, quel qu'en soit l'issue, les trois continents doivent être mises au courant de ce qu'il en découle afin que nous soyons déjà préparer à l'arrivée d'une quelconque forme de menace. J'insiste sur le fait les entraînements des Suprêmes ne deviennent plus ardues, les Valkyrs ne font jamais de cadeaux sur le champs de batailles et si jamais comme nous le pensons ils se trouvent des alliés cela risque de compliquer encore plus les choses pour tous. À noter aussi qu'ils ne choisissent jamais leurs alliés au hasard.
— Il nous faut cependant des évidences tangibles si nous devons se préparer aux prochaines assauts, nos homologues ne sont pas des personnes qu'il est facile à convaincre, ils pensent que les gigantesques murs qui les gardent en sécurité dès lors sont infranchissables, il faut bien quelque chose qui faira trembler leur déni.
— Combien de temps il nous reste avant que cette potentielle menace ne s'éveille complètement ?
— Quelques jours, des semaines, des mois, ou des années. Il est très délicat d'en être exactement sûr, ce sont des êtres tout à fait imprévisibles. Personnes ici n'est capable de le dire mais le manque considérable de jeunes talents de cette génération est indéfiniment inquiétant, la majorité d'entre eux n'est pas apte à se tenir sur un terrain de bataille, certains utilisent le fais d'être un alpha pour semer la pagaille et faire passer cette vaste pour un vulgaire jeu sanguinaire, ce sont de gens talentueux que nous cherchons pas des pourries gâtés qui n'ont eus assez d'amour parentales.
— Je vais personnellement y remedier.
— Pensez que nous continuons sur vous votre majesté, à notre époque nous avions étés chanceux car nos parents étaient constamment sur nos efforts afin de toujours être les meilleurs. Aujourd'hui nous ne sommes plus capables de nous battre dû à notre âge malgré le fait que nous résidons dans la plus grande citadelle des trois continents, si les autres voient ça ce serait une véritable insulte en notre nom d'autant plus que les examens de sélections approchent, il faut donc d'assurer que les jeunes soient sous leur meilleurs conditions et donnes tout d'eux, si Faelizia tombe, les deux autres cités ne tiendront pas bien longtemps.
— Si les jeunes ne sont pas capables de mener à bien ces responsabilités nous seront cependant forcés de reprendre les armes afin d'éradiquer cette nouvelle menace, on manque considérablement de temps c'est évident.
— J'ai confiance en eux. Malgré l'image peu fougueuse qu'ils nous donnent je suis conscient du potentiel de chacun c'est pourquoi je me permet de les défendre face à une tel injustice, ils ne sont pas aussi mieux traités que dans le passé. La paix qui réside aujourd'hui entre les cités est en partie grâce à eux, aucune formes de menaces n'a été détectée dans nos frontières ces dernières est aussi grâce à tout les efforts qu'ils ont fournis dans leur travail malgré la perte considérable de leurs compagnons d'armes ils ont sus avancés la tête haute afin d'honorer leur mémoires, afin que plus personne n'est à verser de larmes dû à la perte d'un être chère. Alors je vous demande Messiers d'en faire autant, ayez foie en eux.
— Oh, intéressant.
— Votre instinct ne nous a jamais dessu dès lors, je vais me fier à ce dernier.
— Je n'ai pas le choix que de faire la même chose et de voir ce que cela va donner.
— Je ne vois aucune objection, mais comme vous l'avez vous-même dit récemment, nous aussi nous avons besoin de preuves tangibles sur l'espoir que vous avez envers.
— Ils ne nous décevront pas, j'en fais le serment.
○○○
— Alors cette réunion ? demanda Yoongi en jouant avec son couteau, devant lui, Jungkook était adossé au mur ce dernier virvolte la tête vers l'aîné qui venait de quitter la salle de réunion.
— Ouf ! Ça m'a laminé mais ça aurait pu être pire. soupira le roi en retirant ses gants en cuir de ses mains, elles étaient à présent moites.
— Je vois. Que pensent-ils de cette situation ?
Ils prirent le chemin vers la sortie.
— Maintenant nous devons à tout pris changer leurs opinions sur cette nouvelle génération premièrement pour ne pas perdre la face face aux autres et deuxièmement parce que vu au point où on en est, ce n'est plus qu'une question de temps avant que la paix ne commence à frétiller. le roi s'arrêta dans sa marche et se tourna vers ses deux préférés, Je me vois obligé de vous déplacer au-delà de la Grande Frontière accompagnée de quelques Suprêmes afin de mener des enquêtes plus approfondis. je vous laisse rassembler les meilleurs Suprêmes de l'académie à cet effet.
— À quel point c'est grave? demanda enfin Jungkook craignant le pire.
Le roi repris sa marche suivit de près par Yoongi et Jungkook.
— Au point où il nous sera impossible de garder l'œil fermé dès à présent.
— Et moi qui pensait que toutes ces histoires étaient derrière nous. soupira Yoongi en croisant les bras, ils arrivèrent enfin dans un autre couloir séparant chaque pièces de la demeure royale, il était plus éclairé que celui du sous-sol.
— Chaque générations rencontrent toujours ce genre de moment tumultueux, ça serait trop beau que de dire que la paix est éternelle. concéda le roi.
— Et si jamais c'est un piège pour que les meilleurs soldats se dispersent hors des frontières et qu'ils ne passent à l'attaque dans l'ombre.
— J'en suis bien conscient, et j'ai ma petite idée ladessus.
Et malheureusement, l'adulte marquait un point et l'ennemi comptait bien le leur faire comprendre.
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