the fallen souls ³⁶

J'ai été inspiré alors j'ai écris jusqu'à ce que mon imagination ne fasse une énième pause... Mdr

Il y a des choses qui vont se passer. Des révélations. Ou d'autres secrets qui vont surgir.

Ne soyez pas choquer, ce n'est que le début.






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J'étais épuisé, presque sur le point de perdre pied, mais mes pas continuent de s'enfoncer dans la bitume humide du sol, recouvert d'un liquide que j'ai commencé que trop bien à apprécié l'odeur. J'avançais d'un pas assuré et avec arrogance déconcertant, comme si le chaos dans lequel était plongé le monde autour de moi m'offrait une jouissance sans égal, je me sentais moi. Libre. Vainqueur.

Et pourtant, ce n'est pas moi qui marche, ce n'est pas moi qui sourit en entendant ces cris de haine, d'agonie, et ce n'est pas non plus moi qui parle.

" Tu ne peux te cacher plus longtemps. "

Je sus dès lors que je n'étais qu'un prisonnier, un pion parmis d'autre qui mènera ce monde à la destruction si jamais j'en venais à décider que cela se passerait ainsi. Quel avait encore l'importance d'une promesse à mes yeux ? Ce monde devait connaître sa fin afin d'être enterré avec toutes les impuretés qu'il a apporté au court de sa longue existence.

" Tu ne peux pas fuir ce que tu es Jimin."

Ce que je suis ?

Qu'est-ce que je suis ?

Mes cils battirent, mes paupières se fermèrent et l'odeur du sang n'en est qu enivrante, cette sensation de sortir enfin victorieux d'une bataille qu'on mène depuis une vie comble mon cœur d'une joie sans fin. Mes lèvres s'étirèrent en un sourire heureux.

J'ouvre mes paupières et la beauté autrefois captivante du paysage est remplacé par un océan rougeâtre ou flotte des parties de corps dépecer, où les survivants tendent leur mains, désespéré de recevoir un soutien quel qu'il soit venu des cieux oubliant à leur tour que ce sont ces mêmes Dieux qui sont la cause de leur chute.

Qu'en forgeant une arme redoutable crée pour les obéir au doigt et à l'œil, ils avaient condamné le destin de l'univers entier.

Qui suis-je ?

Ce sang sur mes mains. La mort sur ma conscience.

Cela ne peut être vrai.

Qu'on me réveil de ce cauchemar.

Qui suis-je ?

Pourquoi. Pourquoi moi parmis tant d'autre qui doit porter ce lourd fardeau ?

" Il te ment depuis le début."

Qui me parle ? Qui es-tu ?

Est-ce toi, mon oméga ? Où es-tu ?

" Beaucoup... Beaucoup de morts."

Si j'implore le pardon, serais-je entendu ?

Mais je suis un pêcheur, un criminel.

Un monstre et je dois disparaître.

- JIMIN !!

Mon prénom résonna si fort dans mes tympans que mon âme en fut retourné, je me réveillais d'un long rêve ou plutôt, cauchemar, agité, apeuré, les larmes sillonnant mes joues, je m'affolais, incapable de me calmer, ma respiration est rapide, sifflante. Je tombai ensuite sur ses billes d'yeux inquiets, sa respiration est aussi rapide que la mienne dû à l'effort donné pour me sortir d'un piège illusoire.

Moi aussi j'ai eus peur que ce soit réel.

Je remerciai le ciel que cette image de lui fusse fausse.

Car ça ne peit se passer ainsi.

Ça ne pouvait être sa tête que je tenais entre mes mains tel le plus précieux des trophées jamais obtenu.

Ça ne pouvait être moi.

Je me précipitai dans ses bras, sanglotant silencieusement de peur qu'il m'entende mes pleurs et qu'il me demande ce que j'ai vu, et je sais que dès lors je ne saurais lui mentir et lui accepterais ce sort comme le tien.

Alors je le serais fort, à lui en broyer les os de peur qu'il ne se dérobe entre mes bras car dans cette réalité, j'étais dévoué à lui et que mon existence n'avait pas le moindre sens sans lui à mes côtés.

- Chut... Je suis là, calme-toi.

Sa main caressait délicatement mon dos en faisant des petits cercles, il me transmettait sa chaleur apaisante qui eut le don de doucement calmer ma crise jusqu'à finalement la faire disparaître. Il ne s'est plaint que ces os se soient presque brisé entre la force de mes mains, et cela me faisait peur car je prenais doucement compte des choses. J'avais peur d'imaginer les choses dont il serait capable de supporter dans le seul but de me rendre ma pureté.

Alors je me reculai presque précipitamment de lui.

Ses yeux me scandaient sans comprendre, cherchent mon regard, la vérité que je tentais de dissimuler, mais je maintins ma tête baissé, avant de pivoter sur moi-même pour inspecter les lieux lorsque les cris des bêtes me sortirent de ma bulle. Je constate alors que nous nous étions arrêtés au bort d'une clairière survolé par des insectes majestueuses, le jour se lèvait doucement mais sûrement, le gris projeter par la lumière de la lune encore présente dans le ciel rendait les lieux encore plus époustouflant à contempler, l'envie de rester ici germa un peu dans mon esprit.

Cela me rappela aussi que ces derniers temps j'avais des désirs irréalisables qui survenaient tout à tout me prenant au dépourvu, j'étais comme un adulte en pleine crise tardive d'adolescence. Mais dans mon cas, ces désirs étaient impossibles à réaliser, dans cette vie.

Je me lèvai et époussetai la saleté sur mon pantalon.

- Est-ce que tu vas bien ? me demanda-t-il inquiet.

- Où sommes-nous ? fis-je pour changer de sujet.

- À environ trois kilomètres de Faelizia, répondit-il avec un léger soupire en me voyant agir comme si je n'avais rien compris.

- Ne perdons pas de temps et rentrons. Yoongi doit être entrain de t'attendre, fis-je avec un petit sourire.

- Qu'est-ce que tu as vu ?

Je me figeai. Interdit. Ma gorge se noua, je déglutis.

J'ai vu des choses inimaginables, des choses qui me tordent l'estomac et qui n'ont de cesse à me montrer qui je suis vraiment même si j'ai beau le refuser.

J'ai vu la destruction de ce monde Jungkook le sais-tu ?

Et je t'ai vu toi. Une moitié de toi entre mes mains. J'y ai vu la destruction de mon monde.

Et savoir que j'en suis le seul coupable me laisse impuissant, l'impression de profiter de ta gentillesse et plus important encore, de cet amour inconditionnel que tu me portes ne fait que s'intensifier peu importe le nombre de fois où j'ai beau me rassurer du contraire.

Mais si quelqu'un était capable de voir au plus profond de moi que ce quil n'y paraît, on y verrait l'amour que je te porte et le mal que cela me fait.

Car lui, il est vrai et pur.

Mais je me tourne face à toi, revêtant à nouveau ce masque puis je te souris, car c'est la seul chose que je sais faire à présent.

Car j'ai peur de te perdre.

- Juste des cauchemars.

- Tu criais, balançais les bras dans le vide avec affolement, ce n'était pas des cauchemars ordinaires.

Ce n'était pas une question, mais belle et bien une affirmation de sa part.

Je suis tout de même hébété par ce qu'il m'annonce, mais je restai silencieux, je ne devais pas l'alarmé en le gratifiant avec une réaction d'inquiétude.

Je m'approchai alors de lui, entourant son cou de mes bras, mes lèvres rejoignent aussitôt les siennes et il en est surpris. Autant dire que ça n'arrive pas souvent les moments où c'est moi qui prend les rênes.

Il répondit néanmoins au baiser, maintenant mon équilibre contre lui en posant sa main dans le bas de mon dos.

Dans cet échange fougueux, il me recula en arrière jusqu'à ce que mon mon dos ne se colle contre l'arbre auquel je m'étais précédemment reposé. Son toucher a le don de créer un brasier qui enflamme mon être tout entier, et cette chaleur se concentre en une grosse boule qui se réfugie dans mon entrejambe, mon désir grimpe en flèche, emprisonné entre ses bras robustes, je gigotai, alarmé par les réactions prématuré de mon corps lorsqu'il daignait glisser sa main sur ma fesse droite qu'il empoigne ensuite, et même si je crevais d'envie qu'il me fasse voir une mer étendue d'étoiles, le moment ni le lieu n'étaient pas de rendez-vous pour faire ces choses les moins catholiques qui nous passent par la tête.

- Kook'...

Ce surnom a un effet irréversible et inattendu venant de lui lorsque je l'entend grogner avec une voix grave. Il émane de son corps une odeur de bois frais, une senteur viril mélangé à une douceur aiguë. Elle me donne le tournis et me torture les maninges, j'ai du mal à rester serein et sobre face aux charmes cyniques que me tendait son loup.

Je tentais de le repousser, mais c'était comme si je le poussais à se coller plus fermement à moi.

Si mon oméga était actuellement dans mon corps, je serais déjà à ses pieds entrain de le supplier de me faire sien tout de suite.

- Hmmm... Tes lèvres, grogna-t-il a nouveau, le timbre de sa voix se faisant plus électrique.

Il rompu cependant le baiser et vint poser son front contre le mien, je me lechais les lèvres, à bout de souffle, ma fièvre n'en était pas redescendu cependant.

Mais je devais résister à la tentation.

- Men veux-tu d'en être complètement accro ?

Je souriai, plaçant ma main au niveau de son cœur qui battait à tout rompre par-dessus sa chemise.

- Si tu es accro à elles, commençai-je... Il n'y aura plus de la place pour moi après.

- Il y a assez de place dans mon cœur pour tout ce qui est de toi, crois-moi.

Ses yeux brillaient, on aurait crut y voir un feu d'artifice, c'était beau à voir.

Il était si beau.

Mais notre bulle se brisa lorsqu'une explosion des plus féroce surgit, le sol en trembla sous le poids de nos pieds, le bruit résonna jusqu'aux entrailles impénétrables de la forêt, chassant immédiatement les espèces qui y vivaient dans une migration précipité et imprévu.

Et en tournant nos têtes, nous sûmes que Faelizia n'était plus qu'un taudis en ruine.

UN PEU PLUTÔT: FAELIZIA

Malgré la douleur lancinante ressentit dans l'ensemble de ses membres, elle est quand-même prit d'une volonté inébranlable de se réveiller. Elle battit des paupières et inspect les lieux, ce n'était pas leur manoir perdu à l'entre d'une ruelle. Ce n'était pas non plus la chambre qu'elle partageait avec son mari. Ce lieu était inconnu, impiteux, maleodorant, et il y faisait un froid insupportable. La pièce immerger dans les ténèbres n'était éclairé par des lampes torches accroché aux murs de pierre. Et il n'y avait aucun garde. Lentement, avec un effort plus que considérable, elle se mit en position assise, avant de quitter le lit en pire dur sur laquelle elle avait été obligé de sommeille durant son séjour dans ses lieux, mais à peine ses pieds touchèrent le sol qu'elle s'écroula de tout son être. Elle toussota, sa tête tournait et sa vision était trouble.

La femme pria qu'aucun garde ne l'eut entendu.

Elle se releva ensuite, mais le sol trembla, son corps tangua, elle se maintint en équilibre contre le mur juste à côté de la porte. Elle tendit l'oreille et entendit des pas précipités, ensuite des voix alarmés, inquiétés, qui donnaient des consignes.

L'ordre était clair.

Évacuation totale des habitants du côté Sud.

Faelizia était attaqué.

Lorsque le silence se fit, elle en rit presque car tous le monde semblait avoir oublié sa présence en ces lieux, mais elle se souvenait encore de ces voix qui parlaient en sa présence en la croyant dans l'inconscience totale.

Elle se souvenait de toutes les médicaments nauséabondes qui lui ont été ingurgité de force pour soi-disant la maintenir en vie alors qu'elle était là, vivante et présente.

Et maintenant elle ne voulait qu'une chose. Savoir si son fils avait survécu, si Téméris avait été sauvé.

Elle soupira puis leva sa main, des sillons de lumières doré ornèrent son bras droit jusqu'à la paumme de sa main, crayons une sorte de boule de lumière.

Avec le peu de force présente dans sa réserve, elle pu néanmoins faire apparaître une cape et le vetit.

Après que le silence soit enfin reine, elle put enfin trafiquer la serrure de la porte sans grand mal et quitta les lieux sans un regard derrière elle.

C'était un bordel sans nom, les gens couraient dans tous les sens pour sauver leur vies, quitter le château au plus vite afin de trouver un refuge loin du danger qui pesait sur leurs têtes.

Et elle reconnu cette sensation.

Ils étaient. Ils n'allaient pas retourner les mains.

Elle était heureuse car son fils était encore vivant. Une partie d'elle errait encore dans la cruauté de ce monde.

Mais elle sut que lui aussi il était là. Et que cette chance ne se présentera pas une seconde fois. Alors elle avança difficilement.

- Faites évacuer le roi immédiatement ! cria un garçon qui passa à côté d'elle.

D'un geste habile de la main, elle fit apparaître une lignée doré qui traînait derrière le garçon et n'eut qu'à suivre celui-ci.

La traînée de lumière la mena jusqu'à la cour du château où elle le vit être précipitamment escorté dans sa carrosse qui démarra aussitôt qu'il s'assit.

Elle put aussi enfin constater les dégâts des lieux, il y avait déjà une dizaine d'édifices en ruines à leur pieds, la moitié du château avait été touché, des corps jonchaient déjà sous le poids des décombres. Ça avait l'air presque irréaliste, jamais elle n'aurait pensé que son réveil se passerait ainsi.

Puis elle les vit, un groupe de trois ombres dissimulés sous leurs capuches, tenant des épées dans leurs mains comme si elles n'étaient qu'une simple illusion.

La carrosse était déjà loin. Mais hors de question de laisser ce salaud filer. Il avait du sang sur les mains. Et de pas n'importe qui.

Celui de son clan. Celui de sa famille.

Elle avança, tendant la main sur le côté et une épée apparu dans celle-ci, sa lumière aveugla les passant qui fuyait cette réalité, et sa flamme éternel recouvrit la lame de celle-ci.

Les ombres chargèrent directement vers elle, elle donna un coup de pied dans le sol puis il y eut une fissure, l'une des ombre sombra dans le cratère alors que les deux autres la regardait les surplomber de sa prestance depuis le ciel. Son corps entier était désormais recouvert de sillons dorés.

Ces creatures n'avaient pas leur place ici.

Et pourtant a une époque révolue elles étaient leur plus fidèles serviteurs, aujourd'hui ils étaient des ennemis, une menace n'ait dû fruit de leur erreur.

- Disparaissez.

Elle balaya son bras devant eux, des flammes plus que conséquentes jaillirent, s'échappèrent de l'épée et prirent pour cible les deux ombres restantes avant de s'attaquer à eux et de les voutrer complètement sous un manteau de feu.

La lame disparut. Se noyant dans la paumle de sa main.

Elle les observait pousser des cris strident et passa à côté d'eux sans la moindre réaction. Seule ses pupilles blanchâtres les scandirent avec un regard assassin avant qu'elle ne s'élance dans une course effréné dans le seul but de rattraper la carrosse.

La femme couru, ignorant l'état de son corps endoloris, traversant les moindres recoins de Faelizia comme elle le fit autrefois, ces ruelles n'avaient aucun secret pour elle, elle connaissait leur passé du bout des doigts.

Elle dut se stopper subitement au camp de ravitaillement. Ils étaient là, les larmes et la tristesse toujours présente, renouveller par l'obligation de devoir fuir une fois de plus, de devoir une fois de plus pleurer la mort d'un être chère à leurs yeux.

Et elle ne sut que faire. Puis le silence de l'agonie disparu remplacé par des cris de terreurs et des courses précipités lorsqu'une pluie de flamme s'abattit sur eux. Elle en fut choqué et prise au dépourvu, ce ne fut qu'en levant les yeux qu'elle vit enfin l'énorme bête écaillé avec des moustaches flottantes recouvrir le ciel par son unique taille. Ses yeux rouges et ses grognements vestiaires glaçaient les sangs, et tous ne durent que fuir dans tous les sens possible à la recherche d'un abri.

D'abord Téméris et maintenant Faelizia.

On aurait dit que la fin était proche.

La fin.

Mais où était donc Jimin ?

Oh. Le roi.

Mais le roi ou le peuple ?

Elle s'arrêta. Défiant le dragon du regard.

Tu n'es pas le seul ici qui connaît l'enfer du bout de ses doigt.

Elle tendit ses bras devant elle et se pasionna, comme un archer le fairait armé de son arc, puis lâcha la forme de feu qui cibla la carrosse du roi au loin, et la seconde d'après elle était en feu. 'es passagers durent descendre en criant d'effroi.

Elle se tourna ensuite vers le dragon sans son maître, elle fit sa gorge se mouvoir et sut dès lors que sa prochaine attaque serait sans merci.

Ce fut donc avec sa force psychique qu'elle obligea les pierres auteur d'eux d'obéir à sa volonté, créant un mur géant autour du camp de ravitaillement, elle le maintint difficilement debout alors qu'une autre pluie de flamme s'abattait sur les pauvres habitants.

- Allez-vous en !

Ils tournèrent leur têtes et le choqué mais aussi la surprise se lit sur leur visage.

Madame Park ? Park Ae-Ron?

Impossibile.

Elle était morte. Tout comme le reste de sa famille ennuyante.

Et pourtant elle se tenait là, entrain de mettre sa vie en jeu pour sauver la leur.

Et certains surent que leurs soupçons n'étaient pas infondés. Cette famille était la plus étrange de toutes, nul ne savait quoi que ce soit sur leur passé, ils agissaient toujours dans l'ombre et hors de la portée des yeux curieux.

Mais c'était loin d'être ce qu'ils imaginaient. Des sorciers. Non.

Ça ne pouvait pas être des sorciers. Car ils n'étaient pas aussi puissants que ceux décrit dans les livres. Et leurs yeux ne vibraient pas aux blancs comme ceux de Madame Park.

- Partez ! répéta-t-elle plus durement.

Et ils durent obéir, deguerpissant rapidement.

Ae-Ron dans son effort sentit ses os se broyer un par un comme elle le craignait. Mais au moins ils étaient épargné.

Elle dirigea ensuite les pierres vers le dragon, les faisant pleuvoir sur lui avant de se charger vers le roi qui fuyait.

Elle courut aussi vite ses jambes le lui permit.

- Min Kang Dae!

L'homme se tourna et aussi ouvrit les yeux en grand.

La mort à ses trousses, il recula, apeuré alors que Ae-Ron courait au loin dans sa direction.

- Non. C'est impossible.

Mais ses doutes se confirmeront lorsque la lame de feu fit encore son apparition dans la main de la femme.

Elle était furieux. Emportant le vent de sa rancune et le poids de sa douleur derrière elle.

Il avait commis un crime impardonnable, une trahison à l'échelle humaine et devait payer pour cela.

Lorsque les suprêmes tentèrent de l'arrêter, ils furent balayer par une force invisible,empoirtant son pion avec eux.

Elle s'arrêta à quelques mètre de lui, secoua avec dégoût sa tête, alors que des larmes perlaient sur ses joues pleines de crasses.

- Un monstre tel que n'aurait jamais dû voir le jour. Kand Dae.

Le roi tomba sur les fesses, tenta de s'échapper de son sort en se rampant sur ses fesses, incapable, impuissant.

- Savent-ils au moins que tu n'es qu'un imposteur ? Quel pouvoir possèdes-tu ? Tu es incapable de les protéger et eux te font aveuglement confiance. Mais personne ne peux leeurs en vouloir.

Le roi déglutir défficilement en tremblant de tout son être de terreur comme une feuille prête à se décrocher d'un arbre.

- Trop c'est trop. Il est temps que tu payes pour tes crimes.

Elle brandit la pointe son épée enflammé vers le roi dont les yeux s'ouvrirent un peu plus en grand, il restait muet, incapable de dire quoi que ce soit, mais il reconnaissait cette épée plus que n'importe laquelle.

- Tu reconnaît cette arme n'est-ce pas ? Combien de vie as-tu sacrifié pour tenter de la dérober ?

- N-ne fais pas ça... L-les dieux n-ne tuent pas.

- Je ne le suis plus. Grâce à toi. Vatk Kaahir Azvan Itkh kaahir zargfiah ( tu purefieras le monde de tes péchés) suvahana kashkil ( ainsi le monde reconnaîtra la paix).

Elle leva son épée.

Prête à abattre sa fureur sur le roi.

- Maman ?

Son cœur s'arrêta aussitôt. Les larmes lui montèrent aux yeux à l'entente de cette voix qu'elle ne connaissait que trop bien. Une voix qui l'avait manqué et dont elle avait rêvé entendre depuis des semaines à présent. Un sourire triste etira ses lèvres, et quand elle daigna enfin se retourner, ce fut sur deux billes rougeâtres rempli d'une haine incommensurable qu'elle tomba, son sourire s'effaça aussi.

Les mots lui échappa, mais seul une plainte de douleur franchit la barrière de ses lèvres ainsi qu'un goût âcre. Puis du sang en coula.

Ae-Ron baissa la tête.

Ce fut pour la deuxième fois qu'elle eût du mal à respirer. Mais la première fois que la mort l'embrassait finalement.

Car on avait réussit à l'avoir. Car cette épée qui traversait son cœur venait de mettre un terme au chapitre de sa longue et interminable vie.

Mais une dernière fois. Rien qu'une dernière fois, ses yeux embués de larmes se posèrent sur un Jimin qui s'était arrêté à quelques centimètres d'elle, la bouche aussi grande ouverte que ses lèvres. Elle lui sourit.

- Tu n'es pas un mauvais garçon, mon fils.

L'épée dans sa main disparut dans un éclat de lumière.

- Non! s'écria le roi, tentant de rattrapant les cendres laisser derrière. Non, non, non. Ça ne devait pas se passer ainsi.

Jungkook s'était reculé, la vérité venait de lui frapper en plein visage. Il se retourna et tomba sur le visage blême de Jimin.

Il comprit.

Il comprit que la limite venait d'être franchit.

Encore plus lorsque le ciel grandma subitement dans une rage folle et que le sol se mit à trembler puis à craqueler puis à se fissurer instantanément dans la même longueur.

- Jungkook ? Ji Hyun? Vous êtes déjà là ?

Yoongi accouru vers eux sans comprendre accompagné de Sam. Mais dès que ce dernier posa enfin les yeux sur l'orangé, il fut bouleverser, puis soulager de constater que son meilleur ami était encore en vie. Mais la réjouissance ne fit que de courte durée. Quelque chose était entrain de se passer et il le sentit. Son loup en fut troubler, lui réclamant de reculer, d'être prudent. Alors il le fit. Tout comme Yoongi ainsi que tous les autres suprêmes.

Certains sans le comprendre, se mirent à genoux, pousser par une force inconnu et surtout invisible. Yoongi essayait tant bien que mal de résister face à un tel élan de force, mais en vain. Ses genoux à lui aussi fléchir.

Et sous le choque des événements, ils assistèrent au changement physique de Jimin dont les yeux restaient fixés sur le corps sans vie de sa mère...

Des souvenirs se mirent à danser dans sa tête et jamais il n'aurait pensé qu'ils étaient aussi beaux. Il était aimé, choyé par sa famille qui avait une confiance aveugle en lui en plus de cela. Ils n'étaient qu'une famille ordinaire qui voulait sa place dans ce monde chaotique. Mais ce monde ne cessait de les renier. Ils étaient des outsiders. Des clowns dans un cirque pour assouvir la curiosité des spectateurs. Rien de plus.

Aucun d'eux n'a montré que sa famille avait sa place parmis. Peu importe où ils allaient, aux yeux de tous ce ne sont que des étrangers.

Si avant ils étaient Haï. Ne faisait que prouver du dégoût. Aujourd'hui ces gens allaient connaître un autre sentiment.

La terreur à l'état pur.

Un pas.

Et trois maison déjà en ruine disparurent, englouti par le vide, disparaissant vers une dimension encore inconnu.

Des maisons.

Des terrains.

Des fermes.

Des animaux.

Puis les êtres vivants.

Eux aussi devaient goûter à la souffrance.

Jungkook s'apprêtait à intervenir, mais fut soulever par une force invisible, la seconde qui suivit, Jimin se tenait devant lui, le scandant de ses yeux rouges alors qu'une fumée épaisse noire l'entourait, lui donnant une forme spectral.

Le désormais grisé le scruta sur toutes les zones, Jungkook n'avait jamais sentit lodejr de la mort aussi forte. Mais pour la première fois, il en avait une peur bleu.

- Jimi-

Il se fit taire. Incapable de parler. Sa gorge se noyait et il comprit vite que son amant en était là cause. Son sang commença doucement à remonter dans son cerveau, il peinait à respirer, toussotant parfois, mais jamais il suppliait au grisé de l'épargner ou de le pardonner son crime.

- Comment oses-tu.

Cette voix.

C'était lui.

- Nous avions confiance en toi.

- J-Jimi-

- Je ne suis pas Jimin. Je ne suis pas non plus ce satané Fenrir, ( Un sourire effrayant étira les lèvres du désormais grisé alors que des corbeaux tombaient à leur pieds, raide sans vie ) je suis la destruction de votre monde. ( un autre sourire) On me nomme... KALANQ.













































À suivre...






























.......... C'est le moment où on découvre qu'il y avait des imposteurs partout mdr... Même nos chers méchants ne sont pas ce qu'ils sont, mais bien plus pires que ce qu'ils sont 😩😩😊😊

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