47 - C'est ça, mon happy ending.
Pdv (T/p) :
- Je vais dans la douche Sh- Je commence en me tournant vers lui après notre partie de jAmBeS eN l'AiR. Oh, il dort déjà...
Je souris devant son visage d'ange et dépose un bisous sur son front.
C'était épuisant de perdre sa virginité... En plus je me demande vraiment comment il fait pour être aussi performant alors qu'il n'a aucune expérience... M'enfin bon, ça n'a pas vraiment d'importance.
J'entre dans la salle de bain et me mets sous la douche. Je tourne la sorte de poignée, et de l'eau sort du pommeau. La fraîcheur de l'eau me donne des frissons désagréable mais je finis par m'y habituer.
C'est vrai qu'il n'y a pas d'eau chaude ici... Heureusement que j'en ai pas pour longtemps parce que passer ma vie dans ce trou paumé non merci haha !
- Alors... Où est le shampoinnng ? Je me parle en le cherchant sur une étagère dans la douche. Ah le voi-
Une douleur perçante naît au centre de mon crâne me faisant crisper. C'était la même douleur que celle dans l'après midi, mais pas au même endroit. J'ai comme cette impression encore, qu'on me presse jusqu'à ce que mon souffle se coupe. Sauf qu'il continue de circuler et la souffrance aussi.
- Putain... Je grogne les dents serrées en tombant à genoux dans la douche.
J'en ai marre...! Le docteur m'avait dit que la douleur serait régulière mais sur une fréquence de deux jours pas cinq heures...! Merde !
Je me retiens de ne pas hurler de douleur pour ne pas alerter Shoto qui dort profondément, et je compresse de toutes mes forces le tube de shampoing qui explose.
Pendant que le liquide vient s'éparpiller sur mes cheveux et que l'eau vient l'enlever, la raison de mon épuisement s'estompe.
Je reprends ma respiration et balance ma tête en arrière contre la vitre pleine de buée.
- C'est quoi ce délire...? Je lâche à voix basse essoufflée.
J'écourte ma douche, me sèche, et en profite pour me regarder dans le miroir pour vérifier que tout va à peut près bien sur mon visage.
Ce n'est pas le cas. Mes (l/c) cheveux (c/c) ont blanchi, ils sont devenus neutres, sans plus aucune couleur, vide et incroyablement blanc.
Je ressemble désormais à une personne albinos, avec des cheveux blancs et des yeux rouges. Ma peau (c/p) elle par contre n'a pas changé, mais j'ai bien peur que ce ne soit qu'une question de temps.
- Concernant les phases... Comme je vous l'ai dit tout à l'heure, elle pourra se mettre à pleurer du sang ou perdre sa couleur de cheveux. D'après nos études, il semblerait que pleurer son sang est arrivé à chacun des détenteurs, et ça lui arrivera probablement aux alentours de ses trois dernières semaines. La perte de couleur par contre arr-
- Attendez. Dit ma mère en le coupant. (T/p), Kei, allez nous attendre dehors.
Nous fîmes ce qu'elle nous demanda et sortirent de la pièce.
Pourquoi ce genre de souvenir me revient maintenant...? Et pourquoi j'ai pas la suite ?!? J'aurais dû écouter à la porte... Si j'avais su !
Et mais... Quand j'ai retranscrit mes souvenirs à Nao, il y en avait un qui n'était pas le mien mais le sien, quand il parlait à sa mère... Donc peut-être que si je me concentre je peux m'en souvenir...!
- Okay (T/p), concentres-toi tu peux le faire !
Je m'appuie au lavabo devant le miroir et rassemble ma force au niveau de ma main droite, puis je la porte jusqu'à mon cœur.
- Bonne décision. Donc je reprends, pour la perte de couleur de cheveux par contre cela arrivera bien plus tard, normalement la veille de sa mort.
- Donc quand ses cheveux deviendront blancs, le lendemain elle mourra ? Demande mon père.
- Oui. Et si vous voulez encore des repères sur le temps, le jour avant cela normalement ses yeux tourneront au rouge.
- ...
- Après il y a une autre option, mais ce n'est qu'une hypothèse.
- Dite toujours. Soupira ma mère.
- Et bien, selon nous, le processus pourrait être accéléré si votre fille force trop sur son corps et ses alters. La régénération de (T/p) est d'une rapidité exceptionnelle, mais cela apporte des conséquences lourdes, comme cette accélération. Nous pensons que cela réduirai sa durée de vie de presque une semaine.
- De toute manière, on est pas à une semaine près n'est-ce pas ? Demanda ma mère en lâchant un petit rire.
- On parle de votre fille quand même, chaque jour à ses côtés est précieux. Répliqua le médecin choqué des mots de ma génitrice.
- Hm.
Mon monde s'effondre, partout autour je ne vois que flou et n'arrive à rien distinguer. Mes mains tremblent et deviennent vite moites. Un soupir que trop instable sort de ma bouche béante alors que mon idée concernant la mort et le fait qu'elle devait encore attendre avant de me prendre se dissipe. Le choc me gifle en pleine tête et assaille de coups mon esprit éreinté. Je reste debout, encrée dans le sol durant cinq bonnes minutes, me demandant comment j'en suis arrivée là. Évidemment la réponse je la connais déjà, mais c'est toujours plus simple de faire semblant de ne pas comprendre que d'affronter la dure réalité. Je vais mourir, cette fois-ci pour de bon, ce soir. J'ai toujours pensé qu'il y avait un espoir, que peut-être un miracle pouvait arriver... Plus maintenant. Seul le vide réside en moi, et je décide, abasourdie, d'y réfléchir plus tard malgré le manque de temps et de seulement me concentrer sur Shoto.
Je débarque dans la chambre et au moment où j'aperçois son visage d'ange, tous mes problèmes partent, comme par magie.
J'ai beau mourir demain, si c'est à ses côtés ça me va, lui seul me suffit largement.
Je m'efforce de sourire et retourne dans le lit, nue. Je réussis à m'endormir un peu pendant quelques heures, mais je me réveille dès que le soleil se lève.
Il grogne et vient glisser ses mains le long de mes hanches, me faisant frissonner pour m'entourer de ses bras. Sa tête s'enfonce dans ma chevelure blanche et je peux deviner ses yeux se plisser vaguement, l'air encore endormi.
- Il fait tellement jour qu'on dirait que tes cheveux sont blancs... Il remarque fatigué.
- Sho' ! Haha tu es réveillé...? Je demande à voix basse.
- Oui. Il affirme en se redressant, et se frotte les yeux.
Je commence à stresser, appréhendant sa réaction.
- ... Mais c'était pas la lumière du soleil en fait. Merci capitain obvious. Tu t'es fait une teinture ?
- Non, c'est euh... Un autre effet secondaire on va dire. Je lui explique tristement.
- Oh. Ça ne t'as pas fait mal j'espère ?
- Non, non, ne t'en fais pas.
- Et c'est normal que ça t'arrive aussi vite comme ça ?
Je le regarde droit dans les yeux. Ses iris bleu et gris me font perdre la notion du temps et du réel. Je tombe dans un océan de métal dans lequel je me nois.
- Non. Je réponds machinalement à sa question sans réfléchir.
- Non ? Qu'est-ce que ça va veut dire ?
- ...Je lui dis la vérité ? Mais si je la lui dis ça va l'inquiéter... C'est rien ne t'en fa-
- (T/p). Il me coupe brutalement.
- H- huh...? Je sors étonnée qu'il s'affirme comme ça.
- J'ai besoin de savoir la vérité...
- ... Pardon. Je lui chuchote en baissant la tête, honteuse d'avoir voulu lui cacher cette évidence. En réalité, pour être honnête... Je ne veux pas t'inquiéter mais... Je vais... Ma conviction n'est pas assez forte pour réussir à prononcer la fin de ma phrase.
Shoto pose sa main sur la mienne et m'encourage dans un regard à poursuivre.
- Je vais mourir ce soir.
- D'accord. Il lâche et resserre sa prise sur ma poigne.
Je-
Ok il est pas très expressif mais là ça fait mal quand même... Il pourrait réagir un peu plus...
- Ç- ça ne t'affecte pas plus que ça ? Je lui demande tristement.
- Être aimé et aimer est synonyme d'immortalité. Une personne chère ne nous quitte jamais. Elle vit au plus profond de nos cœurs et pour la revoir, il suffit de fermer les yeux. Et puis tu seras toujours à mes côtés pas vrai ? Tu vas mourir mais tu ne pars pas pour toujours... Avec l'alter j'ai même l'espoir de te revoir un jour, donc ça va aller, on va s'en sortir toi et moi.
À ce moment je pense qu'au fond il essayait plus de se réconforter lui même que moi. Mais ces paroles là, elles aussi je m'en suis souvenue toute ma vie et aussi bien ma mort. J'avais besoin de ces mots pour me rassurer et pour savoir que je ne serai pas oubliée.
- Je t'aime...! Je m'exclame en fondant dans ses bras. Je t'aime vraiment, vraiment, vraiment de tout mon être Shoto. Je continue en logeant ma tête dans son cou.
- ... Moi aussi. Il ajoute et place ses bras autour de mon corps frêle.
On reste enlacé pendant cinq ou peut-être même dix minutes, j'en sais rien. Je décide ensuite d'aller me lever pour m'habiller, mais surtout pour préparer le petit déjeuner car mon ventre gargouillait.
- Je reviens ne bouge pas. Je dis à Shoto et j'ouvre la porte.
- ...
- (T/p).
Je ferme la porte et l'envie de pleurer me vient rapidement en les voyant.
- Tu pleures souvent. Remarque Masahiro.
- Pas étonnant venant d'une personne qui sait qu'elle va mourir. Me défend Takumi. Ce soir. Il rajoute fermement.
- ...
J'ouvre la bouche mais ne trouve rien à dire. Qu'est-ce que je pourrais leur annoncer ?
- On sera à tes côtés (T/p). M'affirme Takumi.
- Est-ce que ça fait mal, de mourir ? Je demande d'une voix calme et basse.
- ... C'est plus rapide que de s'endormir. Me répond Masahiro sur un ton reposant me donnant l'impression d'être sur un nuage le temps de quelques instants.
- ... Je vois, merci. Je conclus avec un faible sourire incertain.
Je pars ensuite préparer à manger, de mon talent inexistant pour la cuisine. Je passe mon midi et mon après-midi auprès de Shoto dans le bâtiment à rire et profiter en nous voilant la face. Dans nos cœurs on ne souriait pas, bien au contraire, mais il fallait profiter avant qu'esprits ne soient plus que poussière.
- Tu veux sortir dehors ? Je lui demande, observant le coucher du soleil débuter à travers une fenêtre.
- Si tu veux.
Je me lève du fauteuil et prends mon téléphone.
Il faut que j'envoie un message à Kei...
: (T/p)
Hey ! Uhm... Désolée Kei, on dirait que j'ai trop forcé au final...
Demain, je ne serais plus là. Donc s'il te plaît, à 22 heures ce soir, diffuse ce que je t'ai donné, diffuse-la partout, télé, écran de cinéma, radio, tout.
Et j'aimerais aussi que tu donnes la lettre que j'ai écrite à Shoto. Voilà tout, désolée de t'embêter même quand je ne suis plus là, et désolée de ne pas avoir pu réaliser ton rêve. Tu n'as pas été le parfait frère, mais de mon côté je n'ai pas su assurer non plus, pardonne moi, je t'aime Kei.
J'éteins mon téléphone et le laisse dans le bâtiment, partant pour ne plus revenir.
Quand le soleil sera couché, je serai partie... Ouch, cette fois-ci c'est pour de bon... Je stresse un peu...
- Tu veux aller où ?
- N'importe où, tant qu'on est à l'extérieur.
- D'accord. Il acquiesce et me prend la main.
On avance tous les deux à travers les cerisiers, en silence. Ses pas crissent sous les quelques pétales gelés au sol, tandis que j'observe les nuages et le ciel dégagé. On marche et après un certain temps, on arrive à côté d'un lac, il y a de la neige aussi blanche que mes cheveux sur le sol.
Ce n'était qu'une question de minutes avant que le soleil ne décide de tomber de l'autre côté du monde, m'obligeant à le suivre. Shoto s'arrête, en plein milieu de la rue entourée d'immeubles abandonnés, ayant une vue parfaitement claire de l'astre brillant de mille feux.
- Le couché du soleil commence... Je dis, les larmes aux yeux, fixant ensuite le sol.
- Ça va aller. Me rassure Sho' en remarquant que je pleurais. Ça va aller, ça va aller... Il répète en boucle, m'obligeant à relever la tête.
Il pleure. Shoto pleure. Les rayons éblouissants du soleil se reflétaient sur son visage, le rendant plus lumineux que jamais.
- Pourquoi toi... Il grogne en serrant les poings. Pourquoi ça devait être toi...?! Il crie en déversant des coulées d'eau.
- T-tu... Pleures... Je lâche choquée en posant délicatement ma main sur sa joue rouge.
Il plante ses yeux dans les miens et s'efforce à sourire.
- Ne te force pas... Tu as l-
Cette douleur qui m'est désormais si commune refait surface. Je n'ai même plus la force de crier tellement ça fait mal, je me contente de serrer les dents et de fermer mes yeux de tout mon possible.
- (T/p)...?
J'ouvre les yeux, la douleur étant partie aussi vite qu'elle était venue.
- (T/p) tes yeux... Il hésite, horrifié.
Je ne vois plus rien.
- Ils sont noirs n'est-ce pas ? Je le questionne, étonnement calmement.
- Oui...
Je savais que ça allait arriver de toute manière... Tout mon globe oculaire a pourri, il est juste noir jusqu'à ses racines.
- Ça va, la dernière chose que j'ai vu c'est toi qui sourit, je suis heureuse... Je poursuis et souris, mes larmes sanglantes perlant toujours sur mon visage.
Je peux toujours l'entendre sangloter et renifler.
- Pourquoi... Tu m'avais dit que tout le monde avait le droit à une fin heureuse, ou sinon ce n'était pas la fin, alors pourquoi ça se termine comme ça ?! Il continue, ne comprenant pas.
- C'est ça, mon happy ending. Vu la vie que j'ai mené, je ne pouvais pas espérer mieux que de mourir avec la personne que j'aime et qui m'aime en retour. Je lui explique tendrement, mais pourtant ça ne calme pas ses pleurs. Shoto, souviens toi de ce que tu m'as dit tout à l'heure, je serai à tes côtés alors tout ira bien, pas vrai ?
- Uhm. Il affirme fébrilement.
- Masahiro. Où est rendu le couché de soleil ?
- À sa limite.
Mon cœur rate plusieurs battements, je cache la panique qui m'envahit petit à petit.
- Shoto, tu trouveras dans la joie ou dans la peine, ma triste main pour soutenir la tienne, mon triste cœur pour écouter le tien. Je t'aime et je suis fière d'avoir eu la chance d'être aimée par quelqu'un comme toi.
- Je t'aime. Il me murmure, l'eau remplissant son beau minois, et il avance ses lèvres vers les miennes.
Elles se croisent et nos bouches ne font plus qu'une. On mélangeait nos salives, partageant le peu qu'on pouvait durant ce peu de temps. Je sens que mes pieds disparaissent ainsi que mes jambes, puis le reste de mon corps. Tout part en poussière, tout s'en va. Ma silhouette n'était plus, des flocons étaient apparus à la place, volant dans le vent, portant ma misérable vie au loin.
Non.
Ça ne s'est pas passé comme ça.
Mourir n'est pas s'endormir, bien au contraire.
Alors que nos langues tournaient l'une autour d'elle en harmonie, je fus contrainte de me retirer, commençant à cracher une trop grande quantité de sang. Je suffoquais, n'ayant pas le temps de respirer dû aux toux sèches, et ressentais une forte envie de mourir à l'instant, ne souhaitant seulement qu'on abrège mes souffrances. Mon cœur commence à ralentir, les cris de Shoto, eux, s'accélèrent, et mes yeux moisis se ferment progressivement. Ça y est, la mort me tend enfin la main. C'est comme ça que je vais mourir, dans d'atroces souffrances. Le battement désormais presque inaudible de mon cœur s'éteint à jamais, mes membres inertes pourrissent à leur tour, devenant aussi noirs que mes yeux, se décomposant et rejoignant la terre.
La route que j'ai mené s'achève là, laissant derrière moi de nombreux regrets, et plus encore ce bicolore que j'aime tant qui essayait de retrouver mon corps avec obstination, malheureusement disparu.
C'est fini, je ne suis plus dans le monde des vivants mais des morts, à côté de Takumi et Masahiro.
- Yo.
- Menteur. Je lâche clairement, blessée mentalement.
- Désolé.
Je détourne mon regard du menteur.
- ... Je ne disais rien devant ce spectacle qui m'arrachait le cœur.
- Le pauvre...
Shoto... Je ne l'avais jamais vu comme ça, comme si il venait de perdre tout ce qu'il avait... Il pleurait en silence, versant une rivière salée.
Le silence signifie l'absence de mots, pour s'exprimer quand la douleur est trop forte.
J'essaie de le toucher mais je ne peux pas. J'essaie de lui parler mais je ne peux pas. Je suis impuissante.
- Ça viendra. Pour l'instant on doit trouver l'enfant ayant hérité de l'alter...
- Non ! JE NE VEUX PAS !!! Je veux rester avec lui !!! Je m'acharne en continuant à essayer de le toucher.
- (T/p) il faut y aller ! Me force Takumi.
- Non ! NON !!!
- C'EST FINI (T/P) ! Crie Masahiro me saisissant les épaules et me secouant un bon coup. C'est fini...
- C'est dur, on le sait on est tous deux passés par là... Me dit Takumi. Mais maintenant on doit y aller. Il faut retrouver l'enfant.
- ...
Je n'avais pas le choix. Je criais mon mécontentement qu'on me refusa sur le moment, et je vins me prendre une baffe suite à mes caprices.
C'était fini. Ils avaient raison. La seule chose que je pouvais faire à l'instant présent, c'était observer, malheureusement.
▽▽▽
...
Il aura mit du temps à sortir celui là... Mais bon il est long, presque 3 000 mots.
Désolée de pas voir posté avant je suis un gros trou du cul. J'ai mis sur mon BaBiLlArD une explication on va dire, je suis encore une fois désolée d'être en retard je m'en veux 😭
Sinon vos pensées sur ce chapitre ?
On est morte voilà il fallait bien que ça arrive 😔 Mais bon en vrai on est pas vraiment morte donc ça va je suppose (?) C'est pas trop triste quoi :3
D'ailleurs c'est l'avant dernier, le prochain c'est l'épilogue :(
Il sortira cette semaine normalement.
Et pis après ce sera fini et je posterais une autre fanfic (une x reader 😼) qui est en cours d'écriture d'ailleurs.
EDIT : Elle est sortie c'est une Maehara x reader <3
Bref j'espère que vous ça va, n'hésitez pas à venir me voir si non je suis prête à vous écouter même si c'est pour vous plaindre de quelqu'un, JE SUIS LÀ POUR VOUS ENTENDRE <3
Merci à tous les commentaires aussi, j'ai pas été sur Wattpad ces deux dernières semaines (ou très peu) et ça me fait ultra plaisir de voir les votes et commentaires.
D'AILLEURS OMG MERCI POUR LES 21K VUES JXJDJXJZKD 😭 C'est juste incroyable merci ! Pareil pour les 60k vues sur ma Denki x Reader et les 30k sur l'autre 🥺💓
Anyway je vous vois bientôt normalement parce que je suis enfin en vacances ! Et j'ai deux semaines à rien faire devant moi (alléluia) 😌
See ya !
~ Maë ♡ ~
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top