𝘊𝘏𝘈𝘗𝘐𝘛𝘙𝘌 𝘛𝘙𝘌𝘕𝘛𝘌-𝘋𝘌𝘜𝘟 - les racines

Elizabeth n'aimait pas particulièrement aller à l'infirmerie. Pas qu'elle n'aimait pas Pomfresh, au contraire. Elizabeth aimait Pomfresh plus qu'elle n'aimait la plupart des personnes à Poudlard (et c'était compréhensible à la vu du temps qu'elles passaient ensemble depuis la première année d'Elizabeth). Non, le problème était qu'Elizabeth avait peu à peu lié lié ses visites à l'infirmerie à de gros problèmes liés à sa condition. Alors, elle avait une certaine difficulté à s'y rendre lorsqu'elle était simplement malade, ou qu'elle se sentait mal. 

Sirius n'avait pas ce soucis, évidemment. Il n'avait fallu qu'un petit éternuement pour que le garçon se déclare "malade à en crever", et qu'il n'aille se cacher à l'infirmerie, laissant James sans partenaire en cours de Botanique. Il fallait dire que la "maladie" de Sirius avait sûrement été aggravée par le fait que ce cours était la séance d'évaluation des compétences des élèves en Botanique. 

Le fait était que James était alors tout seul alors que l'évaluation se faisait en duos, et que chacun des élèves avait d'ores et déjà choisi un partenaire avant que la classe ne débute, tentant d'attraper les meilleurs élèves en la matière afin de s'en sortir avec une bonne note (Clément avait reçu bien des offres surprenantes, y compris des choses qui l'avaient fait rougir jusqu'aux oreilles, mais avait, bien-sûr, tout refusé. Il avait, après tout, déjà la partenaire parfaite). 

"Je peux me mettre avec vous?"

Clément haussa les sourcils en entendant la demande de James. Ils ne s'étaient jamais véritablement parlés, à vrai dire. Clément n'avait qu'une brève idée de la personne qu'était James grâce à des ouï-dires et les descriptions d'Elizabeth, et si il avait tenté de ne pas laisser les regards étranges que lui lançait James entacher son avis sur lui, il n'avait pu s'en empêcher. Alors, Clément n'adorait pas particulièrement James. Et inversement. 

Et pourtant, c'était Clément que James avait demandé de joindre, et c'était à Clément, et non à Elizabeth, malgré le fait qu'elle ne soit que quelques mètres plus loin, ramassant ce dont elle avait besoin, qu'il avait posé la question. 

"J'aurais pensé que tu préfèrerais être avec Remus et Peter.", déclara Clément en haussant un sourcil, avant de se tourner vers sa table pour organiser les quelques ustensiles déjà présents. "Ils t'auraient accepté sans même y réfléchir à deux fois. 

-Remus ne m'aurait rien laissé faire de peur que je l'empêche d'avoir une bonne note.", James haussa les épaules, ses yeux se décalant vers Elizabeth, qui, tellement concentrée pour ne rien faire tomber, n'avait pas encore remarqué la présence de James aux côtés de Clément. 

"On voulait aller vite pour faire autre chose après.", avoua Clément, tentant de ne pas montrer son léger ennui. Clément avait quelques informations de son père sur une espèce qu'il venait de découvrir et dont il ne devait parler à personne, donc il avait eu hâte d'en parler à Elizabeth. Ses plans tombaient à l'eau, si James était là.

"Vous irez encore plus vite avec moi, promis.

-Potter!", s'exclama Elizabeth en étalant ses trouvailles sur la table. Clément lui tendit un chiffon afin qu'elle puisse se débarrasser de la terre sur ses mains. "T'as laissé ton sweat de Quidditch dans la salle commune, après l'entrainement d'hier. Je l'ai mis dans ma chambre pour l'instant, je te le rendrai après les cours. 

-Tu peux le garder, ça te fera un truc à mettre pour le prochain match étant donné que tu n'acceptes toujours pas de jouer. 

-C'est débile, j'en ai déjà un.", ricana-t-elle, avant de reprendre ses esprits. "Qu'est-ce que tu fais là, d'ailleurs? Je te rappelle qu'on va être évalués, aujourd'hui. 

-Chourave m'a dit de choisir un groupe, comme Sirius n'est pas là. Je demandais à Clément si je pouvais me joindre à vous.", la voyant ouvrir la bouche, il rajouta en levant les yeux au ciel. "Remus et Peter ont déjà refusé."

Clément fronça les sourcils. Pourquoi James venait-il de donner une raison différente de celle qu'il lui avait donné à lui ? Elizabeth leva la tête vers Clément, qui haussa les épaules pour lui faire signe de prendre la décision finale. 

"Juste pour cette fois, alors.", James hocha la tête frénétiquement, enjoué. Elizabeth leva le doigt en sa direction d'un air menaçant. "Mais tu travailles, hein! On a pleins de trucs à faire. 

-Ai ai Cap'tain!"

Elizabeth lança un regard fatigué à Clément, qui pouffa légèrement en levant les yeux au ciel. Il tentait au mieux de ne pas montrer son ennui : même si James avait juré qu'il n'allait pas les ralentir, il sentait que c'était tout le contraire. Après tout, il voyait bien comment le garçon agissait en général, à quel point il était facile de le distraire, et même la facilité qu'il avait à distraire Elizabeth, en lui ébouriffant les cheveux ou en lui pinçant le nez, par exemple. Il fallait dire que même se faire menacer de recevoir un sort -ou recevoir un sort- ne le faisait jamais s'arrêter. 

Il tirait une certaine satisfaction dans le fait de distraire Elizabeth, et cette satisfaction surpassait, et de loin, le court inconfort que pouvait lui procurer le fait de recevoir un mauvais sort de rien du tout. Ses petits froissements de nez lorsqu'elle le réprimandait étaient devenus une petite habitude, une petite constante, et il devait avouer qu'il l'acceptait à bras ouverts comme étant un petit ancrage dans une vie aussi mouvementée qu'était la sienne.

"Allez ClemClem, c'est vraiment juste pour cette fois.", lui chuchota Elizabeth, passant son bras autour de ses épaules. Si il y avait bien quelque chose que Clément adorait chez Elizabeth c'était sa capacité à sentir quand quelque chose se tramait.  Il hocha la tête en souriant délicatement. Plus fort, Elizabeth continua en tapant dans ses mains : "Et si on commençait? Tout ça ne va pas se faire tout seul. Clément s'occupe de la manipulation, je prends des notes et James- 

-Je vous assiste autant que magiquement possible.", acquiesça-t-il, les bras croisés sur son torse. Elizabeth hocha la tête, comme si elle n'avait pas été tentée de lui dire de rester dans un coin sans bouger pour ne pas les déranger juste pour le taquiner, avant de lancer un regard à Clément pour voir s'il approuvait, juste à temps pour découvrir qu'il était déjà en train de débuter. 

"Je vois que quelqu'un est pressé de finir.", ricana-t-elle en lui frappant l'épaule, tirant le bras de James pour le rapprocher d'eux. 

"Par Merlin, tout doux Miss!", s'écria James. Voyant que Clément levait les yeux au ciel, il inspira un instant, avant de soupirer : "Pas de temps pour rigoler, j'ai compris. Je me sens d'ores et déjà exploité.

-T'as encore rien vu."


"Ok, James-", commença Clément avant de s'arrêter, un air désespéré sur le visage. Il se frotta les yeux un instant, sa main cachant la moitié de son visage. Elizabeth, intriguée, leva les yeux vers lui, souhaitant savoir qu'est-ce qui l'avait fait s'arrêter. Elle remarqua alors que, derrière sa main, Clément esquissait un sourire, ce qui lui fit lever les yeux vers James pour voir quelle bêtise il avait encore faite. 

Jusque là, James avait reçu comme mission de s'occuper de la stabilité de la plante pendant que Clément faisait les manipulations. Cependant, il n'avait fallu que d'une courte minute d'inattention pour que James ne finisse couvert de terre suite à un saut d'une des racines de la plante, qui l'avait en même temps frappée au visage. James demeurait donc ainsi, la main sur le pot pour le tenir en place, avec un air abasourdi et les yeux écarquillés comme s'il avait vu un Sombral. 

Elizabeth ne put s'empêcher d'éclater de rire. Nombreux étaient les moments où elle rigolait à s'en tordre le ventre lors des cours de Botanique -si elle et Clément travaillaient beaucoup, ils s'amusaient tout autant-, et elle adorait le fait que deux des personnes avec qui elle rigolait le plus rigolaient désormais ensemble. Elle avait eu peur, au début, que les garçons ne s'entendent pas du tout et qu'une vitre de la salle ne finisse brisée -elle avait cru sentir une certaine tension entre eux plus tôt-, mais apparement elle s'était, pour une fois, affreusement trompée. Et heureusement! Qu'aurait-elle fait si elle avait été forcée à passer deux heures avec deux carpes?

"Tu sais quoi?", fit Elizabeth en tendant un torchon à James pour qu'il essuie les résidus de terre sur sa joue. "On switch nos jobs. Il ne reste que deux-trois notes à prendre, et j'ai mal au poignet à force d'écrire."

James se frotta la joue comme un enfant, laissant une petite trace rouge de la friction du tissu avec sa peau, et acquiesça joyeusement, perdant sa façade ahurie. Il posa sa main sur la taille d'Elizabeth pour les faire échanger leur place, lui volant par la même occasion sa plume. Il s'arrêta un instant en regardant l'objet qu'il venait de voler, les sourcils froncés. Quand il se retourna vers Elizabeth, un sourire malin avait pris place sur son visage : 

"Alors comme ça notre petite Eli marque les initiales de son petit béguin sur sa plume, uh? C'est qui "E.P"? Ethan Pix? 

-Qui est Ethan Pix?", chuchota Clément.

"Aucune idée : j'ai inventé ce nom pour la faire réagir.", répondit James aussi fort que lui, c'est à dire juste assez pour qu'Elizabeth entende et s'amuse de la situation. Il continua, un poil plus fort "Alors Eli? Mmh? 

-Idiot.", soupira-t-elle sans pouvoir s'empêcher de sourire. "C'est "E.M" pour Emma Plotta.", face au visage incompréhensif des garçons, elle poursuivit: "Ma grand-mère. Elle m'a demandé si j'avais finalement réussi à reproduire l'engrais des serres. 

-Et alors?", s'induit James. Ce fut Clément qui répondit : 

"C'est ce sur quoi on devait travailler après avoir fini tout ça.", il montra le matériel autour d'eux. 

"Alors au travail, qu'est ce qu'on attend? On ne fait pas attendre Mamie Plotta voyons!

-Pour l'amour de Poudlard. Si je ne l'ai pas étranglé avant la fin de la journée, mettez moi une couronne et agenouillez-vous devant moi.

-Will do.", l'assura Clément. 

Et juste comme ça, leur travail reprit. James eut du mal à s'adapter à la plume d'Elizabeth, d'abord (James : "Mais je te dis qu'elle est difforme, ta plume! Elle fonctionne à peine, en plus."; Elizabeth : "Si tu arrêtais de la gigoter dans tous les sens elle marcherait mieux! Et puis, je te rappelle que toutes les plumes sont pareilles." ; James : "Bah pas la tienne apparemment!" Elizabeth : "Mais je vais l'étrangler!" ; Clément "Si vous n'arrêtez pas, il y aura trois morts dans cette salle!" ; James : "Trois?" ; Clément : "Je devrais y passer en même temps, question de principe."), mais il finit par s'y faire, et il ne fallut que quelques minutes de plus pour qu'ils ne viennent à bout de leur tâche. 

Aussitôt, après un simple hochement de tête d'Elizabeth, Clément attrapa leur travail pour l'apporter à la professeure, tandis qu'Elizabeth se pencha pour attraper deux/trois bricoles, sous le regard perdu de James. Il fallait dire que, depuis le début du cours, il y avait bien des choses que ces deux là faisaient sans que James ne comprenne particulièrement. Ils semblaient avoir pris une certaine habitude, développé un certain talent de parler sans dire aucun mot. Et ça intriguait James au plus haut point. 

"Dis moi Luck.", Elizabeth pencha sa tête sur le côté pour montrer qu'elle l'écoutait, sans pour autant se décoller de sa tâche. James se pencha légèrement, utilisant la plume d'Elizabeth pour faire des allers-retours entre elle et Clément. "Ce petit truc que vous venez de faire là-

-Quel petit truc?

-Le 'J'ai rien dit mais tu comprends'.", fit-il. Elizabeth pouffa légèrement à ses mots, mais le laissa continuer. "Vous vous êtes entrainés à le faire ou c'est venu naturellement?"

Elizabeth se redressa, les yeux plissés, une grimace sur le visage. Elle finit par se frotter les paupières, et posa une main sur l'épaule de James pour la tapoter.

"Oui oui James, on s'entraine pour le faire. Toutes les semaines on se dit 'Eh, si on s'entrainait à faire notre petit truc?', et quand on ne réussit pas on se coupe un bout de doigt. Qu'est-ce que- ... James!

-Je vérifiais.", expliqua-t-il en lâchant le doigt qu'il avait soulevé. Il reçut un coup de carnet derrière la tête, et, surpris, il fit tomber la plupart du matériel qu'Elizabeth avait posé sur leur table par terre. 

Ça commençait bien!



Les mains tripotant les différents matériaux autour de lui, Clément avait un air pensif sur le visage. Il semblait vouloir dire quelque chose, et ce quelque chose semblait le ronger de l'intérieur, comme une souris dans un labyrinthe fait en fromage. Il lançait constamment des petits coups d'oeil hésitants vers James, et tapotait dans un rythme mécanique son doigt contre la table, attirant l'attention d'Elizabeth sur lui. Quand il vit qu'Elizabeth s'était arrêté pour s'assurer de sa bien-aisance, il se redressa et inspira profondément. 

"J'ai quelque chose à vous dire, je ne suis censé le dire à personne et c'est pour ça que ke ne voulais pas trop que James se rajoute dans notre groupe au départ, parce que je voulais le dire à Elizabeth, mais au final James, t'es pas si horrible que je ne le pensais, donc je pense que ça ne me dérange pas de te mettre dans la confidence si tu promets de ne rien répéter à personne.", déballa-t-il à une vitesse ahurissante, ne prenant même pas le temps de s'arrêter pour respirer convenablement. Sa phrase l'avait laissé haletant, si bien que James n'eut pas besoin de le couper pour lui répondre. 

"Tu peux me faire confiance, Clément.", fit-il solennellement, d'une telle sorte qu'Elizabeth faillit éclater de rire. Cependant, le petit coup de poing amical qu'orchestra James à Clément la fit se taire puisqu'elle savait que, si aucun des deux ne semblait très à l'aise dans l'idée de confier un secret à quelqu'un d'autre, ou même d'accepter le secret de quelqu'un qu'ils connaissaient à peine, ils avaient la bonté d'essayer. Cette simple idée eu la don de dessiner l'esquisse d'un sourire attendri sur la bouche pêche d'Elizabeth. 

Clément regarda Elizabeth, qui hocha doucement la tête, comme pour lui donner son approbation de parler. C'aurait été surprenant pour quiconque de découvrir de tels enfants, hésitants et toujours en recherche du bon chemin, chez Clément Scamender, et même parfois chez James Potter. En vérité, très peu s'en rendaient compte : les plus jeunes, les plus âgés, et même les personnes de leur âge avaient tendance à ne pas se rendre compte de la vulnérabilité intense qu'on trouvait chez la plupart des adolescents. Et pourtant elle était là, cette quête de validation, cachée derrière deux blagues obscènes et trois cours de magie. Elizabeth, tout autant que Remus, l'avait trouvée. 

Et alors, Clément commença. Tout s'enchainait assez vite, tant dans sa tête que dans ses mots, si bien qu'il lui fallut répéter la plupart de ses phrases une seconde fois, mais l'idée finale arriva : son père avait découvert une nouvelle créature magique, et il allait la présenter au ministère de la magie le jour même.

"Et tu as osé nous cacher ça pendant quoi, une heure et quart?", s'étonna Elizabeth, secouant Clément par l'épaule pour montrer son excitation face à la nouvelle. "Mais c'est énorme! Et comment compte-t-il l'appeler? Il connait son mode de vie? Où l'a-t-il trouvé? 

-Il attend l'autorisation du ministère pour obtenir davantage de matériel pour ses recherches. Si tout se passe comme prévu, la créature sera sûrement dans nos livre de Soin Aux Créatures Magiques de l'année prochaine!

-Et qu'est-ce qu'elle fait exactement, sa créature?", s'intéressa James en continuant de travailler sur l'engrais. Les deux autres semblaient avoir partiellement oublié leur tâche officielle, si bien qu'il était dorénavant le seul à se concentrer dessus. 

"Sa bave fait pousser des Calocères visqueuses : c'est d'ailleurs en suivant une route de ces champignons qu'il a trouvé la créature!"

James sembla avoir une révélation. Tout de suite, il se pencha pour aller en dessous de leur table, arpentant le sol jusqu'à se placer là où il avait fait tomber les affaires d'Elizabeth un peu plus tôt. Sous les regards étonnés de ses camarades, il écrasa un champignon qu'il avait ramassé et le mélangea à la base qu'ils avaient contactés, Clément, Elizabeth et lui. Il attrapa alors l'échantillon d'engrais qu'Elizabeth avait "emprunté" aux serres pour comparer, et soupira de soulagement. 

"Hum Miss? Scamender?", appela-t-il, sachant très bien qu'il avait déjà leur attention. "J'ai fini.", annonça-t-il fièrement, poussant son échantillon pour qu'il atterrisse entre Elizabeth et Clément. 

"Par Merlin.", s'étonna Clément, passant sa main dans l'engrais sans même réfléchir à toute la saleté qui se trouvait dedans. 

"Bloody hell, James,", commença Elizabeth en fixant la table. Elle redressa la tête pour le regarder, le sourire jusqu'aux yeux. "T'as réussi!"

Naturellement, et sans vraiment y réfléchir, elle prit James dans ses bras, passant ses bras autour de sa nuque. Le garçon resta figé, les yeux écarquillés et ses mains éloignées du corps d'Elizabeth de peur de transmettre de l'engrais qui tachait ses mains sur elle. Quand il se sentit enfin reprendre contrôle de son corps, il fit la seule chose qu'il pouvait faire : il se baissa légèrement, et posa sa tête sur l'épaule d'Elizabeth. 

"J'espère que ta grand-mère m'acceptera chez elle pour Noël, maintenant. 

-Oh, crois moi, je pense que tu pourras arriver chez elle à l'improviste sans qu'elle ne dise rien!

-Et sans que tu ne dises rien non plus j'espère?"

Elizabeth pouffa, et lâcha James, le faisant inspirer profondément, comme si l'étreinte qu'elle lui avait faite avait été si forte qu'elle lui avait coupé le souffle (ou comme si la présence d'Elizabeth si proche de lui lui avait coupé le souffle). Elle lui ébouriffa les cheveux avec un petit sourire : 

"Oh non, il faudra bien plus que ça pour rentrer dans mes bons quartiers.

-Alors il vaut mieux que je m'y mette dès maintenant."



[Désolé pour cette très très longue attente! je dois avouer que je me fais un peu dépasser par les cours et les évènements: il s'est passé tellement de choses dans ma vie dernièrement (négatives comme positives) que je ne pourrais les compter sur els doigts de ma main! Enfin bref, voici le chapitre tant attendu, je sais que c'est loin de ce que vous deviez attendre après des mois d'attente, et je ne sais pas si le prochain sera mieux ou quand il arrivera, mais il finira par arriver! en attendant, bonne année, et j'espère que tout se passe bien pour vous tous! ]

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