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𝐶'𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑎̀ 𝑐̧𝑎 𝑞𝑢𝑒 𝑟𝑒𝑠𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒 𝑙𝑒 𝑑𝑒́𝑠𝑖𝑟 𝑖𝑛𝑓𝑒𝑟𝑛𝑎𝑙.
𝐶𝑒𝑙𝑢𝑖 𝑞𝑢𝑖 𝑡𝑟𝑎𝑛𝑠𝑐𝑒𝑛𝑑𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒𝑠.
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Le ventre plein, presque trop même, Izuku franchit la porte de l'établissement sans s'inquiéter outre mesure de la facture, abandonnant gentiment son frère devant le terminal de paiement, le devinant grimaçant et grinçant des dents.

Pour sûr que ce repas ne s'est pas déroulé aussi facilement qu'espéré, et la discussion, bien que plutôt calme vers la fin, a grondé quelques fois de part et d'autre de la nappe.
Plus mal à l'aise qu'il ne le pensait, Izuku s'entendait perdre ses mots, mâchant ses phrases entre deux séances d'arbitrage pour contenir les tensions qui continuent d'opposer Mikumo et Katsuki.
Même avec toute la bonne volonté du monde, il sait qu'il leur faudra du temps pour se tolérer mutuellement, mais les efforts qu'ils acceptent de donner en commun suffisent déjà à le rassurer.

L'idée de ne plus avoir à faire un choix quelconque entre les deux moitié de son cœur lui permet enfin de respirer plus convenablement, malgré les doutes qui persistent contre son gré, les appréhensions communes à chaque histoire, et les complications qui s'imbriquent autour d'eux.
Un peu avant la fin du repas, alors que l'ambiance oscillait entre deux états, il a vu Mikumo détourner son visage, faisant mine de frotter sa joue contre son épaule en fixant son regard vers le mur le plus proche.
Izuku connait les mimiques et les dissimulations de son jumeau, et ce geste là, il sait qu'il ne le voit que lorsque son frère se retient de pleurer, de toutes ses forces, l'attitude faussement détachée pour ravaler l'angoisse qui lui tord le cou.

C'est comme ça que son corps réagit quand il brûle d'inquiétude, quand il perd une partie de son contrôle sur les situations dans lesquelles il se trouve impliqué, en particulier quand celles ci concernent Izuku lui-même.
Et cette réaction, ils la doivent à la révélation de Katsuki, à la fin de leurs petites négociations personnelles, au moment où le nom d'Inasa a surgit dans la conversation, et qu'il a fallu revenir sur sa pseudo rupture avec Katsuki.
Mikumo s'en doutait, il s'attendait très visiblement à l'entendre dire qu'Inasa ferait des siennes, mais la suite de l'histoire l'a crispé, et le stress l'a poussé à perdre contenance.

_ Ca va ? l'interpelle machinalement Katsuki, à sa droite, en l'observant se perdre en réflexions.

_ Oui, oui, ça va. Je repensais juste à notre discussion. C'était un peu plus tendu que prévu, j'espère que tu m'en veux pas.

_ Je vois pas pourquoi je t'en voudrais. Fallait se douter que ça serait comme ça.

_ Hm ..

Avançant de quelques pas lents pour ne pas complètement semer Mikumo, qui sort tout juste à son tour du bâtiment, Izuku soupire d'un mélange de soulagement et d'appréhension.
Aussi, la sensation de son estomac prêt à se rompre l'incommode légèrement, et s'il ne se trouvait pas dans la rue, il ouvrirait volontiers la ceinture de son pantalon, avant d'aller s'affaler quelque part et de faire une sieste bien méritée.
Mais puisqu'il doit prendre sur lui pour aujourd'hui, il frotte sa main contre le haut de son ventre, espérant soulager un tant soi peu l'inconfort qu'il ressent.

_ Tu veux faire quelque chose ? demande t-il à Katsuki.

_ Quelque chose ?

_ A moins que tu préfères retourner à Yuei pour suivre les cours de l'après-midi. Mais moi je vais sûrement rester dehors, je sais pas encore ce que je vais faire, mais si tu veux rester avec moi ...

_ Ca dépend. Tu veux que je reste avec toi ? sourit Katsuki, taquin sur les bords.

_ Bien sûr !

Puis, sur ces paroles, sans aucune idée à ce stade d'une quelconque destination, ils se contentent de continuer de marcher au hasard sur un trottoir, suivant une destination aléatoire, alors que Mikumo atteint tout juste leur hauteur.
Ce dernier, le nez penché sur l'écran de son téléphone, ne semble pas s'occuper de leur conversation, se décidant simplement de leur emboiter le pas par automatisme tout en répondant à une poignée de messages reçus.
Puis, interpellé d'un coup par une devanture colorée, il s'arrête net, les étoiles dans les yeux et le sourire plus grand que son visage.

_ Izuku, faut que je m'arrête à ce magasin. Tu m'attends ?

_ Encore ? souligne Izuku en jetant un oeil à la vitrine.

_ Promis je me dépêche.

_ Bien sûr, comme les autres fois. ricane t-il, avant de céder à la moue trépignante de son frère. Aller dépêche toi.

Un jour, Izuku n'en doute pas, son frère devra se faire construire un dressing de soixante-dix mètre carrés, rien que pour ranger la moitié de la montagne de vêtements qu'il collectionne.
Souvent pour ne les porter qu'une seule fois en plus, mais il semble qu'il n'en ait jamais assez.

_ Je rêve. se moque doucement Katsuki. Mikumo est une diva.

_ Mon père lui donne plus d'argent, sûrement pour être sûr de bien montrer qu'il a un préféré. Mikumo a raison d'en profiter en soi. Je ferais probablement pareil à sa place.

Sur l'expression du visage de Katsuki, il voit que celui ci se retient très fort d'insulter leur père, et s'il ne l'aurait pas particulièrement mal pris, Izuku le remercie malgré tout, silencieusement, de ne rien dire à ce propos.
Ne serait-ce que pour ne pas ajouter un nouveau débat à cette journée déjà bien suffisamment chargée.

_ On n'est peut-être pas obligés de l'attendre sur le trottoir par contre, si ? grimace Katsuki en relançant la discussion.

_ Non, viens.

Même si Izuku ne vient que rarement dans ce coin, il le connait assez pour guider Katsuki vers une autre destination. Il ne sait plus exactement s'il leur faudra cinq ou dix minutes pour atteindre l'espace ouvert et verdoyant près de l'ancien gymnase, mais il se souvient du trajet pour s'y rendre.
Alors, sans hésitation, il l'invite à sa suite le long de la rue qu'ils longent encore, près des quelques voitures qui font office de bruit de fond.
Et un sentiment singulier rempli l'espace entre ses côtes, en même temps qu'il prend conscience de n'avoir plus rien à cacher.

S'il le veut, maintenant tout de suite, il peut prendre la main de Katsuki, ou bien se rapprocher jusqu'à effleurer sa hanche sous ses doigts, et rien ne peut véritablement l'en empêcher.
Il peut lui parler ouvertement, sans se demander si quelqu'un pourrait les entendre ou les voir, il peut ne pas s'inquiéter de la présence de Mikumo à quelques mètres de là, et surtout il peut enfin agir comme bon lui semble, ne plus se dissimuler lui-même.
Toutefois, il choisit volontairement ne pas chercher le contact pour l'instant, simplement parce qu'il juge que le moment ne serait pas bien choisi.
Pas comme ça, pas en marchant le long d'un trottoir, là où il ne pourra pas observer le regard de Katsuki en même temps qu'il touchera sa peau.

Ce serait comme gâcher l'instant.

Il peut patienter encore quelques minutes, et le jeu en vaut la chandelle.

_ Je ne sais pas si tu as envie d'en parler .. commence t-il timidement. Mais Inasa .. Tu sais ce que tu vas faire ?

_ Je ne sais pas si je dois faire quelque chose. Il se calmera peut-être tout seul. Tant qu'il ne fait rien d'autre, je ne vais rien faire non plus.

_ Tu crois qu'il a juste dit ça sur le coup de la colère ?

_ Il a une grande gueule, mais je ne pense pas que ça aille plus loin que ça. Dans tous les cas, c'est pas moi qui vais aller le provoquer. Je préfère espérer qu'il va se calmer.

Hochant la tête, Izuku se mord discrètement la lèvre inférieure, masquant l'anxiété qui parasite la précédente plénitude de ses émotions.
Entre son absentéisme régulier et celui presque similaire d'Inasa, il ne l'a presque jamais vraiment vu, tout juste croisé, sans jamais lui parler ni même le connaitre franchement.
Tout ce qu'il sait de lui, c'est son apparence et sa tendance à enchainer les conquêtes jamais bien sérieuses.
Mais ce serait trop lui demander de ne pas s'inquiéter un instant de son état de crise face à Katsuki, et la colère sans jugement qu'il a subitement montrée plus tôt dans la journée.

_ Tu sais, il peut criser autant qu'il veut, il n'y aura plus rien quand même entre lui et moi. tente de rassurer Katsuki.

_ Je te crois, et je n'en doute pas.

Mais lui aussi, il a entendu son récit tout à l'heure, pendant qu'il exposait l'échange de cris entre lui et Inasa, racontant à quel point ce dernier n'a pas supporté la nouvelle, au point de tenter de le retenir par la force, et lui promettant dans sa rage de, il cite, "encastrer la gueule des putains de jumeaux" s'il ne reste pas avec lui.
Pour dire la vérité pure, Izuku a surtout sincèrement peur de se prendre une droite vengeresse de la part de ce type, parce que contrairement à Mikumo, lui ne sait absolument ni se battre ni se défendre.
Si Inasa venait véritablement à vouloir lui coller un pain pour soulager sa frustration, pour sûr qu'il le prendra en pleine face, de plein fouet, et juste pour ça il n'est pas serein.

Encore moins en sachant que, si ça venait à se produire, il faudra ensuite ligoter Mikumo, qui n'hésitera pas à ramener un char d'assaut dans les couloirs de Yuei pour lui rendre son coup.

_ T'as peur qu'il déclenche une guerre avec ton frère ?

_ Pitié pas ça .. soupire Izuku en repensant à ses propres craintes.

_ J'espère pas, t'imagines ça voudrait dire que je serais obligé de m'allier à Mikumo.

_ Vous êtes pas possibles tous les deux .. qu'est ce que je vais faire de vous .. ricane doucement Izuku, faussement désespéré.

_ J'ai bien une petite idée.

En tournant sur leur gauche, quittant la zone commerciale pour rejoindre un espace de parkings et de petites échoppes de quartiers, Izuku perçoit parfaitement l'onde taquine dans la voix de Katsuki, qui semble ne même pas chercher à le cacher du reste.
Un sourire instantané brise la ligne de ses lèvres, en même temps qu'il se devine en train de rougir très légèrement, sentant un frisson plus chaud que la température extérieure lui couvrir le ventre.

_ Quel genre d'idée ?

_ Enfin, tu n'es pas obligé de l'accepter. provoque Katsuki pour le faire tourner en rond.

_ Il faudrait d'abord que je sache ce que c'est avant d'accepter ou non.

_ Oui mais tu n'es pas obligé non plus de vouloir l'entendre.

Il sait qu'il le cherche, et il sait qu'il sait, mais cette expression joueuse, à moitié aguicheuse qui se répand sur le visage de Katsuki, la petite danse de la lumière dans ses iris, son sourire qui se retient de s'élargir .. Il suffit à Izuku de le regarder pour se sentir prêt à craquer.
Il se souvient d'avoir presque vu cette même moue sur sa bouche quand il menaçait de le border lui-même dans son lit après la soirée de Jirou, un quart de minute avant de l'embrasser furtivement.
Alors évidemment, son sang s'échauffe.

Outre le soleil qui cogne par-dessus le ciel tout dénué de nuage, l'absence de vent et le goudron qui emmagasine la chaleur depuis ce matin, c'est bien ce regard, qu'il lui lance à un mètre de lui, qui le met en ébullition.
Leur destination se trouve a encore trois ou quatre minutes de marche, mais soudain, quelque chose lui dit qu'ils s'apprêtent à faire une escale, ici, entre trois voitures vides et une boutique fermée.

_ Je suis tout ouvert à ta proposition, dis moi tout. indique t-il tout en s'arrêtant.

Imitant sa décision, Katsuki stoppe sa marche à son tour, inspecte rapidement l'environnement qui les entoure et, bien que loin d'être dans le lieu idéal, termine en s'approchant de lui. Juste d'un pas. Juste assez pour lui parler de plus près.
Dans la poitrine d'Izuku, la goupille de la grenade vient de sauter.

_ Alors .. Je me disais que, pour l'instant, tu pourrais laisser Mikumo là où il est pour commencer.

_ D'accord, et pour le reste.

Pour le jeu, amusé par l'attitude outrageusement fiévreuse de Katsuki, Izuku agrémente sa réponse d'un pas en arrière, puis d'un autre quand il le voit réagir en s'approchant encore davantage.

_ Et pour le reste, vu qu'on est là tous les deux, j'ai pensé à un truc qu'on pourrait faire.

_ Je t'écoute. sourit-il en reculant encore, jusqu'à se sentir buter doucement contre le pare choc d'une voiture inconnue.

Cette fois, il ne pourras pas aller plus loin, dans la mesure où sa volonté n'est, de toute manière, pas de s'enfuir.
Bien loin de là.
Mais, maintenant qu'il ne bougera plus, Katsuki arque un sourcil provocateur, aussi sérieux qu'il peut l'être dans cette situation -c'est à dire pas beaucoup en définitive-, avant de combler les résidus de distance entre eux.

_ Je pourrai venir juste là. souffle t-il en l'emprisonnant entre lui et la voiture.

La respiration presque coupée, Izuku le sent se coller à lui de presque tout son corps.
Son torse à moins d'un centimètre de ses côtes, à peine séparés par la portée d'une pulsation cardiaque. Le bas de son ventre, qui se presse à son nombril. Et son bassin, qui rencontre l'espace entre ses hanches.
La pression qu'il exerce machinalement sur la ceinture de son pantalon, le contact qu'il devine si les vêtements ne les gênaient pas, et ses mains qui viennent se poser dans les creux de ses reins.

_ Et après ? grésille t-il, à deux doigts d'oublier où ils se trouvent.

_ Et après je sais pas.

En soufflant ses mots pourtant, Katsuki s'illumine d'un dernier sourire, juste avant de chercher sa bouche. Mille fois plus lentement que la première fois, à mille lieux de toute forme de précipitation, ses lèvres ne le frôlent qu'à peine. Comme on découvre un territoire, comme on explore un nouvelle contrée, il ne convoite en premier que la caresse douce et tiède qu'il trouve ici.
Izuku ferme les yeux, mais ses sens ne s'en déploient que davantage, il lui semble tout à coup ressentir de nouvelles sensations physique.
Un peu comme si son corps venait de créer un milliard de terminaisons nerveuses supplémentaire, il perçoit le contact des mains et du corps de Katsuki avec tellement de précision.

Ses lèvres, tout juste ouvertes, explorent elles aussi la caresse foutrement sensuelle de Katsuki, il goute les saveurs qui s'y trouvent en même temps que la grenade de sa poitrine menace d'exploser dans moins d'une minute.
A l'image d'un compte à rebours braqué sur ses paupières, il peut déterminer les secondes qu'il lui reste avant de ne plus pouvoir se contenir, et son cœur bat si fort ..
Il respire à peine.

C'est donc à ça que ressemble le désir infernal, celui qui transcende tous les autres.

Et il brûle si fort, ce désir, qu'il finit de faire éclater la grenade, qui s'éparpille brutalement en confettis entre ses organes, elle fait crépiter son corps, et même sa peau, elle lui fait perdre pied, elle le submerge de toute sa force.
Alors, parce qu'il ne peut plus attendre une seconde supplémentaire pour s'offrir sa propre délivrance, il plaque la paume de sa main contre la nuque de Katsuki, agrippant l'autre main au col de son uniforme, pour enfin l'embrasser plus profondément.
Sa gorge, calcinée, se libère malgré tout d'un inaudible soupir quand ses lèvres fusionnent enfin avec celles de l'homme qu'il a choisi, et le baiser les engloutis complètement, devenant plus fort qu'eux, plus intense et plus véritable que toutes les lois de l'univers.

Noyé d'amour et de sensations, Katsuki promènent ses deux mains autour de ses courbes, jusqu'à l'enlacer complètement et fermement, braqué contre Izuku qui le tient toujours par la nuque et le col.
Une fois, deux fois, trois fois, le baiser se renouvelle, ils s'enchainent, et leurs lèvres bougent ensemble pour ne jamais se perdre, elles s'échauffent ensemble.
Puis, en même temps qu'il sent la pression devenir dangereusement fiévreuse en dessous de la boucle de sa ceinture, Izuku se permet un passage autorisé entre les dents de Katsuki, et sa langue entre dans sa bouche.
Elle touche la sienne, chaude et humide, elle se promène un peu, s'éloigne et puis revient.

Lui, pendant ce temps, se dissout de l'intérieur, comme un bonhomme de neige sous le soleil du Sahara, il se sent fondre et se répandre, l'esprit bientôt éteint, simplement guidé par l'envie qui le dépasse et la brûlure du bassin de Katsuki collé à lui.
Et s'ils n'étaient pas là, au milieu d'un parking urbain, s'ils pouvaient se défaire de toutes ces entraves qui recouvrent leurs peaux, jusqu'à quel point cette folie pourrait continuer de grandir ?
Et s'il pouvait mettre ses mains sous sa chemise d'uniforme, toucher son ventre et son torse, embrasser la ligne sous son diaphragme.
Et si-

_ C'est comme ça que vous m'attendez ?

_ Putain Mikumo ! sursaute Izuku d'un bond en cambrant son dos en arrière pour s'écarter de Katsuki.

_ Ah bah pardonne moi, mais vous êtes pas tout à fait tout seul ici je vous signale. D'ailleurs je viens de croiser une vieille, je comprends mieux pourquoi elle avait l'air d'avoir vu un fantôme. J'ose même pas imaginer si le propriétaire de la bagnole sur laquelle vous êtes entrain de vous lécher les amygdales s'était pointé.

Puis, face aux deux amoureux plus que désorientés, Mikumo murmure un juron en baissant les yeux, avant de se retourner, désabusé, la main sur le front et les sourcils plissés.

_ Ok, je vous laisse cinq minutes pour vous calmer, je vais faire comme si j'avais rien vu.

_ Merde .. souffle Izuku en réalisant que, même cachée sous sa ceinture, cette érection bien peu discrète se voit parfaitement.

_ Et par pitié, lance Mikumo tout en s'éloignant, venez à la maison. J'ai pas envie d'être associé à deux nympho qui se couchent sur les voitures des gens. J'ai déjà assez de problèmes à régler.

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Hey !

Me revoilà après ma petite pause !
J'espère que l'attente en valait le coup, et que le chapitre vous a plu 🥰

Bon, on s'approche quand même un peu de la fin globalement, l'intrigue principale est sur sa fin, mais on a encore quelques chapitres devant nous évidemment !

Je vous fais des bisous en attendant le prochain 😘

Prenez soin de vous ❤🦩