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𝐽𝑒 𝑣𝑒𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑡𝑎 𝑣𝑖𝑒 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑗𝑒 𝑛𝑒
𝑙𝑒 𝑓𝑒𝑟𝑎𝑖𝑠 𝑗𝑎𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑚𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒.
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Il ne fait pas encore jour quand il se réveille. En avance sur l'alarme de son téléphone, la fatigue de sa courte nuit pèse néanmoins sur ses paupières, qu'il espérait pouvoir refermer quelques minutes, mais le sommeil semble s'être déjà enfui. 
Malgré tout, le confort du lit l'enveloppe dans une tendre chaleur agréable et, en soupirant d'aise, il remonte la couverture sur ses épaules en se blottissant contre l'oreiller tiède. 
Ses membres encore engourdis se recroquevillent les uns contre les autres, ses côtes s'entassent dans le matelas moelleux, tandis qu'il respire tranquillement dans le noir. 
Mais en dépit de ce petit moment de détente et de douceur, il n'en reste pas moins qu'il n'a presque pas fermé l'oeil de la nuit. 

La cervelle en feu, et les idées tourbillonnant dans toutes les directions, la douleur dans sa tête s'est mise à pulser, et l'insomnie a suivi dans la foulée. 
Au final, il n'a trouvé un brin de somnolence que sur les coups de quatre heure trente du matin, pour finalement se réveiller à peine cent vingt minutes plus tard, avec des cernes qu'il devine pharamineuses. 
Pourtant, ce n'était pas faute d'être déjà bien épuisé hier, et en temps normal, il aurait roupillé comme un loir pour récupérer de sa fatigue accumulée. Mais pas cette fois. 
Il pensait trop, réfléchissait trop, et cette inquiétude sourde et profonde qui le ronge .. Elle le grignote de l'intérieur depuis qu'il a retrouvé son frère hier. 

Il ne supporte pas cet état dans lequel il se retrouve. 

Lentement, une fois l'apaisement du réveil passé et alors qu'il se lasse progressivement du contact des draps sur sa peau, il soupire à nouveau, de frustration cette fois, avant de se tourner discrètement sur le dos. 
Ses articulations craquent de se remettre en mouvement, mais il veille à bouger sans perturber le sommeil de son frère à ses côtés qui, après avoir pleuré de douleur la moitié de la nuit, profite enfin d'un peu de repos. 
Enfin, il se redresse un peu plus, et cherche son téléphone près de lui pour s'éclairer. 
Sous la lumière de son fond d'écran, il coule un regard formel à l'ensemble de la chambre qui n'est pas la sienne, voyant le petit bazar ici et là, et la décoration dont il ne partage clairement pas les goûts. 

Puis, avant de se décider à sortir du lit, puisque de toute manière il ne dormira plus, il se penche au-dessus du visage de son jumeau endormi. Par automatisme, il passe une main dans les cheveux emmêlés pour dégager le front de l'ensommeillé afin d'en supposer la température. 
Difficile d'estimer la fièvre quand il vient de passer des heures au chaud contre un oreiller, et il sait son geste relativement caduque, mais son besoin de prendre soin de lui passe avant tout. 
Et quand il le voit comme ça, encore frêle de ces heures de souffrance, la couette remontée jusque sous le menton comme s'il mourait de froid, il peine vraiment à se faire à l'idée de le laisser seul. 

_ Il est quelle heure ? ronronne à peine le malade en frottant sa joue au coussin. 

_ Six heure et demi. Mais tu restes là aujourd'hui, repose toi. 

_ J'ai faim. 

_ Je vais te monter quelque chose. Rendors toi en attendant. conclut-il avant de s'extirper doucement des draps. 

Dans les faits, il préfèrerait rater sa journée et rester avec lui pour le surveiller. Mais sur le principe, il doit absolument se rendre à Yuei, et il sait par ailleurs qu'Izuku ne le laissera pas sécher juste pour l'accompagner. 
Pas qu'il craigne particulièrement de se faire engueuler, mais parce que ce fou serait bien capable, pour la peine, d'aller à Yuei dans son état lamentable pour le forcer à en faire de même. 

Et Izuku reste, depuis et pour toujours, ce qu'il a de plus précieux. 

Alors il ne s'en remet pas, de l'état dans lequel il l'a retrouvé hier matin, quand ce dernier est revenu à la soirée de Jirou un peu après six heure.
Il faisait nuit noire, et pour être honnête, Mikumo cuvait copieusement sa pharaonique murge contre un coin de souche.
Alcoolisé jusqu'à la pointe des cheveux, il percevait à peine les vibrations de la musique autour de lui, qui le berçaient comme des murmures lointains.
Son corps lui donnait la sensation de flotter dans le vide, et le sol qu'il ne sentait plus basculait dans un sens et dans l'autre.

Ses potes n'en menaient pas plus large, certains tout aussi échoués que lui, tandis que d'autres survivaient encore en dansant au rythme de la musique.
Soudain, alors qu'il comatait en silence les yeux fermés, un étau chauffé à blanc lui serra l'estomac, et une alarme se déclencha dans son cerveau. Tel l'alerte d'urgence du sixième sens qui agite l'instinct de survie, une décharge électrique le remit instantanément sur ses jambes.
Décuvé en une seconde, et affolé comme un animal en cage, il s'est mis à piétiner le sol d'anxiété.

Quelque chose lui indiquait qu'Izuku avait besoin de lui, ce même quelque chose qui transcende sa peau à chaque fois qu'il le devine en danger ou en détresse.
La panique lui suggéra de partir à sa recherche, même à l'aveuglette, sans même savoir où il se trouvait, mais son jumeau l'avait déjà devancé, et il l'a vu débarquer de nul part.

Izuku paraissait fatigué, mais surtout, Mikumo comprit immédiatement qu'il venait de faire le chemin retour, depuis chez Katsuki, tout seul dans la nuit, sur les routes dangereuses et dans les bois sombres. Aussi, il le remarqua frigorifié, sans veste, le visage inquiet comme s'il le cherchait partout depuis des heures.
Et quand il est arrivé à sa hauteur, et que Mikumo l'a saisi par les épaules pour s'assurer qu'il n'avait rien, Izuku s'est mis à pleurer comme un enfant.

Pour autant, il n'a rien voulu lui dire de ce qui le mettait dans cet état ..
Mikumo a eu beau insister, poser des questions, le supplier de lui parler, il ne lui a rien lâché.
Tout ce qu'il sait, c'est qu'Izuku a paniqué pour une raison qu'il ignore, et qu'en retrouvant son jumeau, la pression est retombée si vite qu'il s'est effondré.
Et avec ce peu d'informations, tout que Mikumo peut en déduire, c'est que quelque chose de mauvais s'est produit lorsqu'il se trouvait avec Katsuki.

Finalement, avec Izuku dans cet état dans ses bras, il a envoyé tout le monde se faire foutre, à commencer par son père.
À midi, il n'est pas rentré à la maison, mais Denki les a accueillis dans sa petite coloc pour qu'ils y squattent jusqu'au départ d'Hisashi. Ce dernier d'ailleurs, a laissé une quinzaine d'appels manqués et tout autant de messages vocaux que Mikumo n'a pas écouté sur son téléphone.
Il s'en foutait pas mal sur l'instant.

Et puis, comme à chaque fois qu'il croule sous le stress et la surcharge émotionnelle, Izuku a commencé à se plaindre d'un début de migraine, qui n'a fait qu'accroitre et qui ne l'a pas lâché.
Quand ils sont finalement rentrés chez eux en fin de journée, Inko a tenté de les interroger, avant de comprendre qu'elle parlait dans le vide quand Mikumo a emmené son jumeau à l'étage pour le coucher.
Presque toute la nuit, la douleur torturait tellement Izuku qu'il en a versé des larmes et soufflé des sanglots, sans que rien ne parvienne à le soulager.

Alors forcément, ce matin, Mikumo ne peut pas se permettre de ne pas se rendre à Yuei.
Il doit voir Katsuki, et lui faire cracher des révélations par n'importe quel moyen.
Pour mettre Izuku dans un tel état, il va de soi que ce qu'il s'est passé n'a rien d'anodin ou d'anecdotique, et puisqu'il ne laissera jamais personne faire du mal à la prunelle de ses yeux, l'insupportable blondinet va devoir lui rendre des comptes ! 

Bon. Par soucis de morale, il se promet de ne pas générer autant de problèmes que lorsqu'il a réglé son compte à Tomura, celui qui portera pour toujours sur son visage les cicatrices d'une poignée de coups de pelle en pleine face. 
En même temps, quand Mikumo a appris que ce détraqué s'amusait à le suivre partout comme un prédateur sauvage, il ne lui a pas fallu plus de dix minutes pour trouver son nom, son adresse, et se pointer chez lui avec la ferme intention de lui apprendre la vie. 
Il n'empêche qu'Izuku a très mal réagi à cette initiative pour le moins violente, et sans l'intervention de leur père, ils auraient pu se retrouver à discuter de part et d'autres d'un parloir ... 

Alors il fera un effort, et déposera les armes pour cette fois. C'est pas pour autant qu'il va soudainement devenir diplomate. 

Le soleil commence doucement à se lever quand il termine de se préparer, la rage au ventre, bien déterminé à conclure cette histoire comme il se doit, et même s'il se voit bien en avance, il ne ralentit pas le rythme pour autant. 
De pied ferme, il gagne la cuisine encore endormie de la maison, et ouvre le grand placard à la recherche de tout ce qui pourrait faire plaisir à son jumeau alité. 
Généreusement, il remplit ses mains d'emballages, de chocolat, de céréales, et même de briques de jus de fruits, qu'il trimballe ensuite à bout de bras le long des escaliers en manquant plus d'une fois d'en perdre la moitié en chemin. 
En haut, il pousse la porte de la chambre de son frère d'un coup de coude, et se repère comme il peut grâce au faible éclairage en provenance du couloir.   

Puis, voyant Izuku de nouveau endormi, il dépose sa marchandise près du lit, bien en évidence pour qu'il puisse les retrouver facilement à son réveil, avant de ressortir sans bruit de la pièce. 
Refermant la porte, sa volonté gonflée à bloc, il s'élance enfin au rez-de-chaussée, puis jusqu'à l'entrée de la maison, et pour finir hors de la propriété. 
Le trajet total lui parait bizarrement plus court qu'à l'habitude, alors que la petite cohue du tram ne l'interpelle même pas, pas plus que celle du bord de route quand il arrive à destination avant tout le monde. 

D'ici, il ne lui reste plus qu'à se poster devant le bâtiment, et à surveiller l'arrivée de Katsuki pour ne surtout pas le louper. 
Il ne le loupera pas. 

Cinq minutes s'égrènent, puis dix, quinze, et enfin, quelques élèves arrivent au compte-goutte devant l'établissement, des visages qu'il reconnait, certains qu'il ignore, d'autres qu'il salut sans pour autant détourner son attention, avant qu'enfin, la silhouette attendue se pointe parmi la foule. 
Nonchalant, les mains dans les poches et le pas lent, Katsuki traverse l'allée qui relie le trottoir à l'entrée de l'école, et Mikumo se jette à sa rencontre en deux enjambées, prêt à le confronter sur place si nécessaire. 

_ Tes cours attendront, faut que je te parle. l'apostrophe-t-il devant tout le monde

_ Putain c'est pas vrai .. souffle vulgairement Katsuki en levant les yeux. Qu'est-ce que tu me veux ? 

Désabusé plus que surprit, le blond semble s'agacer d'avance face à cette discussion forcée et tombée du ciel, à croire qu'il s'y attendait un peu ... 

_ Suis-moi. 

_ Je suis pas ton clébard. Tu veux quoi ? 

_ Te parler, je viens de te le dire faut suivre un peu. Ramène toi si tu veux pas que tout le monde soit au courant. 

Soulé au possible, Katsuki soupire grossièrement en gonflant ses joues, avant de froncer les sourcils et de scruter la foule autour de lui, cherchant visiblement une présence qu'il ne trouve pas. 

_ Izuku est à la maison, c'est pas la peine de le chercher. le rattrape immédiatement Mikumo. 

_ Tu me fais chier. gronde le cendré tout en capitulant, acceptant de s'éloigner du peuple à sa suite. 

Satisfait, mais pas encore soulagé, Mikumo ne sourit pas à cette petite victoire, et se contente d'avancer, le pas tendu et rapide, à travers l'espace extérieur de Yuei. 
Passant devant les bancs, les tables, il longe la totalité du bâtiment, avant de bifurquer sur sa gauche, et de rejoindre la façade arrière de l'école, là où personne n'est supposé trainer. 
En s'éloignant de la zone décorée et entretenue, ils ignorent les portes du personnel de ménage qui se trouvent ici, jusqu'à atteindre un petit coin vide et bétonné, juste à côté des compteurs électriques de l'établissement. 

_ Tu sais que tu vas encore nous faire avoir des problèmes si on traine là. prévient Katsuki en haussant les sourcils. 

_ Ooh petit chou, tu as peur de te faire gronder ? 

_ Je t'emmerde surtout. 

_ Tu m'en vois sincèrement ravi. conclut finalement Mikumo en s'arrêtant de marcher. 

Puis, faisant volte-face pour forcer Katsuki à le regarder dans les yeux, il plonge lui aussi ses mains dans ses poches et relève le menton, la mâchoire crispée, les dents serrées, et les poings fermés bien que cachés. 

_ Il s'est passé quoi quand t'as emmené mon frère chez toi ? 

_ Je rêve .. C'est quoi ton problème ? 

_ Mon problème c'est que l'ai retrouvé en panique, et que je suis sûr que t'as fait de la merde. 

_ Tu sais que c'est pas ton gosse ? grimace Katsuki en le défiant du regard. Il est pas en sucre, tu parles de lui comme si c'était une petite chose fragile, t'en as pas marre de l'infantiliser ? 

Pour Mikumo, qui entend les reproches sans s'en vexer, là n'est pas la question. 
Bien sûr qu'il protège et surprotège son frère, évidemment qu'il s'en fait trop, qu'il s'inquiète dès qu'il lui découvre une égratignure, et naturellement qu'il sait qu'Izuku n'est pas un bébé. 
En revanche, c'est toute sa vie, littéralement, et il le sait également capable de ne rien dire et de se murer dans sa souffrance pour empêcher son jumeau d'intervenir, quitte à se mettre en danger, quitte à se faire du mal. 
Et si Izuku ne peut pas veiller sur lui-même, quelqu'un doit le faire pour lui.  

_ Je m'en fous, c'est pas le sujet, c'est pas ce que je te demande détourne pas la conversation. Qu'est-ce que t'as foutu ? 

_ J'ai rien fait du tout bordel, arrête avec tes accusations de merde. Ton frère s'est barré tout seul dans la nuit juste pour revenir à la fête avec toi, c'est tout. 

_ Et tu l'as laissé partir tout seul ?! 

_ Je pionçais. J'ai encore le droit de faire ça ou là aussi tu comptes fixer tes règles ? 

Le problème, c'est qu'il ne peut pas croire une seconde que l'histoire s'arrête là. 
Izuku n'aurait aucune raison de ne rien vouloir lui dire s'il ne s'agissait que de ça, et s'il couvre Katsuki de quelque manière que ce soit, alors quelque chose de plus sérieux se cache sous cette sois disant déclaration. 

_ Tu sais, peut-être bien que je le surveille trop comme un enfant, mais je le connais quand même, et ça explique pas son état quand il est revenu. Donc je te pose une dernière fois la question avant de m'énerver. Il s'est passé quoi quand vous étiez tous les deux ? 

Un instant, Katsuki cesse de répondre, les yeux rivés droit devant lui, et Mikumo prend le temps de l'observer sur toute sa hauteur. Il ne peut pas s'encadrer ce gars. 
La vérité, c'est qu'il déteste tous ceux qui entourent Izuku tout en échappant à son contrôle, il ne supporte pas l'idée qu'une personne, dont il ne sait rien et qui n'entre pas dans sa liste de confiance, puisse faire des trucs complètement inacceptable, du genre devenir son ami, le faire se remettre en question, s'éloigner de son jumeau, ou pire, en tomber amoureux ! 
Tout comme il ne pouvait pas voir Toga en peinture au lycée, qui balançait des déclarations d'amour à Izuku à la pelle jour après jour, il a Katsuki en horreur. 

Ce n'est même pas une question de réciprocité, Izuku n'avait aucune attirance pour Toga, tout comme il est sûr qu'il n'en a pas pour Katsuki en toute logique, mais le simple fait de voir quelqu'un tenter de s'approprier son frère le rend dingue. 

_ Je l'ai pas touché ton frère. Et même si je l'avais fait, tu sais que ça te regarde pas ? 

_ T'insinues quoi là ? 

Le colère lui monte à la tête, ces mots le font vriller. 

_ J'insinue que si moi et ton frère on avait voulu- 

Et c'est parti tout seul. 
Il n'a même pas eu le temps d'imaginer ce qu'il ne veut surtout pas imaginer, il a suffi que l'idée lui traverse l'esprit pour que sa main fuit sa poche, et que son poing s'écrase sur la joue de Katsuki. 
Sous la surprise, prit de court alors qu'il ne l'avait pas vu venir, le blond blessé cligne des yeux en ouvrant légèrement la bouche, avant que son regard ne vire au rouge lui aussi, et qu'il ne lui renvoie son cadeau en pleine gueule. 
Douloureusement, Mikumo accuse l'impact bien plus puissant que le sien, et le goût fort désagréable du sang lui titille la langue. 

Une étrange sensation d'anesthésie se répand directement dans sa mâchoire, il ne sent plus ses dents, ses gencives, et un drôle de crépitement lui traverse le nez, dont le sang s'échappe avant qu'il ne le retienne en pressant ses doigts dessus. 
Par vengeance, il contracte ses épaules et, bien que totalement sonné et déboussolé, il parvient à frapper l'estomac de son adversaire.
Son poing un peu tremblant s'enfonce dans son ventre, et il voit Katsuki se plier sous l'impact douloureux.

Malgré tout, Mikumo n'est plus vraiment en posture de force, et pendant que le blond retient la nausée soulevée par le coup sous l'estomac, il en profite pour secouer le drapeau blanc.

Sentant la blessure saigner, et devinant un bleu bien violet grandir sur son visage, il se recule de deux pas et contourne son adversaire, qui le laisse simplement fuir sans rien dire, accusant lui aussi la douleur de son visage et de son ventre.  
Il va lui falloir reprendre les transports en commun dans cet état .. et surtout .. justifier son état auprès de son frère quand il arrivera à la maison dans quelques minutes ... 

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Psst, y'a embrouille 👀🍿

Vous avez hâte de connaître la suite ?
Moi aussi 🤭

Il fallait bien que ça parte en salsifis à un moment, et je sais que vous l'attendiez bande de petit.e.s sadiques 👀

On se retrouve très bientôt, des bisous 😘

Prenez soin de vous ❤️🦩

PS : j'ai bien aimé écrire du point de vu de Mikumo

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