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𝑃𝑎𝑟𝑓𝑜𝑖𝑠, 𝑗'𝑜𝑢𝑏𝑙𝑖𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑗'𝑎𝑖 𝑢𝑛 𝑐œ𝑢𝑟 𝑎̀ 𝑚𝑜𝑖,
𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑏𝑎𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑚𝑜𝑖, 𝑒𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑗𝑒 𝑑𝑜𝑖𝑠
𝑒𝑛 𝑝𝑟𝑒𝑛𝑑𝑟𝑒 𝑠𝑜𝑖𝑛.
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Le long du trottoir de la ville, désormais sortis de la zone boisée, ils arpentent la rue absolument déserte et plongée dans la semi pénombre. Enfin éclairés par les réverbères qui bordent la route, Katsuki a pu couper la lumière de son téléphone, dont la batterie menace de lâcher dans les minutes à venir, tandis qu'Izuku ne peut pas s'empêcher de guetter les alentours avec une pointe de stress.
Bien qu'il conserve la main de son ami bien nouée dans la sienne, et en dépit de la chaleur grisante et du confort frissonnant qu'il ressent au contact de sa paume, l'idée de croiser un témoin quelconque sortant de nul part le rend nerveux.
Si quelqu'un, n'importe qui, les voyait comme ça, à se tenir la main comme si tout était normal, quand bien même il ne sait pas lui-même ce que tout cela peut signifier, il craint que l'information ne se mette à circuler comme une rumeur dans le vent, rapide et incontrôlable, jusqu'à tomber dans les oreilles de son frère.
Alors, sans se défaire de l'étreinte pour autant, il reste très vigilant.
Son regard sillonne tout le décor, à droite, à gauche, au loin, sous les lumières de la ville, près des portes fermées des maisons, derrière les rideaux tirés des chambres, ou à l'approche des petites intersections.
_ Qu'est-ce que t'as ? finit par soupirer Katsuki. T'as peur des sorcières ?
_ Oh- Euh, non pas du tout.
_ Alors pourquoi tu paniques comme ça ?
Prit sur le fait, il comprend rapidement qu'il ne pourra pas éternellement noyer le poisson, et connaissant la capacité de Katsuki à toujours lui faire cracher le morceau, il se résigne à ne pas batailler.
La gêne lui tourbillonne dans l'estomac, accentuant encore le poids de l'anxiété qui pèse sur son ventre depuis qu'ils arpentent la rue. Sa tête turbine tellement qu'il en oublie le froid sur ses bras, qui pénètre insidieusement dans le col de son t-shirt, et qui le faisait frissonner quelques instants plus tôt.
Il doit lui répondre.
_ Je suis juste un peu stressé, je veux dire .. si jamais on croisait quelqu'un et qu'il nous voit et que Mikumo finit par l'apprendre.
_ De quoi tu parles ?
Katsuki arque un sourcil, et Izuku rougit de toute son âme. Ses joues le brûlent, sa poitrine s'essouffle, et désormais son ventre s'agite tellement qu'une forme de douleur sourde s'étend à tout son abdomen.
Baragouinant sans résultats, tandis que ses mots refusent de se mettre en rang, il se contente finalement de lever leurs mains ensemble en guise réponse, désignant la petite étreinte comme étant la cause de toutes ses angoisses.
L'espace d'une seconde, à travers les halos jaunis de l'éclairage public, il perçoit un reflet de déception dans le regard de Katsuki, qui grimace légèrement en claquant sa langue à son palais. Comme s'il venait de lui faire mal en insinuant que leur rapprochement lui inspire plus de malheur que de plaisir, il voit son ami se braquer.
L'instant d'après, Katsuki brise le lien, s'échappe d'entre ses doigts, et range ses deux mains dans ses poches.
_ Problème réglé. crache-t-il durement sans le regarder.
Tout à coup, Izuku se sent comme tout nu, et le froid de la nuit l'agresse à nouveau.
Aussi, la culpabilité l'assomme, à l'image d'une massue qui lui tomberait sur le sommet de crâne, invoquant avec elle une boule gênante et irritante en plein milieu de sa gorge.
Une drôle d'envie de se faire tout petit et de s'enterrer dans le sol s'empare maintenant de lui, et il ralentit inconsciemment la cadence de ses pas, laissant Katsuki le distancer de plusieurs mètres.
Il ne voulait pas qu'il lâche sa main, et surtout il ne voulait vraiment pas le vexer. Le malaise s'installe à cause de son indélicatesse, et c'est une sensation horrible qui le tiraille de l'intérieur.
_ Qu'est-ce que tu fais ? Tu traines .. l'interpelle Katsuki après plusieurs secondes et deux dizaines de mètres d'écart.
Penaud et profondément mal à l'aise, il baisse la tête, cherchant les poches de son pantalon pour y cacher ses mains, et pince secrètement ses lèvres, ne sachant plus comment s'adresser à son ami.
Enfin, il s'arrête complètement de marcher, se figeant sur place sans plus décrocher un mot.
Et ce nœud dans sa gorge, qui l'empêche presque de respirer, qu'il sent bouger à chaque inspiration et qui fait monter les remords à son visage ...
Depuis quand son corps peut-il souffrir autant pour une autre personne que Mikumo ? Et si son jumeau, même en dépit de son état alcoolisé, ressentait son malaise et se doutait de quelque chose ?
Est-il en train de perdre le contrôle ?
Comment va t-il se sortir de là ? Qu'est il censé faire désormais ?
Mikumo reprend toujours les rênes quand Izuku s'égare en émotions, mais là, ici et maintenant, que doit il faire ?
_ Eh, t'es avec moi ? reprend Katsuki après un moment, une pointe d'inquiétude dans la voix.
Izuku l'entend, mais ne l'écoute plus, trop embourbé dans ses pensées chaotiques et angoissantes, qui réveillent en lui cette impression affreuse d'être en train de glisser au fond d'une cuve sans pouvoir se raccrocher à quoi que ce soit.
Sa poitrine s'emballe, comme son cerveau qui surchauffe et panique.
Il a perdu le fil de l'instant, et ne remarque plus rien de ce qui l'entoure, pas même les déplacements de Katsuki, qui rebrousse chemin pour revenir vers lui.
Puis, c'est seulement quand son ami pose sa main sur son épaule qu'il réagit de nouveau, levant les yeux et la tête d'un seul coup, prit par surprise et arraché à ses songes mouvementés.
Il cligne des paupières, détourne le regard, et avale sa salive, gêné de voir son ami si proche de lui alors qu'il vient de créer le malaise entre eux par sa maladresse.
_ Un problème ? insiste Katsuki en cherchant à capter son attention.
_ Pardon, je voulais pas te fâcher, c'était pas .. enfin c'était juste ..
_ De quoi tu parles encore ?
_ Bah, de .. T'as eu l'air vexé quand j'ai dit que ..
_ T'sais qu'on va pas y arriver si tu tournes autour du pot dès que t'es gêné. Aller avance, y'a qu'un bus toutes les deux heures la nuit pour rentrer chez moi.
Puis, sans plus de cérémonie, Katsuki roule des yeux avant de tourner les talons, reprenant sa route tout en invitant Izuku, sans le toucher, à en faire de même.
Un peu déboussolé par sa réaction, et très incertain quand au ressenti actuel de son ami, le jeune brun aux mèches ondulées demeure hésitant une seconde.
Mais, voyant son camarade s'en tenir à ses paroles et s'éloigner de nouveau, il rassemble toute sa force dans ses jambes pour les remettre en mouvement.
Les genoux presque craquelants d'indécision, il peine à s'accorder au rythme de marche de Katsuki qui, ayant peut être pitié de lui à la longue, finit par ralentir pour se caler à sa vitesse.
_ En fait, c'est quoi le vrai problème avec le fait que tu sois gay ? balance le blond comme on jette une grenade dans une pièce.
Épuisé par toutes ses réflexions intenses, couplés à l'angoisse perpétuelle d'être loin de son frère, et accentuées par le nouveau panel d'émotions que Katsuki lui fait découvrir sans le vouloir, Izuku se sent sur le point de craquer.
Il tire sur la corde autant qu'il peut pour tenter de rester stable et calme en apparence, mais le fil finira bien par se rompre à un moment ou un autre..
Néanmoins, il accepte sa question, et s'autorise à en dire un peu plus, quitte à faire ressortir des inquiétudes nauséeuse qu'il s'efforcent d'enterrer sous le parquet de sa chambre en permanence.
Parler à Katsuki, même si ces conversations ravivent en lui des peurs et des craintes, lui fait toujours du bien en définitive. Comme s'il discutait avec quelqu'un capable de comprendre et de prendre au sérieux chacun de ses blocages.
Comme si Katsuki était capable de comprendre et de prendre au sérieux chacun de ses blocages ..
_ Mon père a .. littéralement tout les défauts du monde. C'est un homme sans empathie. Il dénigre les jeunes, les vieux, les personnes handicapées, qui selon lui ferait mieux d'être euthanasiée .. il est raciste, sexiste, et tu t'en doutes .. homophobe.
_ Pourtant j'ai pas l'impression que ce soit l'avis de ton père qui t'inquiète le plus.
_ C'est délicat .. corrige Izuku tout en continuant de marcher. Mikumo, et heureusement, n'a pas le même état d'esprit que lui sur plusieurs choses. Notamment en ce qui concernent les femmes ou les personnages malade. Il fait parfois des blagues racistes vraiment pas drôle, mais je ne crois pas qu'il ait vraiment un problème de racisme. C'est juste un petit con comme tant d'autres qui joue au con. Mais pour le reste ...
_ Quand Eri m'a balancé la dernière fois, t'as noyé le poisson non ? Tu disais qu'il était pas homophobe.
Sous la pression de cette conversation, qui devient de plus en plus tendue malgré eux, Izuku tique à sa remarque, et peine à reprendre le fil de ses explications.
Pataugeant un peu, il s'efforce de se ressaisir, et ose même un regard très sérieux à son ami avant de reprendre.
_ C'est vrai .. et je pense que mon frère peut, avec du temps et des paroles, sortir un peu de ses préjugés.
_ Il aura pas le choix de toute façon. intervient Katsuki.
_ Comment ça ?
_ C'est déjà la fin du monde quand tu dois partir dormir une nuit à plus de dix kilomètres de lui. Il panique dès qu'il sait pas où t'es, et ne peut clairement pas se débrouiller sans toi. Alors même en supposant que tu lui avoues et qu'il le prend mal .. tu crois qu'il va faire quoi ? Te renier ? Couper les ponts ? Que dalle ouais, il en est physiquement incapable. Alors il faudra bien qu'il s'y fasse.
_ T'essaies de me dire un truc, j'imagine ?
Il reconnait cette vibration légèrement plus élevée que sa voix adopte quand il veut lui faire entendre quelque chose, cette manière pédagogue à sa manière d'insister sur les faits dans l'espoir de le faire réagir.
Et si Izuku reconnait qu'il peut lui arriver de jouer la sourde oreille quand il refuse d'admettre ce qu'il sait déjà, il n'en reste pas moins capable de prendre conscience, de temps en temps, de la nécessité d'ouvrir les yeux sur sa relation avec son jumeau.
_ Ce que je veux dire, c'est que je vois pas de quoi tu flippes, puisque tu sais qu'il restera avec toi quoi qu'il arrive.
_ J'ai pas peur qu'il coupe les ponts. Il va surtout péter un câble, il va se persuader qu'il peut me changer, et il va s'y employer jour et nuit. Il va me suivre partout, encore plus que maintenant, chercher à faire fuir ceux qui m'entourent, me faire des crises à tout bout de champs. Et Mikumo fait parfois des trucs sans réfléchir quand il est dans cet état-là. Typiquement ... En parler à mon père. Et ma famille va devenir un champs de bataille.
_ Donc tu vas te sacrifier pour tout le monde ?
_ C'est ma famille ...
_ Et qui va se sacrifier pour toi ? jette subitement Katsuki sur un ton très sérieux, plus dur encore qu'à l'habitude.
La poitrine d'Izuku perçoit une onde de choc se faufiler entre ses côtes, faire vibrer toute sa cage thoracique, et les mots, percutants et tranchants, de Katsuki se calquent brutalement sur ses veines. Ils traversent son corps entier, brisent un petit bout de conviction sur leur passage, quelque chose tremble sous ses propres fondations.
Tout à coup, il ne bouge plus. Le silence l'enveloppe, le cloue sur place. Il devient une momie muette de craintes et de vérités inacceptées, figée dans le temps, attendant sans sourciller que quelqu'un vienne défaire ses bandages.
_ Le bus arrive. ajoute Katsuki, à deux mètres du petit arrêt. Viens.
Il se laisse faire quand son ami l'attrape par le coude, pressant sa main sur son bras pour l'emmener jusqu'au grand véhicule, tout comme il obéit à ses mouvements mécaniques pour monter dans l'habitacle, rejoindre un couple de sièges fixés dans le sol, et s'y assoir sans parler.
Le ronronnement du moteur résonne dans ses oreilles, les secousses de la route en dessous de lui bercent ses angoisses à l'image d'un vieux bateau naufragé sur une mer sombre et inquiétante.
Et le trajet lui passe dessus sans qu'il ne réalise que les minutes avancent, que le décor défile à travers les fenêtres, que Katsuki ne dit plus rien non plus.
Les arrêts ne le tirent pas de ses songes, mais lorsque Katsuki l'interpelle pour lui signaler qu'ils sont arrivés, il s'efforce de reprendre vaguement ses esprits, se redressant sur ses jambes pour sortir de là, et vite inspirer l'air frais de la nuit.
Il fait encore froid, mais l'oxygène lui fait du bien, il ravive un peu ses muscles figés, son souffle cassé, et ses idées noyées.
Ses pas sur le sol le réveillent un peu plus, et enfin, il tousse pour évacuer le nœud qui gênait toujours sa gorge.
Il doit se ressaisir.
En se mettant une claque mentale, il secoue la tête pour remettre son esprit à sa place, et parvient à se concentrer à nouveau sur le décor, la rue endormie, et la silhouette de Katsuki découpée dans la lumière d'un réverbère.
Sur les quelques mètres qu'il leur restent à parcourir jusqu'au domicile Bakugo, aucun mot de vient perturber le silence un tantinet gênant, passablement lourd même, mais à mesure que la structure de la maison apparait, Izuku se détend légèrement.
Katsuki l'a emmené ici, lui a proposé de se reposer et de dormir sous son toit. Si son comportement et leur conversation l'avait rebuté, il aurait déjà changé d'avis, non ?
Enfin, ils passent le petit portillon, approchent ensemble de la porte, avant qu'un bruissement ne les surprenne tous les deux en même temps. Sursautant discrètement, ils se retournent brutalement comme un seul homme, tombant nez à nez avec la figure en larmes d'Eri de l'autre côté du petit portail.
Comme sortie de nul part, l'adolescente se pétrifie devant son frère qui la dévisage, alors qu'elle arbore un maquillage dégoulinant, le mascara en fuite sur ses joues, les yeux rougies d'avoir pleuré toute son âme, et les cheveux malmenés par le vent comme après un sprint.
Prise sur le fait, mais surtout visiblement brisée de l'intérieur, elle sanglote, et frissonne sous ses maigres vêtements. Outre la couche de fond de teint martyrisée par ses larmes et les passages de ses mains pour éponger son visage, elle ne porte qu'une pauvre jupe bien au-dessus des genoux, si courte que Katsuki ouvre de grands yeux sidérés, alors que son ventre affronte le froid sous un crop top, qui fait un peu trop ressortir les formes de sa poitrine.
Inquiet pour la jeune fille, qui n'ose même plus s'avancer d'un pas, Izuku l'observe de loin, avant de se tourner vers Katsuki, qu'il sent bouillir comme une cocote minute à ses côtés, prêt à aller chercher sa sœur par les cheveux pour l'interroger sans ménagement.
_ Putain de bordel de merde Eri, t'arrives d'où comme ça ?! balance son frère en contrôlant le volume de sa voix.
_ Laisse-moi tranquille. sanglote-t-elle en s'accrochant à l'armature du portail.
_ Te fous pas de moi ! Qu'est-ce que t'as ? Et putain rentre, reste pas dans la rue comme ça. T'es complètement folle ! T'étais où ?
Espérant éviter un drame imminent, Izuku tente d'apaiser son ami en chuchotant près de lui, lui intimant de ne pas lui hurler dessus alors qu'elle semble déjà dans un bien piteux état.
Mais Katsuki fuit déjà le pas de la porte, rejoignant sa petite sœur à grandes enjambées, avant de l'attraper par le bras, et lui faire traverser le petit jardin en moins de cinq secondes.
Frigorifiée et en panique, la gamine renifle sans tenter de se défendre, ses jambes et son ventre à l'air dans la nuit.
_ Je peux savoir ce que tu fous dans la rue habillée comme une-
_ Katsuki. tempère sévèrement Izuku, sentant que ses prochains mots ne pourraient qu'aggraver la situation.
Puis, tandis que tout le monde se tait, se jaugeant les uns les autres sans trouver d'issue à cette situation sortie de nul part, Izuku voit la tension monter jusqu'à son point de rupture et, avant de tout n'éclate, il se décide à s'approcher des deux autres, captant l'attention d'Eri en espérant ne pas l'intimider par son approche.
_ Est-ce que tu vas bien Eri ? demande-t-il doucement. Quelqu'un t'as fait du mal ?
Silencieusement, elle remue la tête de droite à gauche, les lèvres pincées et les yeux toujours pleins d'eaux.
_ Non quoi ? intervient Katsuki, qui se ravise néanmoins en voyant Izuku prendre la situation en main avec un peu plus de diplomatie.
_ J'imagine que tu es allé quelque part avec des gens .. reprend Izuku. Une soirée peut-être ?
_ Hm. rétorque-t-elle simplement en hochant la tête.
_ Et ça s'est mal passé ?
Elle détourne le regard, écrase sa main sur ses yeux pour les sécher autant qu'elle le peut, et s'applique à reprendre son souffle pour essayer d'articuler quelque chose devant les garçons.
_ Ouais .. parvient-elle à placer entre deux sanglots.
_ Pourquoi ?
_ J'étais pas invitée. dit-elle enfin. Ces enfoirés se foutent de moi depuis le début .. Je voulais juste .. leur montrer que- que .. Je voulais ..
_ Montrer que t'es là et prendre ta place par toi-même ..? termine Izuku pour elle.
Elle ne dit rien, mais son silence et les grimaces de son visage lui indiquent qu'il ne s'est pas trompé. A nouveau, elle se met à pleurer, le bras toujours piégés dans l'étreinte forcée de son frère, qui lui n'attend qu'à en savoir plus.
_ On devrait rentrer et en parler à l'intérieur. conclut alors Izuku pour l'instant. Tu vas attraper froid ..
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Hey !
Il se passe des trucs là dites-moi 👀
Eri va aussi avoir ses petites emmerdes et son petit développement, après tout c'est aussi un personnage récurrent.
J'espère que le chapitre vous a plu, avec ses hauts et ses bas malgré tout😛
On se retrouve bientôt pour la suite,
Des bisous 😘
Prenez soin de vous 🦩❤
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