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𝑃𝑙𝑢𝑠 𝑗𝑒 𝑡𝑒 𝑟𝑒𝑔𝑎𝑟𝑑𝑒, 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑗𝑒 𝑚𝑒 𝑑𝑒𝑚𝑎𝑛𝑑𝑒 ..
𝑃𝑜𝑢𝑟𝑞𝑢𝑜𝑖 𝑗𝑒 𝑛𝑒 𝑡'𝑎𝑖 𝑝𝑎𝑠 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒 𝑡𝑢𝑒́ ?
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Il soupire. La journée se termine enfin, après de longues heures d'assiduité morose, à fixer un tableau numérique contre un mur, un stylo dans une main et son menton dans l'autre.
Sa tête semble sur point d'éclater, chargée d'informations à retenir et à analyser, alors que la fatigue envahi progressivement son front, qui ne demande qu'à rejoindre l'extérieur pour se détendre un minimum.
Alors cette fois, plus rapidement qu'à midi, il replie ses affaires, déguerpi de la pièce, et jette tout son matériel au fond de son casier, qu'il referme d'un geste vif avant de filer tout droit dans le couloir.

Quand il passe la porte, l'air chaud du printemps bien entamé lui tombe dessus, à l'image d'un draps que le ciel lui jetterait à la figure, menaçant déjà de faire transpirer sa peau d'ici une poignée de minutes.
Malgré tout, il le préfère à l'oxygène renfermé de l'intérieur du bâtiment, et il s'octroie le plaisir d'en profiter, ignorant autant que faire se peut l'agitation qui grouille autour de lui.
La plupart des étudiants s'enfuient déjà, à grandes enjambées vers les arrêts de bus et les stations de tramway, pendant que d'autres trainent encore un peu sur place pour discuter, ou faire un bout de chemin à pied à plusieurs.
Katsuki, lui, fidèle à sa promesse de tout à l'heure, vagabonde jusqu'à sa table fétiche, prenant place sur son banc habituel, pour y attendre Izuku, et tuer le temps ensemble jusqu'à ce que les transports se désengorgent.

Priant sincèrement pour ne pas croiser son frère avant lui, même si Izuku lui a assuré qu'il se contenterait de montrer les crocs sans rien faire de plus, il retient sa salive dans sa bouche comme s'il l'excès de mouvements pouvait le faire repérer.
Du reste, il surveille attentivement le défilé des élèves sortant du bâtiment en rang désorganisé, se bousculant presque les uns les autres pour se hâter de rentrer chez eux.
Puis, tandis que son regard navigue d'une tête à une autre, l'attention rivée sur ce point précis, il sursaute un grand coup quand une voix trop familière lui tombe dans les oreilles.

_ Hé ! Katsukiiiii !

Bondissant de son banc, sautant sur ses jambes tout en se retournant d'un coup net, il ouvre de grands yeux effarés, immédiatement dépassé par la situation.

_ Eri ?! s'exclame-t-il à s'en déboiter la mâchoire. Tu te fous de moi ? Pourquoi t'es là ?

Toute pimpante et fanfaronnante, la jeune fille gambade sur l'herbe de Yuei, visitant les lieux du regard tout en trottinant vers son frère aîné.
Secouant sa queue de cheval colorée, maintenant sa mèche correctement placée sur son front, elle sourit de toutes ses dents à un Katsuki médusé.

_ Hé mais c'est joli ici !

_ Eri putain. crache-t-il entre ses dents. Qu'est-ce que tu fous ?

_ Rien. J'ai fini plus tôt aujourd'hui, mais j'avais pas envie de rentrer. Du coup j'ai pris le bus et je me suis dit : si j'allais voir mon frère ?

Dans son regard, il perçoit trop facilement la moquerie et le défi au travers de la danse de ses iris, qui semblent l'appeler à se mener une guerre puérile.

_ Je te préviens, tu bouges pas d'un putain de iota, tu restes à côté de moi, tu vas nul part, tu parles à personne, tu souris pas, tu fais rien !

_ Pourquoi tu restes ici si ça te pose autant de problèmes ? T'as qu'à me ramener à la maison.

_ Tu fais chier bordel ...

_ Quoi ? ricane-t-elle. Tu avais prévu autre chose ?

_ Je savais qu'on aurait dû t'abandonner sur la route en sortant de la maternité ...

Blasé, Katsuki se rassoit finalement par dépit sur son banc, le dos contre la tranche de la table, songeant à sa sœur aussi envahissante que le frère d'Izuku, à se dire que quand c'est pas l'un, c'est l'autre ..
Guillerette, pas vexée pour un sou, l'adolescente à la queue de cheval vient prendre tranquillement place à ses côtés, fixant à son tour le défilé de la porte d'entrée, arborant tout à coup un sourire bien inquiétant.

_ Donc, tu attends quelqu'un. carillone t-elle en balançant la tête de bas en haut. C'est Izuku ?

_ Tais toi.

_ Hm, c'est Izuku.

Fatigué, il n'en rajoute pas plus, mettant fin à cette conversation sans intérêt en gardant la bouche bien fermée. Préférant se concentrer sur le chemin de dalles, il redresse machinalement son dos en repérant enfin la silhouette d'Izuku approcher dans sa direction.
Malheureusement en compagnie de Mikumo, qui semble décidé, au même titre qu'Eri, à foutre son nez dans des affaires qui ne sont pas les siennes.

_ C'est pas vrai .. souffle-t-il entre ses dents.

_ Oh ! s'exclame discrètement Eri. Attends, qui est qui là ? Tu m'avais pas dit qu'ils se ressemblaient autant. Je suis perdue.

_ Attends qu'il se mette à parler, tu vas vite reconnaitre la tête de con ...

Pouffant contre sa main, elle ricane à la réflexion quasi haineuse de son frère, tandis qu'ils regardent les deux autres marcher dans leur direction.
Katsuki, lui, sait déjà de quel côté se trouve son ami, et il suffit de voir la tronche déconfite d'un Mikumo contrarié pour être sûr qu'il ne fait pas erreur.
Finalement, tout le monde aura décidé de les emmerder ce soir.

_ Ah, bonjour Eri ! salue Izuku d'un geste de la main. Je m'attendais pas à te voir ici.

Souriante, la demoiselle qui semble enfin mettre un nom sur le bon exemplaire, se relève sur ses jambes pour venir l'accueillir de plus près, toute fière de gambader dans la cours des grands, au déplaisir de son frère.
A côté, Mikumo arque un sourcil suffisant, alternant son regard entre Katsuki et Eri, avant de fixer son attention sur le blond, l'interrogeant sans pudeur.

_ C'est ta copine ?

Eri éclate de rire. D'un rire bruyant et éclatant, comme si elle n'avait jamais rien entendu d'aussi hilarant de toute sa vie, tandis que Katsuki se voit déjà prendre la gorge de Mikumo entre ses mains pour lui secouer les vertèbres jusqu'à les lui briser.
Gêné au milieu de tout ça, Izuku se contente de se terrer dans un petit coin, les lèvres pincées et la bouche muette, attendant que le malaise soit passé pour reprendre davantage ses aises.

_ Je suis sa sœur ! corrige Eri en reprenant son souffle. Et puis merde, j'ai quinze ans, pour qui tu prends mon frère ? En plus il aime que les mecs t'façon.

Elle termine sa déclaration en claquant sa langue à son palais, se préparant déjà à faire demi-tour en fanfare pour reprendre sa place sur le banc, tandis que Katsuki vient de se figer, raide comme un pic à glace, les yeux écarquillés et les lèvres entrouvertes.
En face de lui, Izuku tressaute et fronce les sourcils, tournant soudainement son regard vers son jumeau, qui semble désormais dévisager le blond avec toute l'amertume du monde.
Une lueur de mépris agite ses iris en même temps qu'il fait siffler l'air entre ses dents, marquant son dédain à son égard, avant de se reculer d'un pas.

_ Je vois. dit-il en grimaçant.

Un peu plus loin, Izuku cache son visage derrière sa main, aussi désolé que dépassé par la tournure de cette discussion, les yeux fermés et la mâchoire tendue au possible.

_ Izuku, poursuit Mikumo en tournant les talons. Tarde pas à rentrer.

Et il s'en va sans demander son reste, s'éclipsant en omettant toute forme de politesse, laissant son frère dans l'embarras le plus total, Katsuki désormais plus hargneux que jamais, et Eri profondément déboussolée.
Un silence plus que lourd gagne l'espace entre eux, jusqu'à faire vibrer le malaise dans l'atmosphère, et faire résonner même le souffle du vent qui passe entre leurs jambes.

_ Fallait .. pas le dire ? s'inquiète la collégienne en se dandinant, beaucoup moins fière.

_ Tu fais chier .. souffle Katsuki en changeant de posture, s'éloignant du banc pour marcher à l'aveugle autour de son point de départ.

Après la réaction de Mikumo, il n'ose même plus lever les yeux vers Izuku, dont il a ressenti le malaise sans pouvoir l'interpréter, et ça y est, un nœud d'anxiété lui empoigne les boyaux.
Le stress qui lui monte au crâne fera bientôt trembler ses mains, comme fléchir sa nuque, et peut-être même l'obliger à fuir pour ne pas s'asphyxier dans sa propre panique.

_ Je suis désolé, vraiment désolé ! s'empresse de rectifier Izuku en se ressaisissant. C'est pas- Mon frère a .. la mentalité de mon père sur certaines choses ...

Il patine dans ses mots, gigote de tout son corps, et passe ses deux mains dans ses cheveux, balayant ses mèches brunes en arrière, dénudant son front et toutes ses tâches de rousseur en signe de panique intérieure.

_ Katsuki ? tente-t-il à nouveau pour le faire réagir.

_ Ça va, j'ai compris.

_ Finalement je vais peut-être rentrer à la maison .. soupire Eri dans son coin. Promis je fais attention !

Et à son tour, fuyant le malaise, elle disparait à grandes enjambées jusqu'à l'arrêt de bus, montant dans le premier véhicule venu avec empressement, et abandonnant les deux derniers à leur gêne sans se retourner.
Dehors, près de la table, il ne reste plus que Katsuki et Izuku, qui s'évitent précautionneusement du regard, se raclant parfois la gorge, ou jouant machinalement avec leurs ongles pour tenter d'apaiser la lourdeur de l'instant.

_ Viens. finit par trancher Izuku. On va pas rester planter là comme deux imbéciles.

_ Pour aller où ? grince Katsuki, à fleur de peau.

_ Je sais pas. Faire un tour.

Il hésite une seconde, encore absorbé par sa propre déconvenue, maudissant sa sœur du plus profond de son âme, quand bien même il trouve difficilement la force de lui en tenir rigueur.
Dès qu'Eri fût en âge de comprendre les relations personnelles, Katsuki s'est évertué à lui ouvrir l'esprit sur tout ce qui peut l'entourer, s'assurant que tout lui apparaisse comme aussi normal que le reste, et finalement son homosexualité n'a jamais été un secret pour personne.
Eijiro, ses parents, et la majorité de son ancien quartier le savait, sans que personne n'en fasse de remarque, et sa petite sœur a finalement tellement grandit dans l'idée que ça n'avait rien de tabou, qu'elle balance ça à tout va dès qu'elle en a l'occasion.
C'est gênant, mais jamais trop grave.

Seulement, il ne s'attendait pas à une telle réaction de la part de Mikumo. Si la franchise excessive d'Eri peut parfois soulever un instant de malaise, il n'imaginait pas que l'autre le prendrait de cette manière, et la négativité dans son regard lui reste méchamment en travers de la gorge.

_ C'est quoi son problème à ton frère ? ne peut-il s'empêcher de jeter.

La nuque tendue et les dents grinçant les unes contre les autres, il ose enfin relever les yeux vers son interlocuteur, le voyant se couvrir de honte à mesure qu'il cherche des mots à lui répondre.

_ Il se donne des airs supérieurs parce qu'il s'entête à te chercher des "défauts". dit-il en mimant des guillemets avec ses doigts. Mon père lui a appris à fonctionner comme ça, dénigrer ceux qui lui posent problème pour prendre le dessus, et tous les moyens sont bons.

_ C'est vrai ça ? Ou t'assumes pas de dire qu'il est homophobe ?

_ Non, je- .. Il est ..

_ Ouais, te fatigue pas, j'ai compris.

_ Non je ne crois pas. se défend Izuku en relevant le menton.

Quelques secondes, ils se dévisagent mutuellement, chacun bien planté sur son carré de pelouse, à tenter de s'entendre sans se comprendre, alors que le malaise se transforme en duel de pensées.
Sans doute Izuku garde-t-il un besoin instinctif de défendre les débordements de son jumeau, ne serait-ce que par la force de leur lien, qui l'oblige à rester la personne la plus proche de lui en dépit de tout ce qui peut se dresser entre eux.
Mais si Katsuki peut le concevoir, il n'a aucunement le devoir de l'accepter.

_ Et toi ? provoque-t-il alors en arquant un sourcil.

_ Quoi moi ?

_ T'es du même avis que lui ?

Il ne pensait pas le blesser ou le froisser avec ces simples mots, mais il constate pourtant le tiraillement soudain dans ses iris, qui déforme le dégradé de ses nuances, en même temps qu'il détourne le regard.
Fixant le plus loin, les yeux perdus sur un bout de trottoir à quelques pas de là, Izuku pince ses lèvres, baisse ses paupières, et tend ses épaules comme s'il s'arrêtait momentanément de respirer.

_ Non.

Décidément, rien ne va avec cette journée.

_ Pourquoi tu le couvres ?

_ Je le couvre pas !

_ Alors c'est quoi le problème ?

Il le voit rester pensif, inspirer lentement, puis lourdement, souffler son âme entière, changer de jambe d'appui, et passer une main malhabile contre sa nuque, sous les ondulations tombantes de ses cheveux.
Sa posture se fait moins franche, plus intimidée, mais il ose se tourner vers lui, insinuer un regard dans sa direction, et contracter les muscles de son visage pour mordre l'intérieur de ses joues.
Katsuki croit presque le sentir sur le point de se mettre à pleurer, mais il l'observe avaler péniblement sa salive, reprendre sa respiration, puis faire un pas vers la table.

Passant près du blond, il contourne sa position pour rejoindre le banc, abandonnant visiblement son projet de partir faire un tour, et plante la pointe de ses coudes dans ses cuisses, avant d'enfouir ses joues contre la paume de ses mains.
A nouveau, il soupire, claque sa langue à son palais, retient son souffle.

_ Je suis comme toi, si tu me permets d'utiliser cette formulation. Et Mikumo ne le sait pas. Et compte tenu de son avis trop fermé sur le sujet ... J'arrive pas à lui en parler ...

Finalement, les dissonances de cette famille arrivent encore à le surprendre ..

A tel point qu'il ne sait pas quoi lui répondre, si ce n'est pour faire remarquer encore plus à quel point leur relation peut être compliquée à gérer.
Et puisqu'il ne pense pas nécessaire d'en rajouter une couche, il se contente de ne rien argumenter, et de venir prendre place aux côtés d'Izuku.
Silencieux à deux, ils se désolent mutuellement de la situation, et de la tournure franchement inattendue de cette fin de journée.

_ Ton frère risque d'avoir encore un paquet de problèmes avec ma gueule.

Izuku arque un sourcil, et déterre enfin son visage pour rectifier la courbe de son dos.
Cognant à son tour sa colonne vertébrale à la tranche de la table, butant sur la limite de ses mouvements, il incline la tête sur le côté.

_ Pourquoi ça ?

Puis, feintant le plus grand des calmes, alors même qu'il se sent actuellement comme un parachutiste qui aurait oublié son parachute, sautant dans le vide malgré tout en toute connaissance de cause, Katsuki s'avachit sur son assise en étendant ses jambes devant lui.

_ Tu me plais.

Son cœur n'a jamais battu aussi vite de toute sa vie. Un peu plus et il va lui faire un trou dans les côtes à force de cogner de cette manière.
Le sang lui monte à la tête, aussi vite qu'une fusée lancée à pleine vitesse, lui donnant tout à coup l'impression que les vaisseaux de son cerveau vont lâcher d'une seconde à l'autre.
D'ailleurs, là-haut, dans sa boîte crânienne, c'est la panique générale, sirènes hurlantes et gyrophares en alerte maximale.

Il ne sait même pas comment il s'est retrouvé à lui balancer ça, sur un tel coup de tête.
Peut-être que sa révélation sur les secrets qu'il cache à son frère, ou la manière dont il semble dépassé par la tournure des évènements, a exacerbé le sentiment d'affection qu'il nourrit à son égard.
En tout cas, c'est dit, c'est fait, il ne peut plus annuler la commande, et il est temps d'assumer la réponse à venir.

Mais Izuku ne répond rien.

Assit, tout droit comme un i majuscule, il cligne des yeux sans le regarder, apparemment figé dans le temps, même plus capable d'ouvrir la bouche.
Le mutisme s'étale, devient gênant, très gênant, et Katsuki se racle la gorge en tapant du plat de ses mains sur ses genoux dans son malaise.
Il ne sait même plus s'il doit partir ou le relancer ?

_ Il y a ... balbutie Izuku en triturant ses cheveux. Il y a une soirée de prévue samedi soir. Je ne sais pas si Mikumo y va, mais moi j'ai prévu d'y aller et .. je me demandais si tu voulais bien m'y accompagner ?

Les oreilles bouchées, il peine à interpréter l'entièreté de sa phrase, mais s'applique à se ressaisir en raclant frénétiquement sa gorge.
Tant pis si Izuku fait comme s'il n'avait rien dit ... Au pire il n'aura qu'à faire comme si il n'avait vraiment rien dit.

_ Où ça ?

_ Les parents de Jirou sont propriétaires d'une parcelle de bois. C'est une famille du genre .. excentrique. Je crois qu'elle compte organiser son truc dans la forêt, avec de la musique et certainement de quoi se payer une gueule de bois. Une grosse partie de l'école y va .. et moi ... Mon père sera là, alors tous les moyens sont bons pour me tirer de la maison.

_ Et .. tu comptes dormir là-bas ?

_ Je crois pas que dormir soit prévu au programme. ricane Izuku en brisant enfin la glace.

Après la pyramide de moments gênants qu'il vient de se coltiner, Katsuki profite de ce minuscule instant d'apaisement pour s'étirer un sourire, et détendre son dos en hochant la tête.
Ce genre d'événement ne fait pas du tout partie de ses habitudes, et pour être honnête, il a plutôt tendance à les fuir.
Malgré ça, l'invitation ne vient pas de n'importe qui, et si Eri était là, elle lui dirait de se grouiller de dire oui.
Alors ..

_ Ok. On y va ensemble.

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Hey !

Ça bouge ! Peut-être pas comme sur des roulettes, mais ça bouge 😉
Aussi, j'en profite pour glisser que je mets généralement un point d'honneur à ce que tous les personnages connaissent une évolution, donc le but du jeu est aussi de faire ouvrir les yeux à Mikumo. Actuellement j'ai conscience que vous avez sans doute envie de lui postillonner dessus, mais n'oubliez pas de lui laisser sa chance, il aura son lot de remises en question le moment venu 😌

Breeeeeeef, j'en profite pour dire que j'ai terminé d'écrire Intra Muros, la fiction spéciale Halloween qui sortira le 31 Octobre. Pour le moment je suis juste sur double U, mais un OS ne saurait tarder, et la prochaine fiction à venir après celle-ci devrait être Les cordes à tes poignets (en fiction longue et régulière), ainsi que Numéro 9, que j'écrirais en parallèle mais que je posterai d'un seul coup une fois terminée.
Voilà voilà

En attendant le prochain chapitre, des bisouuuus 😘

Prenez soin de vous ❤

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