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𝐽𝑒 𝑐𝘩𝑒𝑟𝑐𝘩𝑎𝑖𝑠 𝑙𝑒 𝑐𝑎𝑙𝑚𝑒, 𝑢𝑛 𝑛𝑜𝑢𝑣𝑒𝑎𝑢 𝑑𝑒́𝑝𝑎𝑟𝑡.
𝑈𝑛 𝑝𝑒𝑢 𝑑𝑒 𝑟𝑒́𝑝𝑖𝑡, 𝑢𝑛𝑒 𝑟𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑠𝑎𝑔𝑒.
𝐸𝑡 𝑗𝑒 𝑡'𝑎𝑖 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒́ 𝑡𝑜𝑖 ..
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Sincèrement, il ne sait pas s'il va s'en remettre un jour, de cette journée complètement folle.
Pourtant, et sans trop exagérer, il pense en avoir vu des choses surprenantes au cours de sa vie.
En dépit de ses dix neuf petites années, et quand bien même il lui arrive encore souvent de se comporter comme un gamin sans éducation, il ne doute pas de ses expériences en terme de bizarreries.
Qui plus est, avec la famille qu'il se traîne, et tous les dommages collatéraux qu'ils ramènent avec eux, il jure que son quotidien ressemble trop souvent à un vrai bordel infini.
Même en vivant dans un zoo, il n'en verrait sûrement pas autant des vertes et des pas mûres. A la maison, sous le toit des bakugo, les situations loufoques ou carrément gênantes s'enchaînent jour après jour sans que ça ne le surprenne plus.
D'ailleurs, entre une mère aussi intelligente que sociopathe, et un père à peine conscient de ses propres responsabilités, il ne voit pas très bien comment il serait possible de faire mieux.
Il a grandi loin de toute forme de normalité et, à sa connaissance, plus rien ne pouvait encore le laisser sur le cul.
Élevé à deux cent kilomètres de là, dans les quartiers modestes de Musutafu, là où il a presque toujours vécu, son adolescence s'est forgée sur une base aussi bancale qu'incertaine.
Bien qu'issu d'une famille sans trop de problèmes financiers, il vivait dans un de ces lotissements aux maisons toutes pareillées*, construites sur les mêmes plans pour moins cher qu'il n'en faut, là où venaient s'entasser tous les foyers aux revenus moyens.
Sans doute pour faire des économie sur le loyer ou une connerie du genre, ses parents sont restés cette petite barraque identique à toutes celles autour jusqu'à ses dix neuf ans.
Là bas du reste, les établissements scolaires s'accordaient relativement bien à l'environnement global : médiocres, et peuplés de petits cons.
Au collège, aucune journée ne pouvait se terminer sans qu'au moins une personne finisse dans le bureau du directeur.
Les professeurs blasés venaient travailler juste pour percevoir la paye à la fin du mois, alors que leur métier perdait tout leur intérêt dans un milieu pareil, où tout le monde se fout d'eux.
Plus tard, au lycée, il se souvient encore de ce type qu'il a vu courir complètement nu dans les couloirs, les bras en l'air et les cheveux fraîchement rasés à blanc, poursuivi par le directeur essoufflé et désabusé.
Même ça, ça ne l'a pas vraiment surpris, alors qu'il s'est contenté de s'écarter du chemin du nudiste improvisé pour ne pas le percuter dans sa course folle.
Aussi, il n'oublie pas les gémissements peu discrets qu'il entendait ici et là, en provenance des classes vides entre midi et deux, ni les bombes à eau qui tombaient du plafond sans prévenir.
Un vrai foutoir, dans lequel il ne pouvait certainement pas espérer un avenir quelconque. Tout du moins, rien de mieux que de finir vendeur dans la supérette du coin, à regarder la nouvelle génération se rouler des clopes devant sa vitrine.
Les mêmes clopes que lui et ses potes fabriquaient en se planquant à l'arrière des barraques. Elles étaient dégueulasses, et il n'y a plus jamais touché. Mais juste pour le fun, il a tiré dessus deux ou trois fois.
Histoire de dire qu'il faisait comme les autres, qu'il s'intégrait à son décor.
Sa mère bossait à l'usine du coin à l'époque. Malgré son diplôme et son expérience en management, elle avait dû faire une croix sur bon nombres de ses critères pour trouver un travail plus rapidement à la fin de son dernier congés maternité.
Son père, lui, tenait un poste à l'accueil d'un grand supermarché dans la ville voisine.
Ils gagnaient convenablement leur vie, comme ils le disaient eux même. Mais Katsuki trouvait tout de même tout ça bien morose et sans rebondissements.
Lui, il espérait faire quelque chose de mieux, s'envoler vers une carrière plus éclatante, avoir du pognon et ne jamais habiter à nouveau dans un coin aussi moche et plat qu'un lac asséché.
Un matin, tandis qu'il passait une jambe par dessus son vélo pour s'en aller faire un tour avec son meilleur ami, il lui a raconté ses espoirs pour plus tard.
Bien sûr, sortir d'un lycée médiocre, avec la réputation de n'accueillir que des imbéciles indisciplinés, lui fermait quelques portes dès le départ, il le savait.
Dans les belles universités du pays, on accepte pas la mauvaise herbe, qu'importe la fleur qu'elle renferme sous ses feuilles piquantes.
Néanmoins, il voulait y croire, au moins un peu, et Eijiro lui a promis de le soutenir dans tous ses projets, si fous soient-ils. Ils ont grandi ensemble, à quelques maisons d'écarts, et s'ils ont assemblé ensemble toutes les conneries possibles, ils sont surtout respectivement devenus un point d'ancrage pour l'autre.
Dans les moments de doute, de colère ou d'impuissance, l'amitié qui les lient encore aujourd'hui venait faire office de pansement sur leurs blessures.
Alors, c'est vrai, quand son père a officialisé le déménagement vers Magawira* il y a de cela quelques mois, Katsuki n'a pas pu s'empêcher de ressentir une pointe de regrets vis à vis de son ami qu'il laissait sur place.
Ce nouveau départ, dans une nouvelle maison unique, en périphérie d'une jolie ville plus prometteuse que Musutafu, lui offrait pourtant des occasions inespérées pour son avenir.
Au cours de ses derniers jours sur place, partagé entre l'espoir et la tristesse d'abandonner tout ce qu'il connaissait, s'apprêtant à fermer complètement ses cartons pour un voyage de deux cent kilomètres, il s'est invité à une ultime soirée sur le bord de fenêtre de la chambre d'Eijiro.
À minuit quinze, assit sur la petite plateforme en béton, le corps caché par les ombres et le visage à peine révélé par la lune, il a parlé longtemps avec son meilleur ami.
Les rayons pâles faisaient sans doute ressortir ses craintes sur son visage, dansant comme des spectres assombris par la nuit. Eijiro lui a demandé de faire un effort pour sourire.
Pour ne pas attirer l'attention des parents et des voisins, ils discutaient à voix basse, veillant à ne pas faire de bruit dans leurs mouvements.
_ Tu as pu entrer à Yuei ! C'est un truc de malade, alors fais pas cette gueule.
Hochant la tête en silence, Katsuki acquiesçait tout ce qu'il disait sans rien ajouter.
Il rêvait de cette école depuis qu'il en avait découvert l'existence, trois mois avant son déménagement. Il était un peu tard pour tenter une inscription, d'autant plus qu'il savait qu'il arriverait quelques semaines après le début de l'année scolaire.
Avec un dossier comme le sien, élève retardataire et issu d'un quartier un peu naze, il était sûr de ne pas être pris.
Il avait essayé quand même, parce qu'il s'était promis d'y croire.
Et tout à coup, alors qu'il s'était fait une raison avant même d'essayer, la lettre d'admission est arrivée dans sa boîte aux lettres un mardi matin.
Sa mère n'en revenait pas, Eijiro a sauté au plafond. Katsuki a dû la lire six fois pour se persuader qu'il n'hallucinait pas.
Yuei ...
Alors il se répète, mais avec tout ça, il pensait vraiment que plus rien ne saurait le surprendre.
Mais un coup comme celui ci, il ne s'y attendait pas !
Pour la première fois de sa vie ce matin, il a enfilé un uniforme scolaire, celui de l'école de Yuei.
Pour dire vrai, l'idée de porter ce costume ne l'enchantait pas franchement, lui qui préfère largement le confort sans artifice d'un jog' et d'une paire de baskets simples. Mais sa mère lui a rappelé qu'il n'avait pas le choix et, avec un peu de mauvaise foi, il a boutonné les boutons de sa chemise en se regardant dans le miroir.
Celui de sa nouvelle chambre, plus grande que l'ancienne, et assurément plus plaisante.
Néanmoins, on ne change pas une équipe qui gagne, et juste avant de partir, il a desserré la cravate, ouvert les trois boutons du haut de sa chemise, et réajusté la ceinture du pantalon plus à son goût.
Sa mère, trois fois plus stressée que lui, l'a regardé s'éloigner de la maison pour rejoindre le premier arrêt de bus, là où il devra désormais attendre son moyen de transport tous les matins de la semaine.
Quinze minutes de trajet lui sont nécessaires pour atteindre sa destination, juste en face de l'école de commerce en plein centre de la ville mouvementée.
En descendant du véhicule, il s'est immédiatement retrouvé noyé dans une foule d'élèves, marchant tous dans le même sens sans se soucier de sa présence sur les lieux.
Il les voyait parler entre eux, avancer le plus tranquillement du monde vers ce grand bâtiment absolument épatant, tandis que lui en restait bouche bée devant la porte.
De là où il vient, accéder à un établissement comme celui relevait du rêve et, en souriant malgré lui, il a songé qu'il devrait faire une photo pour Eijiro.
Puis, après la béatitude de la découverte, il s'est invité à l'intérieur, se laissant submerger par un maigre vertige en remarquant la largeur des couloirs, parfaitement propres au demeurant.
Les murs peints sans accros, colorés de gris et de blanc, lui donnaient l'impression d'être entré dans une zone qui ne lui était même pas permise.
Mais l'uniforme sur son corps lui rappela qu'il fait bel et bien parti des étudiants de cette école.
Au rez de chaussé, il devina les salles de classes entre les rangées de casiers. Et alors que les autres élèves s'en allaient vers les salles d'études, Katsuki s'est détaché du groupe pour trouver les escaliers menant à l'étage, une pointe d'hésitation dans le ventre.
En arrivant en haut, il remarqua en premier une grande cafétéria, ainsi qu'un espace de pause muni d'une machine à café et de chaises en mousse pour s'affaler entre les cours.
Au fond, les toilettes lui paraissaient encore plus imposants que son ancienne salle de classe.
Aussi, de l'autre côté de la coursive, se présentait l'entrée principale des bureaux administratifs, là où il devait justement se rendre pour officialiser son arrivée.
Le trac le secouait, tout seul dans cet univers bien différent de ce qu'il a toujours connu.
_ Ah oui ! On t'attendait ! s'est réjouie une petite femme à l'accueil des bureaux quand il s'est présenté à elle. Viens, suis moi.
Gentille et souriante, elle s'est levée de sa chaise à roulette pour l'accompagner dans un petit couloir annexe. Suivant le pas sans oser poser ses yeux partout, il a attendu de se retrouver devant le bureau du proviseur pour la remercier d'un hochement de tête silencieux.
Son estomac tourbillonnait de trac et de stress.
_ Eh bien, on dirait que l'uniforme ne te plaît pas. a souri le proviseur au moment de lui ouvrir. Voilà une bien étrange manière de le porter.
Nerveux et gêné, Katsuki a touché sa cravate du bout des doigts en se raclant la gorge d'incertitude, se demandant s'il devait la remonter ou la laisser comme ça, foutu pour foutu.
_ Ce n'est pas grave. l'a pourtant rassuré l'homme en l'invitant à entrer. Le règlement dit juste qu'il faut le porter, et tu le portes. Je n'ai rien à dire sur le reste.
Enfin, le grand homme aux cheveux blonds décolorés et mal coiffés lui a indiqué une chaise sur laquelle prendre place, juste devant son bureau plus ou moins rangé.
Sur le plateau, une petite plaque dorée indiquait son nom au travers d'une gravure plus sombre, Toshinori Yagi.
_ J'imagine que ça doit être un peu stressant d'arriver alors que l'année a déjà commencé. N'hésite pas à venir me voir si tu as du mal à trouver tes marques.
Continuant son discours de bienvenue relativement formel, le proviseur l'assomma d'une poignée de banalités pendant cinq bonnes minutes, que Katsuki a écouté sagement sans broncher.
_ Prends donc le temps de t'acclimater un peu, pas la peine de te mettre la pression pour ta première journée parmi nous. a finalement conclu le proviseur avant de le raccompagner dans le couloir principal.
D'ici, libre de faire connaissance avec son nouvel établissement, il s'est autorisé un détour par la grande salle de repos, qu'il devinait déjà très prisée par les élèves pendant les moments d'interclasse. Les murs, peints d'un beige très clair, permettent une luminosité parfaite à la pièce accueillante et à l'aura relaxante.
Aussi, une large fenêtre coulissante laisse entrer l'éclairage naturel du soleil, dont les rayons tombent tout droit sur les fauteuils en mousse, alignés contre une paroi.
En face, il y a découvert un téléviseur perché à l'aide d'un bras télescopique, et à côté, un panneau rappelant quelques règles de savoir vivre pour gérer le partage de la télécommande.
A côté de la porte, il s'est ensuite tourné vers le distributeur de café. Puis, sortant un peu de monnaie de sa poche, il a fait fonctionner la machine pour se remplir un gobelet en carton.
Regardant le liquide remplir le petit verre, puis la touillette atterrir dedans, un sourire réchauffa sa poitrine au moment de le prendre dans ses mains pour le boire.
Ce genre de luxe n'existe pas dans les écoles de là où il vient.
Plus tard, voyant les minutes défiler et sa boisson se terminer, il a repris sa visite des lieux d'un pas volontairement lent, pour se donner le temps de tout observer, profitant d'être momentanément seul dans les couloirs du bâtiment.
Ignorant les toilettes, gagnant plutôt les larges escaliers permettant de retourner au rez de chaussée, il a rejoint le couloir inférieur et ses grandes allées de casiers.
A travers les grandes vitres, le soleil ruisselait sur son visage et son corps, tandis qu'il vagabondait sans véritable destination, passant devant une porte ou une autre, imaginant les cours qui se donnaient derrière les parois de bois fermées.
Ses pas solitaires résonnant légèrement sur le carrelage, il s'éloigna de plus en plus de l'entrée principale du bâtiment, bifurqua vers la droite pour entrer sur une coursive perpendiculaire, et vit s'ouvrir devant lui une nouvelle allée de casiers et de portes.
Il savait déjà, avant son arrivée, que Yuei comptait une sacrée flopée d'étudiants, et que les différentes options choisies par les élèves définissaient leur groupe de classe, tous éparpillés en fonction de leurs préférences pour répartir la foule.
Toutefois, même en y ayant déjà songé, le voir de ses yeux changeait la donne. Tout lui paraissait si haut, si grand, si démesuré.
Aussi, il lui fallait désormais se mettre en quête de son propre casier, et il se répéta en boucle le code à quatre chiffres que lui avait fourni le proviseur pour déverrouiller celui ci.
Enfin, après deux demi tour et cinq bonnes minutes à chercher dans le vide, il trouva son petit espace à lui, encore vide pour l'instant, et qu'il ne remplira probablement que demain. Mais au moins pour savoir ce que ça fait de posséder un rangement rien que pour soi, il ouvrit la petite porte métallique, et observa longuement l'intérieur vide, un nouveau sourire sur son visage.
Et c'est à partir de la seconde suivante que quelque chose lui a échappé.
Alors qu'il fixait sagement le fond de son placard personnel, l'écho soudain de pas rapides, frappés à larges enjambées sur le carrelage, l'a poussé à redresser le menton. Cherchant l'origine de cette étrange manifestation, et fermant son casier par automatisme, il a vu arriver un type à toute vitesse.
Courant comme si la mort le poursuivait, un sac en tissu dans les bras et les cheveux malmenés par sa course, le garçon s'est arrêté d'un seul coup au moment de croiser son chemin, et ses chaussures glissèrent dans un bruyant dérapage contre le sol propre.
Sur son visage, deux grands yeux verts brillants illuminaient la transpiration sur son front, tandis qu'un sourire faussement accueillant s'étirait entre la ribambelle de tâches de rousseur qui noyaient ses joues et son nez. Reprenant son souffle, passant une main libre dans la masse brune de ses cheveux pour chasser un peu de sueur, il a incliné la tête sur le côté pour l'interroger du regard.
_ Salut. T'es nouveau ? Je t'ai jamais vu.
_ Euh. Ouais. souffla Katsuki, perplexe face à la situation.
Comme si de rien n'était, l'autre sautilla sur ses pieds en souriant encore plus fort, le corps visiblement secoué par sa course précédente.
_ Cool ! Je peux te faire visiter si tu veux, hein ? Mais avant, tu veux bien me tenir ça une seconde ?
Sans attendre une quelconque réponse, le prenant complètement par surprise , il lui a largué son fameux sac sur les bras, que Katsuki n'a pu que réceptionner par réflexe en le sentant cogner son torse.
Tenant l'objet dans ses bras sans rien comprendre de ce qu'il se passait, il a juste vu l'autre profiter de son instant d'incrédulité pour reprendre ses enjambées, et se tirer comme un voleur le long du couloir, suivant la direction de l'entrée principale.
Désappointé, tâtant le contenant contre ses mains, il le devina rempli de cahiers et de feuilles volantes, sans en connaitre ni la véritable contenance, ni le propriétaire.
Dans le couloir, plus aucun bruit ne vint courir sur les murs l'espace d'une poignée de secondes. L'autre avait disparu, et Katsuki comprit assez rapidement que la suite risquait de ne pas s'avérer à son avantage.
Sans savoir quoi faire de son colis imprévu, il amorça un premier pas incertain, avant de se faire arrêter dans son initiative par l'arrivée tonitruante d'un professeur en furie. Transpirant toute la flotte de son corps, les goutes de sueur glissaient le long de son crâne chauve en même temps qu'un éclair accusateur se peignait dans ses yeux plissés par l'effort.
Pointant du doigt le coupable accusé à tort, sa voix essoufflée s'éleva lourdement à travers l'espace, ordonnant à Katsuki de lui rendre son bien dans la seconde.
_ Mais- je- C'est pas moi. a t-il tenté pour sa défense en tendant le sac d'une main incrédule.
_ C'est ça ! Vous expliquerez ça au proviseur.
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* Le terme pareillées n'existe pas, mais j'ai décidé de l'inventer parce que je l'aime bien 😅
* Magawira est une ville fictive.
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Hey !
Bon, il devait se passer plus de choses, mais finalement j'ai eu plus de trucs à développer que je ne le pensais, donc ce qui devait n'être qu'un seul chapitre, se transforme en deux chapitres 😅
J'essaie de faire la suite au plus vite pour ne pas trop vous laisser en suspens, promis !
En attendant, plein de bisous 😘
Prenez soin de vous ❤🦩
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