~Anecdote #1

Hey everyone
Aujourd'hui on se retrouve pour une nouvelle vidéo un-peu-par-ti-cu-li-ère...
SHUT THIS SH**T

Comme je m'ennuie je vais faire un petit challenge

WOOOOOOAAH ORIGINAL YAYAA

Tu peux te taire quand je parle ?

MAIS TU PARLES PAS MDRR TU ÉCRIS

Oui mais...

AHAHAHAHAHAHAHAHA T'ES CONCON

BREF, merci de cette intervention pertinente Clitorine.

Je disais donc que, chaque jour, je vous partage une anecdote sur les patates.

MAIS NAAAAAANNNNNN SUR MOI ENFIN MDRR

Donc voici la première ^_^
~~

J'avais 7 ans, et ma meilleure amie m'avait invité chez elle -on était voisines donc j'étais venue à pieds bref. C'était l'heure du goûter, et la mère de cette amie donc, nous a demandé d'aller chercher une viennoise (juste the best pâtisserie). Comme la boulangerie est pas loin, on part toutes les deux à pieds, l'argent dans les poches, tranquillou bidou, jusqu'ici tout va bien.

Petit bémol, une fois arrivés en bas de la rue : il y a une maison derrière un de ces grands portail de fer avec un gros chien qui sort de nulle part t'aboyer dessus comme si t'étais responsable de tout les crimes du monde. Il faut savoir que j'ai la phobie des chiens, voilà, c'est dit, vous pouvez rire j'en ai rien à faire BREF. Je demande à ma pote qu'on traverse sur le trottoir d'en face, pour pas passer devant le portail -quand j'y repense, c'est vrai que c'est ridicule. Elle accepte, on traverse, on achète notre viennoise à la boulangerie, on ressort, encore une fois, pas de problème. C'est juste après que ça se gâte.

On reprend le trottoir d'en face, pour éviter le gros chien. Sauf que, une fois de l'autre côté, il fallait retraverser dans l'autre sens, pour remonter la rue. Et là, pile sur le passage piéton, une camionnette blanche. Elle semble arrêtée, mais les fards sont allumés, et le moteur tourne encore. On peut pas passer de l'autre côté, parce que, en plus de s'être garer à un endroit où il a pas le droit, il prenait tout le trottoir ce p'tit con. À ce moment, on avait deux solutions, enfin, plutôt trois, mais c'est seulement moi qui ai réalisé la troisième. Soit, on attendait que la camionnette reparte, mais qui sait ce que le conducteur faisait et quand allait-il repartir, ou bien, on faisait demi tour et on prenait le trottoir en face. Ce qui convenait, bien sûr, de passer devant le chien, et ça, c'était hors de question.

On a opté pour la deuxième, alors on a attendu. Longtemps. Très longtemps. Maëlle-Anne (mon amie donc) commençait à s'inquiéter, elle avait peur que si l'on rentrait trop tard, sa mère la punirait. Moi je nous imaginais dresser un feu de camp, là, sur le trottoir. Oui je partais déjà loin, oui. Au bout d'un moment, j'en ai eu marre, et la troisième option, sûrement la plus débile des décisions que j'ai prise, fut donc de partir en courant sur la route, pour aller le plus vite possible de l'autre côté. J'assume de ne pas avoir réfléchi, et je prends toujours l'excuse de l'âge quand je raconte cette anecdote.

J'entends un crissement de pneus. Je me suis figée sur place. Je me rappellerai toujours que jamais mon cœur n'avait fait autant de vacarme qu'à ce moment. Je n'entendais pas les appels de mon amie, restée sur le trottoir, car j'en suis sûre, elle avait essayé de m'avertir que c'était une mauvaise idée. Là, à quelques centimètres seulement de ma tête, le parchoc de la voiture noire, conduite par une dame. Elle n'est pas descendu, elle n'en a pas eu le temps. Lentement, tremblante, j'ai rejoint l'autre côté. Maëlle-Anne m'a rejoint ensuite. La voiture est partie sans demander son reste. Elle est sérieuse ? Elle a failli m'écraser ! Je me souviens pas trop de la suite, plus tard, mais je sais qu'on est rentrées chez elle, bredouilles. On a rien voulu dire à sa mère : je l'inquièterai pour rien. Malheureusement, elle l'a appris le soir même.

Maëlle-Anne est venue me voir le lendemain. Sa mère l'avait engueuler comme jamais, en disant que c'était de sa faute. Elle l'avait appris à cause d'une riveraine qui nous avait vu, la veille. Je me sentais terriblement mal. Et tout était ma faute. Aujourd'hui, je regarde au moins 4 fois à gauche et à droite de la route avant de traverser. Et je détourné le regard devant les portail en fers.
~~

Voilà ma petite anecdote, j'en ai d'autre en réserve. Déjà, est-ce que ce concept vous plaît? Ou bien vous vous en foutez de ma vie mdrr ?

Dites moi vos avis, et sur ceux, à la prochaine, Germaine :*

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